Chatuzange-le-Goubet
Chatuzange-le-Goubet est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Chatuzange-le-Goubet | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Christian Gauthier 2020-2026 |
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Code postal | 26300 | ||||
Code commune | 26088 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Goubetois, Goubetoises | ||||
Population municipale |
6 227 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 221 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 28″ nord, 5° 05′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 150 m Max. 327 m |
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Superficie | 28,24 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Romans-sur-Isère (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vercors-Monts du Matin (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Goubétois.
Géographie
modifierSituation et description
modifierLa commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Rattachée à la communauté d'agglomération Valence Romans Agglo, Chatuzange-le-Goubet est située à 6 km au sud de Romans-sur-Isère, à 18 km au nord-est de Valence, à 77 km de Grenoble, à 121 km de Lyon.
Communes limitrophes
modifierRelief et géologie
modifierSites particuliers[1] :
- les Montelets (325 m) ;
- Mont Perroux (249 m).
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
Le barrage [de Pizançon] est installé sur l'Isère[2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc »sur la commune de Romans-sur-Isère à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,8 | 0,9 | 3,5 | 6,2 | 10,3 | 13,7 | 15,4 | 15,1 | 11,7 | 8,8 | 4,4 | 1,5 | 7,7 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 5,4 | 9,1 | 12,2 | 16,3 | 20,2 | 22,3 | 22,1 | 17,9 | 13,7 | 8,4 | 5 | 13,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 9,9 | 14,7 | 18,2 | 22,4 | 26,6 | 29,3 | 29 | 24 | 18,7 | 12,4 | 8,4 | 18,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 11.01.10 |
−10,3 05.02.12 |
−11,2 02.03.05 |
−6,5 08.04.21 |
0,9 07.05.19 |
5,3 21.06.1992 |
7,1 13.07.00 |
5,1 30.08.1998 |
1,7 30.09.1995 |
−4,2 26.10.03 |
−9,1 23.11.1998 |
−12 30.12.05 |
−13,2 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,1 10.01.15 |
22,2 23.02.20 |
25,9 25.03.1994 |
30,1 21.04.18 |
34,5 21.05.22 |
39,5 27.06.19 |
41,1 24.07.19 |
40,8 22.08.23 |
35 16.09.19 |
30 10.10.23 |
23,8 11.11.1995 |
18,6 17.12.19 |
41,1 2019 |
Précipitations (mm) | 52,3 | 41,8 | 51,5 | 72,9 | 83,7 | 66,1 | 59 | 68,8 | 104,4 | 115,8 | 106 | 54,4 | 876,7 |
Voies de communication et transports
modifierBourg-de-Péage est accessible par :
- la N 532 (Route européenne 713) en direction de Grenoble ( n° 6, Romans-ouest/Bourg-de-Péage) ;
- la D 538 en direction de Bourg-de-Péage ;
- l'autoroute A7 ( n° 14 Valence-Nord à 67 km : Valence-Centre, Bourg-lès-Valence, Romans-sur-Isère et n° 15 Valence-Sud) ;
- l autoroute A49 ( n°6, Romans-centre : Romans-sur-Isère, Bourg-de-Péage, Crest, Chabeuil).
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Chatuzange-le-Goubet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,7 %), zones agricoles hétérogènes (21 %), zones urbanisées (10,5 %), prairies (7,7 %), forêts (5,6 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), cultures permanentes (1,5 %), eaux continentales[Note 2] (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierLa commune est composée de quatre sections : Papelissier à l'est, Pizançon au nord sur la RD 532, le Goubet en bordure du Charlieu et Chatuzange au pied d'un coteau.
Les hameaux de Chatuzange et du Goubet sont réunis aujourd'hui par des constructions récentes et forment le village de Chatuzange-le-Goubet, alors que Papelissier et Pizançon sont distants de quelques kilomètres.
Hameaux, quartiers et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[1] :
- Bas Pinet
- Beau Barret
- Bourne
- Buissonnier
- Canard
- Carle
- Chalandoule
- Chapelle Petit Saint-Jean
- Cocu
- Couppier
- Coutiol
- Crémoulin
- Fiançayes
- Flandrin
- Gade
- Grange Neuve
- Gratte-Gousset
- Haut Pinet
- la Boite
- la Chossonnière
- la Cité
- la Cizeranne
- la Cure
- la Douce
- la Ferrière
- la Jumenterie
- la Merline
- la Noyerate
- la Part Dieu
- la Roseraie
- le Bien
- le Chabot
- le Coppe
- le Goubet
- le Gourdon
- le Martinet
- le Moulin
- le Portail
- les Bernards
- les Blaches
- les Chaux
- les Chirouzes
- les Cottes
- les Grandaillers
- les Grand-Terres
- les Granges
- les Grenières
- les Guerres
- les Liouds
- les Maisons
- les Malossannes
- les Pérers
- les Raynauds
- les Routes
- les Royannères
- les Vangons
- les Vernets
- les Vidaux
- les Voupes
- le Trémolet
- Lucia
- Millard
- Mollière
- Papelissier
- Petits Aillers
- Pilène
- Pizançon (village et château)
- Pont des Allobroges
- Pont des Seigneurs
- Rochas
- Saint-Martin
- Tendillon
- Trignard
Anciens hameaux, quartiers et lieux-dits :
- les Aillers est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Oleiras en 1246 (cartulaire de Léoncel, 146)[15].
- les Allards est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Aillards en 1821 (Noms des communes et hameaux de la Drôme)[16].
- les Goubets est un hameau attesté en 1891[17].
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierRisques sismiques
modifierAutres risques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :
- 1095 : villa Chatuzanges (cartulaire de Romans, 168).
- 1140 : Chalvenzanjes (pour Chatuenzanjes) (Revue des biblioph. dauphin., 55).
- XIIe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : parrochia Chatusanzias (cartulaire de Romans, 309).
- 1218 : Chatuisanges (cartulaire de Léoncel, 83).
- 1244 : mention de l'église (Saint-Apollinaire) : ecclesia de Chalusangiis (cartulaire de Romans, 145).
- 1246 : mention de la paroisse Saint-Apollinaire : parrochia Sancti Appolinaris de Chatuisangiis (cartulaire de Romans, 146).
- 1247 : Chatuzangas (cartulaire de Léoncel, 148).
- 1248 : Chatuczangis (cartulaire de Léoncel, 158).
- 1251 : Chatusanjas (cartulaire de Léoncel, 168).
- XIVe siècle : mention de l'église (Saint-Apollinaire) : capella de Chatusangiis (pouillé de Valence).
- 1382 : Chatussangiis (archives de la Drôme, E 3649).
- XVe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatusangiarum (pouillé de Valence).
- 1506 : Chatusangiarum (archives de la Drôme, fonds de Léoncel).
- 1549 : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatussangiarum (pouillé de Valence).
- 1891 : Chatuzange, commune du canton de Bourg-de-Péage.
(non daté)[réf. nécessaire] : Chatuzange-le-Goubet.
Étymologies
modifier- Chatuzange
- Le Goubet
Histoire
modifierDu Moyen Âge à la Révolution
modifierAu point de vue féodal, Chatuzange fit toujours partie de la terre de Pizançon (voir ce nom)[18].
Avant 1790, Chatuzange était une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Apollinaire, dépendait du chapître de Romans qui y prenait la dîme et présentait à la cure.
Cette paroisse, dont l'étendue était la même que celle de la paroisse [de 1891], faisait partie de la communauté de Pizançon, dite aussi delphinaux de Pisançon, dont la circonscription territoriale était celle de la commune de Chatuzange, comprenant [en 1891] les deux paroisses de Chatuzange et de Pizançon[18].
Pizançon
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :
- 924 : mention de l'église Saint-Michel : ecclesia Sancti Michaelis in villa Pisanciano (cartulaire de Romans, 130).
- 1038 : de Pisanciano(cartulaire de Romans, 224).
- 1050 : mention du château : castrum Pisantiani (cartulaire de Romans, 327).
- 1099 : mention du château : castrum Pisancianum (cartulaire de Romans, 173 bis).
- 1100 : mention du château : castrum Pizancianun super fluvium Isare (cartulaire de Romans, 174).
- 1100 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani (cartulaire de Romans, 167).
- 1134 : mention du château : castrum de Pisanciano (cartulaire de Romans, 291).
- 1164 : Pizenczan (cartulaire des Hospitaliers, 53).
- 1183: mention de la châtellenie : castellaria de Pisencans (cartulaire de Léoncel, 34).
- XIIe siècle : Pisanca (cartulaire des Hospitaliers, 333).
- 1200 : de Pisanciano, Piszanza et Pizanza (cartulaire des Hospitaliers, 47).
- 1217 : Pisanchan (cartulaire des Hospitaliers, 47).
- 1218 : mention du mandement : mandamentum de Pisansa (cartulaire de Romans, 43).
- 1272 : Pissanum (inventaire des dauphins, 63).
- 1279 : mention du château : castrum Pissanczani (inventaire des dauphins, 52).
- 1297 : Piszasianum (cartulaire de Léoncel, 301).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : ecclesia Pisantiani (pouillé de Valence).
- 1315 : Pizenza (cartulaire de Léoncel, 42).
- 1333 : Pisancsanum (choix de documents, 39).
- 1360 : mention du château : castrum Pisansiani (choix de documents, 197).
- 1361 : mention du château : castrum Pizencianum (Duchesne, Comtes de Valentinois, 81).
- 1372 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani prope Romanis (Chevalier, Maladr. de Voley, 75).
- 1391 : mention de la châtellenie : castellania Pisanciani (archives de la Drôme, E 3050).
- 1404 : Piscencain (choix de documents, 241).
- 1413 : Pizançon (archives de la Drôme, E 2292).
- 1891 : Pisançon, village, section et paroisse de la commune de Chatuzange.
(non daté[réf. nécessaire]) : Pizançon, hameau de la commune de Chatuzange-le-Goubet[2].
La seigneurie[19] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) fait partie du domaine temporel de l'abbaye de Romans.
- Début XIIe siècle : elle est partagée entre les François de Royans et les Clérieux.
- Les François de Royans.
- Avant 1250 : la terre passe aux Chabeuil.
- 1277 : elle passe aux barons de la Tour (futurs dauphins).
- Les Clérieux.
- 1336 : la terre passe (par héritage) aux comtes de Valentinois.
- 1374 : elle passe aux Poitiers-Saint-Vallier.
- Les François de Royans.
- 1467 : les Poitiers-Saint-Vallier reçoivent du roi Louis XI la part des dauphins. La terre est temporairement réunifiée.
- 1542 : la terre est à nouveau partagée, cette fois entre les Vaulperge et les Béavieu.
- Les Vaulperge possèdent la parerie delphinale.
- 1593 : elle est engagée à Lesdiguières.
- 1632 : vendue aux consuls de Romans.
- Les Béavieu possède la parerie des Poitiers.
- 1545 : elle passe aux Crequi.
- 1570 : recouvrée par les Poitiers-Saint-Vallier.
- 1595 : vendue aux La Croix-Chevrière.
- Les Vaulperge possèdent la parerie delphinale.
- 1655 : les La Croix-Chevrière acquièrent la parerie delphinale et réunifient la terre. Ils seront les derniers seigneurs.
Avant 1790, Pizançon était une paroisse de la communauté de Chatuzange et du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Michel, dépendait du chapitre de Romans, qui y prenait la dîme et présentait à la cure[19].
Pizançon était en outre le chef-lieu d'une importante seigneurie (ou mandement) comprenant, avec la paroisse de son nom, celle de Chatuzange et toute la commune actuelle du Bourg-de-Péage[19].
De la Révolution à nos jours
modifierPolitique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2021, la commune comptait 6 227 habitants[Note 3], en évolution de +17,25 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifier- Une caserne de pompiers[réf. nécessaire].
Enseignement
modifierLa commune est rattachée à l'académie de Grenoble et compte deux écoles élémentaires et autant de maternelles[réf. nécessaire].
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifierLoisirs
modifierSports
modifierMédias
modifierQuatre journaux sont distribués dans les réseaux de presse desservant la commune :
- Le Dauphiné libéré est un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Annonay-Nord-Ardèche[25].
- L'Impartial de la Drôme (hebdomadaire local).
- Drôme Hebdo (anciennement Peuple Libre) (hebdomadaire local).
- L'Agriculture drômoise (hebdomadaire agricole et rural).
Cultes
modifierLes églises (propriété de la commune) et la communauté catholique de Chatuzange-le-Goubet sont rattachées à la paroisse de Paroisse Saint Pierre des Monts du Matin[26], elle même rattachée au diocèse de Valence.
Économie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : céréales, vergers, porcins, ovins, aviculture (station avicole de Pizançon)[2].
Commerce
modifierNombreux commerces[réf. nécessaire].
Industrie
modifierTourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Pizançon[2] : plan en U, construit en 1800 avec chapelle installée dans une petite tour, est classé partiellement au titre des Monuments historiques[27].
- Château de la Cizeranne[2] : maison forte avec pigeonnier[réf. nécessaire].
- Église Saint-Apollinaire de Chatuzange-le-Goubet (XIXe siècle) : reliquaire (objet classé)[2].
- Église Saint-Michel de Pizançon (style roman)[2].
- Le Clos du Levant[réf. nécessaire].
- Fontaines publiques[réf. nécessaire].
- Le pont des Seigneurs à Pizançon permet le passage du canal de la Bourne sur la départementale D 149[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Marc Antoine Jullien (né en 1744 à Bourg-de-Péage, mort en 1821 à Pizançon), dit Jullien de la Drôme : homme politique et député de la Convention nationale de. Lui et son épouse se retirent sur leurs terres à Pizançon (Chatuzange-le-Goubet) en 1810.
- Rosalie Jullien (née en 1745 à Pontoise, morte en 1824), épouse du précédent.
Héraldique, logotype et devise
modifierChatuzange-le-Goubet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
- Damien Delaye, Les péages de Pizançon et de Charmagnieu. L'exemple d'une fiscalité fluviale aux XVIIe et XVIIIe siècles, master 1, université Pierre Mendès-France, Grenoble, 2009 (lire en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
- Chatuzange-le-Goubet sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Chatuzange-le-Goubet.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chatuzange-le-Goubet et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Les Aillers).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Allards).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 163 (Les Goubets).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 81 (Chatuzange).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 273 (Pisançon).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site c.ledauphine.com, page "Tournon-sur-Rhône : toute l'info locale".
- Site de la paroisse
- Notice no PA00116914