Bellegarde (Gers)

commune française du Gers

Bellegarde (Belagarda e Adolins en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Bellegarde
Bellegarde (Gers)
La mairie.
Blason de Bellegarde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Jean-Philippe Gerault
2020-2026
Code postal 32140
Code commune 32041
Démographie
Gentilé Bellegardais
Population
municipale
162 hab. (2021 en évolution de −7,95 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 32″ nord, 0° 37′ 28″ est
Altitude 264 m
Min. 212 m
Max. 315 m
Superficie 14,92 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Astarac-Gimone
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bellegarde
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Bellegarde
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Bellegarde

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bellegarde est une commune rurale qui compte 162 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 485 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Bellegardais ou Bellegardaises.

Géographie

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Localisation

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Bellegarde est une commune située dans le Gers.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Betcave-Aguin, Bézues-Bajon, Masseube, Meilhan, Moncorneil-Grazan, Pouy-Loubrin et Sère.

Géologie et relief

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Bellegarde se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Bellegarde.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, le ruisseau de Bères, le ruisseau de Bésiau, le ruisseau de Mirando et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées centrales »0[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 831 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mirande à 20 km à vol d'oiseau[8], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 818,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[12] : les « coteaux de Masseube » (1 029 ha), couvrant 3 communes du département[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[12] :

  • les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » (5 264 ha), couvrant 18 communes du département[14] ;
  • les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[15].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bellegarde est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,9 %), terres arables (17,4 %), forêts (11,6 %), prairies (10,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bellegarde est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bellegarde.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 83 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 83 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie

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Histoire

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En 1822, la commune de Bellegarde absorbe les communes de Pis-Bajon (partagée avec Bézues-Bajon) et Adolins.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1867 ? Arthur-Charles de Monts
(né en 1820)
  Propriétaire
avant 1981 ? Marius Pourquet    
 
2001
Michel Estebenet    
2001 2014 Patricia Estebenet[21] DVD  
2014 En cours Jean-Philippe Gérault DVD
puis Horizons[22]
Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24]. En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 3], en évolution de −7,95 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
286265298279485446434416412
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
428384384371365349333329335
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
323303286290277269255240232
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
203165148150136155159172176
2020 2021 - - - - - - -
165162-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Note : À partir de 1831, le recensement comprend également les populations des anciennes communes de Pis-Bajon (partagée avec Bézues-Bajon et Adolins, toutes deux réunies à Bellegarde en 1822.

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 66 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 158 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 830 [I 5] (20 820  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,6 % 5,1 % 5,9 %
Département[I 8] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 93 personnes, parmi lesquelles on compte 80 % d'actifs (74,1 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs) et 20 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 73, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 11].

Sur ces 73 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 82,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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8 établissements[Note 6] sont implantés à Bellegarde au [I 14]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Bellegarde), contre 14,6 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du départementle centre-nord du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 32 23 16 13
SAU[Note 8] (ha) 1 078 820 591 539

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 23 en 2000 puis à 16 en 2010[30] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[31],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 078 ha en 1988 à 539 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 41 ha[30].

Culture locale et patrimoine

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Croix et panneau près du lieu-dit "Le Presbytère" à Bellegarde

Lieux et monuments

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  • Château de Bellegarde. Fief des Lagossan dès 1300, puis, par alliance, des Saint-Lary aux XVe et XVIe siècles, la seigneurie de Bellegarde fut vendue en 1618 à Jean-Auguste de La Passe, gouverneur du château de Foix, seigneur de Poussignan et de Mont (Mont d’Astarac)[32]. Il fit faire des travaux considérables pour aménager ce qui est probablement un nouveau château : le cadastre de 1784 signale en effet un site castral plus ancien à l’est de l’église[33]. Le château dispose d’un corps principal et d'une aile en retour d’équerre sur les faces nord et ouest, d’une cour d’honneur fermée à l’est et au sud par une grille et un portail. Le corps de logis, d’un seul étage, est flanqué sur ses angles nord-est et sud-est de pavillons plus hauts d’un étage. La porte principale est particulièrement remarquable : "Précédée d’un perron, assez basse, elle découpe son ouverture rectangulaire entre deux pilastres cannelés. Un fronton cintré, brisé aux volutes supérieures rentrantes, et un édicule à jour ovale la couronnent dans tout un luxe de cuirs, palmettes, mufles léonins, mascarons et cornes d’abondance."[34] De larges douves baignent l’ensemble bâti[35]. Propriété privée, ne se visite pas.
  • La chapelle et la motte castrale de Pis. Le château de Pis, indiqué sur la carte de Cassini, a disparu en élévation. La chapelle de Pis est établie sur la motte castrale, dont la basse-cour, en partie cernée d’un fossé, porte la maison « L’Oustau ». Propriété privée, ne se visite pas.
  • Le moulin à vent ruiné.
  • L'église de la Nativité-de-Notre-Dame de Bellegarde.
  • L'église Saint-Martin des Adoulins.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à une pomme de pin d'or, au 2e d'or à une quintefeuille d'azur, au 3e de gueules à une tour d'argent maçonnée de sable[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bellegarde » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Bellegarde ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bellegarde » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bellegarde » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bellegarde » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bellegarde » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Bellegarde », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Arrats »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Bellegarde et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mirande » (commune de Mirande) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mirande » (commune de Mirande) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Bellegarde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  14. « ZNIEFF les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bellegarde », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bellegarde », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Site de la préfecture - fiche de Bellegarde
  22. https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
  28. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  29. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  30. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bellegarde - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  32. David Bourdeau et Jacques Lapart, Châteaux et belles demeures du Gers. Astarac, Pardiac, Savès, Editions du Val d’Adour, , p. 91..
  33. Archives départementales du Gers, C 113.
  34. Jean-Henri Ducos, Dictionnaire des châteaux de France : Guyenne, Gascogne, Béarn, Pays-Basque, collection sous la direction d'Yvan Christ, sous la direction de Jacques Gardelles, Paris, Berger-Levrault, , p. 69.
  35. Jean-Henri Ducos et Jacques Gardelles, Guide des Châteaux de France. Gers 32, Paris, Hermé, , 152 p..
  36. « 32041 Bellegarde (Gers) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  NODES
orte 2
see 18