Gelles
Gelles (/ʒɛl/) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Gelles | |||||
L'église Saint-Georges de Gelles en 2014. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Issoire | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dômes Sancy Artense | ||||
Maire Mandat |
Luc Gourdy 2020-2026 |
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Code postal | 63740 | ||||
Code commune | 63163 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gellois | ||||
Population municipale |
936 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 46′ 13″ nord, 2° 45′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 690 m Max. 1 044 m |
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Superficie | 47,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orcines | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-gelles.fr | ||||
modifier |
Ses habitants sont appelés les Gellois et les Gelloises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierElle se situe dans la région naturelle des Combrailles, à la limite du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.
Gelles est limitrophe de neuf autres communes dont une, Olby, par un simple quadripoint.
Géologie et relief
modifierPuys
modifier- Puy de Banson - 1 044 m
- Puy de Boucaud - 1 035 m
- Puy des Bruyères - 889 m
- Puy des Chabannes - 802 m
- Puy Chalus - 776 m
- Puy de Lauradoux - 952 m
- Puy de Neuffont - 964 m
- Puy de la Vialle - 955 m
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 119 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,1 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1,2 | −1,5 | 0,8 | 2,9 | 6,4 | 9,9 | 11,6 | 11,4 | 8,1 | 5,7 | 1,9 | −0,5 | 4,6 |
Température moyenne (°C) | 2,3 | 2,6 | 5,6 | 8 | 11,9 | 15,6 | 17,6 | 17,5 | 13,8 | 10,5 | 5,7 | 3 | 9,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,8 | 6,7 | 10,5 | 13,2 | 17,5 | 21,3 | 23,6 | 23,7 | 19,5 | 15,2 | 9,5 | 6,5 | 14,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−25 09.01.1985 |
−20,2 07.02.12 |
−19,8 01.03.05 |
−7,2 22.04.1991 |
−3 01.05.1984 |
−1,5 02.06.1975 |
2 17.07.00 |
1 02.08.1976 |
−2,2 22.09.1977 |
−8,5 25.10.03 |
−12,5 22.11.1998 |
−17,5 02.12.1980 |
−25 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,7 01.01.22 |
22,9 26.02.19 |
24 31.03.21 |
27,6 30.04.05 |
30,7 22.05.22 |
36,9 29.06.19 |
37 31.07.20 |
37,8 18.08.12 |
33,9 04.09.23 |
31,1 01.10.23 |
25,1 08.11.15 |
21 03.12.1985 |
37,8 2012 |
Précipitations (mm) | 84 | 75,7 | 72,3 | 86,2 | 89,4 | 92,9 | 86,7 | 81,3 | 83,3 | 82 | 98,6 | 93,7 | 1 026,1 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gelles est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[7]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,4 %), forêts (21,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierOutre le bourg de Gelles, la commune est composée de 28 hameaux : Augère, Banson, les Boucheaux, Brigaudix, Commeaux, la Croix, Hyvon, Labbas, les Madras, Magnol, la Miouze, Monges, le Montel, Mont la Côte, la Narse, Neuffont, Pidouze, la Prade, les Quintins, Rochette, Say, Say-Soubre, Tracros, Vareilles, la Vendeix, la Vergne, Villatiers, Villevieille.
Histoire
modifierAu Moyen Âge, le hameau de Banson était le siège d'une seigneurie mentionnée à la fin du XIIe siècle. Le château fort de Banson, implanté à 500 m environ au nord-ouest du hameau, comportait une enceinte flanquée de quatre tours circulaires avec leur mâchicoulis et un fossé. Pendant la guerre de Cent Ans, il a été occupé par des routiers de 1360 à 1375, date à laquelle ils en ont été chassés par Louis II de Bourbon. Le dernier seigneur de la maison de Banson, Érard, lègue en 1434 le fief et le château à un parent, Guillaume d'Aubusson. En 1674, François d'Aubusson, écuyer, seigneur de Banson et de La Mallerée de Cébazat, habite le château de Banson, il a servi dans les mousquetaires du roi et est alors capitaine d'une compagnie d'infanterie dans le régiment de Champagne. Du château fort, il ne reste que les vestiges de deux tours arasées ainsi qu'une salle basse. Une maison de maître a été établie sur le site au XVIIIe siècle.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Gelles est membre de la communauté de communes Dômes Sancy Artense[7], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rochefort-Montagne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[11]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes de Rochefort-Montagne[12].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Issoire depuis 2017[Note 2], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[7]. De 1801 à , elle faisait partie du canton de Rochefort-Montagne[15].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Orcines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[7], et de la troisième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[15].
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections de 2020
modifierLe conseil municipal de Gelles, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[16] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[17]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente candidats en lice, quinze ont été élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 81,22 %[18].
Chronologie des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2021, la commune comptait 936 habitants[Note 3], en évolution de −0,95 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLa commune dispose de deux églises :
- l'église Saint-Georges, connue dès 1165[25]. Elle est inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel ;
- l'église Saint-Jean, au hameau de Monges, reconstruite au début du XXe siècle, qui a succédé à une première église, connue en 1246[26]. Elle est inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel ;
- une cinquantaine de croix monumentaless des XIXe et XXe siècles en lave, granite, bois, fer, fonte ou béton sont érigées sur le territoire communal[27].
- la Maison Familiale Rurale (MFR), un établissement de formation agricole en alternance[28].
Dans différents hameaux, on trouve des traces du passé :
- les vestiges du château fort de Banson ;
- un pigeonnier à Say-Soubre ;
- des lavoirs aux Quintins et à Villatiers ;
- une fontaine à Mont-la-Côte ;
- des fours à pains à Tracros, à Magnol ;
- des bacs à Villevieille, à Commeaux, à Neuffont ainsi qu'à Say ;
- des entraves à Vareilles et à Say.
Les hommes ont aussi transformé le paysage en créant des étangs :
- l'étang de Banson (1980) ;
- l'étang Michelin (1980) ;
- l'étang Chambon (1970-1975).
Il y a aussi des curiosités naturelles :
- la roche branlante à Mont-la-Côte[29] ;
- des panoramas sur la chaîne des Puys et celle des monts Dore ;
- la cascade de Say.
-
Le chevet de l'église Saint-Georges.
-
Le portail de l'église Saint-Georges.
-
Croix de lave contre l'église Saint-Georges.
-
Croix de lave contre l'église Saint-Georges.
-
Vue générale de la gare de La Miouze-Rochefort.
-
Le bâtiment voyageurs de la gare de La Miouze-Rochefort.
-
Lac de Gelles.
Personnalités liées à la commune
modifier- Rémy Julienne (1930-2021), cascadeur, a vécu au château de Neuffont à Gelles.
- Bernard Planche (1953-), ex-otage en Irak et né à Clermont-Ferrand, avait été placé en famille d'accueil à Gelles à l'âge de 8 ans.
- Eugène Roy (1882-1938), homme politique, est né à Gelles. Un membre de sa famille est le poète patoisant Jean Roy (1773-1853), ancien maire de Gelles[30].
- Gilbert Gaillard (1843-1898), homme politique, maire de Gelles de 1892 à 1898.
- Pierre Tullon (1851-1918), peintre originaire de Gelles[31],[32].
Héraldique
modifierVoir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme ont été modifiées afin que chaque nouvel établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre soit rattaché à un seul arrondissement au [13]. La communauté de communes Dômes Sancy Artense à laquelle appartient la commune est rattachée à l'arrondissement d'Issoire ; ainsi, Gelles est passée le de l'arrondissement de Clermont-Ferrand à celui d'Issoire[14].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Gelles » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Gelles » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gelles ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- « CC Dômes Sancy Artense (No SIREN : 200069169) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC de Rochefort-Montagne (No SIREN : 246300909) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Modification des limites territoriales des arrondissements du Puy-de-Dôme au », sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- Préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté no 16-536 du 21 décembre 2016 portant sur les modifications des limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-065, sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 211-214.
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Article L. 252 du Code électoral.
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 3.
- « Les élus de la Communautés de Communes de Rochefort-Montagne », Communauté de communes de Rochefort-Montagne (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église paroissiale Saint-Georges », notice no IA63000347, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 juin 2014
- « Église paroissiale Saint-Jean », notice no IA63000352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 juin 2014
- « Croix monumentales », notice no IA63000345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 juillet 2014.
- https://mfr-gelles.fr/locations/
- « Roches branlantes d'Orcival et de Gelles », sur auvergne-destination.com (consulté le ).
- Laurent Beaudonnat, « Le poète patoisant Jean Roy », Le Gonfanon, Association de recherches généalogiques et historiques sur l'Auvergne (Argha), no 81, .
- Laurent Beaudonnat, « Pierre Tullon, un peintre auvergnat méconnu », Le Gonfanon, Association de recherches généalogiques et historiques sur l'Auvergne (Argha), no 86, .
- Hughes Brivet, « Pierre Tullon berger auvergnat, peintre parisien », sur Blog d'HABEO Art et Estampes (consulté le ).