Illois
Illois est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Illois | |||||
La mairie-école et le monument aux morts. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC Aumale - Blangy-sur-Bresle | ||||
Maire Mandat |
Bernard Haudiquert 2020-2026 |
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Code postal | 76390 | ||||
Code commune | 76372 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Illoisiens | ||||
Population municipale |
401 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 45′ 01″ nord, 1° 39′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 175 m Max. 243 m |
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Superficie | 14,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
modifierLocalisation
modifierIllois est une commune rurale normande traversée par l'autoroute A29 (sortie d'Aumale/Haudricourt), et desservi par l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).
Elle est située à 53 km au nord-est de Rouen, cinquante kilomètres au sud-ouest d'Amiens et quarante kimomètres de la Manche au Tréport.
Communes limitrophes
modifierHameaux et écarts
modifierLe chef-lieu de la commune est situé en retrait de la RD 929.
Elle compte plusieurs hameaux, Coupigny et Le Mesnil-David — qui étaient des communes autonomes avant leur fusion avec Illois en 1823 — La Clouterie, Grand Illers, Le Ménivier et Cuignet.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Illois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), prairies (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (2,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Hillais en 1115 ; de Hisleis en 1156 et 1161 ; Ecclesia de Yslois en 1181 et 1182 ; Ecclesia de Illeis entre 1165 et 1183 ; Sancti Albini de Isleis en 1204 ; de Isleis en 1214[13] ; de Illois en 1230 ; de Isleis (sans date) ; prepositus des Isleis en 1227 ; Villam de Yllais en 1233[14] ; In parrochia de Ylleis, de Illais et Ville de Yllais en 1234[15] ; Isloeis (sans date) ; Ecclesia de Illeis vers 1240 ; Ecclesie Sancti Albini de Yslois en 1263 ; Terroir d'Islois et Dame d'Islois en 1265 ; In feodo meo de Hysleis en 1266 ; In parrochia et territorio de Illois en 1282[14] ; Hylois (variante Hyllois) en 1337 ; Illois 1431 (Longnon) ; Illoys entre 1413 et 1460 et au XVIe siècle[16] ; Cure de Ileys en 1428 et 1429[17] ; Illois en 1525 et 1526[18] ; Yloix 1525 et 1526[19] ; Illoys en 1648 ; Illoy en 1683 et 1701[20] ; Islois en 1704 (Pouillé) ; Illois en 1715 (Frémont) ; Saint Aubin d'Illois en 1716[21] ; Saint Aubin vulgo d'Illoy en 1719 ; Iloy en 1757 (Cassini) ; Iloix en 1788 ; Illois en 1953[22].
Histoire
modifierUn statère datant de l'époque gauloise en or, ainsi qu'une hache en pierre polie ont été trouvés dans un jardin du Mesnil-David en 1869[23].
Au lieu-dit le Petit-Illers, on retrouve des traces de l'ancienne ligne de défense du XIIe siècle dénommée Le Fossé du Roy, le long d'un espace boisé. À cet endroit, des fouilles ont été entreprises lors de la construction de l'autoroute Amiens-le Havre. Au-delà de l'ex-Route nationale 29 (actuelle route départementale Amiens-Le Havre), à Mesnil-David, dans les pâtures on retrouve un léger nivellement qui rappelle le tracé de ce fossé[réf. nécessaire]. A proximité du Fossé du Roy ont été retrouvées au XIXe siècle des vestiges gallo-romains : tuiles à rebords et deux meules à broyer en poudingue. Douze vases de cette époque en terre fine ont été trouvées vers 1850, mais ont été brisées[23].
La commune d'Illois, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1823 celles de Coupigny et de Mesnil-David[Note 1],[24].
Le bourg a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu à voie métrique de 1906 à 1947
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Gournay-en-Bray.
Intercommunalité
modifierLa commune était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants.
Les communautés de communes de Blangy-sur-Bresle et du canton d'Aumale, dont aucune n'atteignait le seuil légal, ont donc été amenées à fusionner, formant le la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle[25] dont est désormais membre la commune.
Politique locale
modifierDans le cadre d'une mésentente avec le maire Jean-Claude Blondin, cinq conseillers municipaux démissionnent en , entraînant l'organisation de nouvelles élections municipales les 3 et [26],[27]. Celles-ci se soldent par la réélection du maire sortant, Jean-Claude Blondin le [28]. Celui-ci est néanmoins battu lors des élections municipales de 2020, au terme desquelles est élu son opposant,, Bernard Haudiquert, conseiller municipal depuis 2018.
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2021, la commune comptait 401 habitants[Note 3], en évolution de +2,04 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Aubin d'Illois, reconstruite en 1845 et 1861, a conservé le mur nord de la nef, dont l'appareil est du XIIIe siècle, ainsi qu'une fenêtre du XVIIe siècle[23].
- Elle contient une chaire à prêcher (XVIe siècle) classée aux monuments historiques en 1913, en bois avec des panneaux présentant des rinceaux de feuillage et des animaux affrontés[36].
- Église Saint-Germain-l'Écossais du Mesnil-David. Elle date, en grande partie, de l'époque de Louis XVI mais la maçonnerie de la nef date de celle de Louis XIV. Le baptistère en pierre est du XIIIe siècle[23] ;
- Église Saint-Denis de Coupigny, des XVIe et XVIIe siècles. En 1871, on notait la charpente de la nef avec des poutres et des sablières sculptées du XVIe siècle. Les autels possédaient des baldaquins en bois de la Renaissance[23] ;
- Château d'Illois, XVIIe siècle ;
- Château de Coupigny, 1877.
-
La mairie-école, le monument aux morts et le foyer rural
-
L'église Saint-Aubain d'Illois
-
Façade de l'église Saint-Aubin
-
L'église Saint-Denis de Coupigny
Personnalités liées à la commune
modifier- Nicolas André Courtin (1817-1879), maréchal des logis de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[37].
- Étienne Isidore Courtin (1822-1887), brigadier de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[38].
- Éloi Firmin Courtin (1828-1908), maréchal des logis à la 4e légion de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[39].
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Illois sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune d'Illois », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Illois »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Archives départementales de la Seine-Maritime Microfilms, pour Coupigny :
Cotes Dates extrêmes Collection
5 Mi 259 BMS 1668 - An II Greffe,
5 Mi 260 NMD An III - 1823 Greffe,
Pour Illois :
Cotes Dates extrêmes Collection
5 Mi 260 BMS puis NMD 1546 - 1815 Greffe
5 Mi 1918 NMD 1823 - 1852 Communale
5 Mi 2004 NMD 1853 - 1881 Communale
5 Mi 1049 NMD 1860 - 1876 Greffe
5 Mi 3001 NMD 1877 - 1886 ? Greffe
5 Mi 3002 NMD 1877 ? - 1886 Greffe,
Pour Mesnil-David
Cotes Dates extrêmes Collection
5 Mi 272 BMS puis NMD 1546 - 1823 Greffe - Valentin Lefèvre est décédé le 18 avril 1934
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Illois et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Sémichon Histoire d'Aumale II, 26 et 388.
- Archives de Seine-Maritime 1 H.
- Archives de Seine-Maritime 1 H 27.
- Archives de Seine-Maritime G. 25, 3269, 4.
- Archives de Seine-Maritime G. 252.
- Archives de Seine-Maritime G. 1959.
- Archives de Seine-Maritime G. 110.
- Archives de Seine-Maritime G. 1537.
- Archives de Seine-Maritime G. 740.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 538.
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 170, lire en ligne sur Gallica.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Arrêté interpréfectoral du 29 novembre 2016 portant création de la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
- Vincent Beny, « Illois, près d’Aumale. Cinq élus démissionnent, ils ne sont plus que trois à siéger : Cinq élus d’Illois ont présenté leur démission du conseil. Ils reprochent au maire de ne pas travailler en équipe, de tout faire dans leur dos. Il ne reste plus que 3 élus », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Bény-Thoreux, « Jean-Claude Blondin, le maire d’Illois, près d’Aumale, réagit après la démission de cinq conseillers : Une semaine après les attaques des cinq opposants démissionnaires au maire d’Illois, ce dernier réagit et démonte leurs reproches un par un », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3551, , p. 15.
- Vincent Bény-Thoreux, « Elections municipales complémentaires : le conseil enfin au complet », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3559, , p. 15.
- Archives départementales de la Seine-Maritime : État civil de Illois de 1800 à 1913, et en mairie état civil de 1913 à 1953 et registre des délibérations d'Illois de 1953 à 2008
- Laurent Hellier, « Les résultats des municipales 2020 : Forges-les-Eaux, Morienne, Illois… : Michel Lejeune à Forges-les-Eaux conserve sa mairie. Ailleurs, plusieurs résultats pour ce second tour des municipales », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « A Illois : Jean-Claude Blondin, le maire sortant, est battu (...) Jean-Claude Blondin a récolté 104 suffrages. Un score insuffisant au regard des résultats obtenus par la liste d’opposition emmenée par Bernard Haudiquert, élu au premier tour ».
- Vincent Beny, « Municipales : Jean-Claude Blondin se représente à Illois, près d’Aumale : Maire depuis 2008, et malgré un dernier mandat difficile, Jean-Claude Blondin a décidé de se représenter. Sa liste est complète avec cinq nouvelles personnes. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) |Parti= |Qualité= |Date à jour=2 mars 2020.
- « Bernard Haudiquert élu maire », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3666, , p. 14 « Le conseil municipal a été ins-tallé ce vendredi 3 juillet. Candidat à la fonction de maire, Bernard Haudiquert a été élu avec 7 voix, face à Sébastien Dunet (3 voix). ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Chaire à prêcher », notice no PM76000941, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Cote LH/615/83 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Cote LH/615/70 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Cote LH/615/69 », base Léonore, ministère français de la Culture.