Girancourt

commune française du département des Vosges

Girancourt est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Girancourt
Girancourt
La mairie.
Blason de Girancourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Yannick Villemin
2020-2026
Code postal 88390
Code commune 88201
Démographie
Gentilé Girancourtois
Population
municipale
882 hab. (2021 en évolution de −2,22 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 51″ nord, 6° 18′ 30″ est
Altitude 352 m
Min. 337 m
Max. 461 m
Superficie 17,66 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darney
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Girancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Girancourt
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Voir sur la carte topographique des Vosges
Girancourt
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Girancourt
Liens
Site web Site officiel de la commune

Situé dans la communauté d'agglomération d'Épinal, Girancourt est traversé par le canal de l'Est, axe important creusé à la fin du XIXe siècle.

Le village a une histoire (maison-forte des Dames de Remiremont, pétrolerie), un patrimoine (croix des brûlées, église Saint-Brice, fort du système Séré de Rivières) et une activité économique (zone des Mitroches, zone de Truzey) non négligeables, mais reste toutefois un village-dortoir de la ceinture spinalienne.

Géographie

modifier

Localisation

modifier
 
Situation géographique de Girancourt.


Situé dans la plaine sous-vosgienne (partie ouest du département des Vosges), le village s'étend sur plusieurs kilomètres, le long du canal de l'Est. Il se situe par ailleurs, à « vol d'oiseau », à 10,3 km d'Épinal, préfecture du département[1].

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Girancourt
Chaumousey
Dommartin-aux-Bois   Renauvoid
Uzemain

Géologie et relief

modifier
 
Carte géologique simplifiée de Girancourt[2].
  • Bourg et limites communales
  • Grès vosgien (t1c)
  • Couches intermédiaires (t2a)
  • Grès à Voltzia (t2b)
  • Argilites rouges et marnes grises (t4)
  • Alluvions fluviatiles (Fz)
Ligne en tirets : faille de Girancourt

Girancourt, établie dans la plaine sous-vosgienne, fait encore partie du Bassin parisien limité à l'est par le massif des Vosges ; elle est située sur le bord oriental de cette grande cuvette sédimentaire.

La grande majorité des strates affleurantes sont des terrains du Trias inférieur ou moyen, généralement un peu plus récents à l'ouest et plus anciens à l'est car les formations géologiques observent un faible pendage vers l'ouest. L'épaisse couche du grès vosgien (t1c) déposée il y a environ 252 Ma (millions d'années) n'est toutefois visible que dans les vallées où l'érosion des cours d'eau l'a mise au jour à l'est de la commune ; la « faille de Girancourt », qui traverse la commune du nord au sud, la révèle également dans la partie méridionale du territoire. Les couches intermédiaires (t2a), au faciès variable et mal déterminé, sont largement affleurantes à l'est de la faille. Ce sont des grès, comportant parfois des lentilles d'argile, qui se désagrègent souvent en sables et qui ne recèlent que très peu, voire pas d'inclusions fossiles ; ils datent d'environ 249 Ma. Le grès à Voltzia (t2b), du nom d'un genre éteint de conifères dont les fossiles sont fréquents dans la roche, occupe principalement la partie sud du territoire à l'ouest de la faille ; il est daté de - 245 Ma. Les argilites rouges et les marnes grises (t4) âgées d'environ 235 Ma sont cantonnées à la partie nord-ouest de la commune. Des alluvions récentes (Fz) déposées au Quaternaire tapissent les vallées de certains cours d'eau ainsi que le fond de la faille de Girancourt[3].

Le territoire de Girancourt, allongé du nord-nord-est vers le sud-sud est, mesure 7,5 × 4,5 km dans ses plus grandes dimensions ; il est partagé en deux de manière inégale par la faille de Girancourt décentrée vers l'ouest. La superficie de la commune est de 1 766 hectares quand la surface moyenne d'une commune de France métropolitaine s'établit à 1 490 hectares en 2014[4] ; son altitude varie entre 337 et 461 mètres[5]. L'altitude minimale est rencontrée dans la vallée du ruisseau des Sept Pêcheurs et du canal de l'Est en limite d'Uzemain et une butte dans le bois du Safaing, non loin du réduit du Thiéha au sud-est, marque le point culminant, encore une fois près du territoire d'Uzemain.

Hydrographie et les eaux souterraines

modifier

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Le ruisseau des Sept Pêcheurs[6],[7], principal cours d'eau naturel de la commune, prend sa source sous le canal de l'Est, au niveau de l'ancien port — le ruisseau et le canal empruntent le tracé de la faille de Girancourt en se dirigeant vers le sud[8]. Le ruisseau est un affluent du Côney, lui-même affluent de la Saône. Girancourt se situe donc en grande partie dans le bassin hydrographique de la mer Méditerranée, dont elle constitue, en France, une des communes les plus septentrionales.

Girancourt fait d'ailleurs partie du périmètre de l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée-Corse[9]. De petits ruisseaux prenant leur source sur les hauteurs de l'est et du nord-est contribuent à l'alimentation du réservoir de Bouzey ; la partie occidentale de ce dernier, sous le nom d'étang de l'Abbaye, se trouve partiellement sur la commune de Girancourt.

Par ailleurs, quelques marais sont présents sur le territoire communal, de même que des étangs formés par des retenues sur les ruisseaux[10].

 
Réseaux hydrographique et routier de Girancourt[Note 1].

Voies de communication et transports

modifier

Le canal de l'Est traverse la commune du nord vers le sud. Le port a accueilli des activités industrielles, en particulier une pétrolerie, mais ne sert plus aujourd'hui qu'aux activités de plaisance. Le réservoir de Bouzey, qui contribue à l'alimentation du bief supérieur du canal, empiète sur la partie orientale de la commune.

Transports en commun

modifier

Lignes SNCF

modifier
  • De 1886 à 1976, la commune est traversée par la ligne de chemin de fer Jussey (Haut-Saône) ― Épinal. Une voie spécifique reliait la ligne au port et permettait les transbordements. Toutefois, la gare dite « de Girancourt », dont le bâtiment est conservé, se situe sur le territoire de la commune de Chaumousey.
  • Gare d'Épinal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 044 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 10,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dommartin-aux-Bois_sapc », sur la commune de Dommartin-aux-Bois à 3 km à vol d'oiseau[13], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[14],[15].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Girancourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), terres arables (19,2 %), prairies (12,3 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 4] (0,1 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

modifier

Le bourg du village est situé au nord du territoire communal au carrefour de deux voies départementales, les D 460 et D 39, mais la zone d'urbanisation dense s'étend le long de la D 39 sur plus de 3 km, depuis la limite communale avec Chaumousey jusque vers le sud[C'est-à-dire ?].

On relève également quelques hameaux excentrés tels le Bois-de-Girancourt et le Void-de-Girancourt.

Logement

modifier

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 366, alors qu'il était de 298 en 1999[I 2].

Parmi ces logements, 91,9 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,6 % des appartements[I 3].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,8 %, en légère hausse par rapport à 1999 (84,6 %)[I 4].

Nouveaux aménagements

modifier

Une nouvelle chaufferie a été réalisée fin 2017 à côté du préau de l'école, ainsi qu'une extension à la salle polyvalente[22],[23],[24].

En 2024, le bâtiment de la mairie a été rénové et de nombreuses places de stationnement ont été créées pour les utilisateurs du centre-bourg (la mairie, la salle polyvalente, la salle multi-activités, l'église, l'école et des logements). L'arbre du Bicentenaire de la Révolution, planté par le conseil municipal et les élèves le 25 mars 1989, a été abattu. Un nouvel aménagement paysagé est prévu pour finaliser le projet.

Toponymie

modifier

Mentionné sous la forme Girancurtis au XIe siècle[25], puis Girancort en 1195 et Girandicuria au XIIe la terminaison « court » vient de curtis ou « cour ». Cela viendrait d'un nom d'origine germanique Gisramnus, propriétaire à qui appartenait une ferme à l'époque mérovingienne[26]. La mention Girandi curtis dans la fondation du prieuré de Deuilly, en 1044, contrairement à ce qu'affirment Dom Calmet et à sa suite, Lepage, puis Chevreux et Louis, ne fait pas référence à Girancourt, mais à Gérardcourt, hameau de Ville-en-Vermois[25].

Histoire

modifier

Le village nommé Girancuria puis Girancourt était autrefois le chef-lieu d'un ban qui comprenait le Void-de-Girancourt, Adoncourt, Barbonfaing, Dommartin-aux-Bois, Agémont, Méloménil, Naymont, les Granges de Renaufief et de Renauvoid, Olima, Thiélouze et la Rue-d'Uzemain[27]. C'est par un acte du que ce ban est compté comme relevant de l'abbaye de Remiremont[28]. En 1289, Vauthier de Montfaucon, chevalier, déclara qu'il était devenu l'homme-lige du duc Ferry III de Lorraine et qu'il avait repris de lui la moitié du ban de Hairo (Harol) et de Girancourt[27].

Le , François Dubois, receveur d'Arches, vendit au duc Henri II les deux tiers en la moitié de la seigneurie de Girancourt 3 300 francs[27]. L'église de Remiremont prenait, au ban de Girancourt, moitié dans toutes les épaves, confiscations, attrahières, morte-mains, et tous les profits de haute, moyenne et basse justice[29].

D'autre part, les forêts appartenaient au chapitre de Remiremont mais aussi au seigneur Canon, marquis de Ville-sur-Illon situé à neuf kilomètres de Girancourt.

Les abbesses et dames de Remiremont avaient une maison-forte à Girancourt construit à l'emplacement du quai de transbordement du port du canal. Cette maison-forte était entourée de mares et de profonds fossés remplis d'eau, pour en défendre l'accès.

Au mois de mai, les dames venaient y faire un séjour. Des écrits ont transmis que les habitants de Girancourt devaient venir chaque nuit battre l'eau à tour de rôle pour faire taire le coassement des grenouilles[30]. Les dames venaient de Remiremont par un chemin spécial qui reliait les deux localités et que l'on appelle de nos jours « le chemin des Dames ». Elles avaient d'ailleurs un autre chemin qui reliait leur château à Ville-sur-Illon, c'est le chemin dit « voie de la Ville. » Ces routes étaient entretenues en bon état par la corvée.

Girancourt a eu à souffrir pendant la guerre de Trente Ans de l'invasion des Suédois qui le détruisirent presque entièrement à l'exception de trois maisons mais il se reconstruisit rapidement.

L'église, dédiée à saint Brice, date de 1721-1722. Elle était du diocèse de Saint-Dié, doyenné de Jorxey. La cure était à la collation du chapitre de Remiremont[25]. Les actes de baptêmes, mariages et sépultures commencent en 1654[31].

Avant le 19 vendémiaire an X (), Girancourt était chef-lieu d'un canton, à l'origine le 3e du district d'Épinal[25].

L'école des garçons fut construite en 1828 et celle des filles en 1860[31].

Politique et administration

modifier

Administration municipale

modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499,et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[32]. entre 500 et 1 499,

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1900 1913 Jean-Joseph Sachot    
1913 1914 Arsène Naudin    
1914 1920 Jules Perchet    
1920 1935 Florian Breton    
1935 1945 Henri Colin    
1945 mars 1959 Émile Mangeard    
mars 1959 avril 1971 Thomas René    
avril 1971 mars 1989 André Rémy DVD  
mars 1989 mars 2001 Maurice Bourguignon (1934-2022)    
mars 2001 En cours
(au 25 mai 2020)
Yannick Villemin[34]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD

Tendances politiques et résultats

modifier

Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[35] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Eva Joly (EÉLV) 13 2,24
Marine Le Pen (FN) 139 23,92
Nicolas Sarkozy (UMP) 145 24,96 255 46,36
Jean-Luc Mélenchon (FG) 52 8,95
Philippe Poutou (NPA) 8 1,38
Nathalie Arthaud (LO) 3 0,52
Jacques Cheminade (SP) 1 0,17
François Bayrou (MoDem) 47 8,09
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 13 2,24
François Hollande (PS) 160 27,54 295 53,64
Inscrits 648 100,00 648 100,00
Abstentions 57 8,80 60 9,26
Votants 591 91,20 588 90,74
Blancs et nuls 10 1,54 38 5,86
Exprimés 581 89,66 550 84,88

Jumelages

modifier

Au , Girancourt n'est jumelée avec aucune commune[36].

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

Les habitants de la commune sont appelés couramment les Girancourtois[37], mais l'usage étymologiquement correct serait plutôt les Girancurtiens.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 882 habitants[Note 5], en évolution de −2,22 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
625634689758855793811800810
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
755758708995957837741808873
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
855650633610594566578578555
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
516680742759805867903882-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

modifier

La commune est rattachée à l'académie de Nancy-Metz, dans la zone B du calendrier scolaire[42].

Elle administre une école maternelle et une école élémentaire sur la place de la mairie qui comptaient 157 élèves en 2013-2014[42]. Elle accueille les enfants de Girancourt et de Dommartin-aux-Bois dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal entre ces deux communes[Mairie 1]. Une cantine, ainsi qu'une accueil périscolaire sont installés pour les élèves au 2e étage de la salle polyvalente communale[Mairie 2].

Pour poursuivre leurs études, les élèves vont au collège à Dompaire (364 élèves en 2013-2014)[43] ou dans l'un des quatre collèges d'Épinal[44] puis dans un lycée à Épinal[45].

Une pharmacie ainsi que plusieurs cabinets de médecins, un masseur kinésithérapeute, des infirmières et un dentiste sont rassemblés à la Maison des services[Mairie 3].

Culte caholique. L'église de Girancourt est rattachée à la paroisse Saint-Jean-Baptiste-de-l’Avière dans le diocèse de Saint-Dié. L'église est placée sous le patronage de saint Brice.

Manifestations culturelles et festivités

modifier

L' « Association sportive Girancourt Dommartin-aux-Bois Chaumousey » (ASDGC) organise, le dernier week-end de juin, la « foire à la frite » associant un déballage commercial, une fête foraine et un bal populaire[Mairie 4] avec un défilé de jeunes filles à l'issue duquel est élue « Miss ASGDC ».

Économie

modifier

Revenus et fiscalité

modifier

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 890 , ce qui plaçait Girancourt au 12 574e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[46].

En 2009, 37,7 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 5].

Budget et fiscalité 2022

modifier

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[47] :

  • total des produits de fonctionnement : 760 000 , soit 832  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 588 610 000 , soit 667  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 679 000 , soit 743  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 578 000 , soit 632  par habitant ;
  • endettement : 824 000 , soit 901  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 11,34 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 39,64 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 27,38 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 610 [48].

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 564 personnes, parmi lesquelles on comptait 75,9 % d'actifs dont 69,2 % ayant un emploi et 6,7 % de chômeurs[I 6].

On comptait 135 emplois dans la zone d'emploi, contre 92 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 391, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 34,7 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un emploi pour trois habitants actifs[I 7].

Entreprises et commerces

modifier

Au , Girancourt comptait 55 établissements : 15 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l'industrie, 8 dans la construction, 19 dans le commerce-transports-services divers et 11 étaient relatifs au secteur administratif ; sur ces 55 établissements, 43 ne font appel à aucun salarié, 11 comptent 1 à 9 salariés ; la dernière a un effectif de 11 employés[I 8].

En 2011, deux entreprises ont été créées à Girancourt[I 9].

La commune comprend quelques commerces, entreprises et services[Mairie 5]. Elle fait partie de la communauté d'agglomération d'Épinal dans le territoire de laquelle la plupart des habitants travaillent.

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[49] ou à l'inventaire général du patrimoine culturel[50].

Patrimoine religieux

modifier
  • L'église Saint-Brice, datant de 1721 (tour datant de 1722) et récemment restaurée[51]. Elle compte deux objets « classés » à l'inventaire des monuments historiques[52] et aucun répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[53] : une statue représentant « La Vierge à l'enfant », datée du XVIe siècle et « classée » depuis le [54] ; et un retable avec trois statues représentant la Vierge entre deux anges, datés du XVIIIe siècle et « classés » depuis le [55] (L'ensemble des trois statues provient de l'abbaye de Chaumousey).
  • Le cimetière[56] est transféré à 300 m au sud-est de l'église en 1898-1906[57].
  • La croix des brûlées se situant – selon des traditions longtemps orales puis enfin écrites – à l'emplacement où de prétendues sorcières furent immolées par l'odieuse répression qui fit en Lorraine un nombre effarant de victimes, un procureur de Charmes du nom de Nicolas Rémy ou par certaines dames chanoinesses de Remiremont ayant été, entre les années 1550 et 1630, d'éperdues chasseuses de sorciers. Cette croix en pierre avait été brisée. Lors de la restauration, elle n'a pas été remise dans l'orientation originelle[58], face au soleil couchant. Une aire de jeux y a été aménagée dans les années 2000.
  • Les autres calvaires de la commune sont la croix du centre (place de la mairie), la croix Jean Lane (rue de la gare), la croix du Void (rue d'Agémont) et la croix de la fille (route de Renauvoid).

Patrimoine civil

modifier
  • La mairie avec la salle des fêtes attenantes (place de la mairie).
  • Le monument aux morts[59] (rue de l'église) est une colonne quadrangulaire en granit où est gravée l'inscription suivante : GIRANCOURT À SES ENFANTS MORTS POUR LA FRANCE 1914 1918. Il regroupe les noms des soldats de la commune morts lors de la Première Guerre mondiale (trente noms), la Seconde Guerre mondiale (cinq noms) et la guerre d'Indochine (un nom).
  • L'école communale[60] (rue de l'église) compte six classes de la petite section au cours moyen deuxième année.
  • Les lavoirs[61] construits au XIXe en suivant les théories de l'hygiénisme : le lavoir de Girancourt (rue de Darney), le lavoir du Void (rue de Xertigny au Void-de-Girancourt), le lavoir du canal (rue d'Agémont au Void-de-Girancourt)...
  • L'ancienne gare et sa halle à marchandises étaient situées sur l'ancienne ligne de chemin de fer reliant Darnieulles (et donc Épinal à Jussey dans la Haute-Saône. La ligne et la gare sont ouvertes en 1886 par la compagnie des chemins de fer de l'Est et repris en 1938 par la SNCF. La ligne ferme ses portes au trafic passager en 1951, puis définitivement au trafic marchandise en 1973. Bien que la gare et la halle portent le nom de Girancourt, elles sont construites à cheval sur les territoires des communes de Chaumousey et Dommartin-aux-Bois.
  • Le Canal de l'Est traverse la commune ainsi que la Véloroute du Téméraire qui le longe.
  • Les équipements sportifs : deux stades et deux terrains de tennis sont construits sur la commune de Chaumousey.

Patrimoine militaire

modifier
  • L'ancien fort de Girancourt, construit en 1879-1880 (géré par l'association de chasse Saint-Hubert).
  • L'ancien réduit du Thiéha, construit en 1881-1882.

Patrimoine naturel

modifier

Girancourt est intégrée, à des degrés divers, à trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) ainsi qu'à un site du réseau Natura 2000; les territoires se recoupant partiellement.

La ZNIEFF des gîtes à chiroptères de Girancourt, de 1re génération et de type 2[Note 7], concerne la presque totalité du territoire communal, exception faite des bords du canal de l'Est et de quelques îlots dans la partie est de la commune. Il s'étend également à trois autres communes. Dix-sept espèces de chauve-souris, toutes protégées, y sont identifiées[62].

La ZNIEFF du réservoir de Bouzey, sur quatre communes dont Girancourt, est limitée au réservoir lui-même. Elle abrite notamment des insectes orthoptères qui trouvent refuge dans la végétation des berges du réservoir[63].

La ZNIEFF Voge et Bassigny, 80 communes, englobe de nombreuses ZNIEFF dont les deux précédemment citées. Elle fait l'inventaire de l'ensemble de la flore et de la faune remarquables de son périmètre[64].

Le site Natura 2000 des gîtes chiroptères autour d'Épinal concerne quatre communes dont Girancourt où il recouvre partiellement la ZNIEFF des gîtes à chiroptères de Girancourt ; outre les inventaires applicables aux ZNIEFF, les menaces pesant sur le site sont identifiées et les pratiques à même de favoriser son maintien sont encouragées[65].

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blasonnement :
D’azur à la divise voûtée sommée d'un pont de trois arches, sommé de deux tourelles couvertes ajourées de sable, adextré d'une tour couverte ajourée du même et senestré d'une tour crénelée, le tout d'argent, accompagné en pointe d’une fleur de lys d’or.
Commentaires : Le blason a été créé dans les années 1980 et n'a guère de rapport avec l'histoire de la commune. L'ancien château appartenait en effet aux chanoinesses de Remiremont (d'où le chemin des Dames, qui y menait) et non au royaume de France : la fleur de lys d'or n'est qu'un choix stylistique – voire politique – de l'artiste[Note 8].

Pour approfondir

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

modifier
Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

modifier
  1. La ligne de partage des eaux entre le bassin Rhin-Meuse et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
  7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  8. On lui doit également une gravure commémorant le bicentenaire de la Révolution française illustrant une charge de Chouans (sic) au pied d'un tilleul planté par les élèves de l'école municipale.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Girancourt ».
  2. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  3. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  4. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  5. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  6. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  7. EMP T5 - Emploi et activité.
  8. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  9. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.

Site de la mairie

modifier
  1. « Regroupements de communes », (consulté le ).
  2. « Cantine et garderie », (consulté le ).
  3. « Les professionnels de santé », (consulté le ).
  4. « Les associations girancourtoises » (consulté le );
  5. « Liste exhaustive des commerces, entreprises et services de Girancourt » (consulté le ).

Autres sources

modifier
  1. « Orthodromie entre "Girancourt" et "Épinal" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. « Carté géologique de Girancourt », sur Géoportail (consulté le ).
  3. « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Épinal » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
  4. Gérard-François Dumont, « Communes françaises : petit dictionnaire des idées reçues », Population et avenir,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  5. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  6. L'eau dans la commune
  7. Fiche de synthèse sous bassins (masses d'eau cours d'eau) : Coney
  8. Daniel Mansuy, L'eau dans les formations argileuses et calcaires du Trias au sud de la Lorraine (France) : thèse pour l'obtention du doctorat de géographie, Université de Lorraine, , 248 p. (lire en ligne [PDF]), p. 45.
  9. « Les bassins de Rhône-Méditerranée et de Corse », sur le site de l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée-Corse (consulté le ).
  10. « Carte hydrologique de Girancourt » sur Géoportail (consulté le 5 septembre 2014)..
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Girancourt et Dommartin-aux-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Dommartin-aux-Bois_sapc », sur la commune de Dommartin-aux-Bois - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Dommartin-aux-Bois_sapc », sur la commune de Dommartin-aux-Bois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Épinal », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. La salle polyvalente mais aussi la chaufferie en proie aux travaux, Vosges Matin, 16 avril 2017
  23. Chaufferie de Girancourt : efficacité et économie
  24. Salle polyvalente
  25. a b c et d Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, 1941, p. 186
  26. [1].
  27. a b et c Paul Chevreux, Louis Léon, Le Département des Vosges, vol. VI, Épinal, Impr. R. Busy, 1887, p. 321
  28. Le Pays de Remiremont des origines à nos jours, Journées d'Études vosgiennes, 2001, p.  80.
  29. Paul Chevreux, Louis Léon, op. cit., p. 321-322.
  30. Julien Trévédy, Le Droit de grenouillage, Saint-Brieuc, R. Prud'homme, 1899, p. 27.
  31. a et b Paul Chevreux, Louis Léon, op. cit., p. 322.
  32. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  33. « Les maires de Girancourt », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
  34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  35. Ministère de l'Intérieur - Vosges (Lorraine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Girancourt » (consulté le ).
  36. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  37. « Vosges - Girancourt (88390) », sur le site habitants.fr de David Malescourt (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. a et b « Vosges (88) > Girancourt > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  43. « Vosges (88) > Dompaire > Collège », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  44. « Vosges (88), Épinal, collèges », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  45. « Vosges (88), Épinal, lycées », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  46. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 » (consulté le ).
  47. Les comptes de la commune
  48. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  49. « Liste des monuments historiques de la commune de Girancourt », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Liste des lieux et monuments de la commune de Girancourt à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. L'intervention de la Fondation du patrimoine en faveur de la restauration de l'église.
  52. « Liste des objets historiques de la commune de Girancourt », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Liste des objets de la commune de Girancourt à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM88000398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Retable, 3 statues : la Vierge entre deux anges », notice no PM88000397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. Le cimetière de Girancourt sur le site cimetieres-de-france.fr.
  57. Archives communales de Girancourt aux archives départementales des Vosges.
  58. La croix des Brûlées a retrouvé sa (véritable) place…
  59. Le monument aux morts de Girancourt sur le site monumentsmorts.univ-lille3.fr
  60. Site officiel de l'école communale de Girancourt.
  61. Lavoirs des Vosges sur le site lavoirs.org.
  62. « ZNIEFF 410015892 - GÎTES A CHIROPTÈRES DE GIRANCOURT », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  63. « ZNIEFF 410030253 - RÉSERVOIR DU BOUZEY », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  64. « ZNIEFF 410030456 - VOGE ET BASSIGNY », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  65. « FR4100245 - Gîtes chiroptères autour d'Épinal », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  66. La Semaine religieuse du diocèse de Saint-Dié, vendredi 19 mai 1911, 35-20, p.  322. « Notes d'histoire diocésaine ».
  NODES
admin 7
Association 4
Note 13
Project 2