231e régiment d'artillerie
Le 231e régiment d'artillerie est un régiment d'artillerie de l'armée française qui a combattu lors de la Première et la Seconde Guerre mondiale.
231e régiment d'artillerie | |
Croquis d'insigne (1939). | |
Création | avril 1917 |
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Dissolution | juillet 1940 |
Pays | France |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment d'Artillerie |
Ancienne dénomination | AD 126 |
Inscriptions sur l’emblème |
Champagne 1915 Les Monts 1917 |
Guerres | Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale |
modifier |
Création et différentes dénominations
modifier- juin 1915 : Artillerie divisionnaire 129
- : création du 231e régiment d'artillerie de campagne (RAC)
- : dissolution
- 1920 : nouvelle création du 231e régiment d'artillerie de campagne (RAC)
- : dissolution, forme le 41e régiment d'artillerie divisionnaire
- septembre 1939 : formation du 231e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (RALD)
- juillet 1940 : dissolution
Liste des chefs de corps
modifierHistorique des opérations et garnisons du régiment
modifierPremière Guerre mondiale
modifierIl est créé le à partir des trois groupes de l'artillerie divisionnaire (AD) de la 129e division d'infanterie : le 8e groupe du 24e RAC, le 4e groupe du 31e RAC et le 5e groupe du 44e RAC, équipés de canons de 75[1],[4].
1917
modifier1918
modifier- 1918
- Monts des Flandres (Scherpenberg)[réf. nécessaire]
- Oise[4] (Guiscart[réf. nécessaire])
Après la guerre
modifierIl entre le en Lorraine libérée puis part en Allemagne, occupant Worms et Kaiserslautern. Il revient dans la région de Metz où il est dissout le [5].
Entre-deux-guerres
modifierLe régiment est recréé en 1920. Il forme l'artillerie de la 47e division d'infanterie, en occupation à Trèves[6]. Le , selon la décision du , le 231e RAC est dissout et forme le 41e régiment d'artillerie divisionnaire[7].
Seconde Guerre mondiale
modifierIl est mis sur pied en septembre 1939[réf. souhaitée] par le centre mobilisateur d'artillerie no 4 du Mans. Il est rattaché à la 7e division d'infanterie[8].
Lors de la bataille de France, le régiment subit de lourdes pertes. Retraitant avec sa division dans le Cher, le régiment perd son matériel restant le [9].
Étendard
modifierL'étendard du 231e régiment d'artillerie, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[10] :
Notes et références
modifier- Historique anonyme, p. 3.
- Historique anonyme, p. 7.
- GUF vol. 2, p. 96.
- « Parcours et historiques des régiments d'artillerie de campagne et portés durant 14/18 », sur www.chtimiste.com (consulté le )
- Historique anonyme, p. 10.
- Annuaire officiel de l'Armée française, troupes métropolitaines et troupes coloniales pour l'année 1920, Librairie militaire Berger-Levrault (lire en ligne), p. 122
- « Regroupement des unités d'artillerie », Revue d'artillerie, , p. 95-101 (lire en ligne)
- « Regiments d'Artillerie », sur www.atf40.fr (consulté le )
- GUF vol. 2, p. 92.
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
Bibliographie
modifier- Historique du 231e régiment d'artillerie : campagne 1914-1918, Paris, Librairie Chapelot, 11 p., lire en ligne sur Gallica.
- Service historique de l'Armée, Les grandes unités françaises : historiques succincts (GUF), vol. 2, Imprimerie nationale, (lire en ligne).
Voir aussi
modifierLiens externes
modifier- « Le Cheval blanc : satirique illustré bi-mensuel et bon enfant : 231e RAD-6e CR [journal du front 1939-1940] », sur argonnaute.parisnanterre.fr. Le journal est ensuite renommé Le Cheval bleu.