Bitoman une série de films amateurs français, réalisés par Alex Pilot entre 1994 et 2005.

Synopsis

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La série Bitoman raconte les exploits d'une bande de super-héros niçois, les Bitomans (avec TranspireMan, et l’homme qui dort dans la Juke) contre des ennemis divers et variés.

Ces petits films amateurs parodient les sentaï[1], des séries télévisées japonaises pour les enfants, avec comme thème récurrent les « méchants qui veulent détruire le monde parce qu'ils sont méchants et des gentils qui veulent tuer le méchant parce qu'ils sont gentils et parce qu'il faut bien des héros »[2].

Épisodes

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[réf. souhaitée]

  1. (Sans nom) (1994) - 5'
  2. Poubellator se rebiffe (1994) - 20'
  3. La nouvelle génération (1994) - 30'
  4. La menace (première partie, 1995) - 17'
  5. La menace (deuxième partie, 1995) - 22'
  6. L'ultime combat (1995) - 16'
  7. Shin Densetsu Bitoman Z (jamais diffusé, 1995) - 21'
  8. Et l'aventure continue! (1996) - 22'
  9. La quête de la Larme d'Or (1996) - 27'
  10. Les Bitomans au royaume des morts (1997) - 22'
  11. Transmutation! La grande bataille de Gomibako 13 (1998) - 30'
  12. Otaku Senshi Bitoman Vs. Uchu Sentaï Bitorangers (1999) - 35'
  13. Bitoman millenium (2000) - 32'
  14. Cosplay Fever (2005) - 44'

Hors-séries

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Deux clips musicaux mettant en scène Mathias de la série Embrasse-moi Lucile ont été montés et diffusés sur Game One. Les textes et les musiques sont des productions originales.[réf. nécessaire]

  • Enrôlez-moi
  • La légende de Mathias

Production

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Les épisodes de la série durent en moyenne 20 minutes, certains allant jusqu'à plus de 35 minutes[3].

Musiques

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Le Bitosband, composé d'acteurs participant à Bitoman, a édité 3 CDs musicaux vendus lors des conventions ou par correspondance.[réf. nécessaire]

  • Dramatic Master Vol.1 (1998 ?)
  • Dramatic Master Vol.2 (1999 ?)
  • Mathias l'album (2000)

Les génériques des épisodes 12 et 13 ont été écrits et chantés par Olivier Fallaix sur des instrumentales de musiques d'animés.

Influence

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La série Bitoman inspira d'autres personnes à créer des productions de films amateurs[3].

On peut citer Fabien Fournier[4] fondant avec des amis la Funglisoft, Simon Brochard créant les Capoué Fighters, Ruddy Pomarede avec les Guardians, ou encore Une case en moins (comme l'avouera Davy Mourier[5] lors d'un épisode de l'émission 101% sur la chaîne Nolife).

Cette série a également inspiré des personnalités comme Jean-Baptiste Soufron, d'ailleurs remercié dans Bitoman no 11[6]. Elle a aussi influencé le développement de France Five, avec des équipes désormais devenus des professionnels de l'audiovisuel[7],[8].

Notes et références

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  1. William Audureau et Pauline Croquet, « Des « Bioman » à « Power Rangers », le « sentai » fête ses 40 ans », sur lemonde.fr,
  2. « Les Bitoman », sur skyrock.com,
  3. a et b Marie-Caroline Neuvillers, « Commentaires et rapports d’interdépendance dans le dispositif des web-séries créées en autoproduction. L’appropriation par l’interaction (Thèse de doctorat en Sciences de l’Information et de la Communication) »
  4. Benjamin Jérôme, « Noob, la web-série de tous les records », sur leparisien.fr,
  5. Davy Mourier, « Davy Mourier VS T02: La télévision », sur books.google.fr
  6. « Bitoman 11 (3/3) - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion (consulté le )
  7. « France Five », sur planete-jeunesse.com
  8. « « France Five », les passeurs costumés de pop culture japonaise », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

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Article connexe

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  • Bioman, une série télévisée japonaise qui a servi d'inspiration pour Bitoman.

Liens externes

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  NODES
inspiration 1
Note 2