Buironfosse
Buironfosse est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.
Buironfosse | |||||
L'église Sainte-Cyrille du Boujon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Vervins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Thiérache du Centre | ||||
Maire Mandat |
Marie-Anne Wattier 2020-2026 |
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Code postal | 02620 | ||||
Code commune | 02135 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Buironfossois(es) | ||||
Population municipale |
1 136 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 57′ 58″ nord, 3° 50′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 173 m Max. 222 m |
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Superficie | 17,6 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vervins | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | buironfosse.fr | ||||
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Géographie
modifierBuironfosse se trouve à une petite dizaine de kilomètres à l'ouest-sud-ouest de La Capelle, sur la route N 29 / D 1029 / E 44, en direction de Guise (dans le canton no 5 de La Capelle et la 3e circonscription).
Localisation
modifierLe Nouvion-en-Thiérache | ||||
Leschelle | N | La Capelle | ||
O Buironfosse E | ||||
S | ||||
Englancourt | Erloy | Lerzy |
Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts
modifier- Le Boujon, hameau implanté juste au sud, en bordure de la forêt du Regnaval. Maps
- La Rue Herbin. Maps
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Iron, le ruisseau des Buissons[1], le cours d'eau 01 de la Fontaine du Porcher[2], le cours d'eau 01 de Rue des Faucharts[3], le cours d'eau 01 des Quatre Chênes[4], le cours d'eau 01 du Bout du Trou[5], le cours d'eau 01 du Grand Enclos[6], le cours d'eau 01 du Moulin du Haut Bois[7], le cours d'eau 01 du Rieu des Grands Prés[8], le fossé du Grand Damehaut[9], le Mathurin[10] et le ruisseau de la Vaudoise[11],[12],[Carte 1].
L'Iron, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune de La Flamengrie et se jette dans le Noirrieu à Hannapes, après avoir traversé dix communes[13].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang Piscicole (0,8 ha)[Carte 1],[14].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Vervins à 13 km à vol d'oiseau[17], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,3 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Buironfosse est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22] et hors attraction des villes[23],[24].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58 %), forêts (30 %), zones urbanisées (6 %), terres arables (6 %)[25].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Buironfossa, Buirunfossa (XIIe siècle) ; Birenfosse (1223) ; Burenfosse (1339) ; Buyronfosse (1541) ; Buronfosse (1751)[26].
De l'oïl buiron « cabane » et fosse « mare » ; l'ensemble a dû signifier « cabane de la mare »[27]. À noter qu'en vieux français, buiron signifie : « petite maison, cabane, chaumière »[28].
Histoire
modifierBuironfosse
modifierVers le Xe siècle, Buironfosse était un château fort construit en bois sur une motte féodale et entouré d'une fosse. Le lieu était un fief seigneurial dont les propriétés s'étendaient au nord de la Thiérache de Ribemont à Avesnes.
Le château fort en bois sera renforcé en pierre aux XIe et XIIe siècles, puis rasé en 1423 par Jean de Luxembourg allié des Bourguignons. On y reconstruira une église qui sera pillée, incendiée, fortifiée, rasée et reconstruite plusieurs fois durant tous les conflits dévastateurs que connaîtra la Thiérache au cours de son histoire. Bien plus tard, en 1868, la motte sera arasée pour laisser place à l'église d'inspiration romane que nous connaissons aujourd'hui.
Au XIIe siècle, Buironfosse était une commune rurale importante. En 1175, le seigneur Jacques d'Avesnes lui accordera une charte, donnant aux habitants la liberté d'administrer les biens de la commune, d'élire un maire et ses échevins. La forêt communale appelée les Usages conférera à la population toutes les ressources nécessaires à sa subsistance et à son développement.
Par sa position géographique proche du Hainaut, la Thiérache sera ravagée par de nombreux conflits. Buironfosse bénéficiera d'une certaine tranquillité au XVIIIe siècle, époque où les frontières seront reculées plus au nord. Elle connaîtra l'avènement du développement agricole. Les bois occupant un quart du territoire, de nombreux corps de métiers artisanaux apparaîtront. Les spécialités du cru étant la saboterie et la boissellerie. En 1760, Buironfosse compte 1 063 habitants.
Entre 1830 et 1880, on développe de façon très importante les ressources en herbage. Les près et pâtures doublent en surface. Éleveurs et herbagers définissent la topographie du bocage que nous connaissons aujourd'hui.
En 1856, la population de Buironfosse atteint le chiffre record de 2 589 habitants. Le bois en est le centre économique. On dénombre à cette époque pas moins de 300 sabotiers.
Première Guerre mondiale : Buironfosse se trouve en zone occupée par les troupes allemandes d'août 1914 jusqu'au 6 novembre 1918, date où des troupes françaises libèrent le village. En 1918, le 7 novembre au soir, c'est par Buironfosse, par la route de La Capelle ; que la délégation allemande qui va signer l'armistice mettant fin aux hostilités de la Première Guerre mondiale, franchit le front occidental en voiture munis de drapeaux blancs. Elle se rend à la gare de Tergnier, où attend le train qui mena la délégation vers la forêt de Compiègne.
Les sabotiers
modifierLes sabotiers travaillaient souvent en équipe de trois ouvriers. L'ébaucheur ou équarrisseur, dégrossissait à la hache une pièce de bois pour lui donner une forme primitive. Le pareur utilisait un paroir pour affiner les surfaces extérieures gauches et droites du sabot et commençait à le creuser. Le troisième ouvrier à l'aide de mèches, de cuillères et de gouges évidait l'intérieur du sabot. Le maître sabotier tel le maître bottier, effectuait le travail sur la qualité du chaussant, apportant au sabot toute l'ergonomie et le confort requis pour le bien être du pied. Les fleuristes en sabot exécutaient des motifs décoratifs fleuris à l'intention des femmes qui les portaient le dimanche pour se rendre à l'église. La fabrication du sabot était un travail entièrement fait à la main et représentait une tâche pénible.
Les chevaliers du Lièvre
modifierLe 20 octobre 1339, lors de la guerre de Cent Ans, une célèbre bataille oppose Édouard III roi d'Angleterre, son allié Jean de Hainaut au roi de France Philippe VI de Valois, entouré de son armée de soixante mille hommes. Les deux camps se font face dans un champ situé entre Buironfosse et la Flamengrie. Avant de mener bataille, il a été décidé de laisser reposer les troupes. Quelques écuyers du camp des Français requièrent le comte de Hainaut de les faire chevaliers, lorsqu'en pleine cérémonie, des lièvres surgissent entre les deux armées semant la pagaille et l'affolement des chevaux de la cavalerie. Dans la confusion, on croit à une attaque surprise, des soldats se replient. Face à la tournure insolite de cette situation et de l'effet de surprise qu'il créa, Édouard III reprend la route en direction de Bruxelles et repasse la frontière. Le roi de France satisfait de voir ses ennemis boutés hors du royaume décidera de ne pas poursuivre l'expédition, donnera congé à ses armées. De cet épisode cocasse, les chevaliers consacrées lors de cette bataille qui n'eut pas lieu, se verront surnommer " chevaliers du Lièvre ". Peut-être pouvons-nous interpréter aujourd'hui les origines du lieu-dit la Cence au Lièvre située à la Flamengrie.
Cette histoire racontée par Jean Froissart, historien de la fin du Moyen Âge fait partie de la légende. Froissart n'ayant pas été témoin direct de cette bataille en a très certainement enjolivé le récit pour le rendre populaire, à la manière des trouvères de l'époque. Une chose est certaine. Divers écrits attestent de la rencontre des deux armées. La raison de cette bataille avortée tient certainement au fait que l'armée française était bien supérieure en nombre et que face à une inévitable défaite, Édouard III se serait replié sagement.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Buironfosse est membre de la communauté de communes de la Thiérache du Centre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Capelle. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Vervins, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[22]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vervins pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].
Administration municipale
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2021, la commune comptait 1 136 habitants[Note 2], en évolution de −2,32 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierImplanté au cœur du bocage thiérachiens, Buironfosse eut une tradition de sabotiers du XIIe au début du XXe siècle. Une Fête du sabot y est organisée chaque année.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Nicolas de Buironfosse.
- Église Sainte-Cyrille, Le Boujon (Buironfosse).
- Chapelle de la Délivrance.
Personnalités liées à la commune
modifier- Antoine-Julien Alizard (1827-1912), peintre né sur la commune.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Au Pays des Sabots ... BUIRONFOSSE ... 1000 ans d'Histoire, d'Alexandre Macarez, directeur d'école honoraire, 2e édition, imprimé en janvier 1992 par Prim Service à 02120 Guise, est une collection des textes d'histoire sur le village, publiés dans le journal L'Aisne Nouvelle en 1985 par son auteur, rassemblés par l'Association du patrimoine de Buironfosse sous l'autorité du docteur Paul Decourcelle. Ce livre est préfacé par le maire de l'époque, le docteur Hugues Hersoy.
- Métiers du bois de Buironfosse ... Le pays des papinettes et des manches à martieux, de Claude Lajeunesse, natif du hameau du Boujon commune de Buironfosse, raconte les trois disciplines principales du village : Les Boisseliers - les Faiseux d'manches - les Sabotiers. L'ouvrage a été offert à la commune de Buironfosse au bénéfice de la sauvegarde et du développement du patrimoine historique du village, il a été préfacé par Jean-Luc Goulard, maire du village (de 2001 à août 2010), la quatrième de couverture a été rédigée par le docteur Francis Noorrel, médecin du village et acteur associatif depuis près de 20 ans. L'édition a été réalisée en octobre 2007 par "Le Livre d'Histoire" dans sa collection "Métiers d'Hier et d'Aujourd'hui". Il est disponible en mairie de Buironfosse.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Buironfosse sur le site de l'Institut géographique national
- Buironfosse sur le site de l'Insee
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Buironfosse » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « le ruisseau des Buissons »
- Sandre, « le cours d'eau 01 de la Fontaine du Porcher »
- Sandre, « le cours d'eau 01 de Rue des Faucharts »
- Sandre, « le cours d'eau 01 des Quatre Chênes »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Bout du Trou »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Grand Enclos »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Moulin du Haut Bois »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Rieu des Grands Prés »
- Sandre, « le fossé du Grand Damehaut »
- Sandre, « le Mathurin »
- Sandre, « le ruisseau de la Vaudoise »
- « Fiche communale de Buironfosse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Iron »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Buironfosse et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 44.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1402.
- buiron.
- « communauté de communes de la Thiérache du Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Almanach-annuaire de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, 18e année, Matot-Braine, Reims, 1876, p193.
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- Décès du maire Jean-Luc Goulard
- « Buironfosse : Marie-Anne Wattier, nouveau maire », La Thiérache, (lire en ligne, consulté le )
- « Les maires s'installent », La Thiérache, no 2575, , p. 49 (ISSN 0183-8415)
- « Deuxième mandat pour la maire de Buironfosse Marie-Anne Wattier », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.