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- Gilles Dyan est un homme d’affaires et marchand d’art français, président fondateur d’Opera Gallery, l’un des principaux réseaux internationaux de galeries d’art qui, en 2019, comptait treize succursales à travers le monde : en Asie, au Moyen-Orient, aux États-Unis et en Europe. En 2014, vingt ans après la création de sa première galerie à Singapour, la holding Opera Gallery réalisait un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros, en progression par rapport à l’année précédente. En 2016, le groupe employait 85 personnes et disposait d’un stock d’œuvres d’art de près de 7.000 pièces. Le modèle économique d’Opera Gallery repose sur une vision généraliste de l’art, l’enseigne présentant dans ses différents lieux d’exposition des œuvres de maîtres de la fin du XIXe et du XXe siècle (Picasso, Miró, Chagall, Botero…), aux côtés d’artistes contemporains ou émergents (Pierre Soulages, Hans Hartung, Niki de Saint Phalle, George Condo, Keith Haring, Manolo Valdés, David Kim Whittaker, Andy Denzler, Lita Cabellut…). Le choix des lieux d’implantation de l’enseigne joue également un rôle essentiel dans le modèle économique du groupe dirigé par Gilles Dyan : chaque galerie a pignon sur une artère de luxe dans une grande métropole internationale, comme Madison Avenue à New York, New Bond Street à Londres, rue du faubourg Saint-Honoré à Paris ou Orchard Turn à Singapour. De tels emplacements, dans l’environnement privilégié des grandes marques de luxe, assurent à Opera Gallery une visibilité maximale et le passage d’une importante clientèle de collectionneurs et d’amateurs. (fr)
- Gilles Dyan est un homme d’affaires et marchand d’art français, président fondateur d’Opera Gallery, l’un des principaux réseaux internationaux de galeries d’art qui, en 2019, comptait treize succursales à travers le monde : en Asie, au Moyen-Orient, aux États-Unis et en Europe. En 2014, vingt ans après la création de sa première galerie à Singapour, la holding Opera Gallery réalisait un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros, en progression par rapport à l’année précédente. En 2016, le groupe employait 85 personnes et disposait d’un stock d’œuvres d’art de près de 7.000 pièces. Le modèle économique d’Opera Gallery repose sur une vision généraliste de l’art, l’enseigne présentant dans ses différents lieux d’exposition des œuvres de maîtres de la fin du XIXe et du XXe siècle (Picasso, Miró, Chagall, Botero…), aux côtés d’artistes contemporains ou émergents (Pierre Soulages, Hans Hartung, Niki de Saint Phalle, George Condo, Keith Haring, Manolo Valdés, David Kim Whittaker, Andy Denzler, Lita Cabellut…). Le choix des lieux d’implantation de l’enseigne joue également un rôle essentiel dans le modèle économique du groupe dirigé par Gilles Dyan : chaque galerie a pignon sur une artère de luxe dans une grande métropole internationale, comme Madison Avenue à New York, New Bond Street à Londres, rue du faubourg Saint-Honoré à Paris ou Orchard Turn à Singapour. De tels emplacements, dans l’environnement privilégié des grandes marques de luxe, assurent à Opera Gallery une visibilité maximale et le passage d’une importante clientèle de collectionneurs et d’amateurs. (fr)
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- Gilles Dyan est un homme d’affaires et marchand d’art français, président fondateur d’Opera Gallery, l’un des principaux réseaux internationaux de galeries d’art qui, en 2019, comptait treize succursales à travers le monde : en Asie, au Moyen-Orient, aux États-Unis et en Europe. En 2014, vingt ans après la création de sa première galerie à Singapour, la holding Opera Gallery réalisait un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros, en progression par rapport à l’année précédente. En 2016, le groupe employait 85 personnes et disposait d’un stock d’œuvres d’art de près de 7.000 pièces. Le modèle économique d’Opera Gallery repose sur une vision généraliste de l’art, l’enseigne présentant dans ses différents lieux d’exposition des œuvres de maîtres de la fin du XIXe et du XXe siècle (Picasso, M (fr)
- Gilles Dyan est un homme d’affaires et marchand d’art français, président fondateur d’Opera Gallery, l’un des principaux réseaux internationaux de galeries d’art qui, en 2019, comptait treize succursales à travers le monde : en Asie, au Moyen-Orient, aux États-Unis et en Europe. En 2014, vingt ans après la création de sa première galerie à Singapour, la holding Opera Gallery réalisait un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros, en progression par rapport à l’année précédente. En 2016, le groupe employait 85 personnes et disposait d’un stock d’œuvres d’art de près de 7.000 pièces. Le modèle économique d’Opera Gallery repose sur une vision généraliste de l’art, l’enseigne présentant dans ses différents lieux d’exposition des œuvres de maîtres de la fin du XIXe et du XXe siècle (Picasso, M (fr)
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