La Gorgue
La Gorgue est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France. La Gorgue est une commune en ancienne Flandre française limitrophe de l'Artois.
La Gorgue | |||||
L'église Saint-Pierre de La Gorgue. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Flandre Lys (siège) |
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Maire Mandat |
Philippe Mahieu 2020-2026 |
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Code postal | 59253 | ||||
Code commune | 59268 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gorguillons, Gorguillonnes | ||||
Population municipale |
5 599 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 373 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 38′ 16″ nord, 2° 43′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 19 m |
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Superficie | 15,03 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Hazebrouck | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-lagorgue.fr/fr/ | ||||
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En 2011, la commune de La Gorgue a été récompensée par le label « Ville Internet @@ » et en 2019 elle possède un total de 4 « @@@@ »[1].
Le nom jeté de ses habitants est les magots. Le nom de la ville a pour origine le mot flamand occidental goor qui signifie « terrain marécageux »[2].
Géographie
modifierSituation
modifierSituée à 32,4 km de Lille selon ladistance.fr, 15 km d'Armentières, 56 km de Dunkerque, 18 km d'Hazebrouck et 14 km de Béthune. Au confluent de la Lys et de la Lawe.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Lawe, la Lys, le Courant Harduin, le Courant Frenelet, le Courant de la maladrerie[3], le Courant des bannois[4], le Courant du Flaquet[5], le Courant du Ponchel[6], le Courant du pont rinchon[7], le Courant vittu[8], le haut courant[9] et divers autres petits cours d'eau[10],[Carte 1].
La Lawe, d'une longueur de 41 km, prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys sur la commune, après avoir traversé 16 communes[11].
La Lys, d'une longueur de 134 km en France, prend sa source dans la commune de Lisbourg, à l'altitude de 114,7 mètres, et se jette dans l'Escaut à Gand à 4,45 mètres d'altitude[12].
La Meteren Becque, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune de Méteren et se jette dans la Lys à Estaires, après avoir traversé sept communes[13].
Le Courant Harduin, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune de Cuinchy et se jette dans la Haut Courant sur la commune, après avoir traversé six communes[14].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[15].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 18 km à vol d'oiseau[18], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , La Gorgue est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[24]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,6 %), zones urbanisées (13 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[27]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
modifierLe territoire et les environs de la commune ont connu une occupation humaine dès la préhistoire comme en témoigne la présence de silex taillés sur les berges de la Lys et de la Lawe.
La paroisse de La Gorgue aurait été créée en 1190 par division de celle d'Estaires : en 1190, Robert, seigneur de Béthune, (maison de Béthune), avoué d'Arras, et Didier, évêque de Thérouanne, suivent le conseil de Guillaume aux Blanches Mains, cardinal archevêque de Reims, et partagent Estaires en deux paroisses : Estaires et La Gorgue[28]. Le chapelain de La Gorgue, dépend de l'abbaye Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys, située à La Gorgue. Il partage avec le curé d'Estaires les droits de mouture du moulin et les droits de pêche, et verse annuellement au curé d'Estaires douze deniers. L'accord est appliqué après la mort du curé d'Estaires alors en place, Simon Gomer[28].
Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[29].
En 1296, Robert, futur Robert III de Flandre, fils aîné du comte de Flandre Gui de Dampierre, possède une motte et une tour à La Gorgue : le 27 juillet, Jean, chevalier, seigneur de Haverskerque, cède à Robert, des terres situées en partie sur Estaires, et l'usage du bois d'Estaires, avec le droit de pâtures et le droit d'y couper tous les trois ans ce qu'il faut pour enfermer sa motte et sa tour à La Gorgue[30].
La Gorgue a fait partie d'une région appartenant aux 17 provinces des Pays-Bas espagnols, dite « Pays de Lalloeu », regroupant 4 communes : La Ventie (Laventie), Sailly (Sailly-sur-la-Lys), Fleurbaix et la partie est de La Gorgue. C'est une région huguenote d'où partirent des habitants pour s'installer aux Amériques, en Afrique du Sud, en Allemagne, en Hollande, en Angleterre… Le Pays de Lalloeu était rattaché au Comté de Flandre et au Pays d'Artois[Quand ?][31],[32].
En juin 1347, le roi de France Philippe VI de Valois, échouant à détacher les milices flamandes de l'alliance anglaise (Guerre de Cent ans) ravage les pays de Saint-Venant, La Gorgue, Estaires[33].
En 1355, Renauld, seigneur d'Estaires, Neuf-Berquin et de la Motte de La Gorgue, époux d'Aloïde, fille de Robert d'Espierres, vend la Motte de la Gorgue au comte de Flandre Louis de Male (Louis II de Flandre)[30].
Après la Révolution française, sous le premier Empire, se tient chaque année à La Gorgue une foire de seconde classe, héritée de l'époque antérieure à la Révolution, pour marchandises et bestiaux; en 1802-1803, elle a eu lieu les 11 et 12 floréal (1er et 2 mai 1803)[34].
En 1802, La Gorgue est une place fortifiée intégrée dans le dispositif de défense de la région[35].
De 1899 à 1932, la ligne de tramway de Béthune à Estaires, circule de Béthune (Pas-de-Calais) jusqu'à Estaires, via Essars, Locon, La Couture et La Gorgue.
La commune et ses environs ont été fortement touchés par la Première Guerre mondiale, notamment avec la bataille de Fromelles. La croix de guerre 1914-1918 a été décernée à la commune[36].
Toponymie
modifierDeux hypothèses :
- De l'ancien français d'oïl gorc/gorgue (gouffre, gorge), du latin gurges-gurgitis (gouffre, abîme où l'eau tombe). Au sens topographique, le mot se disait du trou où l'eau tombe après avoir fait tourner un moulin.
- Du mot flamand goor qui signifie « terrain marécageux »[37].
De Gorge en néerlandais moderne.
Héraldique
modifierLes armes de La Gorgue se blasonnent ainsi : « D'azur semé de coquilles d'or, au chef d'argent chargé d'un lion issant de sable. » |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2021, la commune comptait 5 599 habitants[Note 5], en évolution de −1,84 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 760 hommes pour 2 877 femmes, soit un taux de 51,04 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifier- Le beffroi de l'hôtel de ville.
- L'église Saint Pierre date de 1895. Elle fut très endommagée en 1918, et restaurée dans les années 1920.
- L'église Sacré-Cœur du Nouveau Monde date de 1929.
- Le kiosque à musique.
- Site archéologique de l'ancienne abbaye cistercienne Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys.
- Salle du patrimoine gérée par l'association ABESS[47] (Abbaye de Beaupré, Etude et Sauvegarde du Site), au 51 rue du , en face de l'église.
- Paléo-écluse sur la Lawe datant du XIIIe siècle.
- La Front Line Box d'ATB[48],[49].
- « Usine de produits alimentaires, brasserie, malterie dite usine de produits alimentaires-brasserie Claudorez Buisine, puis Gailly Claudorez ; puis usine de produits alimentaires-brasserie-malterie Gailly Béghin ; puis brasserie-malterie Hennion Gailly, puis Vanhoucke Hennion » (inscrit au Patrimoine)[50].
- « Brasserie Flipo Louis, puis Flipo Delmotte » (Patrimoine classé ou inscrit)[50].
- Le jardin public[51], ancienne propriété du baron Guy de Villelume[Qui ?][52].
- Lieu-dit Les 10 cailloux[53].
Personnalités liées à la commune
modifierSeigneurs de La Gorgue
modifier- Vers 1096, Catherine de Roubaix, dame (un homme est seigneur de, une femme est dame de) d'Estaires et de la Motte de La Gorgue en tant que fille et héritière de Jean de Roubaix et de Liévine d'Herzeele et d'Oudenhove, épouse Raoul d'Haverskerque[28].
- En 1199, Gisbert ou Gilbert, seigneur d'Estaires et de la Motte de La Gorgue, épouse Nathalie, fille de Pierre, seigneur de la Viefville[54].
- En 1303, Philippe, seigneur d'Haverskerque, d'Estaires et de la Motte de La Gorgue, épouse Adèle, fille de Charles, maréchal héréditaire de Flandre[30].
Autres personnalités
modifier- Charles de L'Écluse (1526-1609), médecin et botaniste du XVIe siècle, né à Arras, a visité La Gorgue.
- Le vice-doyen Eugène Maës, curé de La Gorgue de 1914 à 1941. Selon le Dictionnaire Étymologique et Historique de La Gorgue, il était natif de Bousbecque. À la fin de la première guerre mondiale, lors de la terrible bataille de la Lys (9 et 10 avril 1918), il évacua, comme une grande partie de la population, et se retrouva comme aumônier du bon Pasteur à Lourdes. Il revint plus tard à La Gorgue après le retour au calme, comme bon nombre de réfugiés ". Il marqua la paroisse Saint-Pierre par sa forte personnalité, installa de nombreuses statues dans l'église et fit construire l'autel dédié à Saint-Antoine de Padoue[réf. nécessaire][style à revoir]. Il fut le curé-fondateur de la paroisse Saint-Antoine de Padoue à Petite-Synthe[55][source insuffisante].
- Victor Denis (1889-1972), international de football français.
Harmonie municipale
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de la Gorgue » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- N. G., « Villes Internet : 32 communes du Nord - Pas-de-Calais récompensées », La Voix du Nord, (consulté le ).
- Telmedia, « La Gorgue », sur lys-sans-frontieres.org (consulté le ).
- Sandre, « le Courant de la maladrerie »
- Sandre, « le Courant des bannois »
- Sandre, « le Courant du Flaquet »
- Sandre, « le Courant du Ponchel »
- Sandre, « le Courant du pont rinchon »
- Sandre, « le Courant vittu »
- Sandre, « le haut courant »
- « Fiche communale de la Gorgue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Lawe »
- Sandre, « la Lys »
- Sandre, « la Meteren Becque »
- Sandre, « le Courant Harduin »
- « SAGE Lys », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Gorgue et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Gorgue ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Arnould Detournay, « Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 397, lire en ligne.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
- Arnould Detournay, « Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 399, lire en ligne.
- Chanoine Depoter, Le Pays de Lalloeu histoire mœurs et institutions, les éditions des Beffrois, 1910
- Christian Defebvre, L'Histoire du pays de Lalloeu en 10 leçons
- Georges Dupas, Histoire de Gravelines, porte de Flandre et de ses hameaux, des origines à la Libération, Westhoeck éditions, 1981, avec Patrick Oddone comme collaborateur, p. 27.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. viij, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 3, lire en ligne.
- Annuaire Ravet Anceau. Département du Nord. Année 1922
- Jean-Louis d'Arsy, Le Grand Dictionnaire françois-flamand, 1694 [lire en ligne].
- (en) « Annuaire statistique [afterw.] Annuaire du département du Nord. An xi-1890 : Nord dépt : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
- Nord dépt, Annuaire statistique [afterw.] Annuaire du département du Nord. An xi-1890, , 468 p. (lire en ligne).
- http://www.cc-flandrelys.fr/fr/la-ccfl/fiche-didentite/historique.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Gorgue (59268) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- association ABESS
- « Ville-lagorgue.fr - La front Line Box d'ATB »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ville-lagorgue.fr (consulté le ).
- La Front Line Box d'ATB
- Base de données "Patrimoine de France"
- [1]
- Le jardin public, ancienne propriété du baron Guy de Villeneuve. Voir à l'ordre alphabétique du Dictionnaire Étymologique et Historique de La Gorgue
- Les 10 cailloux, voir site de Christian Defebvre, ancien maire de La Gorgue et universitaire
- Arnould Detournay, « Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 397-398, lire en ligne
- Annales / Société d'études de la province de Cambrai, 1913 lire en ligne sur Gallica.
- Harmonie municipale de La Gorgue.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Communes du Nord
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Nord
- Cimetières Militaires du Commonwealth :
Liens externes
modifier- Ville de la Gorgue
- La Gorgue sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :