Bénouville (Calvados)
Bénouville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 001 habitants[Note 1] (les Bénouvillais).
Bénouville | |
Le château de Bénouville. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Caen la Mer |
Maire Mandat |
Clémentine Le Marrec 2020-2026 |
Code postal | 14970 |
Code commune | 14060 |
Démographie | |
Gentilé | Bénouvillais |
Population municipale |
2 001 hab. (2022 ) |
Densité | 379 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 14′ 30″ nord, 0° 16′ 43″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 50 m |
Superficie | 5,28 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Blainville-sur-Orne (banlieue) |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Ouistreham |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.mairie-benouville.fr |
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Géographie
modifierBénouville se trouve dans le Calvados entre Ouistreham et Caen le long du canal de Caen à la mer.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sallenelles à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bénouville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Blainville-sur-Orne, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
La commune, bordée par l'estuaire de l'Orne, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones urbanisées (28,2 %), prairies (6,8 %), eaux continentales[Note 3] (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom du village est mentionné en 1066 sous la forme latinisée Burnolfivilla[17].
Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé de l'anthroponyme vieux danois Biornulf, vieux norrois Biǫrnulfr[18] ou anglo-saxon Beornwulf. Il se perpétue dans le nom de famille normand Burnouf (surtout Cotentin) et sans doute Burnoult (Calvados), patronyme disparu.
Homographie avec Bénouville (Seine-Maritime, Bernovilla 1166 - 1173) basé sur le nom de personne d'origine germanique occidentale Berno et avec Saint-Pierre-Bénouville (Seine-Maritime, Bernoldivillam XIIe siècle) qui contient un autre anthroponyme, Bernold, d'origine germanique également[19].
Histoire
modifierUn village de pêcheurs est établi sur les bords de l'Orne à l'âge du bronze[20].
À l'époque gallo-romaine, une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux traverse l'actuel commune et un bac est établi sur le fleuve. Ce bac perdure jusqu'au milieu du XIXe siècle. Lors de la construction du canal de Caen à la mer, ouvert à la navigation en 1857, l'Orne est redressée entre Ranville et le corps de garde de Sallenelles ; l'ancien lit du fleuve est en partie repris par le canal entre pont de Bénouville (actuel Pegasus Bridge) et le déversoir du Maresquier[21],[22],[Note 4]. De ce fait, l'ancien bac sur l'Orne se trouvait à proximité de l'actuel pont de Bénouville[23].
La restauration et l'embellissement du château de Bénouville sont commandés à l'architecte Claude-Nicolas Ledoux en 1769 par François-Hyppolite Sanguin, marquis de Livry, qui hérite du domaine à la mort de son beau-père, Antoine Gillain, marquis de Bénouville, en 1768. Les travaux sont achevés en 1785.
À partir de 1892, la commune est desservie par la première ligne des chemins de fer du Calvados reliant la gare de Dives - Cabourg et la gare de Luc-sur-Mer. L'année suivante, une ligne permet de relier la gare de Bénouville à la gare de Caen-Saint-Pierre. Il existait également un arrêt au château de Bénouville[24]. La ligne de Bénouville à Dives est fermée en 1932 et celle de Caen à Luc par Bénouville après le débarquement en 1944[25].
L'opération Coup-de-main de juin 1944, consistait en la prise de possession des ponts, de Bénouville (Euston 1, appelé plus tard Pegasus Bridge) et de Ranville (Euston 2, appelé plus tard Horsa Bridge), dans le cadre de l'opération Tonga, menée par la 6e division parachutiste britannique. Sous les ordres du lieutenant-colonel Richard Geoffrey Pine-Coffin du 7e bataillon d'infanterie aéroporté et du général de brigade Nigel Poett de la 5e brigade aéroportée britannique, le major John Howard atterrit avec ses trois planeurs à 0 h 20 (mais 23 h 20 heure anglaise, ce qui explique que Bénouville ait une place du 5 juin 1944 et non une place du 6 juin 1944). Le major Howard dirige 180 hommes avec lesquels il prend le Pegasus Bridge. La compagnie du major avec le 7e bataillon tinrent les deux ponts malgré les contre-attaques allemandes et les nombreuses pertes. Le Café Gondrée, qui existe toujours, fut la première maison libérée de l'occupation allemande par les Alliés lors de la bataille de Normandie. Thérèse et Georges Gondrée ont eu un rôle actif dans la réussite de cette opération[26]. Leur fille Françoise est la fondatrice avec le général Gale, président de l'association pour la sauvegarde du site-musée de Pegasus Bridge et batterie de Merville.
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Bénouville au XVIIIe sur la carte de Cassini.
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Château de Bénouville.
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Gare des chemins de fer du Calvados.
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Pegasus bridge le .
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierBénouville appartient à l'arrondissement de Caen et au canton d'Ouistreham depuis sa création en 1982. Avant cette date, la commune faisait partie du canton de Douvres-la-Délivrande.
Pour l’élection des députés, elle est rattachée à la quatrième circonscription du Calvados, représentée par Christophe Blanchet (LREM) depuis 2017.
Intercommunalité
modifierDepuis 2003, la commune appartient à la communauté urbaine Caen la Mer.
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2022, la commune comptait 2 001 habitants[Note 5], en évolution de −3,29 % par rapport à 2016 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Notre-Dame, construite du XIIe siècle au XVIe siècle, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 4 octobre 1932[40].
- Château de Bénouville conçu par l'architecte Claude Nicolas Ledoux entre 1769 et 1780 pour le marquis Sanguin de Livry, gendre du marquis Guillain de Bénouville. On dit que Ledoux ne serait venu à Bénouville qu'une seule fois. Il demanda à Angibeau puis Devilliers de Maisonrouge de s'occuper du chantier. Le château appartient depuis 1927 au conseil général du Calvados et abrita une maternité puis, la chambre régionale des comptes y siège. Le château, classé monument historique[41], est ouvert une partie de l'année aux visiteurs et organise des expositions.
- Le café Gondrée, inscrit au titre des Monuments historiques[42].
- Pegasus Bridge, site du premier contact au sol des troupes alliées lors de l'opération Overlord. Le pont a été reconstruit en 1994 fidèle à sa forme initiale, mais légèrement plus grand. L'ancien pont est conservé au musée, à quelques dizaines de mètres du nouveau dans un site naturel classé[43].
- Signal, monument situé au bord du canal de Caen à la mer et de la RD 514. Il est financé par l'argent tiré de la vente d'épaves du débarquement. Il est inauguré le . Il fait partie d'une série de monuments semblables, portant le même titre, situés dans les communes où le débarquement de 1944 eut lieu.
- Buste du major John Howard, réalisée par Vivien Mallock (en), installé au bord du canal de Caen à la mer et de la RD 514.
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Le vieux Bénouville, avec l'église Notre-Dame, vu du chemin de halage du canal de Caen à la mer.
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L'église.
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La façade du château de Bénouville.
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Pegasus Bridge à son emplacement originel avant son remplacement par une copie de plus grande dimension.
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Le monument Signal.
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Le buste du major John Howard.
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Le monument aux morts.
Activité et manifestations
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Général Sir Richard Gale (1896-1982), commandant la 6e division aéroportée britannique.
- Herbert Denham Brotheridge dit Den Brotheridge (1915-1944), officier de l'armée britannique.
- Denyse Le Lasseur (1889-1945), archéologue et orientaliste, née à Bénouville.
- Annie Girardot (1931-2011), actrice. Lorsque la future actrice était enfant, sa mère était sage-femme au château de Bénouville.
- Gérard Lenorman (né en 1945 au château-maternité de Bénouville), chanteur.
- Thierry Marie (né en 1963 à Bénouville), coureur cycliste.
- Louis-Karim Nébati (né en 1972 à Bénouville), acteur.
Héraldique
modifierLes armes de la commune de Bénouville se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale 2022.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- L'ancien cours du fleuve se retrouve dans les limites administratives entre les communes de Ranville, Bénouville, Amfreville et Ouistreham.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Altitudes, coordonnées, superficie : Bénouville sur le site de l'Institut géographique national (archive Wikiwix).
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Bénouville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Blainville-sur-Orne », sur insee.fr (consulté le ).
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- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux du Calvados attestés entre 911 et 1066 » in Annales de Normandie, vol. 2, 1952, p. 219.(lire en ligne)
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune de Normandie, Charles Corlet éditions / Presses Universitaires de Caen 1994, p. 65a.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150), p. 41 et 142.
- Marcigny Cyril, Carpentier Vincent, Ghesquière Emmanuel, Leborgne Guillaume, Gallouin Erik, Ménager Loïc, « Sépultures de "pêcheurs" de l'Âge du Bronze ancien à Bénouville "les Hautes Coutures" (Calvados) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 101, no 2, , p. 305-323 (DOI 10.3406/bspf.2004.12994, lire en ligne)
- Plan général de la rivière de l'Orne et du Canal entre Caen et la mer sur Gallica
- René Streiff, « Le port de Caen et le canal de Caen à la mer », Études normandes, no 16, , p. 269-296 (lire en ligne)
- « Emplacement de l'ancien bac sur l'Orne » sur Géoportail.
- H. Magron, Guide illustré du tramway de Caen à la mer. Caen, Ouistreham, Hermanville, Lion-sur-Mer, Luc-sur-Mer, Ranville, Sallenelles, Le Home-Varaville, Cabourg, Dives., Caen, impr. Ch. Valin, 1899, pp. 16–17 [lire en ligne]
- Alain de Dieuleveult, Calvados pour les petits trains, La Vie du rail, Paris, 1997, (ISBN 2902808747), pp. 19–21
- « Débarquement Normandie 6 juin 1944 - Bénouville : Pegasus bridge » (consulté le ).
- « Bénouville. Léa Vion, une figure de la résistance locale », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Bénouville : M. Philippe Dieu, nouveau maire », Ouest-France,
- Démissionne pour raison de santé.
- « Bénouville. Philippe Dieu, ancien maire, est décédé », Ouest-France, (lire en ligne)
- Démissionne pour raisons professionnelles.
- « Guy Baillehache élu maire de Bénouville », Ouest-France,
- « Alain Lepareur succède à Guy Baillehache », Ouest-France,
- « Municipales à Bénouville. Salvatore Bellomo élu maire hier soir », Ouest-France, 29 mars 2014.
- « Municipales à Bénouville. Clémentine Le Marrec, une nouvelle maire pour la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Église », notice no PA00111080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no PA00111079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Café Gondrée », notice no PA00111078, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [PDF] « Fiche DREAL no 14130 : Pegasus Bridge » (consulté le ).
- « Bénouville », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).