Fagnières
Fagnières est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.
Fagnières | |
Église Saint-Remi et le monument aux morts. | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Châlons-en-Champagne |
Intercommunalité | CA de Châlons-en-Champagne |
Maire Mandat |
Denis Fenat 2020-2026 |
Code postal | 51510 |
Code commune | 51242 |
Démographie | |
Gentilé | Fagnérots |
Population municipale |
4 877 hab. (2021 ) |
Densité | 250 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 57′ 51″ nord, 4° 19′ 09″ est |
Altitude | Min. 77 m Max. 122 m |
Superficie | 19,48 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Châlons-en-Champagne (banlieue) |
Aire d'attraction | Châlons-en-Champagne (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Châlons-en-Champagne-1 |
Législatives | 4e circonscription de la Marne |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.fagnieres.fr/ |
modifier |
Ses habitants sont appelés des Fagnérots et Fagnérotes.
Géographie
modifierDescription
modifierFagnières est une petite ville périurbaine du Nord-Est de la France, située en région Grand Est, plus précisément dans le département de la Marne, près de la préfecture Châlons-en-Champagne.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Marne et le cours d'eau 01 de la commune de Fagnières[1],[Carte 1].
La Marne prend sa source sur le plateau de Langres, dans la commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne) dans le quartier de Conflans-l'Archevêque[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Marne sont données par la station hydrologique située sur la commune de Fagnières. Le débit moyen mensuel est de 70,7 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 483 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 492 m3/s, atteint le [3].
Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau 1 de la communes de Fagnières (2,6 ha), les étangs Saint-Hubert (2,4 ha) et l'étang Renaudin (9,6 ha)[Carte 1],[4].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 632,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 3],[7],[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,5 | 0,6 | 2,6 | 4,8 | 8,5 | 11,3 | 13,4 | 13,2 | 10,1 | 7,5 | 3,8 | 1,4 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 3,4 | 4,1 | 7,3 | 10,4 | 14,1 | 17,2 | 19,6 | 19,4 | 15,7 | 11,7 | 6,9 | 4,1 | 11,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,2 | 7,6 | 12 | 16 | 19,7 | 23,1 | 25,9 | 25,6 | 21,2 | 16 | 10 | 6,7 | 15,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−21 06.01.1985 |
−14,6 07.02.1991 |
−12,4 01.03.05 |
−5,2 11.04.03 |
−0,7 08.05.1997 |
0,3 04.06.1991 |
4 22.07.1980 |
3,6 28.08.1979 |
0,8 17.09.1971 |
−4 17.10.1992 |
−13 24.11.1998 |
−18 29.12.1976 |
−21 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,9 05.01.1999 |
20,5 27.02.19 |
24,9 30.03.21 |
28,7 20.04.18 |
32,3 28.05.17 |
36,7 28.06.11 |
41,8 25.07.19 |
41,1 12.08.03 |
34,1 05.09.23 |
28,4 13.10.23 |
21,8 07.11.15 |
16,8 16.12.1989 |
41,8 2019 |
Précipitations (mm) | 49,4 | 44,1 | 43,7 | 43,4 | 55,2 | 56,5 | 56,2 | 56,5 | 49 | 59,5 | 55,4 | 63,4 | 632,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,2 0,5 49,4 | 7,6 0,6 44,1 | 12 2,6 43,7 | 16 4,8 43,4 | 19,7 8,5 55,2 | 23,1 11,3 56,5 | 25,9 13,4 56,2 | 25,6 13,2 56,5 | 21,2 10,1 49 | 16 7,5 59,5 | 10 3,8 55,4 | 6,7 1,4 63,4 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Fagnières est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châlons-en-Champagne[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,2 %), zones urbanisées (10,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), eaux continentales[Note 7] (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 022, alors qu'il était de 1 879 en 2013 et de 1 769 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 95,6 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fagnières en 2018 en comparaison avec celle de la Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (2,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2013), contre 51,7 % pour la Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Fagnières[I 2] | Marne[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 95,6 | 88,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,3 | 2,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,1 | 9 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Fascinariæ (VIe siècle) ; Fassineriæ (1028) ; Fasneriæ (1094) ; Clarenbaudus Fesneriacensis (1123) ; Faisneriæ (1121-1126) ; Fesneriæ (1138) ; Fainieres (1146) ; Faigneriæ (1161) ; Faisneriæ, Feisneriæ (1171) ; Faneriæ, Feneriæ (1188) ; Faisnières (1190) ; Faineriæ (1164-1191) ; Faisner (1201) ; Fainères, Fanères, Fainiers, les Fainieres, Frainieres, Fresnieres (vers 1222) ; Fasnier (1252) ; Fenieres (vers 1252) ; Fanieres (1273) ; Faigniere (vers 1274) ; Fanieriæ (1276) ; Fayneriæ (1278) ; Les Fenieres (vers 1300) ; Fannyeres (1323) ; Faignieres (1324) ; Fesnieres (1371) ; Fagneriæ (1405) ; Fagnierez, Faynieres (1406)[16].
Fascinariæ au VIe ou Fasneriæ en 1094 du latin fascina qui signifie fagot et suffixe collectif aria au pluriel qui désignait des « ensembles de fascines » pour désigner un bois ou du bois[17]. Selon Albert Dauzat, Fascinariæ signifierait « fagot de bois »[18]. La coutume locale donnait une autre interprétation au toponyme de Fagnières en citant l'« Hêtre noir » qui abondait dans les zones inondables.
Histoire
modifierDurant l'été 1892, dans une tourbière de Fagnières, un morceau de côte, un astragale et des dents d'un jeune bovidé ont été retrouvés avec une hache polie[19].
Un enclos protohistorique circulaire de 20 m et ayant deux entrées fut découvert à la Noue du moulin, il contenait huit sépultures[20].
Un diagnostic archéologique opéré au sud du centre du village a permis de mettre au jour une structure pré- ou protohistorique, du mobilier de la première moitié du XVe siècle et une potentielle construction sur poteaux de plus de 40 m²[21].
Au Moyen Âge, la seigneurie appartenait à une famille qui détenait le château de Fagnières du XIIe au XIVe siècle au moins. Au début du XVIe siècle, la seigneurie change de main, avant d'être partagée par plusieurs familles. Un hôpital pour pestiférés est attesté dès 1043 à l'abbaye de Toussaints qui faisait alors partie du territoire de Fagnières[22].
Une chapelle, appelée la Chapelle-du-Reclus, Notre-Dame de la Fontaine-au-Reclus ou encore la Chapelle-de-Hurtebise, se situait au lieu-dit Hurtebise. Sa fondation remonte à une date inconnue. Une maison de ferme et des terres cultivables à proximité dépendaient de cette chapelle. Toutes ces possessions appartenaient à l'abbaye Saint-Pierre de Jovilliers. Aux XVe et XVIe siècles, on y isolait les pestiférés durant les épidémies. Elles semblent avoir été endommagées durant les guerres de la Ligue et ne jamais avoir été réparées. La chapelle est finalement démontée par la fabrique Saint-Sulpice qui remploya les matériaux dans son cimetière[23].
Un temple protestant a été construit en 1601, avant d'être démoli en 1688[22],[24].
Une partie de son territoire sur la rive gauche de la Marne a été annexée par la ville de Châlons-en-Champagne suivant l'arrêté ministériel du . La population de la commune est alors passée de 1 381 à 285 habitants.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Châlons-en-Champagne du département de la Marne.
Elle faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Châlons-sur-Marne, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Châlons-sur-Marne[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du nouveau canton de Châlons-en-Champagne-1.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Marne.
Intercommunalité
modifierFagnières est membre de la communauté d'agglomération de Châlons-en-Champagne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Marne, la liste EELV menée par le maire sortant Alain Biaux obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 278 voix (52,83 %, 21 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[26] :
- Gérard Kestler (DVD, 557 voix, 23,02 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Thierry Besson (FN, 352 voix, 14,55 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- José Antunes (DVD, 232 voix, 9,59 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 37,18 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans la Marne, la liste EELV menée par Denis Femat[27] — bénéficiant du soutien de l'ancien maire qui ne se représentait pas — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 688 voix (53,49 %, 22 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[28],[29] :
- Sandrine Antunes[30] (DVD, 246 voix, 19,12 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Michaël Mauvais (DIV, 217 voix, 16,87 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Thierry Besson (RN, 135 voix, 10,49 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 59,25 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 4 877 habitants[Note 8], en évolution de +2,72 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,5 % la même année, alors qu'il est de 25,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 386 hommes pour 2 452 femmes, soit un taux de 50,68 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,6 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Remi : nef romane, bas-côté nord début XIXe siècle. Abside, transept, bas-côté sud et façade occidentale reconstruits en deux campagnes par l'architecte châlonnais François Poisel (entre 1850 et 1870). La tour de croisée octogonale est un beau plagiat de l'architecture flamboyante. Deux cloches. Vitraux en pavés de verre[41].
Personnalités liées à la commune
modifier- Le docteur Jules Guyot a géré un domaine viticole de 16 hectares à Fagnières dans les années 1840-1850[42].
Héraldique
modifierBlason | D'azur au chevron d'argent accompagné, en chef, de deux moulinets du même emmanchés d'or et, en pointe, d'une épée aussi d'or. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Fagnières (51242) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Fagnières »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Fagnières » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:01 TU à partir des 420 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/1989 au 01/04/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Châlons-en-Champagne comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Fagnières » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Fagnières ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Fagnières » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Fagnières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Fagnières - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Marne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Fiche communale de Fagnières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Sandre, « la Marne »
- « Station hydrométrique La Marne à Châlons-en-Champagne », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fagnières-Inra » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fagnières-Inra » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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- M. Didier et al., « Les fascines de ligneux », Sciences Eaux & Territoires, no 43, (DOI 10.20870/Revue-SET.2023.43.7707, lire en ligne).
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- Archéologie préventive de 1981.
- Geert Verbrugghe, « Fagnières (Marne). Parcelles YD 6, 7 et 8 », Archéologie médiévale, no 50, , p. 373–374 (ISSN 0153-9337, DOI 10.4000/archeomed.33701, lire en ligne, consulté le )
- Édouard de Barthélemy, Diocèse ancien de Châlons-sur-Marne - Histoire et Monuments, II, A. Aubry, (lire en ligne), p. 33-34
- Louis Grignon, Topographie historique de la ville de Châlons-sur-Marne, (lire en ligne), p. 39-40
- H. Dannreuther, « L'ÉGLISE RÉFORMÉE DE CHALONS-SUR-MARNE en 1622 et 1629 », Bulletin historique et littéraire (Société de l'Histoire du Protestantisme Français), vol. 39, no 6, , p. 314 (ISSN 1141-0558, lire en ligne, consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Fagnières
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- Ministère de l'Intérieur, « Élections municipales et communautaires 2020 : Résultats reçus 1er tour Marne (51) - Fagnières », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
- « Municipales 2020: Denis Fenat l’emporte largement à Fagnières : Les résultats sont tombés dans la commune où la participation s’élève à seulement 34,93 % », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- Sonia Legendre, « Ces femmes qui mènent campagne », sur lhebdoduvendredi.com, L'Hebdo du vendredi, (consulté le ).
- [PDF] Liste des maires de Fagnières
- Almanach Matot-Braine de 1877, p162.
- « Denis Fenat, candidat au poste de maire à Fagnières : La majorité sortante présente une liste nommée « Fagnières demain, toujours ensemble » à la fois expérimentée et renouvelée pour les municipales. Entretien avec son chef de file, Denis Fenat », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Denis Fenat, candidat au poste de maire à Fagnières : La majorité sortante présente une liste nommée « Fagnières demain, toujours ensemble » à la fois expérimentée et renouvelée pour les municipales. Entretien avec son chef de file, Denis Fenat », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu de la séance du conseil municipal du 3 juillet 2020 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Les délibérations, sur fagnieres.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fagnières (51242) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Marne (51) », (consulté le ).
- Sylvain Mikus, "L'architecte François Poisel en son temps", Etudes Marnaises, Société d'Agriculture, Commerce, Sciences et Arts de la Marne, 2004
- Claudine Wolikow, « Le docteur Jules Guyot (1807-1872), médecin-hygiéniste, transfuge et expert des vignobles de France », Territoires du vin, no 4, (ISSN 1760-5296, lire en ligne, consulté le )