Caracal

espèce de mammifères
(Redirigé depuis Caracal caracal)

Caracal caracal

Caracal caracal
Description de cette image, également commentée ci-après
Caracal caracal au SanWild Wildlife Sanctuary (Afrique du sud).
Classification
Règne Animalia
Sous-embr. Vertebrata
Super-classe Tetrapoda
Classe Mammalia
Cohorte Placentalia
Ordre Carnivora
Sous-ordre Feliformia
Famille Felidae
Sous-famille Felinae
Genre Caracal

Espèce

Caracal caracal
(Schreber, 1776)

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 28-06-1979
populations d'Asie

Statut CITES

Sur l'annexe II de la CITES Annexe II , Rév. du 28/06/1979
autres populations

Répartition géographique

Description de l'image Caracal distribution.jpg.

Répartition du caracal en 2016

Le Caracal (Caracal caracal) est un félin du genre Caracal largement répandu en Afrique et en Asie depuis le Moyen-Orient jusqu'au sous-continent indien. En 2008, le caracal était classé en catégorie préoccupation mineure sur la liste rouge de l'UICN en raison de sa présence relativement commune notamment en Afrique australe et en Afrique de l'Est[1]. Le caracal est néanmoins considéré comme menacé en Afrique du Nord et rare en Asie centrale et en Inde[1].

Le caracal possède de longs pinceaux de poils noirs caractéristiques à l'extrémité des oreilles. Il est également connu pour les bonds pouvant atteindre 3 mètres qu'il est capable d'effectuer pour attraper des oiseaux en vol.

Le nom binominal Caracal caracal (Schreber, 1776) est attribué au zoologiste allemand Johann Christian Daniel von Schreber qui a décrit Felis caracal en 1776 à partir d'un spécimen prélevé dans la région de la Montagne de la Table, en Afrique du Sud, qui est considérée comme la localité type de l'espèce[2]. Le genre Caracal a été utilisé pour la première fois par le naturaliste britannique John Edward Gray en 1843[3] sur la base de l'étude d'un spécimen prélevé dans la région du cap de Bonne-Espérance[4].

Dans l'histoire de la nomenclature binominale, le caracal a été alternativement classé dans les genres Lynx et Felis, mais des travaux récents en biologie moléculaire tendent à montrer qu'il s'agit d'un genre à part entière apparenté au serval et au chat doré africain[5].

Étymologie et dénominations

modifier

Le nom caracal a été donné à cet animal par Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon, dans l'Histoire naturelle, générale et particulière, parue en 1761, en référence à son nom en langue turque qu'il orthographiait « karrah-kulak »[6] ou «  karacoulac »[6] et qu'il pensait signifier « chat aux oreilles noires »[6] (kara kulak se traduit en fait par « oreille noire » et karakulak signifie « caracal »). Il est appelé en persan siyah-gush[6] (siyāh-gosh (سیاهگوش)) et dénommé dans le nord de l'Inde syahgosh ou shyahgosh (स्याहगोश)[7] termes qui signifient également « oreille noire ».

En dialecte Toubou, il est appelé ngam ouidenanga qui signifie « chat gazelle » en raison de sa réputation de chasseur de gazelles dorkas[8]. En afrikaans, il est dénommé rooikat[9] qui signifie « chat rouge ». Il est nommé nghawa en xhosa, hwang ou twana en shona, thwani en venda, thwane en tswana, twani en lozi. En ndébélé il est appelé intwane et en siswati indabushe. En langue zoulou il se nomme ndabushe.

Bien qu'il soit également appelé « lynx du désert » ou « lynx de Perse », il n'est pas apparenté au genre Lynx mais bien au genre Caracal.

Taxonomie

modifier

Historique

modifier

La première mention écrite relative au caracal est probablement due à Pline l'Ancien dans son Naturalis historia[10] publiée vers 77 où, d'après Alfred Ernout, le terme lynx (lyncas) de la traduction « L'Éthiopie produit des lynx en grand nombre [...] » se réfère au caracal[11],[12].

 
Illustration du caracal (siyah ghush) par Walter Charleton, 1677.

Les premières descriptions du caracal datent de la seconde moitié du XVIIe siècle et ont été réalisées lors de leurs voyages en Orient (en Syrie et en Irak) par Philippe de la Très Sainte Trinité en 1652[13], qui avait par ailleurs observé l'animal à la ménagerie de Florence, et Jean de Thévenot en 1674[14]. La première description avec illustration représentant plus ou moins fidèlement le caracal est due à Walter Charleton en 1677[15].

Au cours de la première moitié du XVIIIe siècle, d'autres voyageurs font référence au caracal dans leurs récits. L'astronome allemand Peter Kolbe fait mention en 1719 de la présence du lynx dans la province du Cap qu'il identifie de manière erronée (il s'agit probablement du caracal)[12] au lynx que l'on pouvait observer à cette époque dans le Brandebourg en Allemagne[16]. Thomas Shaw décrit, en 1729, dans son carnet de voyage en Afrique du nord le « chat aux oreilles noires »[17].

 
Gravure de Jacques de Sève du Caracal (1761).

Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon qui a donné son nom au caracal, a publié une description d'un animal observé en captivité à la ménagerie royale de Versailles, avec une illustration dans l'Histoire naturelle, générale et particulière en 1761[6], sans toutefois lui attribuer de nom binominal conformément au système linnéen. À la suite de la mort de l'animal, Buffon a réalisé sa dissection et une description plus complète, incluant son anatomie interne et son squelette[18].

 
Gravure de caracal dans Schreber, 1776.

En 1776, le zoologiste allemand Johann Christian Daniel von Schreber décrit Felis caracal[19] (qu'il attribue à Buffon) à partir d'un spécimen prélevé dans la région de la Montagne de la Table, en Afrique du Sud, considérée comme la localité type de l'espèce[2]. Le genre Caracal ayant été créé par le naturaliste britannique John Edward Gray en 1843[3] sur la base de l'étude d'un spécimen prélevé dans la région du Cap de Bonne-Espérance[4] et Felis caracal subrogé à ce genre, l’appellation taxinomique valide du caracal devient Caracal caracal (Schreber, 1776).

Il est à noter que le zoologiste allemand Philipp Ludwig Statius Müller a également décrit en 1776 le caracal sur la base d'un spécimen d'Afrique du nord[20] et que certaines références anciennes attribuent à cet auteur la paternité de la description[4] mais la publication de Schreber est antérieure à celle de Statius Müller et la règle de préséance s'applique[21].

Il est également à noter que la classification du caracal au sein des félidés a fait l'objet de désaccords et qu'il a été classé dans les genres Felis, Lynx, plus rarement Profelis, et Caracal[21]. Les ouvrages les plus récents[22],[23] et les opinions taxinomiques de grands muséums (comme le Muséum national d'histoire naturelle à Paris, le musée d'histoire naturelle de Londres, le musée d'histoire naturelle de Berlin ou le Musée national d'histoire naturelle des États-Unis à Washington) classent le caracal dans le genre Caracal et valident le nom binominal Caracal caracal (Schreber, 1776).

Sous-espèces

modifier

L'espèce Caracal caracal comporte 8[24],[25] ou 9[26],[27] sous-espèces[Note 1] principalement distinguées par des différences de teinte de pelage et d'origine géographique, mais leur validité est discutable et elles pourraient être plus simplement considérées comme des variantes géographiques[22],[28].

Description

modifier
 
Caracal caracal

Le Caracal est un mammifère de la famille des félidés de taille moyenne avec de longues jambes et une queue relativement courte[18],[38] qui représente 30 % de la longueur du corps de l'animal[22]. Il se distingue par la présence d'un bouquet de longs poils noirs à l'extrémité des oreilles, dépassant quasiment leur longueur, caractéristique qu'il partage avec le Lynx[18] et avec le chat des marais (Felis chaus). Son poil est court d'une couleur gris fauve à rougeâtre uniforme sur le dos, les côtés et la queue[3]. Le menton, la gorge, la poitrine, le ventre et l'intérieur des jambes sont blanchâtres et peuvent être tachetés de spots rougeâtres[28] ou fauves pâles[4],[22]. Le train arrière très musclé est plus haut que le train avant[22]. Les pattes du Caracal sont assez larges avec cinq doigts sur les pattes antérieures (dont le premier ne touche pas le sol) et quatre sur les postérieures munis de griffes rétractables de 3 cm de long[22]. Le Caracal possède de nombreux poils raides qui émergent d'entre ses coussinets lui assurant un bon appui sur les sols meubles[38].

 
Marques faciales du Caracal

Le crâne est haut et bombé, la mâchoire courte avec une denture assez particulière. En effet, la majorité des individus ne possède pas de première petite prémolaire supérieure[28] ce qui leur confère, tout comme le Lynx, un total de 28 dents[21] mais dans 8 % des cas la présence de cette prémolaire[22] leur confère une denture conforme à celle de la famille Felidae avec 30 dents[18]. La tête du Caracal comporte des marques faciales caractéristiques qui comprennent une ligne très foncée allant du bas du bord interne de chaque œil au museau, une autre verticale passant au centre de la face très marquée sur le front et plus fine vers le museau et enfin, une marque allongée verticale très foncée au-dessus du bord interne des yeux. Deux marques blanchâtres encadrent les yeux et deux autres sont présentes de chaque côté du nez sous les narines[28]. Des spots très foncés marquent la naissance des moustaches (vibrisses). L'arrière des oreilles, triangulaires et pointues, est noir. La surface intérieure du pavillon est recouverte de petits poils blancs[28]. Les yeux sont de couleur claire, généralement verdâtres[28] pouvant varier du marron au bleu. La pupille est plutôt ronde, potentiellement légèrement oblongue verticalement.

Les mâles peuvent atteindre une longueur de 106 cm sans la queue pour un poids maximal de 20 kg. Les femelles sont plus petites avec une longueur maximale de 103 cm sans la queue et un poids maximal de 16 kg[8].

 
Tête d'un caracal de profil.

Le Caracal peut présenter des cas de mélanisme[42],[28] où l'animal présente une couleur grise à noire.

Caractéristiques biométriques du Caracal
Caracal caracal Caracal caracal
Longueur sans la queue 62 à 106 cm[8],[43] 61 à 103 cm[8]
Longueur de la queue 21 à 34 cm[8] 20 à 34 cm[8]
Hauteur au garrot 40 à 46 cm[44],[45],[46] 40 à 46 cm[44],[45],[46]
Poids 8 à 20 kg[8],[43] 7 à 16 kg[8],[43]

Espèces similaires

modifier

Le caracal a été par le passé classé dans le genre Lynx sur la base d'éléments d'identification communs. Le caracal possède de longs pinceaux de poils à l'extrémité des oreilles semblables à ceux du Lynx ainsi qu'un pelage ventral plus clair mais ses poils sont plus courts et sa robe unie de couleur fauve. Le chat doré africain (Caracal aurata)[47], l'autre espèce du genre Caracal, lui est assez similaire mais sa robe tachetée et ses petits poils à l'extrémité des oreilles le différencient assez aisément. C'est également le cas du serval (Leptailurus serval). Le puma (Puma concolor) possède une robe fauve avec un pelage ventral assez similaire à celle du caracal mais ne possède pas les pinceaux sur les pointes des oreilles.

Hybrides

modifier

Le caracal peut être croisé avec le serval, en donnant des individus féconds :

  • caraval, issu du croisement entre caracal mâle et serval femelle[48] ;
  • servical, issu du croisement entre caracal femelle et serval mâle[48].

Le croisement entre un caracal mâle et une chatte est possible, donnant un caracat, mais l'accouchement est problématique et la chatte est souvent incapable d'allaiter son petit[49].

Écologie et comportement

modifier

Comportement

modifier
 
Caracal au sanctuaire des félins dans le Kent

Comme tous les félins, le caracal est un animal territorial et n'accepte pas d'autres félins sur son domaine qu'il marque en urinant sur les rochers et les arbustes afin d'y laisser des marques olfactives. Le caracal est solitaire[22] mais on peut cependant le rencontrer en couple durant les périodes de reproduction et les femelles sont accompagnées de leurs petits jusqu'à l'âge de 10 mois[50]. Le territoire des mâles chevauche celui de plusieurs femelles[22]. Le caracal est un animal plutôt nocturne[22]. Il a une activité diurne mais évite les heures les plus chaudes de la journée où il se retire probablement dans des grottes, des anfractuosités ou des cavités creusées par d'autres animaux[28].

Le corps de ce félin est plus délié que celui des lynx nordiques, ce qui en fait un excellent coureur. C'est également un excellent grimpeur[22]. Ses oreilles caractéristiques pourraient lui servir de moyen de communication[51].

Reproduction et cycle de vie

modifier
 
Jeune Caracal

Le Caracal atteint sa maturité sexuelle à partir de 7 à 12 mois pour les femelles et de 9 à 14 mois pour les mâles[43]. Le cycle de la femelle est de 14 jours[43] et la reproduction du caracal a lieu toute l'année. Elle peut présenter des pics saisonniers dans certaines régions et donner lieu, par exemple, à un pic des naissances entre octobre et février en Afrique Australe[43]. Les femelles réceptives attirent les mâles par la sécrétion de marqueurs présents dans leurs urines[8]. La phase de copulation est initiée par la femelle par une position de lordose (comme chez tous les félins)[43]. Les femelles peuvent mettre au monde, une fois par an, de un à six petits[28],[50], plus généralement de deux à quatre[28],[43], au terme d'une gestation de 68 à 81 jours[50],[43]. Les petits naissent aveugles et leurs yeux s'ouvrent vers 9 à 10 jours[28]. La période de lactation est de 4 mois[43] mais les petits caracals mangent régulièrement de la viande dès 6 semaines[28]. Les jeunes quittent leur mère vers 10 mois[50].

Le caracal peut vivre de 8 à 9 ans dans la nature[28] et jusqu'à 20 ans en captivité[22].

Prédation et alimentation

modifier
 
La robe fauve du caracal est un parfait camouflage dans les herbes sèches de la savane.

Le caracal est un prédateur principalement nocturne mais il chasse aussi le jour, plutôt à l'aube et à l'aurore, et en journée quand la température n'est pas trop élevée[22]. Il repère ses proies à vue mais utilise aussi son excellente ouïe[22] que lui confèrent ses longues oreilles pointues ornées de pinceaux noirs. Sa robe unie d'un jaune fauve s'harmonise parfaitement avec la couleur générale de la savane et des milieux arides dans lesquels il vit ce qui lui permet de bien se camoufler. À la manière d'un chat, il rampe en silence, le corps aplati contre le sol et s'approche de sa proie avant de bondir sur elle. Le caracal est considéré comme l'un des félins les plus rapides sur courte distance[22]. Il grimpe et saute aussi très bien, et il peut faire des bonds de 3 mètres pour capturer des oiseaux en vol[52].

 
Un caracal en train de manger une volaille.

Il chasse surtout des damans, des lagomorphes comme le lièvre (Lepus saxatilis[53]), des rongeurs (Pedetes capensis, Xerus inauris, Parotomys brantsii, Rhabdomys pumilio, Gerbilliscus brantsii[53]), des singes et de petits babouins[28], de petites antilopes[22] (ourébis, dorcas ou Gazella dorcas[54], springboks (Antidorcas marsupialis[22]) et des oiseaux (francolins et pintades[28], Ploceus capensis[22], Ardeotis kori[53], Eupodotis ruficrista[53], Alectoris melanocephala).

Il tue ses proies de plus grande taille comme les antilopes par morsure de la veine jugulaire[28].

Il peut intégrer à son régime alimentaire des poissons et des reptiles[22] ainsi que des coléoptères[53]. Plus surprenant, il peut s'attaquer à d'autres carnivores comme des otaries (Arctocephalus pusillus)[22], des félins (Felis silvestris), des renards (Otocyon megaloti, Vulpes chama) ou des herpestidés (Cynictis penicillata)[53].

Comme la plupart des félins, le caracal peut ingérer de l'herbe mais il mange aussi du raisin[55].

En Afrique australe, dans les zones où l'élevage extensif est pratiqué, un caracal prélève en moyenne, par an, environ 5 moutons domestiques (Ovis aries)[53] pour une surface de 100 km2[22]. Il peut aussi s'attaquer aux volailles domestiques[28].

La ration journalière de viande nécessaire à un caracal est estimée à 800 g[56].

Habitat et distribution

modifier
 
Caracal caracal femelle à la ménagerie du jardin des plantes de Paris

Distribution

modifier
 
  • Répartition du caracal

L'aire de répartition du caracal comprend une large partie de l'Afrique et de l'Ouest de l'Asie depuis le Moyen-Orient jusqu'au Sous-continent indien.

Il est largement distribué sur le continent africain où il n'est absent que de la forêt équatoriale et des zones exclusivement désertiques comme le Sahara central[22]. Il est par contre présent dans les zones semi-désertiques en lisière de désert comme la partie Est du Grand Erg Oriental ou dans les massifs montagneux du Hoggar, du Tassili n'Ajjer, du sud de l'Atlas et de l'Aïr[22]. Dans les zones semi-désertiques, son aire de répartition coïncide avec celle des gazelles du désert[8] et a subi des réductions notables en Afrique du Nord et en Afrique de l'Ouest[57]. Il est présent dans toute l'Afrique Australe. Son aire de répartition africaine inclut l'Afrique du Sud, l'Algérie, l'Angola, le Bénin, le Botswana, le Burkina Faso, le Cameroun, la République Démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, la République Centrafricaine, Djibouti, l'Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Kenya, le Lesotho, la Libye, le Malawi, le Mali, la Mauritanie, le Maroc, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigeria, l'Ouganda, le Sahara Occidental, le Sénégal, la Somalie, le Soudan, la Tanzanie, le Tchad, le Togo, la Tunisie, la Zambie et le Zimbabwe[25]. En Afrique du Nord, le caracal est considéré comme rare et en danger : il est listé comme « quasi menacé » sur la liste rouge en Méditerranée[58]. En Algérie, l'espèce est évaluée comme en danger d'extinction et est protégée par la loi (décrêt 509 du 20 août 1983, révisé par le décrêt 12-135 de 2012)[58]. Les preuves de présence sont très ténues. Par exemple, dans l'Ouarsenis, deux observations confirment la présence du caracal en 2003 et en 2016 ; la précédente datait de 1954[58].

La présence du caracal est plus rare en Asie, et sa situation en Asie centrale et au Pakistan est préoccupante[26]. Son aire de répartition asiatique inclut l’Afghanistan, l'Arabie Saoudite, les Émirats arabes unis, l'Inde, l'Irak, l'Iran, Israël, la Jordanie, le Kazakhstan, le Koweït, le Liban[Note 3], Oman, le Pakistan, la Syrie, le Tadjikistan, la Turquie, le Turkménistan, l’Ouzbékistan et le Yémen[25]. En Iran, le caracal est présent dans tout le pays, hormis dans les forêts humides autour de la mer Caspienne, les déserts arides du centre du territoire et dans le Caucase[62]. L'espèce est classée comme quasi menacée par la loi iranienne sur la chasse et la pêche de 1967[62].

En Inde, le caracal était historiquement présent dans une large partie du nord-ouest et du centre du pays. La population y connaît une diminution importante depuis une quarantaine d'années, un phénomène pour lequel les raisons ne sont pour l'instant pas établies[63]. En l'état, deux bassins de population sont recensés dans les États du Rajasthan et du Gujarat, au Parc national de Ranthambore et dans la région du Kutch, avec un nombre total estimé à une cinquantaine d'individus. L'espèce risque une extinction locale à long terme, et semble déjà avoir disparu à échelle plus réduite, au Madhya Pradesh notamment, où elle était autrefois observée au sanctuaire de Kuno Palpur. Le caracal est inclus dans la première annexe de la Wildlife (Protection) Act, 1972, un texte de loi lui assurant la plus haute protection possible dans la législation indienne[63].

Habitat

modifier

Le Caracal occupe des habitats très variés depuis les environnements semi-désertiques[64] comme les steppes[65] jusqu'aux forêts de conifères et les maquis[66] en passant par la savane[64]. Il préfère les régions arides avec un environnement accidenté[67] et rocailleux mais est également présent en lisière de forêt humide. Il peuple également les zones montagneuses jusqu’à une altitude de 3 300 mètres dans les montagnes éthiopiennes[26].

Menaces

modifier

Les principales menaces pesant sur le caracal sont la destruction de son habitat avec notamment la désertification qui pourrait être l'une des causes de sa raréfaction en Afrique septentrionale[68] et son élimination par les éleveurs[44],[69] pour prévenir ses déprédations sur les animaux domestiques. En Asie, le félin est menacé par la perte et la fragmentation de son habitat[62]. En Iran, les principales menaces sont les conflits avec l'humain, les meurtres en représailles, la disparition des proies et les collisions routières[62].

Prédateurs naturels

modifier

Si le Caracal peut s'attaquer à d'autres carnivores plus faibles, il peut également être la proie de prédateurs plus massifs et plus puissants que lui. Il s'agit en premier lieu des grands félins comme le lion (Panthera leo)[70], le léopard (Panthera pardus[71]) ou le guépard (Acinonyx jubatus)[72], mais également de certains canidés comme le loup[38] et la hyène[38] ou, de manière plus surprenante, le chacal (Canis mesomelas)[22], qui peut s'attaquer aux très jeunes caracals.

Parasites et maladies

modifier

Le Caracal peut être porteur de certains vers parasites tels que Toxocara mystax, Macracanthorhynchus catulinus ou du genre Physaloptera[73]. Il peut également être porteur d'ectoparasites comme la puce Synosternus longispinus[74] ou les tiques des genres Hyalomma (Hyalomma asiaticum)[74], Amblyomma (Amblyomma marmoreum)[75], Haemaphysalis (Haemaphysalis colesbergensis, Haemaphysalis elliptica, Haemaphysalis zumpti)[75], Ixodes (Ixodes pilosus, Ixodes rubicundus)[75], Rhipicentor (Rhipicentor bicornis, Rhipicentor nuttalli)[75] ou Rhipicephalus (Rhipicephalus evertsi evertsi, Rhipicephalus gertrudae)[75].

Le caracal peut être infecté par la bactérie Aeromonas hydrophila, ce qui peut provoquer la mort de l'animal par septicémie foudroyante[76]. Il peut être porteur du coronavirus félin mais le risque de péritonite infectieuse féline est limitée chez les individus sauvages au comportement relativement solitaire[77].

Le caracal est un vecteur potentiel de la rage[78].

Conservation

modifier

Le Caracal est une espèce protégée dont les populations asiatiques sont classées en Annexe I de la CITES et les populations africaines en Annexe II. Dans le statut de conservation de l'UICN, le Caracal est classé en préoccupation mineure du fait de sa présence relativement abondante en Afrique Australe.

La chasse de l'espèce est interdite en Afghanistan, en Algérie[79], en Égypte, en Inde, en Iran, Israël, Jordanie, au Kazakhstan, Liban, Maroc[80], Pakistan, Syrie, Tadjikistan, Tunisie, Turquie, Turkménistan et l'Ouzbékistan. En Afrique subsaharienne, la chasse du caracal est interdite dans environ la moitié de son aire de répartition. En Namibie et en Afrique du Sud, le caracal est considéré comme un animal nuisible du fait de ses déprédations sur les cheptels ovins, ce qui permet aux éleveurs de le tuer sans restriction ; le Caracal reste néanmoins très répandu en Afrique australe.

Espaces protégés

modifier

Dans son aire de répartition, le Caracal est présent dans de nombreux espaces protégés comme les réserves naturelles et les parcs nationaux (Cf. listes non exhaustives ci-après), avec en premier lieu ceux d'Afrique Australe.

En captivité

modifier
 
Un caracal dans un hamac au zoo de San Diego.

Plusieurs associations de zoos participent à des plans de gestion de la population de Caracals en captivité comme l'Association européenne des zoos et aquariums (EAZA) ou l'Association des zoos et aquariums nord-américains (AZA). Plusieurs naissances de Caracals ont été enregistrées ces dernières années dans différents zoos : au zoo de Mysore (2007) en Inde, au zoo de l'Oregon (2011) à Portland aux États-Unis, au zoo de Bratislava (2012), au zoo d'Exmoor (2013) en Angleterre et au zoo de Berlin (2013). À l’Île Maurice au parc Casela (2015).

Le caracal et l'Homme

modifier

État de l'art

modifier

Les connaissances sur le caracal sont considérées comme faibles : peu d'informations sont disponibles sur la biologie et le statut de ce félin[62]. Les données sont particulièrement faibles pour les populations asiatiques[62].

Utilisation du caracal

modifier
 
Un caracal domestique (dans la charrette) dans l'État de Baroda (Inde) vers 1890.

Le caracal a été utilisé par l'Homme pour pratiquer la chasse au lapin et au lièvre mais également aux gros oiseaux[18]. Cette pratique ancienne et aujourd'hui abandonnée, était réservée à la noblesse du sous-continent indien[254] et d'Orient[255] mais aussi à celle d'Italie au Moyen Âge[255].

Plus récemment, le caracal a été utilisé sur une base aérienne militaire d'Afrique du Sud pour en chasser les oiseaux[21].

La fourrure du caracal ne semble pas présenter d'intérêt commercial[38].

Des cas de domestication peuvent être rencontrés[256].

Utilisation de l'image du caracal

modifier
 
Timbre (URSS, 1985)

L'image du caracal est régulièrement utilisée sur les timbres postaux. Le caracal fait généralement partie de la faune des pays qui émettent ces timbres (Algérie 1986, Afrique du Sud 2011, Botswana 1987, République Démocratique du Congo 1999, Émirats arabes unis 2003, Guinée Equatoriale 1965, Inde 1976, Israël 1967, Kirghizistan 1996, Koweït 2002, Maroc 1975, Namibie 2007, Ouganda 2012 et 2014, Somalie 1998, Territoire français des Afars et des Issas 1973, URSS 1985...) mais il existe des exceptions (Cambodge 1996, Îles Marshall 2009, Laos 1981...).

Le caracal figure également sur des séries spéciales de pièces de monnaie en argent (Oman 1977 (2½ rials), Kazakhstan 2009 (100 tenges), Turkménistan 1999 (500 manats)) ou en or (Afrique du sud 2004 (10, 20, 50, 100 rands)).

Le caracal a été choisi comme mascotte des 13e championnats du monde d'athlétisme en salle qui ont eu lieu à Doha au Qatar en 2010.

Ses aptitudes de prédateur valent probablement au caracal une utilisation de son image dans le domaine militaire. Ainsi, caracal est le nom utilisé dans l'armée de l'air française pour désigner l'hélicoptère militaire Eurocopter EC725 Caracal et c'est également le nom d'un véhicule militaire blindé d'origine israélienne, le Plasan Sand Cat. La société Caracal International LLC des Émirats arabes unis produit le pistolet Caracal. Une unité de l'armée israélienne porte également le nom de bataillon Caracal.

Le caracal dans la culture

modifier

L'Homme représente le caracal depuis l'antiquité. Sur les représentations les plus anciennes, l'identification sans ambiguïté du caracal est difficile du fait des traits stylisés utilisés, de leur état de conservation et de la ressemblance du caracal avec le lynx et le serval notamment.

Antiquité

modifier

Le panthéon de l'Égypte antique comporte de nombreuses divinités à tête de félin. Certaines pourraient combiner plusieurs espèces dont le caracal comme les déesses Mafdet, Bastet et Sekhmet et conséquemment Pakhet. Il existe peu de représentation du caracal proprement dit dans l'ancienne Égypte[257]. Ces quelques représentations décorent des tombes[258] comme celle d'Antefoker de la nécropole de Thèbes (XIIe dynastie, règne de Sésostris Ier, XXe siècle av. J.-C.)[259] ou celle de Khnoumhotep III (XIIe dynastie, règne de Sésostris II, XIXe siècle av. J.-C.) de la nécropole de Beni Hassan[260]. Le Caracal, comme de nombreux autres animaux tels le chat ou le chacal, a fait l'objet d'un culte en tant qu'animal sacré[261].

Le caracal figure sur les gravures rupestres du Wadi Ramm dans le sud de la Jordanie[262] dont les plus anciennes semblent dater de l'âge du bronze ancien[262] (XVIIIe siècle av. J.-C.).

La mosaïque du Nil (IIe siècle av. J.-C.) de Palestrina comporte une représentation de caracal (décrit par l'inscription lynx) reconnaissable à ses longs pinceaux sur les oreilles[263].

Un caracal attaquant un mouflon est représenté sur le verso no 38 du Papyrus d'Artémidore (Ier siècle av. J.-C.)[264]. Bien que l'authenticité du papyrus soit controversée, il est à noter que le caracal (dénommé lynx sur le papyrus) fait partie des 44 animaux représentés[264].

Plusieurs rhytons en argent figurant le caracal, datés du Ier siècle av. J.-C. et provenant d'Iran ou d'Asie centrale (Empire parthe), sont visibles au musée Miho de Kyoto au Japon. Un autre est exposé au Metropolitan Museum of Art de New York[265].

Moyen Âge

modifier

Dans l'Italie du Moyen Âge, quelques illustrations de félins pouvant être identifiés au caracal peuvent être observées sur des fresques ou des enluminures[255]. Le caracal apparaît ainsi sur un détail des fresques de la basilique Sant'Angelo in Formis de Capua datées entre 1072 et 1087[255]. Il est également représenté sur une enluminure du Liber ad honorem Augusti de Pierre d'Éboli datée de 1195-1197[255].

En orient, Il est fait référence au caracal (sous son nom persan, siyah gosh) et de son comportement vis-à-vis du lion dans le Golestân de Saadi, œuvre poétique persane écrite en prose en 1259[266]. Le caracal suit le lion pour se nourrir de ses restes sans toutefois s'approcher trop au risque d'y laisser la vie, comportement que Saadi rapproche de celui des princes vis-à-vis du sultan.

Le caracal est communément présent dans l'art du livre Moghol. Il illustre par exemple les marges d'une copie du XVIe siècle du Yusuf va Zulaykha[267].

Époque contemporaine

modifier

Quelques peintres et sculpteurs animaliers de l'époque contemporaine utilisent parfois le Caracal comme modèle.

Dans le domaine de la peinture animalière, le Caracal mangeant un faisan (Caracal and Pheasant) d'Antoine-Louis Barye (1795-1875) est visible au Metropolitan Museum of Art de New York et le Caracal (1902) de Charles Livingston Bull (en) (1874-1932) au National Museum of Wildlife Art de Jackson Hole (Wyoming, États-Unis).

Dans le domaine de la sculpture animalière, le Lynx caracal à la patte levée (1936) de Maurice Prost (1894-1967), réalisé en pierre de Premeaux (pierre de Comblanchien), est exposé au musée Robert-Dubois-Corneau de Brunoy (France). Le Caracal compte au nombre des œuvres de sculpteurs animaliers actuels comme les bronzes d'Hamish Mackie (en), de Mark Coreth (en) ou de Kent Ullberg (sv), ou encore les sculptures de métaux de récupération d'Harriet Mead (en).

Plus récemment encore, le caracal connu sur internet sous le nom Big Floppa est considéré comme un Mème Internet.

Notes et références

modifier
  1. a b et c Certains auteurs considèrent Caracal caracal michaelis (Heptner, 1945) comme un synonyme de Caracal caracal schmitzi (Matschie, 1912) alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce valide.
  2. La publication de 1885 de Rochebrune ne comporte qu'une description succincte (diagnose). Il y indique en réponse aux critiques de concision de Thomas (auteur de Caracal caracal poecilotis) qu'une description détaillée ainsi qu'une planche seront publiés dans un supplément aux vertébrés de la Sénégambie, publication qui ne semble pas avoir vu le jour. Rochebrune indique que le type lucani a été déposé au « musée Bouvier » « musée » qui semble plus vraisemblablement être la collection Aimé Bouvier du Muséum national d'histoire naturelle à Paris, mais il semble que le type ait été perdu. Il n'existe donc aujourd'hui aucune description précise, aucune planche et aucun exemplaire conservé (type) de cette sous-espèce. L'espèce Caracal caracal n'ayant pas été observée récemment dans la région ou Caracal caracal lucani a été identifié (nord de l'embouchure du Congo), son statut ne peut être déterminé avec certitude si tant est que cette sous-espèce existe ou ait existé.
  3. a et b La présence du Caracal sur le territoire libanais fait l'objet d'opinions divergentes. Il est considéré présent[59] ou probablement présent[60] par certains mais localement éteint par d'autres[61].
  4. Kowalski et Rzebik-Kowalska[100] indiquent que la présence du Caracal répertoriée par De Smet[101] dans le Tassili n'Ajjer et le Hoggar a pu être confondue avec celle du guépard (Acinonyx jubatus) ou du chat sauvage (Felis silvestris) mais concèdent que sa présence n'est pas impossible. D'autres références plus récentes[46],[99] considèrent le Caracal présent dans le Tassili n'Ajjer.
  5. a b c et d Référence ancienne au regard de l'espérance de vie de 8 à 9 ans du Caracal dans la nature.

Références

modifier
  1. a et b (en) Référence UICN : espèce Caracal caracal (Schreber, 1776) (consulté le )
  2. a et b Allen, J. A., Lang, H., Chapin, J. p. 1924. Carnivora collected by the American Museum Congo Expedition. Bulletin of the American Museum of Natural History no 47 : 73-281.
  3. a b c et d Gray, J. E. 1843. List of the specimens of Mammalia in the collection of the British Museum. The Trustees of the British Museum, London.
  4. a b c et d Pocock, R. I. 1939. The Fauna of British India, including Ceylon and Burma. Mammalia. – Volume 1. Taylor and Francis Ltd., London. Pages 306-310.
  5. (en) W. E. Johnson, E. Eizirik, J. Pecon-Slattery, W. J. Murphy, A. Antunes, E. Teeling et S. J. O'Brien, « The late miocene radiation of modern felidae: A genetic assessment », Science, t. 5757, no 311,‎ , p. 73-77
  6. a b c d et e Buffon, G.-L. 1761. Histoire naturelle générale et particulière, avec la description du Cabinet du Roi. Tome 9. Imprimerie Royale, Paris. 375 pp.
  7. Nevill, H. R., ed. 1909. District Gazetteers of the United Provinces of Agra and Oudh. Volume 1: Dehra Dun District. Allahabad: Government Press, United Provinces, India. p. 552. « The caracal (felia caracal) or syahgosh is also found in the Dun, but it is rare. It is usually known as the red lynx. »
  8. a b c d e f g h i et j (en) Mel Sunquist et Fiona Sunquist (photogr. Terry Whittaker et autres), Wild Cats of the World, Chicago, The University of Chicago Press, , 416 p., Relié (ISBN 978-0226779997 et 0-226-77999-8, présentation en ligne)
  9. Olivier, W., Olivier, S. 2003. Hiking Trails of South Africa. Struik. p. 79. (ISBN 978-1-86872-787-2).
  10. Pline l'Ancien, Histoire naturelle, vol. III, t. VIII.
  11. Ernout, A. 1952. Pline l’Ancien, Histoire naturelle, livre VIII. Texte établi, traduit et commenté. Paris, les belles lettres, Collection des Universités de France, 182 pages.
  12. a et b Paradis, S. 2008. Imagination, Jugement, Génie : la fabrique des quadrupèdes dans l'Histoire naturelle de Buffon (1707-1788). Ph.D., Université Laval, Canada.
  13. Très Sainte Trinité, de la, P. 1652. Voyage d'Orient du Révérant Père Philippe de la Très Sainte Trinité. Livre 2. Antoine Julliéron, Lyon. 592 pp.
  14. Jean de Thévenot, Suite du voyage de Levant, t. 2, Paris, Charles Angot, , 392 p.
  15. Charleton, W. 1677. (Gualteri Charletoni) Exercitationes de differentiis & nominibus animalium. Quibus accedunt mantissa anatomica, et quaedam de variis fossilium generibus, deque differentiis & nominibus colorum. Oxoniae, e theatro Sheldoniano (Oxford, Sheldonian Theatre, London). 119 pp.
  16. Pierre Kolbe, Description du Cap de Bonne-Espérance, vol. 3, Amsterdam, Jean Catuffe, , 311 p.
  17. Thomas Shaw, Voyages de Monsieur Shaw dans plusieurs provinces de la Barbarie et du Levant, t. premier, La Haye, , 469 p.
  18. a b c d et e Buffon, G.-L. 1764. Histoire Naturelle, Générale et Particulière avec la Description du Cabinet du Roi. Tome Douzième. Paris, Imprimerie Royale. 452 pages.
  19. a b et c Schreber, von, J. C. D. 1776. Die Säugethiere in Abbildungen nach der Natur mit Beschreibungen, 3(16): pl. 110 [1776]; Der Caracal 3(24): 413-414 [1777]. Wolfgang Walther, Erlangen.
  20. Statius Müller, P. L. 1776. Des Ritters Carl von Linné Königlich Schwedischen Leibarztes. Vollständigen Natursystems Supplements- und Register-Bandüber alle sechs Theile oder Classen des Thierreichs. Mit einer ausführlichen Erklärung. Nebst drey Kupfertafeln. Nürnberg.
  21. a b c et d Ravaux, S. 2004. Le caracal (Felis caracal, Schreber 1776) : synthèse bibliographique. Thèse. Université de Nantes. École nationale vétérinaire. 152 p.
  22. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x et y Stuart, C., Stuart, T. 2013. Caracal caracal caracal. in: The mamals of Africa. Vol. 5. Eds. Kingdon & Hoffmann. Bloomsbury Publishing, London, p. 174-178.
  23. (en) J. G. Sanderson et P. Watson, Small Wild Cats. The Animal Answer Guide., Johns Hopkins University Press, , 144 p. (ISBN 978-0-8018-9885-3, lire en ligne)
  24. Smithers, R. H. N. 1975. Family Felidae. in: The mamals of Africa: an Identification Manual (eds. Meester & Setzer). Part 8.1, Smithonian Institution Press, Washington, p. 1-10.
  25. a b c d e f et g (en) Référence Mammal Species of the World (3e  éd., 2005) : Caracal caracal Gray, 1843
  26. a b c et d Nowell K., Jackson p. 1996. Wild Cats: Status survey and conservation action plan. International Union for Conservation of Nature and Natural Resources (IUCN), Cat Specialist Group, Gland, Suisse, (ISBN 2-8317-0045-0), 283 pages.
  27. Karami, M., Hutterer, R., Benda, P., Siahsarvie, R., Kryštufek, B. 2008. Annotated check-list of the mammals of Iran. Lynx (Praha), n. s., 39(1): 63-102.
  28. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Rosevear, D.R. 1974. The Carnivores of West Africa. Trustees of the British Museum, London, 548 pp. (ISBN 0 565 00723 8).
  29. Thomas, O. 1926. Some New African Mammalia. Annals and Magazine of Natural History, Series 9, 17(97): 180-184.
  30. a b c d et e Roberts, A. 1926. Some new S. African mammals and some changes in nomenclature. Annals of the Transvaal Museum, 11(4): 245-263.
  31. a et b Wagner, M. 1841. Bemerkungen über das Vorkommen und die Lebensweise der in der Regentschaft Algier Beobachteten Saügethiere. [in] Wagner, M. Reisen in der Regentschaft Algier in den Jahren 1836, 1837 und 1838. 3: 41-71, [p. 62, pl. 4], Leopold Voss, Leipzig.
  32. a b c d et e Fischer, J. B. 1829. Synopsis Mammalium. Eds Cotta, Stuttgart. 527 pages [p. 210].
  33. Matschie, P. 1892. Ueber die Formen der Gatt. der Caracal. Sitzungsberichte der Gesellschaft Naturforschender Freunde zu Berlin. 113-115.
  34. a b c d e et f Matschie, P. 1912. Über einige Rassen des Steppenluchses Felis (Caracal) caracal. Sitzungsberichte der Gesellschaft Naturforschender Freunde zu Berlin. 55-67.
  35. a et b Rochebrune, A. T., de. 1885. Vertebratorum novorum vel minus cognitorum orae Africae occidentalis incolarum. Diagnoses. Bulletin de la Société Philomathique de Paris, 7(9): 86-99 [Lynx lucani, p 87-88].
  36. Malbrant, R., Maclatchy, A.-R. 1947. Affinités australes de la faune du Congo français et du Gabon. Mammalia, 11(3): 129-138.
  37. a b et c Heptner, V. G. 1945. Position systématique du caracal du Turkestan (Felis caracal Müll., 1776). Comptes Rendus de l'Académie des Sciences de Moscou, URSS (Doklady), 49(3): 229-230.
  38. a b c d e f g et h Heptner, V. G., Sludskii, A. A. 1972. Mlekopitaiušcie Sovetskogo Soiuza. Vysšaia Škola, Moskva. (En russe traduit en anglais : Heptner, V.G., Sludskii, A.A., Komarov, A., Komorov, N.; Hoffmann, R.S. 1992. Mammals of the Soviet Union. Vol III: Carnivores (Feloidea). Smithsonian Institution and the National Science Foundation, Washington).
  39. Roberts, A. 1913. The Collection of Mammals in the Transvall Museum Registered up to the 31zt March, 1913, with Description of New Species. Annals of the Transvaal Museum, 4(2): 65-107.
  40. Setzer, H. W. 1956. Mammals of the anglo-egyptian Sudan. Proceedings of the United States National Museum, 106: 447-587.
  41. a et b Thomas, O., Hinton, M. C. A. 1921. Captain Angus Buchanan’s Aïr expedition. II. On the mammals (other than ruminants) obtained during the expedition to Aïr (Asben). Novitates Zoologicae 28: 1–13.
  42. Robinson, R. 1976. Homologous genetic variation in the Felidae. Genetica 46: 1-31
  43. a b c d e f g h i et j Bernard, R.T.F, Stuart, C.T. 1987. Reproduction of the caracal Felis caracal from the Cape Province of South Africa. S. Afr. J. Zool. 22: 177-182.
  44. a b et c Hodkinson, C. Davies-Mostert, H., Komen, H., Snow, T. 2007. Predators and farmers. Endangered Wildlife Trust, Johannesbourg. 53 p.
  45. a et b Buchanan, A. 1926. Sahara. Ed. J. Murray. Londres. 301 pp.
  46. a b et c Shortridge G.C. 1934. The mammals of south west africa. William Heinemann Ltd, Londres, 779 pp.
  47. Sheil, D. 2011. An encounter with an African golden cat Caracal aurata: One of the World's least known felids. African Journal of Ecology, 19(3): 367-369.
  48. a et b « Caraval - Vikidia, l’encyclopédie des 8-13 ans », sur fr.vikidia.org (consulté le )
  49. https://fr.vikidia.org/wiki/Caracat
  50. a b c et d Hunter, L., Hinde, G. 2005. Cats of Africa. Struik Publishers. Le Cap. 175 pages. (ISBN 1 77007 063 X).
  51. Kingdon. J., 1977. Cheetah. East African Mammals. An Atlas of Evolution in Africa, vol. 3, part A (Carnivores). Londres: Academic. 491 pp.
  52. Larousse des animaux, Éditions Larousse, 2006 (ISBN 2-03-560416-8), 608 p.
  53. a b c d e f et g Melville, H.I.A.S., Bothma, du P., J., Mills, M.G.L. 2004. Prey selection by caracal in the Kgalagadi Transfrontier Park. South African Journal of Wildlife Research 34(1): 67-75.
  54. Drajesco-Joffé, A. 1993. La Vie sauvage au Sahara. Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 240 pp.
  55. Bothma, J. du P. 1965. Random observations on the food habits of certain Carnivora (Mammalia) in southern Africa. Fauna flora pretoria, 16: 16-22.
  56. Grobler, J.H. 1981. Feeding behaviour of the caracal Felis caracal Schreber 1776 in the Mountain Zebra National Park. South Afr. J. Zool. 16: 259-262.
  57. Ray, J. C., Hunter, L., Zigouris, J. 2005. Setting conservation and research priorities for larger African carnivores. Wildlife Conservation Society, New York, USA.
  58. a b et c (en) Farid Bounaceur, Abdelkader Foudil et Stéphane Aulagnier, « Survival of caracal in the Ouarsenis Mountains, north-west Algeria », Cat News, no 68,‎ , p. 22-23 (ISSN 1027-2992)
  59. a et b Harrison, D., Hitchcock, M. 2005. The politics of world heritage: negociating tourism and conservation. Chanel view publications. (ISBN 1-84541-009-2). 189 pages.
  60. G. Tohmé et H. Tohmé, « Quelques nouvelles données sur le statut actuel des Felidae au Liban et plus particulièrement du chat des marais Felis chauss Güldenstaedt, 1776. », Mammalia, t. 2, no 64,‎ , p. 247-249.
  61. (en) M. R. Abi-Said, First-year baseline survey for mammals of Tannourine Cedars Nature Reserve, , p. 43.
  62. a b c d e f g et h (en) Gholamreza Ghaderi Mozafari, Ali Zeraatpishe, Niloufar Raeesi Chaharthaghi et Arash Ghoddousi, « The first record of caracal in Bamu National Park, Iran », Cat News, no 68,‎ , p. 20 (ISSN 1027-2992)
  63. a et b (en) Suchitra Jha, « As caracals inch towards extinction, path to conserving the wild cat remains unclear »  , sur Mongabay-India, (consulté le )
  64. a et b Nowak, R.M. 1999. Walker's Mammals of the World. Johns Hopkins University Press, Baltimore, Maryland.
  65. van Heezik, Y.M., Seddon, P.J. 1998. Range size and habitat use of an adult male caracal in northern Saudi Arabia. Journal of Arid Environments, 40: 109-112.
  66. (en) Y. Ilemin et B. Gürkan, « Status and activity patterns of the Caracal, Caracal caracal (Schreber,1776), in Datca and Bozburun Peninsulas », Southwestern Turkey Zoology in the Middle East, no 50,‎ , p. 3-10
  67. Singh, R., Qureshi, Q., Sankar, K., Krausman, P.R., Goyal, S.P. 2014. Population and habitat characteristics of caracal in semi-arid landscape, western India. Journal of Arid Environments 103: 92-95.
  68. R. Burton, La vie sauvage, Editions de Cluny, , 176 p.
  69. (en) D.L. Harrison et P.J.J. Bates, The Mammals of Arabia, Sevenoaks, Royaume-Uni, Harrison Zoological Museum, , 354 p.
  70. Pienaar, U., de V. 1969. Predator-prey relationships amongst the larger mammals of the Kruger National Park. Koedoe 12(1): 108-176.
  71. Wilson, V. J. 1976. The leopard in eastern Zambia. in: The World's Cats 3(2): Contribution to Biology, Ecology, Behaviour and Evolution (Ed. R.L. Eaton), University of Washington, Seattle, 29-38.
  72. a et b Frame, G.W. 1986. Carnivore competition and resource use in Serengeti ecosystem in Tanzania. PhD Thesis, Utah State University, USA.
  73. Agapova, A.I., Sapozhenkov, Y.F. 1961. [in russian] On the helminth fauna of wild carnivores of Turkmenia. Natural foci and diseases and questions on parasitology. 4th conference on natural-reserve diseases and questions on parasitology in Kazhastan and republics in middle-asia, 15-20 september 1959, Alma Ata 3: 288-290.
  74. a et b Sapozhenkov Y. F. 1962. [en russe] Ob ekologii karakala (Felis caracal Mull.) v. karakumakh. Zool. Zhur. 41:1111-1112.
  75. a b c d et e Horak, I. G., Heyne, H., Donkin, E. F. 2010. Parasites of domestic and wild animals in South Africa. XLVIII. Ticks (Acari: Ixodidae) infesting domestic cats and wild felids in southern Africa. Onderstepoort Journal of Veterinary Research, 77(1): 1-7.
  76. Ocholi, R.A., Spencer, T.H.I. 1989. Isolation of Aeromonas hydrophila from a Captive Caracal Lynx (Felis caracal). Journal of Wildlife Diseases, 25(1): 122-123.
  77. Greene, C.E. 2011. Infectious Diseases of the Dog and Cat, 4th Edition. Elsevier Saunders, (ISBN 978-1-4160-6130-4), 1376 p.
  78. Oduye, O.O., Aghomo, H.O. 1985. Epidemiology of Rabies in Nigeria. in: Rabies in the Tropics, Springer Berlin Heidelberg, (ISBN 978-3-540-13826-6), p. 491-496.
  79. 5e Rapport National sur la mise en œuvre de la convention sur la diversité biologique au niveau national. 2014. Ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. République algérienne démocratique et populaire. 128 pages.
  80. a et b Cuzin, F. 2003. Les grands mammifères du Maroc méridional (Haut Atlas, Anti Atlas et Sahara) : Distribution, écologie et conservation, Thèse de doctorat en écologie animale de l'École Pratique des Hautes Études, 349 p.
  81. Johnson, A., Muscato, A., Brady, S. 2013. Managing Manubi: A Research Study on the Creation of the Manubi Forest Conservation Area. Pennsylvania State University. 34 pages.
  82. Combrink, A. S., Kyle, R. 2006. A Handbook on the Rare, Threatened & Endemic Species of the Greater St Lucia Wetland Park. Greater St Lucia Wetland Park Authority. Rare, Threatened & Endemic Species Project. St Lucia, south Africa. Unpublished internal report. 191 pp.
  83. a b et c SANP. 2012. A - Z of South African National Parks. Your natural heritage. South African National Parks Brochure. 61 pages.
  84. Vaughan, T. A., Ryan, J. M., Czaplewski, N. J. 2011. Mammology (Fifth Edition). Jones and Bartlett Publishers, (ISBN 978-0-7637-6299-5), 750 pages.
  85. Tamblinga, C. J., Minnie, L., Adendorff, J., Kerley, G. I. H. 2013. Elephants facilitate impact of large predators on small ungulate prey species. Basic and Applied Ecology 14: 694-701.
  86. South African National Parks. 2014. Garden Route National Park: State of Knowledge. South African National Parks unpublished report, 138 pages.
  87. Kubeka T. 2011. Population Ecology and Identification of vertebrate remains found in the Golden Gate Highlands National Park (Free State). University of South Africa, Pretoria. 11 pages.
  88. a b c et d Pinchuck, T., McCrea, B., Reid, D., Velton, R. 2010. The Rough Guide to South Africa. 729 pages. Rough Guides.
  89. Pickering, T. R., Heaton, J. L., Zwodeski, S. E., Kuman, K. 2011. Taphonomy of Bones from Baboons Killed and Eaten by Wild Leopards in Mapungubwe National Park, South Africa. Journal of Taphonomy 9(2): 117-159.
  90. SANP. 2014. Marakele National Park, Draft management plan for stakeholder comment (for the period 2014-2024). South African National Parks, 115 pages.
  91. SANP. 2015. Mokala National Park, Mammal list. South African National Parks. 4 p.
  92. SANP. 2012. Namaqua National Park. Management Plan. South African National Parks. 82 p.
  93. Wild Magazine. 2015. Park in the Spotlight: Ithala Game Reserve. Wild Magazine (Autumn 2015). (ISSN 1993-7903). 14-22.
  94. Thorn, M., Green, M., Keith, M., Marnewick, K., Bateman, P. W., Cameron, E. Z., Scott, D. M. 2011. Large-scale distribution patterns of carnivores in northern South Africa: implications for conservation and monitoring. Oryx 45(4): 579-586.
  95. Melville, H. I. A. S., Bothma, J. D. P. 2006. Using spoor counts to analyse the effect of small stock farming in Namibia on caracal density in the neighbouring Kgalagadi Transfrontier Park. J. Arid Environ. 64: 436–447.
  96. MDTP. 2007. The Maloti Drakensberg Experience. Maloti Drakensberg Transfrontier Project. (ISBN 978-0-620-38148-2). 145 pages.
  97. UNDP. 1999. Biodiversity Conservation and Sustainable Natural Resource Management. United Nations Development Programme Global Environmental Facility. Project of the Government of Algeria. 47 pages.
  98. Wacher, T., De Smet, K., Belbachir, F., Belbachir-Bazi, A., Fellous, A., Belghoul, M., Marker, L. 2005. Inventaires de la faune du Groupe d’Intérêt Sahélo-Saharien. Massif central de l’Ahaggar, Algérie (Mars 2005). 40 pages.
  99. a et b De Smet, K. 2012. La répartition des grands mammifères dans le désert algérien très mal connue !! Nature Savante, Bulletin d'information no 10: 2-9.
  100. Kowalski, K., Rzebik-Kowalska, B. 1991. Mammals of Algeria. Wroclaw, Polish Academy of Sciences.
  101. De Smet, K. 1989. Studie van de verspreiding en biotoopkeuze van de grote mammalia in Algerije in het kader van het natuurbehoud. Proefschrift voorgedragen tot het behalen van de graad van Doctor in de Landbouwkundige Wetenschappen. Rijksuniversiteit Gent. Faculteit van de Landbouwwetenschappen. 355 pages.
  102. a b c et d Atlas des parcs nationaux algériens. 2006. Direction Générale des Forêts, Parc national de Théniet El Had, République Algérienne Démocratique et populaire. 96 pages.
  103. a b et c Les aires protégées en Algérie. Parcs nationaux, réserves naturelles et zones humides vus par Alsat-1. 2009. Agence spatiale algérienne, 124 pages.
  104. Bentouili, M., Y. 2007. Inventaire et qualité des eaux des sources du Parc National d’El Kala (N.Est algérien). Mémoire de magistère en hydrogéologie. Université Badji Moktar d'Annaba, Algérie, 134 p.
  105. Rodrigues, J. H. 2014. Parque Nacional do Bicuari, Histórico. Livro do 37º Convívio 'Os Inseparáveis da Huíla'. Dias 12 e 13 de julho de 2014. Mata Rainha D. Leonor. Caldas da Rainha.
  106. Stead, M., Rorison, S. 2010. Angola. Alhena Media, Barcelone, (ISBN 978 84 92963 54 6), 304 p.
  107. UNDP/GEF. 2006. Primeiro Relatório Nacional para a Conferência das Partes da Convenção sobre a Diversidade Biológica. Projecto 00011125 - Estratégia e Plano de Acção Nacionais para a Biodiversidade (NBSAP). Ministério do Urbanismo e Ambiente. República de Angola, 96 p.
  108. Verissimo, L. 2008. Mucusso Reserve: larger mammals assessment. Okavango integrated river basin management project. Permanent Okavango River Basin Water Commission (OKACOM) and the United States Agency for International Development. Washington, USA, 49 p.
  109. Tiomoko, D. 2014. Gestion de la Réserve de Biosphère de la Pendjari : modes de gestion et proposition d’un modèle conceptuel de durabilité. Thèse de Doctorat de l'Université d’Abomey-Calavi, Bénin, 144 p.
  110. UICN/PACO. 2010. Parcs et réserves du Niger : évaluation de l'efficacité de gestion des aires protégées. Union Internationale pour la Conservation de la Nature. Ouagadougou, Burkina Faso (ISBN 978-2-8317-1314-4), 28 p.
  111. a et b Rich, L. 2015. Botswana Carnivore Monitoring Methodology Development. [in] Wilderness Wildlife Trust Report 2015: 19.
  112. a b c d e f g h i et j Purchase, G. K., Mateke, C., Purchase, D. 2007. A review of the status and distribution of carnivores, and levels of human carnivore conflict, in the protected areas and surrounds of the Zambezi Basin. The Zambezi Society, Bulawayo, Zimbabwe. 79 p.
  113. Maude, G. 2005. The comparative ecology of the Brown Hyaena (Hyaena brunnea) in Makgadikgadi National Park and a neighbouring community cattle area in Botswana. Master of Science (Zoology), Department of Zoology and Entomology, University of Pretoria, South Africa. 53 pages.
  114. Wallgren, M., Skarpe, C., Bergstrom, R., Danell, K., Bergstrom, A., Jakobsson, T. Karlsson, K., Strand, T. 2009. Influence of land use on the abundance of wildlife and livestock in the Kalahari, Botswana. Journal of Arid Environments 73: 314-321.
  115. a b c d et e Adouabou, A. B., Belemsobgo, U., Kafando, P. Nana, S. 2010. Les grands mammifères. [dans] Atlas de la Biodiversité de l’Afrique de l’Ouest. Tome II: Burkina Faso. Thiombiano A & Kampmann D (eds), Ouagadougou & Frankfurt/Main. (ISBN 978-3-9813933-1-6). p 276-287.
  116. Croes, B., Rasmussen, G., Buij, R., de Longh, H. 2012. Status of the African wild dog in the Bénoué Complex, North Cameroon. Canid News, 3 pages. IUCN/SSC Canid Specialist Group. ISSN 1478-2677.
  117. Ahononga, F. C., Djidda, A., N’Sera, P., Aboudou, M. 2009. Impacts des régimes de gestion sur la distribution des carnivores dans le Parc National de Bouba N’djida et la Zone d’Intérêt Cynégétique 11 au Nord Cameroun. Bulletin de la Recherche Agronomique du Bénin, 63: 36-47.
  118. Tsi, E. A., Tomedi, E. M., Talla F. N., Nguimkeng, D. L. 2011. Status and dynamics of hippopotamus (Hippopotamus amphibious) during the rainy season in Faro National Park Cameroon. Journal of Agriculture and Biological Sciences 2(2): 031-037.
  119. Bauer, H., Kari, S. 2001. Assessment of the people-predator conflict through thematic PRA in the surroundings of Waza National Park, Cameroon. PLA Notes 41: 9-13.
  120. Lobao Tello, J. 2002. Mission d'appui à la composante « développement des zones cynégétiques villageoises ». Proposition d'aménagement du PNBB. Programme ECOFAC III. République centrafricaine. 86 p.
  121. a et b Vanleeuwe, H., Henschel, P., Pélissier, C., Gotanègre, A., Moyer, D. 2009. Description du site [dans] Recensement des Grands Mammifères et Impacts Humains. Parcs nationaux de l’Upemba et des Kundelungu. Wildlife Conservation Society. République démocratique du Congo (février 2009). 30 p.
  122. Yaokokore-Beibro, H. K., Kasse, B. K., Soulemane, O., Koue-Bi, M. T., Kouassi, P. K., Foua-Bi, K. 2010. Ethnozoologie de la faune mammalogique de la forêt clasée de Badénou (Korhogo, Côte-d'Ivoire). Agronomie Africaine 22(2): 185-193.
  123. Fischer, F., Gross, M., Linsenmair, K. E. 2002. Updated list of the larger mammals of the Comoe National Park, Ivory Coast. Mammalia 66(1): 83-92.
  124. Basuony, M. I., Gilbert, F., S. 2010. Mammals of Egypt. Atlas, Red Data Listing & Conservation. Ministry of State for Environmental Affairs, Le Caire (ISBN 978-977-452-082-2). 286 p.
  125. Management Plan for Wadi el-Gemal National Park. 2004. Government of Egypte. Ministery of state for environmental affairs. 176 p.
  126. Bein, E., Yohannes, H., Yohannes, A. 2006. Conserving Biodiversity in Eritrea - Survey on Proposed Protected Areas and Biodiversity Corridor. Paper Presented on IUCN Organized Regional Workshop on Biodiversity Conservation in the Horn of Africa, 28-29 août 2006, Asmara, Eritrea.
  127. ANP. 2009. Awash National Park, Ethiopia. Newsletter No 1, octobre 2009, 5 pages.
  128. Eshetu, A. A. 2010. Community Based Ecotourism Development as a Viable Strategy for Sustainable Natural Resource Management: Opportunities and Challenges. The Case of Borena-Saynt Park: South Wollo, Ethiopia. Master Degree, Mekelle University, Éthiopie, 97 p.
  129. Datiko, D., Bekele, A. 2013. Conservation challenge: Human-carnivore conflict in Chebera Churchura National Park, Ethiopia. Greener Journal of Biological Sciences, 3(3): 108-115.
  130. Dawit Mamo, D., Gangwar, S.K., Bouer, H., Tesfay, Y. 2012. Demography, threats and community perception of african elephants (Loxodanta africana) in Kafta-Sherado National Park, Tigray, Ethiopia. International Journal of Science and Nature, 3(1): 30-36.
  131. Asefa, A. 2011. Mammals of the Bale Mountains National Park, Ethiopia: A Compiled and Annotated Checklist. Walia Journal of the Ethiopian Wildlife and Natural History Society - Special Edition on the Bale Mountains: 3-14.
  132. Engeman, R. M., Evangilista, P. 2006. Investigating the feasibility of a passive tracking index for monitoring wildlife in the Lower Omo Valley, Ethiopia. African Journal of Ecology, 45(2): 184-188.
  133. Carey, C., Dudley, N., Stolton, S. 2000. Threats to protected areas. Squandering paradise? The importance and vulnerability of the world’s protected areas. WWF - World Wide Fund For Nature, International, Gland, Suisse. 232 p.
  134. Yisehak, D., Afework, B., Balakrishnan, M. 2007. Population status of plains zebra (Equus quagga) in Nechisar plains, Nechisar National Park, Ethiopia. Tropical Ecology 48(1): 79-86.
  135. Kebede, A. T. 2009. Sustaining the Allideghi Grassland of Ethiopia: Influence of Pastoralism and Vegetation Change. All Graduate Theses and Dissertations. Paper 309. PhD Dissertation, 276 p. Utah State University. États-Unis.
  136. Vreugdenhil, D., Vreugdenhil, A. M., Tilahun, T., Shimelis, A., Tefera, Z., Nagelkerke, L., Gedeon, K., Spawls, S., Yalden, D., Berhanu, L., Siege, L. 2012. Gap analysis of the protected areas system of Ethiopia. World Institute for Conservation and Environment, Ethiopian Wildlife Conservation Authority, GEF/UNDP/SDPASE project, 188 p. Addis Ababa, Éthiopie.
  137. Amare, A. 2015. Wildlife Resources of Ethiopia: Opportunities, Challenges and Future Directions: From Ecotourism Perspective: A Review Paper. Natural Resources, 6: 405-422.
  138. OMGV. 2014. Étude d’impact environnemental et social (EIES) de l’aménagement hydroélectrique de Sambangalou et de l’interconnexion. Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Gambie. 637 pages.
  139. ERM. 2007. Resettlement Planning Framework (RPF) for the Bui Hydropower Project. Environmental Resources Management. Ministry of Energy / Bui Development Committee, Ghana. 250 p.
  140. Henschel, P., Azani, D., Burton, C., Malanda, G., Saidu Y., Sam, M., Hunter, L. 2010. Lion status updates from five range countries in West and Central Africa. CATnews 52: 34-39.
  141. Diallo, M. S. 2011. Évolution de la gestion des aires protégées en Guinée : la difficile cohabitation des politiques publiques et des systèmes traditionnels : cas du Parc National du Haut Niger. PhD Thesis, université du Maine, Le Mans, France, 269 p.
  142. UNDP. 2009. Support for the Consolidation of a PA System in Guinea-Bissau’s Forest Belt. United Nations Development Programme, Institute for Biodiversity and Protected Areas (IBAP), Ministry of Agriculture and Rural Development (MARD), Government of Guinea-Bissau. 125 p.
  143. Arabuko-Sokoke Forest Management Team. 2002. Strategic Forest Management Plan 2002–2027. Forest Department, Ministery of Environment and Natural Resources, Nairobi, Kenya. 57 pages.
  144. Gichohi, N., Warinwa, F., Lenaiyasa, P., Maina, M., Bornham, R., Sambu, D., Muruthi, P., Wasilwa, N.S. 2014. Long-Term Monitoring of Livestock Depredation in Amboseli Ecosystem, Kenya. The Journal of Agriculture and Natural Ressources Sciences 1(3): 186-194.
  145. Auzias, D., Labourdette, J.-P. 2011. Kenya. Petit Futé (6e édition), (ISBN 978-2-7469-4026-0), 354 pages.
  146. Nyaligu, M. O., Weeks, S. 2013. An elephant corridor in a fragmented conservation landscape: preventing the isolation of Mount Kenya national park and national reserve. Parks 19(1): 91-102.
  147. Wanderi, I. F. 2007. Forage quality and bark utilisation by the african elephant (Loxodonta africana) in Samburu and Buffalo Springs national reserves, Kenya. PhD Thesis, School of Biological Sciences, University of Nairobi, Kenya, 55 p.
  148. Firestone, M., Fitzpatrick, M., Karlin, A. 2009. Watching Wildlife East Africa. Lonely Planet, (ISBN 978-1-74104-208-5), 344 p.
  149. Tsavo Trust. 2014. Big Tuskler Monthly, May 2014. The Tsavo Trust. 14 p.
  150. Njoroge, P., Yego, R., Muchane, M., Githiru, M., Njeri, T., Giani, A. 2009. A survey of the large and medium sized mammals of Arawale National Reserve, Kenya. Journal of East African Natural History 98(1): 119-128.
  151. Githiru, M., Njeri, T., Kamau Muthoni, F., Yego, R., Muchane, M., Njoroge, P., Giani, A. 2006. Density, distribution and habitat use by large mammals in Boni National Reserve and the neighbouring Northern Buffer Zone, NE Kenya. Zoology Department Research Report. National Museums of Kenya, Kenya. 28 pages.
  152. Parkinson, P., Pillips, M. 2006. Kenya. Lonely Planet Publications. (ISBN 2 84070 550 8), 416 pages.
  153. Kennedy, A. S., Kennedy, V. 2012. Animals of the Masai Mara, Princeton University Press (ISBN 978 0 691 15601 9), 152 p.
  154. LHDA. 2005. Ts'ehlanyane National Park. Lesotho Highlands Development Authority Nature Reserves. Lesotho. 6 p.
  155. The Eye Magazine Malawi. 2009. Lengwe National Park. The Eye, The insider's guide to Malawi (March-May 2009).
  156. Nyika-Vwaza News. 2014. The newsletter of the Nyika-Vwaza Trust and Nyika-Vwaza (UK) Trust, Issue 19. 6 p.
  157. a b c et d Maiga M.H. 2012. Rapport de collecte des données nationales, Mali. Programme des Nations Unies pour l’environnement, Centre de surveillance de la conservation de la nature (UNEP-WCMC) technical report, 95 p.
  158. MEA, 2009. Quatrième Rapport du Mali sur la mise en œuvre de la Convention sur la Diversité Biologique. Ministère de l’Environnement et de l’Assainissement, Direction Nationale des Eaux et Forêts, République du Mali. Bamako, Mali, 103 pages.
  159. UICN/BRAO. 2008. Évaluation de l’efficacité de la gestion des aires protégées : parcs et réserves du Mali (ISBN 978-2-8317-1041-9), SMAK International, 44 p.
  160. a b c et d Conseil de l'Europe. 2010. Projet pilote Emeraude : Désignation de sites pilotes pour le royaume du Maroc. Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe. Rapport du gouvernement marocain. Direction de la Culture et du Patrimoine culturel et naturel, Strasbourg, 19 p.
  161. Ould Aveloitt, M. 2014. L'hivernage des limicoles (Aves, Charadrii) des zones humides d'importance majeure en Mauritanie méridionale : Inventaire des espèces et étude phénologique, Thèse de l'Université Mohammed V de Rabat, Maroc, 195 p.
  162. Ould Aboye, M. L., Amadou, B., Ould Maouloud, M. D., Ould Cheikh El Houssein, S. A. L., Ould Dah, S. 2003. Projet d'activités habilitantes pour la préparartion de la phase II, Changements climatiques. Ministère du Développement Rural et de l'Environnement. République islamique de Mauritanie. 117 p.
  163. (pt) Stalmans, M., Peel, M. 2012. Parque Nacional de Banhine - Wildlife survey 2012. Projecto Áreas de Conservação Transfronteira e Desenvolvimento do Turismo (ACTFDT). Ministério do Turismo, Republica de Moçambique. 33 p.
  164. (en) Everatt, K., Andresen, L. 2012. Preliminary description of the spatial occurrence of mammalian biodiversity in central Parque Nacional do Limpopo. 6 p.
  165. SEED. 2003. Estudo de Impacto Ambiental para o Projecto de Biodiversidade de Turismo de cabo Delgado - CBDTP. Sociedade de Engenharia e Desenvolvimento (SEED). Ministério para a coordenação da acção Ambienta. Republica de Moçambique. 185 p.
  166. Desert Lion. 2014. Desert Lion Conservation Newsletter, December 2014. 1 p.
  167. a b et c Stuart, C., Stuart, T. 2001. A Photographic Guide to Mamals of Southern, Central, and East Africa. Struik, (ISBN 1 86872 621 5), 144 p.
  168. UNDP/GEF. 2010. State of Protected Areas in Namibia: A Review of Progress and Challenges. Namibian Parks and Wildlife. Ministry of Environment and Tourism. Republic of Namibia. 171 p.
  169. a et b GEF. 2010. Namibia Protected Landscape Conservation Areas Initiative (NAM-PLACE). Global Environment Facility, United Nations Development Programme. Republic of Namibia. 176 p.
  170. Abbagana, A. L. 2009. Établissement d'une situation de référence sur les perceptions et les comportements des utilisateurs des espaces et des ressources de la RNNAT (Réserve Nationale Naturelle de l’Aïr et du Ténéré) et ses zones connexes concernant les enjeux de la gestion durable des ressources naturelles. Diplôme de Master spécialisé en gestion des aires protégées. Institut International d’Ingénierie de l’Eau et de l’Environnement. Ouagadougou, Burkina Faso, 65 pages.
  171. a et b Hughes, R. H., Hughes, J. S. 1992. A Directory of African Wetlands. IUCN, Gland, Switzerland and Cambridge, UK / UNEP, Nairobi, Kenya / WCMC, Cambridge, UK. (ISBN 2 88032 949 3), 820 pages.
  172. Osunsina, I. O. O., Ogunjimmi, A. A., Meduna, A. J., Oyeleke, O. O. 2008. Ecotourism potentials of Kamuku National Park, Birnin Gwari, Kaduna State. ASSET Series A, 8(2): 214-224.
  173. Ogunjinmi, A. A., Umunna, M. O., Ogunjinmi, K. O. 2008. Factors affecting job satisfaction of rangers in Yankari Game Reserve, Bauchi, Nigeria. Journal of Agriculture and Social Research 8(2): 19-26.
  174. Isichei, A. O. 1995. Omo Biosphere Reserve, current status, utilization of biological resources and sustanable managment (Nigeria). Working Papers no 11, 48 pages. South-South Cooperation Programme for Environmentally Sound Socio-Economic Development in the Humid Tropics, Unesco, Paris, France.
  175. Richmond, S., Butler, S., Ham, A., Thomas, K., Wheeler, D., Murphy, A., Starnes, D., Smith, H., Corne, L., Holden, T., Grosberg, M., Wruble, V., Armstrong, K., Filou, E., Masters, T., Carillet, J.-B., Waters, R., Fitzpatrick, M., Clammer, P., Lee, J., Luckham, N., Sieg, C. 2013. Africa, Lonely Planet Publications Pty Ltd. (ISBN 978-1-74179-896-8). 1128 pages.
  176. OMVS. 2007. Analyse Diagnostique Environnementale Transfrontalière du Bassin du Fleuve Sénégal. Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal, 139 p.
  177. UICN. 2009. Evaluation de l’efficacité de la gestion des Biens Naturels du Patrimoine Mondial en Afrique de l’Ouest. Monographic Series no. 10. PACO/IUCN Regional Office for Western Africa, Ouagadougou, Burkina Faso. 53 p.
  178. a et b RZSS & IUCN Antelope Specialist Group. 2014. État des lieux sur la Conservation de la Gazelle dama, Nanger dama. Royal Zoological Society of Scotland, Édimbourg, Royaume-Uni.
  179. Ahmed, M. A. M. 2005. The Biology of the Reedbuck (Redunca redunca Pallas, 1764) in Dinder National Park. Master of Science, Zoology. University of Khartoum, Sudan. 88 p.
  180. Matsebula, S. N., Monadjem, A., Roques, K. G., Garcelon D. K. 2009. The diet of the aardwolf, Proteles cristatus at Malolotja Nature Reserve, western Swaziland. African Journal of Ecology, 47(3): 448-451.
  181. Jones, T., Caro, T., Davenport, T.R.B. (Eds.) 2009. Wildlife corridors in Tanzania. Unpublished Report. Tanzania Wildlife Research Institute (TAWIRI), Arusha, Tanzania, 60 pages.
  182. a b c d e f et g TAWIRI. 2009. Tanzania Small Carnivore Conservation Action Plan. Pages 162-269 in Tanzania Carnivore Conservation Action Plan. TAWIRI, Arusha, Tanzania.
  183. TMAP. 2008. Tanzania Mammals Newsbites, the newsletter for the Tanzania Mammal Atlas Project. Issue 3, 8 pages.
  184. UICN/PACO. 2012. Élaboration et mise en œuvre des plans de gestion en Afrique de l’Ouest et du centre. UICN, Gland, Suisse et Ouagadougou, Burkina Faso. (ISBN 978-2-8317-1473-8). 98 pages.
  185. UICN/PACO. 2008. Évaluation de l'efficacité de la gestion des aires protégées : parcs et réserves du Tchad. Union Internationale pour la Conservation de la Nature. (ISBN 978-2-8317-1109-6). Ouagadougou, Burkina Fasso, 52 pages.
  186. Wacher, T., Newby, J. 2012. Summary of results and achievements of the Pilot Phase of the Pan Sahara Wildlife Survey 2009-2012. SCF PSWS Technical Report 12. Sahara Conservation Fund. 26 pp. + Annexes.
  187. DGF/CMS. 2004. Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie. Compte-rendu de l'Atelier technique, Douz, 18-19 avril 2004. Direction Générale des Forêts (DGF), Convention sur la conservation des espèces Migratrices appartenant à la faune Sauvage (CMS), 63 pages, Tunisie.
  188. ATECMA/ECOTONO. 2012. Diagnostic Parc National Jebel Zaghouan pour l'élaboration du plan stratégique de l'écoutourisme. Mise en place d'un réseau écotouristique d'espaces naturels dans des pays méditerranéens d'Afrique du nord. Ministerio de Asuntos Exteriores y de Coorperacion (Espagne), Union International pour la Conservation de la Nature (UICN), Assistance technique : Asesores Técnicos de Medio Ambiente (ATECMA) & Equipo Consultor en Turismo y Desarrollo (ECOTONO). 66 pages.
  189. Bird, T.L.F., Mateke, C.W. 2013. A preliminary survey of the presence and distribution of small carnivores in the Lower Zambezi Protected Area Complex, Zambia. The Journal of the IUCN SSC Small Carnivore Specialist Group, 48: 47-59.
  190. Rduch, V. 2013. Ecology and Population Status of the Puku Antelope (Kobus vardonii Livingstone, 1857) in Zambia. PhD. Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität Bonn, Germany. 308 p.
  191. Malan, A. S. 2015. Improved decision-making processes for the transfrontier conservation areas of southern africa. PhD Thesis. University of British Columbia, Vancouver, Canada. 188 pages.
  192. Pegg, N. 2015. A Preliminary survey of carnivores (Mammalia: carnivora) in the Motobo hills, Zimbabwe. Dambari Wildlife Trust. International Foundation for Science. 31 pages.
  193. Ostrowski, S., Rajabi, A. M., Noori, H. 2008. Occurrence of wildlife and hunting activities in Imam Sahib, Aye Khanum and Darqad wetlands, Afghanistan, December 2007. Wildlife Conservation Society, New York. 28 pages.
  194. a b c d e f et g Scott, D. A. 1995. A Directory of Wetlands in the Middle East. IUCN, Gland, Switzerland and IWRB, Slimbridge, U.K. (ISBN 2-8317-0270-4), 562 pages.
  195. a b c et d Abuzinada, A. H. 2003. The role of protected areas in conserving biological diversity in the kingdom of Saudi Arabia. Journal of Arid Environments, 54: 39-45.
  196. Seddon, P.J., van Heezik, Y., Nader, I.A. 1997. Mammals of the Harrat al-Harrah Protected Area, Saudi Arabia. Mammalia. Zoology in the Middle East 14: 37-46.
  197. Sariyev, E. 2005. Nature Conservation and Utilisation: Examples from Azerbaijan Prospects of Development of National Park in Azerbaijan. Protection and Utilisation of Biological Resources for a Sustainable Development, with Special Reference to Azerbaijan, 61-64. Proceedings of a NATO CCMS supported Seminar, Baku, Azerbaijan.
  198. Mabrouk, A. 2007. Management Plan for Nabq, Managed Resource Area, IUCN Category VI. National Parks of Egypt, South Sinai Sector. 124 pages.
  199. Tourenq, C., Brook, M., Knuteson, S., Shuriqi, M. K., Sawaf, M., Perry, L. 2011. Hydrogeology of Wadi Wurayah, United Arab Emirates, and its importance for biodiversity and local communities. Hydrological Sciences Journal, 56(8), 1407-1422.
  200. ELKANA. 2014. Local livelihood assessment of Tush Shepherds traditionally using Territory of Vashlovani Protected Areas for winter pastures. ELKANA, Tbilissi. 40 p.
  201. Narasimmarajan, K., Barman, B. B., Puia, L. 2011. A new record of Caracal (Caracal caracal) in Melghat Tiger Reserve Maharashtra, Central India - after decades. Journal of Research in Biology 6: 399-402.
  202. Lemons, J., Victor, R., Schaffer, D. 2003. Conserving biodiversity in arid regions: best practices in developing nations. Springer. (ISBN 1-4020-7483-2). 243 P.
  203. a et b Harshey, D. K., Chandra, K. 2001. Mammals of Madhya Pradesh and Chhattisgarh. Zoos' Print Journal 16(12): 659-668.
  204. Menon, V. 2014. Indian Mammals: A Field Guide. Hachette UK, 528 pages.
  205. Mukherjee, S., Goyal, S.P., Johnsingh, A.J.T., Leite Pitman, M.R.P. 2004. The importance of rodents in the diet of jungle cat (Felis chaus), caracal (Caracal caracal) and golden jackal (Canis aureus) in Sariska Tiger Reserve, Rajasthan, India. J. Zool., Lond., 262: 405-411.
  206. Pardeshi, M. K., Gajera, N., Patel, R., Worah, D., Kumar, V. V. 2010. Species of conservation significance within and vicinity of Narayan Sarovar Sanctuary: Biodiversity and distribution. Biological Forum 2(2): 19-24.
  207. Ranjitsinh, M. K., Jhala, Y. V. 2010. Assessing the potential for reintroducing the cheetah in India. Wildlife Trust of India, Noida, & Wildlife Institute of India, Dehradun, India, 179 p.
  208. Hughes, H., Duchaine, J. 2011. Frommer's 500 Places to See Before They Disappear. John Wiley & Sons, 480 pages.
  209. Nature Iraq. 2014. Dalmaj (IQ064). Key Biodiversity of Iraq. Nature Iraq, 4 pages.
  210. a et b Mousavi, M. 2010. Survey of Caracal caracal in Kavir national park in Iran. Journal of Environmental Research And Development, 4(3): 793-795.
  211. Farhadinia, M. S. 2010. Touran Biosphere Reserve. Persian Leopard Newsletter 4: 6, Iranian Cheetah Society (ICS).
  212. Jahandizi, E. K., Kaboli, M., Karami, M., Soufi, M. 2015. The Assessment of Carrying-Capacity of Persian Gazelle in Sorkh-E-Hesar National Park, Iran. J. Earth Environ. Health Sci., 1(2): 66-70.
  213. Farhadinia, M.S., Akbari, H., Beheshti, M., Sadeghi, A. 2007. Ecology and status of the Caracal, Caracal caracal, (Carnivora: Felidae), in the Abbasabad Naein Reserve, Iran. Zoology in the Middle East, 41(1): 5-10.
  214. UNESCO, 2011. World Network of Biosphere Reserves 2010: Sites for Sustainable Development. (ISBN 978-92-9089-166-6), 597 pages.
  215. Farhadinia, M. S., Esfandabad, B. S., Karami, M., Hosseini-Zavarei, F., Absalan, H., Nezami, B. 2009. Goitered Gazelle Gazella subgutturosa Guldenstaedt, 1780: its habitat preference and conservation needs in Miandasht Wildlife Refuge, northeastern Iran. Zoology in the Middle East 46: 9-18.
  216. SKP. 2014. Capabilities, Potentials and Investment Opportunities of South Khorasan. Directorate General for Economic and Financial Affairs of South Khorasan. Service Center and the Secretariat of the State Investment Headquarters. South Khorasan Province, Iran. 232 pages.
  217. Rastegar, H. 2009. Biodiversity of last asiatic cheetahs (Acinonyx jubatus venaticus) in Bafgh and Ariz protected area, Iran. Journal of Environmental Research And Development, 3(3): 639-644.
  218. Ghoddousi, A., Ghadirian, T., Fahimi, H. 2009. Status of caracal in Bahram'gur Protected Area, Iran. CatNews 50: 10-13.
  219. Farhadinia, M. S., Nezami, B., Hosseini-Zavarei, F., Valizadeh, M. 2009. Persistence of Persian leopard in a buffer habitat in northeastern Iran. CATnews 51: 34-36.
  220. Hassan-Beigi, Y., Fernandes, C., Farhadinia, M., Montazami, S. 2014. Phylogeny and genetic diversity of caracal in Iran. Wildlife Middle East (7): 6.
  221. PLN. 2010. Leopard Crisis in Lorestan: Each Month One Leopard Poached. Persian Leopard Newsletter (août 2010), 3: 5.
  222. Sustainable forest: visiting British Park. 2010. The Jerusalem Post. 01/10/2010.
  223. Booth, W. 2014. Oil spill in Israel’s Evrona Nature Reserve is disastrous news for a precious resource. The Washington post (17 décembre 2014).
  224. Hula nature reserve. 1999. Mediterranean Wetlands Technical Data. SEHUMED 12: 11.
  225. Maktesh Ramon Nature Reserve. 2002. Israel Nature and Parks Authority, 2 pages.
  226. Haddad, N. A., Al-kheder, S. A., Fakhoury, L. A. 2013. Al Mujib Natural Reserve in Jordan: - Towards an Assessment for Sustainable Ecotourism Management Plan Utilizing Spatial Documentation. Natural Resources and Conservation 1(3): 65-76.
  227. Amr, Z. S., Kalishaw, G., Yousef, M., Chilcot, B.J., Al Budari, A. 1996. Carnivores of Dana Nature Reserve (Carnivora: Canidae, Hyaenidae and Felidae), Jordan. Zool. Middle East, 13: 5-16.
  228. Amr, Z. S., Disi, A. M. 1988. Jordanian Mammals Acquired by the Jordan University Natural History Museum. Publication of the University of Jordan. 1-32.
  229. Bunaina, F., Hatough, A., Abananeh, D., Mashaqeh, S., Yousef, M. Amr, Z. 2001. The Carnivores of the Northeastern Badia, Jordan. Turkish Journal of Zoology, 25(1): 19-25.
  230. Amr, Z., Abu Baker, M., Rifai, L. 2004. Mammals of Jordan. Denisia 14, zugleich Kataloge der Oö. Landesmuseen Neue Serie 2: 437-465.
  231. a et b The World Banq. 2006. Project Brief On a Proposed Grant from the Global Environment Facility Trust Fund in the Amount of USD 6.15 million to the Hashemite Kingdom of Jordan for an Integrated Ecosystem Management in the Jordan Rift Valley (GEF) Project. March 24, 2006. 150 pages.
  232. Eid, E., Boulad, N., Al Share, T., Abed, O., Hageer, Y. 2013. Population density of Vulpes cana in Jordan. Vertebrate Zoology. 63(2): 241–245.
  233. Zonn, I., S., Kosarev, A., N., Glantz, M., Kostianoy, A. G. 2010. The Caspian Sea Encyclopedia. Springer Science. 525 pages.
  234. Spalton, A., Hikmani, H. M., Willis, D., Said, A. S. B. 2006. Critically endangered Arabian leopards Panthera pardus nimr persist in the Jabal Samhan Nature Reserve, Oman. Oryx, 40(3): 287–294.
  235. Mendonça, V. M., Al Saady, S., Al Kiyumi, A., Erzini, K. 2010. Interactions between green turtles (Chelonia mydas) and foxes (Vulpes vulpes arabica, V. rueppellii sabaea, and V. cana) on turtle nesting grounds in the northwestern Indian Ocean: impacts of the fox community on the behavior of nesting sea turtles at the Ras Al Hadd Turtle Reserve, Oman. Zoological Studies 49(4): 437-452.
  236. a et b Mallon, D., Budd, K. 2011. Regional Red List Status of Carnivores in the Arabian Peninsula. 1-52. Cambridge, UK and Gland Switzerland, IUCN, and Sharjah, UAE: Environment and Protected Areas Authority.
  237. Salimov, Kh. V., Rustamov, N. T. 2014. Registered representatives of flora and fauna of Kyzylkum reserve. 2nd International Conference on Arid Lands Studies Innovations for sustainability and food security in arid and semiarid lands 10-14 September, 2014 Samarkand, Uzbekistan, p 127.
  238. GEF. 2005. Conservation of Tugai Forest and Strengthening Protected Areas System in the Amu Darya Delta of Karakalpakstan. United Nations Development Program, Global Environment Facility. 105 pages.
  239. Khan, Z. M., Siddiqui, S. 2011. Studies on Bioecology and Fauna of Hazarganji Chiltan National Park and Development of Ecotourism in Protected Areas. Canadian Journal of Pure and Applied Sciences 5(1): 1371-1384.
  240. (en) M. Z. Khan, A. Zehra, S. A. Ghalib, S. Siddiqui et B. Hussain, « Vertebrate biodiversity and key mammalian species status of Hingol national Park », Canadian Journal of Pure and Applied Sciences, t. 2, no 4,‎ , p. 1151-1162.
  241. a et b IUCN. 1990. IUCN Directory of South Asian Protected Areas. IUCN, Gland, Switzerland and Cambridge, U.K. 294 pp.
  242. Rais M., Khan M. Z., Ghalib S. A., Nawaz R., Akbar G., Islam S. L., Begum A, Global conservation significance of Chotiari wetlands complex, Sangahr, Sindh, Pakistan, The Journal of Animal & Plant Sciences, 2013, 23(6): pp. 1609-1617.
  243. Babaev A. G., Desert Problems and Desertification in Central Asia, Springer Science, 2012, 310 p..
  244. Kozubov, R. 2007. Place that cheetahs once inhabited. Turkmenistan International Magazine no 7 (8).
  245. a et b Econet of Turkmenistan (Fact sheet). Ecological Network (Econet) of Central Asia, Web for Life, WWF, 2006, 32 p..
  246. a et b Magin C., World Heritage Thematic Study for Central Asia - A Regional Overview, IUCN, 2005, 73 p..
  247. a b c et d Eken G., Bozdoðan M., Ýsfendiyaroðlu S., Kýlýç DT., Lise Y., Türkiye'nin Önemli Doða Alanlarý. Doða Derneði, Ankara, 2006, (ISBN 978-975-98901-3-1) (2 volumes), 639 p..
  248. Gundogdu, E., Ogurlu, I., The Distribution of Wild Goat Capra aegagrus Erxleben 1877 and Population Characteristics in Isparta, Turkey. Journal of Animal and Veterinary Advances, 2009, 8(11) : pp. 2318-2324.
  249. Albayrak, T., Giannatos, G., Kabasakal, B., Carnivore and ungulate populations in the Beydaglari mountains (Antalya, Turkey) : border region between Asia and Europe, Polish Journal of Ecology, 2012, 60(2) : pp. 419-428.
  250. De Marinis, A.M., Masseti, M., Mammalian fauna of the Termessos National Park, Turkey, ZooKeys, 2009. 31 : pp. 221-228.
  251. Alakavuk A., Sengün B., The Dilek Peninsula: Büyük Menderes Delta. in Natural Heritage from East to West, Springer, 2009, (ISBN 978-3-642-01576-2), pp. 315-319.
  252. Pittet, M. 2011. Legends of the arabian leopard in the hawf protected area, southern Yemen. Wildlife Middle East, 5: 4.
  253. FPALY. 2011. Foundation for the Protection of the Arabian Leopard in Yemen, Newsletter 25: 3.
  254. Vigne, G.T. 1842. Travel in Kashemir. Henry Colburn, London.
  255. a b c d et e Masseti, M. 2009. Pictorial Evidence from Medieval Italy of Cheetahs and Caracals, and their Use in Hunting. Archives of Natural History, 36(1) : p. 37-47.
  256. Silverstein, A., Silverstein, V.B., Silverstein Nunn, L. 2003. Curious Cats. Lerner Publications, 48 pages.
  257. Redford, D.B. 2001. The Oxford Encyclopedia of Ancient Egypt. Oxford University Press. 586 pages.
  258. Keimer, L. 1948. Caracal dans l'Égypte ancienne. Annales du service des antiquités de l'Égypte, tome 48, pp 373-390.
  259. Porter, B., Moss, R.L.B., Burney, E.W. 1970. I. The Theban necropolis, Part 1. Private tombs. Topographical Bibliography of Ancient Egyptian Hieroglyphic Texts, Reliefs, and Paintings. Griffith Institute, Ashmolean Museum, Oxford. 520 pp.
  260. Strandberg, Å. 2009. The Gazelle in Ancient Egyptian Art. Image and Meaning. PhD Thesis. Uppsala Universitet. ISSN 1650-9838. (ISBN 978-91-506-2091-7). 262 pp.
  261. Hans Kruuk (trad. de l'anglais), Chasseurs et chassés : Relations entre l'homme et les grands prédateurs, Paris, Delachaux et Niestlé, coll. « La Bibliothèque du naturaliste », , 223 p. (ISBN 2-603-01351-3)
  262. a et b Farès, S. 2006. Les gravures rupestres de Jordanie du Sud et enquête sur les pratiques de chasse actuelles. Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie. La chasse, Pratiques sociales et symboliques, 2, De Boccard, p. 37-44.
  263. Meyboom, P.G.P. 1995. The Nile Mosaic of Palestrina: Early Evidence of Egyptian Religion in Italy. Brill, 409 pages.
  264. a et b Kinzelbach, R. 2009. Tierbilder aus dem ersten Jahrhundert: Ein zoologischer Kommentar zum Artemidor-Papyrus. Walter de Gruyter, (ISBN 978-3-11-022580-8), 147 pages.
  265. Shafii, Sh., Sabetraftar, K. 2011. An investigation on the climate and ecology of the southeast region of the Caspian Sea in the first millennium AD based on archaeological data. Caspian Journal of Environmental Sciences, 9(2): p. 267-278.
  266. Ross, J. 1823. The Gulistan or Flower-garden, of Shaikh Sadi of Shiraz translated into english by James Ross from the Persian text of Gentius. Éd. Richardson, Londres. 475 pp.
  267. Kröger, J. 2004. On Mahmud b. Ishaq al-Shihabi’s Manuscript of Yusuf va Zulaykha of 964 (1557). Muqarnas, volume 21. Essays in Honor of J.M. Rogers, p. 239-253.

Annexes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Ravaux, S. 2004. Le caracal (Felis caracal, Schreber 1776) : synthèse bibliographique. Thèse de l'École nationale vétérinaire de Nantes. 152 p. pdf

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier
  NODES
Chat 13
Done 1
eth 18
jung 1
jung 1
News 16
orte 21
see 4
Story 6