L'Atlantique et les Amants
L'Atlantique et les Amants est le dix-huitième roman de Patrick Grainville, publié aux éditions du Seuil en janvier 2002.
L'Atlantique et les Amants | ||||||||
Auteur | Patrick Grainville | |||||||
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Pays | France | |||||||
Genre | Roman | |||||||
Éditeur | Seuil | |||||||
Collection | Cadre rouge | |||||||
Date de parution | janvier 2002 | |||||||
Nombre de pages | 286 | |||||||
ISBN | 2020516675 | |||||||
Chronologie | ||||||||
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Historique
modifierContrastant avec l’urbanisme et la noirceur du Jour de la fin du monde, une femme me cache, L’Atlantique et les Amants est un roman ensoleillé, du désir brut et de la vie physique[1]. Plus proche des premiers livres de Patrick Grainville, il chante la fusion avec l’élément animal et marin dans une danse, une « transe » de vie radicale[2]. Louant la description des corridas et le lyrisme d’un écrivain en pleine possession de ses moyens[3], la critique reconnait en L’Atlantique et les Amants un roman abouti, peut-être moins ambitieux que d’autres titres de l'auteur mais qui s’inscrit sans détonner dans une œuvre déjà riche[4].
Résumé
modifierDeux adolescents, Eric et Léna, foncent à moto vers l’Atlantique. Ils s’installent près de Biarritz pour pratiquer le surf et s’initier à la corrida. Ils décident de vivre au jour le jour et de gagner de l’argent par la séduction. Ils se lient avec un torero et assistent à plusieurs combats. Le surf donne lieu, lui aussi, à des défis, des scènes paroxystiques et précises au contact de la puissance océanique. Mais les amants ne seront pas à l’abri de la jalousie, des manipulations. Leur passion de l’excès les porte aux limites de ce qu’ils pourront supporter.
Éditions
modifier- L'Atlantique et les Amants, éditions du Seuil, 2002 (ISBN 2020516675).
Notes et références
modifier- L'Océan et le désir, Nadine Sautel, Le Magazine littéraire no 406, février 2002, p. 60.
- Corrida cosmique, Jean-Noël Pancrazi, Le Monde, janvier 2002.
- Les amoureux de Biarritz par Jean-Rémi Barland
- Apologie du plaisir absolu, Sébastien Lapaque, Le Figaro daté du jeudi 14 février 2002.