Gemmelaincourt
Gemmelaincourt est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Gemmelaincourt | |
Le Jardin des Lys. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes Terre d'Eau |
Maire Mandat |
Alexandre Mouginot 2020-2026 |
Code postal | 88170 |
Code commune | 88194 |
Démographie | |
Gentilé | Gemmelaincourtois, Gemmelaincourtoises |
Population municipale |
131 hab. (2021 ) |
Densité | 18 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 16′ 35″ nord, 5° 58′ 07″ est |
Altitude | 379 m Min. 328 m Max. 431 m |
Superficie | 7,42 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Vittel - Contrexéville (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vittel |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierGemmelaincourt est une petite commune rurale de l'Ouest vosgien, située dans la vallée de la Vraine entre Domjulien et Saint-Menge, 12 km au nord de Vittel.
Géologie et relief
modifierSismicité
modifierCommune située dans une zone 3 de sismicité modérée[1].
Communes limitrophes
modifierSaint-Menge | Ménil-en-Xaintois | Rouvres-en-Xaintois Offroicourt |
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N | Viviers-lès-Offroicourt | |||
O Gemmelaincourt E | ||||
S | ||||
Belmont-sur-Vair | Parey-sous-Montfort | Domjulien |
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Réseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la ruisseau la Vraine, le ruisseau du Puits de Haie et le ruisseau la Deuille[2],[Carte 1].
La Vraine, d'une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune de Domjulien et se jette dans le Vair à Removille, face à Vouxey, après avoir traversé dix communes[3].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[4].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gemmelaincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,9 %), forêts (33,8 %), terres arables (20,9 %), zones urbanisées (3,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierAu cours du XIXe siècle, le nom de cette commune, appelée Gemenaincourt dans un arrêté de l’an X, a revêtu différentes formes dans les actes d’état-civil : Gemnaincourt, Gemenaincourt ou encore Gemelaincourt. Ce n’est qu’après 1857 que la forme actuelle sera remise en usage[17].
Histoire
modifierGemmelaincourt appartenait au bailliage de Mirecourt. Son église, dédiée à saint Maur, relevait du diocèse de Toul, doyenné de Porsas. La cure, érigée en 1730, était auparavant annexe de Saint-Menge, à la collation du chapitre de Remiremont et au concours[18]. En 1758, la paroisse a reçu un curé du nom de Maximilien-François-Gabriel Hadol. Le curé Hadol fut exécuté en martyr sur l'échafaud à Nancy le 21 juin 1794, pendant la Révolution française[19].
Le château de Gemmelaincourt (Appelé aussi le château de Bassompierre) a été édifié au XVIIIe siècle par le seigneur de Bassompierre, sur les vestiges d’un ancien relais de chasse. La plaque de fondation porte la date de 1778. Il en était copropriétaire avec les chanoinesses de Remiremont. Le château est passé entre les mains du marquis d’Hennezel, propriétaire de verreries[20]. Il servit ensuite de presbytère avant d'être vendu par la commune. Le peintre et graveur nancéien Franck Hommage entreprit de le restaurer mais la bâtisse fut partiellement détruite dans un incendie le [21].
Le château de Bassompierre à Gemmelaincourt était donc la propriété du marquis Léopold d'Hennezel pendant la Révolution française. Le marquis d'Hennezel devait être exécuté le 30 juillet 1793 à Mirecourt. On l'accusait d'avoir entravé les mesures de recrutement qui avaient lieu à l'époque et d'avoir déjà tenté de s'enfuir à l'étranger en 1792. Il parvint cependant à s'échapper de la prison la veille de son exécution et à se réfugier en Suisse. En 1800, il revint en France et mourut à l'âge de 89 ans à Gemmelaincourt[22].
-
Château de Gemmelaincourt (Château de Bassompierre)
La prise de conscience croissante de l'hygiène au 19e siècle a entraîné la construction de nombreux lavoirs dans toute la France. Gemmelaincourt n'échappe pas à la règle : on y trouve quatre de ces constructions historiques, chaque lavoir étant unique et différent des autres. Avec l'introduction de la machine à laver, les lavoirs ont toutefois perdu leur signification initiale[23].
Des mines de charbon sont actives sur la commune entre 1853 et 1912 avant d'être relancés une dernière fois dans les années 1940. La commune faisait partie de la même concession que sa voisine Saint-Menge. 120 000 tonnes de charbon sont produites entre 1902 et 1912. Un lavoir à charbon et une cité minière sont construits[24]. De plus, un chemin de fer à voie étroite a été mis en place, qui allait chercher la houille à Gemmelaincourt et qui, en passant par Saint-Menge, prenait en plus du sable pour transporter les deux à Gironcourt. Ces deux matières premières étaient nécessaires à Gironcourt pour la fabrication du verre dans la verrerie qui y était installée. Cette verrerie existe encore aujourd'hui. La maison de maître, qui appartenait à Monsieur Jules Bertrand, l'un des premiers copropriétaires de la mine de charbon, a été construite vers 1890[25].
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La cité minière.
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La maison de maître
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Le lavoir à charbon.
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Vue générale à l'époque minière.
Politique et administration
modifierBudget et fiscalité 2022
modifierEn 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :
- total des produits de fonctionnement : 187 000 €, soit 1 229 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 139 000 €, soit 912 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 268 000 €, soit 1 760 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 116 000 €, soit 762 € par habitant ;
- endettement : 191 000 €, soit 1 259 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 23,83 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 44,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 16,31 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,99 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 120 €[27].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 4], en évolution de −18,12 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[32] :
- Écoles maternelles et primaires à Gironcourt-sur-Vraine, Dombrot-sur-Vair, Rouvres-en-Xaintois, Houécourt, La Neuveville-sous-Châtenois, Saint-Remimont.
- Collèges à Mandres-sur-Vair, Vittel, Châtenois, Contrexéville, Mirecourt.
- Lycées à Mandres-sur-Vair, Contrexéville, Mirecourt.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[33] :
- Médecins à Gironcourt-sur-Vraine, Remoncourt, Vittel, Châtenois.
- Pharmacies à Gironcourt-sur-Vraine, Remoncourt, Vittel, Châtenois, Vicherey, Contrexéville.
- Hôpitaux à Vittel, Mattaincourt, Mirecourt, Neufchâteau.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Saint-Jean-Baptiste-au-Pays-de-Châtenois[34], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Exploitation forestière.
Tourisme
modifier- Hébergements et restauration à Gironcourt-sur-Vraine, Rouvres-en-Xaintois, Vittel, Saint-Paul.
Commerces
modifier- Commerces et services de proximité.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierUne sélection de lieux et monuments à découvrir :
- L'église Saint Maur accueille dans son clocher 4 cloches[35] dont 3 fondu par Honoré Perrin à Robecourt et une autre chantant le Mi3 fondu par Ferdinand Farnier à Robecourt en 1894[36].
- Le château de Gemmelaincourt[21].
- Quatre beaux lavoirs qui ont été restaurés en 2017[37].
- La mairie avec l'ancienne école[38].
- Monument aux morts[39].
- Le patrimoine naturel : 2 zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[40].
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L'église Saint-Maur.
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En 2024.
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Le château de Gemmelaincourt.
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Une des quatre fontaines à Gemmelaincourt.
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La mairie avec monument aux morts.
Les vestiges miniers liées à l'exploitation du charbon, notamment la cité minière et d'imposants terrils[24]. L'ancienne maison de maître (Le Jardin des Lys) de cette époque existe également toujours[41].
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La cité minière.
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La maison de maître
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Jonction entre le terril et l'ancien lavoir à charbon.
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Pierres de construction au puits de Deuille.
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Le terril du puits Haplat.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Gemmelaincourt : État civil et archives historiques
- R. Dormois, Houille triasique du département des Vosges, BRGM, (lire en ligne [PDF])
- Cités (Gemmelaincourt), sur www.image-est.fr/
- Gemmelaincourt en 1939-1945
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Gemmelaincourt sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Gemmelaincourt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Informations sur les risques naturels et technologiques
- « Fiche communale de Gemmelaincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la ruisseau la Vraine »
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gemmelaincourt et Lignéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gemmelaincourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Archives départementales
- Archives communales de Gemmelaincourt (an III-1933)
- « Le martyr de Gemmelaincourt - Abbé Hadol », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- Branche de Gemmelaincourt
- Article de L'Est républicain
- « le Château de Bassompierre et Léopold d'Hennezel », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- « Les lavoirs - les petites perles des Vosges », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- R. Dormois, Houille triasique du département des Vosges, BRGM, (lire en ligne [PDF]), p. 62-64 et 82-86.
- « L'houillères et la mine de Saint-Menge », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Jean-Baptiste-au-Pays-de-Châtenois
- Cloches de l'église de Gemmelaincourt
- Robécourt : Une histoire de cloches (Vosges Matin)
- « Les lavoirs - les petites perles des Vosges », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- « Gemmelaincourt avec le manoir Le Jardin des Lys », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).
- Monument aux morts
- Biodiversité dans les territoires
- « Le Jardin des Lys et les caractéristiques d'un manoir. », sur Le Jardin des Lys à Gemmelaincourt (consulté le ).