Damvillers

commune française du département de la Meuse

Damvillers [dɑ̃vile] est une commune française située dans le département de la Meuse, dans la région historique et culturelle de Lorraine, en région Grand Est.

Damvillers
Damvillers
Église Saint-Maurice.
Blason de Damvillers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes de Damvillers Spincourt
Maire
Mandat
Anne Postal
2020-2026
Code postal 55150
Code commune 55145
Démographie
Gentilé Damvillois[1]
Population
municipale
618 hab. (2021 en évolution de −5,36 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 36″ nord, 5° 24′ 02″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 353 m
Superficie 18,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montmédy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Damvillers
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Damvillers
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Damvillers
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Damvillers

Géographie

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La commune est à 2,3 km de Etrayes, 4,3 de Moirey-Flabas-Crépon, 24,5 de Verdun[2] et 80 de Luxembourg (ville).

Écarts et lieux-dits : Gibercy.

Géologie et relief

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Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse, par le BRGM :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques

Sismicité

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Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[3].

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Thinte[4], le ruisseau du Bois de Chavrelle, le ruisseau du Bois de Damvillers, le ruisseau Aux Tripes, le ruisseau d'Etraye, le ruisseau de Reville, la Fausse Rivière[5], le ruisseau de l'Eaufontaine, le ruisseau de Maurupt, le ruisseau de Peuvillers, le ruisseau de Prelle et le ruisseau de Wavrille[6],[Carte 1].

La Thinte, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune de Azannes-et-Soumazannes et se jette dans le Loison à Vittarville, après avoir traversé neuf communes[7].

 
Réseau hydrographique de Damvillers[Note 1].

Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : les Etangs les Monti (4,5 ha), les étangs Monti (3,5 ha) et l'étang de la Planchette (1,8 ha)[Carte 1],[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 18 km à vol d'oiseau[11], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Intercommunalité

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Commune membre de la Communauté de communes de Damvillers Spincourt.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Damvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,1 %), forêts (28,6 %), terres arables (24,4 %), zones urbanisées (4,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[20].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

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Voies routières

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  • D 19 vers Étrayes[21].
  • D 65 vers Moirey--Flabas-Crépon.
  • D 102 vers Écurey-en-Verdunois.

Transports en commun

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Lignes SNCF

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Gare de Longuyon.

Toponymie

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Anciennes mentions : Damvillerium (1086) ; Danviler (1204) ; Danvillers (1238) ; Villarum de Danvillers (1324) ; Moneta Damviller, moneta Damvile (XIVe siècle) ; Danviller (1413) ; Dampvillers (1538) ; Dampvilliers (1549) ; De Dompnovillari (1642) ; Danvilliers (1661) ; Damvillæum (1679) ; Damviller (1700) ; Dampville (1730) ; Damvillé, Danis-villa (1738) ; Damvilliers (1745)[22].

Damvillers : de Dom, contraction du latin dominus « seigneur », a pris au VIIIe siècle le sens de ''saint'' formation fréquente dans les régions germanisées, particulièrement dans l'Est de la France[23] et Villers est un appellatif toponymique français et un patronyme qui procède du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica. L'origine du nom viendrait de la juxtaposition du château de Dame, qui protégeait le village au Moyen Âge, et du couvent de Villiers, qui lui était rattaché[24].

Histoire

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En 1285, Jean de Muraut ou Murauvaux, l'un des quatre pairs de l'évêque de Verdun, se trouvait au tournoi de Chauvency. Jacques Bretel en fait le héros d'une des joutes qu'il raconte. Le château de Muraut (détruit à l'époque de Louis XIII) se trouvait sur une des buttes, à l'écart de Damvillers, à la lisière de la forêt. Son autre résidence (également disparue aujourd'hui) aurait été, selon l'ancien historien J. Havet, le château de Murauvaux, près de Mont-Villers.

En 1317, Damvillers était un petit village dépendant du Duché du Luxembourg, protégé par un château qu'a habité Béatrix, reine de Bohême. Charles Quint en fit une place forte qui, après avoir soutenu plusieurs sièges et avoir appartenu à diverses puissances, fut cédé à la France par le traité des Pyrénées en 1659[24]. Damvillers fit ensuite partie du Luxembourg français jusqu'en 1790. Fut chef-lieu de prévôté[22].

En 1741, le Maréchal de Belle-Isle, fit vider les fossés des fortifications et fit fermer la ville par des palissades et des chevaux de frise.

En 1552, Henri II, lors du « voyage d'Allemagne », revient d'Alsace et s'empare le 11 juin de la ville qui a soutenu un siège de huit jours. Lors de cette bataille Ambroise Paré, chirurgien du roi, expérimenta la ligature artérielle lors de l'amputation.

Était rattaché au diocèse de Verdun.

Fusion de communes

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Le , Damvillers fusionne avec Gibercy sous le régime de la fusion simple[25].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1852   Jean-Baptiste Gérard    
1861   Gaspard Marchal    
1872   Gilbert Hyppolite Carton    
avant 1995 mars 2014 Roland Jehannin PS Conseiller général du canton de Damvillers (2008-2015)
mars 2014 mai 2020 Jacques Stalars    
mai 2020 En cours Anne Postal[26]    

Budget et fiscalité 2022

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En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 461 000 , soit 658  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 383 000 , soit 546  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 238 000 , soit 339  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 138 000 , soit 197  par habitant ;
  • endettement : 136 000 , soit 194  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 2,31 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 27,02 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 4,93 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 510 [28].

Jumelage

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 618 habitants[Note 4], en évolution de −5,36 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7798099179921 0751 0459981 028978
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
879934910834840809791837830
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
746746680614635531473441522
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
566588631674627620636653655
2015 2020 2021 - - - - - -
653618618------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[34] :

  • Écoles maternelle et primaire.
  • Collège à Damvillers.
  • Lycées à Verdun.

Professionnels et établissements de santé[35] :

  • Médecins à Damvillers, Marville, Charny-sur-Meuse, Dun-sur-Meuse,
  • Pharmacies à Marville, Dun-sur-Meuse, Belleville-sur-Meuse, Longuyon,
  • Hôpitaux à Longuyon, Mont-Saint-Martin, Briey, Villerupt.

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Sylviculture et autres activités forestières.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.

Tourisme

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  • Hébergements et restauration.

Commerces

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  • Commerces et services de proximité.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Arbre remarquable

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Sur la route D905 menant à Damvillers, il y a un saule blanc (salix alba), d'une circonférence de 8,04 mètres. C'est le deuxième plus gros saule blanc recensé sur le territoire français et le douzième du monde[39].

Édifices civils

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Édifices religieux

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Coq de clocher[42].
Verrières[43],[44].
Verrière figurée monument aux morts de la guerre 1914-1918[45].
Statue Notre-Dame de Consolation[46].
Statue Saint Hubert[47]
Tableau et son cadre Saint Maurice martyr[48].
Chaire à prêcher[49].
Orgue[50],[51].

Damvillers au cinéma

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Damvillers est l'un des lieux où se déroule l'action du téléfilm À l'Ouest, rien de nouveau tourné en 1978 (en Tchécoslovaquie) par Delbert Mann d'après le roman éponyme d'Erich Maria Remarque[60].

Personnalités liées à la commune

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  • Maurice René Baland (1904-1993), colonel de l'air[61], officier de la Légion d'honneur.
  • Émile Bastien-Lepage (1854-1938), peintre français, frère du suivant.
  • Jules Bastien-Lepage (1848-1884), peintre naturaliste français, né le 1er novembre 1848 à Damvillers.
  • Étienne Maurice Gérard (1773-1852), général de Napoléon 1er, fait maréchal de France sous Louis-Philippe en 1830. Né le 4 avril 1773 à Damvillers.
  • Jules Liégeois (1833-1908), juriste.
  • Louis Henri Loison (1771-1816), général de division de la Révolution et de l'Empire.
  • Maurice Louis Saint-Rémy (1769-1841), général de brigade du Premier Empire.
  • L'annuaire statistique de 1804 du département de la Meuse[24] indique que « Cette ville fut le lieu de naissance de Desroziers, ce célèbre et malheureux aéronaute ». Il est cependant établi que Jean-François Pilâtre de Rozier est né à Metz et non à Damvillers, mais peut-être y a-t-il vécu durant son enfance ?
  • Jean-Baptiste de Ternant (1751-1833), ambassadeur de France aux États-Unis de 1791 à 1793, né à Damvillers le 12 décembre 1751.

Héraldique

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  Blason
Parti : au premier, burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules à double queue, armé lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout ; au deuxième, d'azur semé de fleurs de lys d'or, au bâton de gueules péri en bande.
Détails
Les armes de Luxembourg, font allusion à la propriété des ducs de Luxembourg sur cette ville[62].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
 
Blason à dessiner
En losange, mi-parti à dextre, burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules losangé d'azur, couronné et armé d’or, à la queue fourchue (qui est de Luxembourg) ; et à sénestre, d'azur semé de fleurs de lis d'or sans nombre au bâton péri de gueules en bande (qui est de Clermont moderne)[22].

Voir aussi

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Bibliographie

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Regards sur Damvillers (Meuse), découvrez son Histoire et son patrimoine

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Damvillers » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meuse », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Itinéraires
  3. Informations sur les risques naturels et technologiques
  4. La Thinte
  5. La Fausse Riviere
  6. « Fiche communale de Damvillers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  7. Sandre, « la Thinte »
  8. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Damvillers et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune de Damvillers ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Voies routières
  22. a b et c Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872.
  23. « La religion dans la toponymie », sur Les actes du FIG 2002 - Religion et géographie, (consulté le ).
  24. a b et c « 1804: Annuaire statistique du département de la Meuse (vue 29) », sur achirves.meuse.fr.
  25. http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/fichecommunale.asp?codedep=55&codecom=145
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Les comptes de la commune
  28. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  29. « Partnerstädte » Site web de la ville de Zierenberg, consulté le 26 mars 2017.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Établissements d'enseignements
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. Paroisse Saint Maur de la Source Vive
  37. Cimetières israélites d'Alsace et de Lorraine
  38. Statue de Jules Bastien-Lepage, par Kévin Goeuriot, historien de la Lorraine, écrivain et professeur d’histoire-géographie]
  39. « Les plus épais, les plus hauts et les plus anciens saules blancs (Salix alba) », sur monumentaltrees.com (consulté le ).
  40. Notice no PM55002611, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Sabre d'honneur et épée du maréchal Gérard
  41. « Église Saint-Maurice », notice no IA00049021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IM55002081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Coq de clocher
  43. Notice no IM55002075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture 3 verrières figurées (baies 0, 1, 2)
  44. Notice no IM55002077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture 2 verrières figurées (baies 3, 4)
  45. Notice no IM55002080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Verrière figurée monument aux morts de la guerre 1914-1918
  46. Notice no PM55000207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Notre-Dame de Consolation
  47. Notice no PM55002762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : saint Hubert
  48. Notice no PM55002608, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau et son cadre : Saint Maurice martyr
  49. Notice no IM55002085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Chaire à prêcher
  50. Notice no IM55002107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue
  51. Orgue d'occasion posé par Paul Mack (1930)
  52. Ancienne chapelle Saint-Hubert de Gibercy
  53. « Chapelle funéraire de la famille Loyson », notice no IA00049124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « 3 verrières à personnages (baies 0, 1, 2) », notice no IM55002109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. Patrimoine juif de Lorraine
  56. Les Juifs dans le Barrois et la Meuse du Moyen Age à nos jours, par Georges Weill
  57. Présence juive en Alsace et Lorraine médiévales : dictionnaire de géographie historique
  58. Cimetière allemand Ce cimetière contient 1113 soldats allemands morts lors de la première guerre mondiale et 4 soldats austro-hongrois, 2 soldats belges
  59. Monument aux morts
  60. Dans ce film tourné en Tchécoslovaquie et qui reçut le Golden Globe en 1980, le panneau indicateur Hessenplatz-Damvillers-Azannes est visible dans la scène où Guillaume II vient remettre la croix de fer à trois soldats.
  61. Service historique de la Défense. Personnel de l’armée de l’Air
  62. Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
  NODES
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Note 8
Project 2