Damvillers
Damvillers [dɑ̃vile] est une commune française située dans le département de la Meuse, dans la région historique et culturelle de Lorraine, en région Grand Est.
Damvillers | |
Église Saint-Maurice. | |
Blason |
|
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Verdun |
Intercommunalité | Communauté de communes de Damvillers Spincourt |
Maire Mandat |
Anne Postal 2020-2026 |
Code postal | 55150 |
Code commune | 55145 |
Démographie | |
Gentilé | Damvillois[1] |
Population municipale |
618 hab. (2021 ) |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 36″ nord, 5° 24′ 02″ est |
Altitude | Min. 197 m Max. 353 m |
Superficie | 18,33 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Montmédy |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Géographie
modifierLa commune est à 2,3 km de Etrayes, 4,3 de Moirey-Flabas-Crépon, 24,5 de Verdun[2] et 80 de Luxembourg (ville).
Écarts et lieux-dits : Gibercy.
Géologie et relief
modifierHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse, par le BRGM :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques
Sismicité
modifierCommune située dans une zone 1 de sismicité très faible[3].
Hydrographie
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Thinte[4], le ruisseau du Bois de Chavrelle, le ruisseau du Bois de Damvillers, le ruisseau Aux Tripes, le ruisseau d'Etraye, le ruisseau de Reville, la Fausse Rivière[5], le ruisseau de l'Eaufontaine, le ruisseau de Maurupt, le ruisseau de Peuvillers, le ruisseau de Prelle et le ruisseau de Wavrille[6],[Carte 1].
La Thinte, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune de Azannes-et-Soumazannes et se jette dans le Loison à Vittarville, après avoir traversé neuf communes[7].
Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : les Etangs les Monti (4,5 ha), les étangs Monti (3,5 ha) et l'étang de la Planchette (1,8 ha)[Carte 1],[8].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 18 km à vol d'oiseau[11], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Intercommunalité
modifierCommune membre de la Communauté de communes de Damvillers Spincourt.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Damvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,1 %), forêts (28,6 %), terres arables (24,4 %), zones urbanisées (4,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[20].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- D 19 vers Étrayes[21].
- D 65 vers Moirey--Flabas-Crépon.
- D 102 vers Écurey-en-Verdunois.
Transports en commun
modifierLignes SNCF
modifierToponymie
modifierAnciennes mentions : Damvillerium (1086) ; Danviler (1204) ; Danvillers (1238) ; Villarum de Danvillers (1324) ; Moneta Damviller, moneta Damvile (XIVe siècle) ; Danviller (1413) ; Dampvillers (1538) ; Dampvilliers (1549) ; De Dompnovillari (1642) ; Danvilliers (1661) ; Damvillæum (1679) ; Damviller (1700) ; Dampville (1730) ; Damvillé, Danis-villa (1738) ; Damvilliers (1745)[22].
Damvillers : de Dom, contraction du latin dominus « seigneur », a pris au VIIIe siècle le sens de ''saint'' formation fréquente dans les régions germanisées, particulièrement dans l'Est de la France[23] et Villers est un appellatif toponymique français et un patronyme qui procède du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica. L'origine du nom viendrait de la juxtaposition du château de Dame, qui protégeait le village au Moyen Âge, et du couvent de Villiers, qui lui était rattaché[24].
Histoire
modifierEn 1285, Jean de Muraut ou Murauvaux, l'un des quatre pairs de l'évêque de Verdun, se trouvait au tournoi de Chauvency. Jacques Bretel en fait le héros d'une des joutes qu'il raconte. Le château de Muraut (détruit à l'époque de Louis XIII) se trouvait sur une des buttes, à l'écart de Damvillers, à la lisière de la forêt. Son autre résidence (également disparue aujourd'hui) aurait été, selon l'ancien historien J. Havet, le château de Murauvaux, près de Mont-Villers.
En 1317, Damvillers était un petit village dépendant du Duché du Luxembourg, protégé par un château qu'a habité Béatrix, reine de Bohême. Charles Quint en fit une place forte qui, après avoir soutenu plusieurs sièges et avoir appartenu à diverses puissances, fut cédé à la France par le traité des Pyrénées en 1659[24]. Damvillers fit ensuite partie du Luxembourg français jusqu'en 1790. Fut chef-lieu de prévôté[22].
En 1741, le Maréchal de Belle-Isle, fit vider les fossés des fortifications et fit fermer la ville par des palissades et des chevaux de frise.
En 1552, Henri II, lors du « voyage d'Allemagne », revient d'Alsace et s'empare le 11 juin de la ville qui a soutenu un siège de huit jours. Lors de cette bataille Ambroise Paré, chirurgien du roi, expérimenta la ligature artérielle lors de l'amputation.
Était rattaché au diocèse de Verdun.
Fusion de communes
modifierLe , Damvillers fusionne avec Gibercy sous le régime de la fusion simple[25].
Politique et administration
modifierBudget et fiscalité 2022
modifierEn 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :
- total des produits de fonctionnement : 461 000 €, soit 658 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 383 000 €, soit 546 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 238 000 €, soit 339 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 138 000 €, soit 197 € par habitant ;
- endettement : 136 000 €, soit 194 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 2,31 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 27,02 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 4,93 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 510 €[28].
Jumelage
modifier- Zierenberg (Allemagne) depuis le [29].
- Ligny (Belgique) depuis 1966
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 618 habitants[Note 4], en évolution de −5,36 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[34] :
- Écoles maternelle et primaire.
- Collège à Damvillers.
- Lycées à Verdun.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[35] :
- Médecins à Damvillers, Marville, Charny-sur-Meuse, Dun-sur-Meuse,
- Pharmacies à Marville, Dun-sur-Meuse, Belleville-sur-Meuse, Longuyon,
- Hôpitaux à Longuyon, Mont-Saint-Martin, Briey, Villerupt.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Saint Maur de la Source Vive[36], Diocèse de Verdun.
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
- Culture et élevage associés.
- Élevage de vaches laitières.
- Sylviculture et autres activités forestières.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
Tourisme
modifier- Hébergements et restauration.
Commerces
modifier- Commerces et services de proximité.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier-
Damvillers au XVIe siècle.
-
Remparts de Damvillers au XVIIe siècle.
-
Église Saint-Maurice de Damvillers Nef.
-
Église Saint-Maurice le premier portail.
-
Damvillers. Le presbytère. Carte postale ancienne.
-
Chapelle Saint-Hubert de Gibercy.
-
Cimetière israélite[37].
-
Statue de Jules Bastien-Lepage par Rodin[38].
Arbre remarquable
modifierSur la route D905 menant à Damvillers, il y a un saule blanc (salix alba), d'une circonférence de 8,04 mètres. C'est le deuxième plus gros saule blanc recensé sur le territoire français et le douzième du monde[39].
Édifices civils
modifier- L'ancien moulin de Gibercy pendant la Première Guerre mondiale. Carte postale allemande.
- Statue de Jules Bastien Lepage par Auguste Rodin, inaugurée le 29 septembre 1889.
- Hôtel de ville : Sabre d'honneur et épée du maréchal Gérard[40].
Édifices religieux
modifier- Église Saint-Maurice de Damvillers, XIe siècle, classée Monument historique en 1921[41], qui présente la particularité de posséder deux porches pour la même entrée.
- Ancienne chapelle Saint-Hubert de Gibercy construite en 1716[52].
- Chapelle funéraire de la famille Loison[53] : elle est ornée en 1924 de trois verrières réalisées par les ateliers Lorin de Chartres, alors dirigés par Charles Lorin. Elles représentent sainte Scolastique, saint François de Sales et saint Augustin, et figurent dans l'inventaire général du patrimoine culturel[54].
- Église de Son Père le Chibre du Bengale.
- Cimetière Israélite de 1857[55],[56],[57].
- Cimetière allemand[58].
- Monument aux morts[59] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954).
Damvillers au cinéma
modifierDamvillers est l'un des lieux où se déroule l'action du téléfilm À l'Ouest, rien de nouveau tourné en 1978 (en Tchécoslovaquie) par Delbert Mann d'après le roman éponyme d'Erich Maria Remarque[60].
Personnalités liées à la commune
modifier- Maurice René Baland (1904-1993), colonel de l'air[61], officier de la Légion d'honneur.
- Émile Bastien-Lepage (1854-1938), peintre français, frère du suivant.
- Jules Bastien-Lepage (1848-1884), peintre naturaliste français, né le 1er novembre 1848 à Damvillers.
- Étienne Maurice Gérard (1773-1852), général de Napoléon 1er, fait maréchal de France sous Louis-Philippe en 1830. Né le 4 avril 1773 à Damvillers.
- Jules Liégeois (1833-1908), juriste.
- Louis Henri Loison (1771-1816), général de division de la Révolution et de l'Empire.
- Maurice Louis Saint-Rémy (1769-1841), général de brigade du Premier Empire.
- L'annuaire statistique de 1804 du département de la Meuse[24] indique que « Cette ville fut le lieu de naissance de Desroziers, ce célèbre et malheureux aéronaute ». Il est cependant établi que Jean-François Pilâtre de Rozier est né à Metz et non à Damvillers, mais peut-être y a-t-il vécu durant son enfance ?
- Jean-Baptiste de Ternant (1751-1833), ambassadeur de France aux États-Unis de 1791 à 1793, né à Damvillers le 12 décembre 1751.
Héraldique
modifierBlason | Parti : au premier, burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules à double queue, armé lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout ; au deuxième, d'azur semé de fleurs de lys d'or, au bâton de gueules péri en bande. |
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---|---|---|
Détails | Les armes de Luxembourg, font allusion à la propriété des ducs de Luxembourg sur cette ville[62]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | En losange, mi-parti à dextre, burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules losangé d'azur, couronné et armé d’or, à la queue fourchue (qui est de Luxembourg) ; et à sénestre, d'azur semé de fleurs de lis d'or sans nombre au bâton péri de gueules en bande (qui est de Clermont moderne)[22]. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Damviller, Meuse. Restes de l'enceinte urbaine, p. 408
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifier- Liste des communes de la Meuse
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
- Liste des monuments historiques de la Meuse
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site de l office de tourisme du Pays de Damvillers
- Damvillers sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Damvillers » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Meuse », sur habitants.fr (consulté le ).
- Itinéraires
- Informations sur les risques naturels et technologiques
- La Thinte
- La Fausse Riviere
- « Fiche communale de Damvillers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Thinte »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Damvillers et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Damvillers ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Voies routières
- Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872.
- « La religion dans la toponymie », sur Les actes du FIG 2002 - Religion et géographie, (consulté le ).
- « 1804: Annuaire statistique du département de la Meuse (vue 29) », sur achirves.meuse.fr.
- http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/fichecommunale.asp?codedep=55&codecom=145
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Partnerstädte » Site web de la ville de Zierenberg, consulté le 26 mars 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint Maur de la Source Vive
- Cimetières israélites d'Alsace et de Lorraine
- Statue de Jules Bastien-Lepage, par Kévin Goeuriot, historien de la Lorraine, écrivain et professeur d’histoire-géographie]
- « Les plus épais, les plus hauts et les plus anciens saules blancs (Salix alba) », sur monumentaltrees.com (consulté le ).
- Notice no PM55002611, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Sabre d'honneur et épée du maréchal Gérard
- « Église Saint-Maurice », notice no IA00049021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM55002081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Coq de clocher
- Notice no IM55002075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture 3 verrières figurées (baies 0, 1, 2)
- Notice no IM55002077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture 2 verrières figurées (baies 3, 4)
- Notice no IM55002080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Verrière figurée monument aux morts de la guerre 1914-1918
- Notice no PM55000207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Notre-Dame de Consolation
- Notice no PM55002762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : saint Hubert
- Notice no PM55002608, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau et son cadre : Saint Maurice martyr
- Notice no IM55002085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Chaire à prêcher
- Notice no IM55002107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue
- Orgue d'occasion posé par Paul Mack (1930)
- Ancienne chapelle Saint-Hubert de Gibercy
- « Chapelle funéraire de la famille Loyson », notice no IA00049124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « 3 verrières à personnages (baies 0, 1, 2) », notice no IM55002109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Patrimoine juif de Lorraine
- Les Juifs dans le Barrois et la Meuse du Moyen Age à nos jours, par Georges Weill
- Présence juive en Alsace et Lorraine médiévales : dictionnaire de géographie historique
- Cimetière allemand Ce cimetière contient 1113 soldats allemands morts lors de la première guerre mondiale et 4 soldats austro-hongrois, 2 soldats belges
- Monument aux morts
- Dans ce film tourné en Tchécoslovaquie et qui reçut le Golden Globe en 1980, le panneau indicateur Hessenplatz-Damvillers-Azannes est visible dans la scène où Guillaume II vient remettre la croix de fer à trois soldats.
- Service historique de la Défense. Personnel de l’armée de l’Air
- Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur