Lycée Joffre
Le lycée Joffre (du nom du maréchal Joseph Joffre) est un établissement d'enseignement secondaire et supérieur situé à Montpellier, département de l'Hérault. Une ancienne place forte, la citadelle de Montpellier, abrite cet établissement, comprenant un collège, un lycée général et technologique et des classes préparatoires aux grandes écoles. De nos jours, il compte près de 4 000 élèves de la classe de sixième aux classes préparatoires.
Fondation | |
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Type | Lycée |
Académie | Montpellier |
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Principal | Marc Pirot[1] |
Proviseur | Olivier Briard |
Population scolaire | 3800 |
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Niveaux délivrés | 6e à classes préparatoires |
Options | Langue des signes, grec, latin, théâtre, russe LV3 |
Langue(s) des cours | Anglais, allemand, espagnol, italien et russe |
Ville | Montpellier |
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Pays | France |
Site web | lycee-joffre-montpellier.mon-ent-occitanie.fr |
Coordonnées | 43° 36′ 41″ nord, 3° 53′ 02″ est | ||
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Géolocalisation sur la carte : Montpellier
Géolocalisation sur la carte : France
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Histoire
modifierLes origines du Grand Lycée de Montpellier peuvent être retracées jusqu'au XIIIe siècle, à travers son Collège royal. Il est lui-même l'héritier direct et le continuateur de la faculté des arts de l'université de Montpellier, fondée le par la bulle papale « Quia Sapientia » du pape Nicolas IV. C'est donc l'un des plus anciens lycées de France avec l'actuel Lycée Henri-IV de Béziers.
Le Grand Lycée impérial de Montpellier, futur Lycée Joffre, fut inauguré le et connut sa première rentrée le de cette même année[2]. Il prenait ainsi la suite de l'ancien Collège Royal de Montpellier, fondé par les jésuites en 1629[3], et qui occupait les locaux de l'actuel musée Fabre. Plus tard, le Grand Lycée Impérial deviendra pendant un court laps de temps « Lycée de garçons de la ville de Montpellier »[2]. En 1947, il est définitivement transféré dans la citadelle bâtie de 1624 à 1627 sous le règne de Louis XIII et il prendra, peu après, le nom de Lycée Joffre[2]. Quant à la citadelle de Montpellier, elle est classée à l'inventaire des Monuments Historiques depuis le .
Le corps principal du bâtiment, bâti en pierre de taille avec couverture en ardoise, date des années 1880. À l'origine, il s'agissait de l'ancienne « caserne du Polygone » dont on peut remarquer le trophée d'armes et de drapeaux au sein du fronton central.
Localisation
modifierLe lycée Joffre est situé en centre-ville, près de la place de la Comédie, sur l'Esplanade, à côté du centre des congrès du Corum. La gare et le centre commercial « le Polygone » se trouvent également à proximité, de même que les grandes librairies et la médiathèque. Le lycée Joffre est également desservi par les bus de ville et le tramway des lignes 1, 2 et 4.
Enseignement
modifierL'enseignement secondaire
modifierL'établissement comprend le plus grand collège de Montpellier (d'environ 1200 élèves) dont l'entrée se situe sur l'allée Henri II de Montmorency, à l'est de la Citadelle. Les bâtiments du lycée occupent l'espace central, à proximité du collège mais entièrement séparés. Quant à ceux des classes préparatoires aux Grandes Écoles (internat compris), ils se situent au niveau de l'esplanade Charles de Gaulle (entrée principale nord), de chaque côté de l'allée des Droits de l'Homme.
Initiatives pédagogiques et technologiques
modifierAnnées 1970
modifierEn 1974, dans un objectif novateur d'initiation à l'informatique des élèves et enseignants intéressés, le lycée Joffre, à Montpellier, a fait partie de l'opération ministérielle dite « Expérience des 58 lycées »[4] : utilisation de logiciels et enseignement de la programmation en langage LSE[5], en club informatique de lycée[6],[7], pour 58 établissements de l'enseignement secondaire[8]. À cet effet, dans une première phase, quelques professeurs du lycée, enseignants de diverses matières et candidats, furent préalablement formés de manière lourde à la programmation informatique. Puis, dans une seconde phase, l'établissement fut doté d'un ensemble informatique en temps partagé comprenant : un mini-ordinateur français Télémécanique T1600[9] avec disque dur, un lecteur de disquettes 8 pouces, plusieurs terminaux écrans claviers Sintra TTE[10], un téléimprimeur Teletype ASR-33 (en) et le langage LSE implémenté[11] ; tous ces moyens ayant permis de mettre en œuvre sur le terrain cette démarche expérimentale, avec du matériel informatique ultra-moderne pour l'époque.
En 2013, une partie de cet équipement devenu obsolète — l'ordinateur Télémécanique T1600 et le téléimprimeur Teletype ASR-33 — a été sauvée de la destruction grâce à une démarche initiée par les professeurs d'informatique « 58 lycées » de l’établissement[12]. Leur objectif était de préserver ce patrimoine technologique adossé à la genèse de l'enseignement de l'informatique, dans les lycées et collèges. Les deux éléments ont alors été versés[13] à la Mission PATSTEC[14] Languedoc-Roussillon, laquelle a fait classer en 2014 l'ordinateur T1600 dans l'inventaire des Monuments Historiques[15]. Ces matériels, témoins de la performance de l'informatique française des années 1970, sont actuellement entreposés dans les réserves du PATSTEC, à l'Institut de botanique de l'Université de Montpellier.
Enseignements actuels
modifierLe collège, qui est totalement indépendant et de niveau très hétérogène, et le lycée proposent une section internationale espagnol dans laquelle sont dispensés des cours d'histoire et de littérature en langue espagnole. Le russe est proposé en langue vivante 1 dès le collège. Le collège et le lycée proposent aussi une option « échecs » qui a remporté 7 championnats scolaires et un championnat européen en 2004[16]. Enfin, collège et lycée se partagent de nombreux équipements sportifs (les terrains de sport au Sud de la citadelle, la piscine et le grand gymnase).
Classement du lycée
modifierEn 2015, le lycée se classe 4e sur 28 au niveau départemental quant à la qualité d'enseignement, et 386e au niveau national[17]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet (diplôme obtenu avec quelques mentions)[18].
Les classes préparatoires
modifierLe lycée Joffre abrite des CPGE littéraires (khâgnes A/L et LSH), économiques et commerciales (ECS), et scientifiques (MPSI, MP2I, PCSI, MP, MPI, PC, PSI et BCPST). Environ deux cents places d'internat (répartis pour moitié entre filles et garçons) sont à la disposition des étudiants en classes préparatoires.
Classements nationaux
modifierLe classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles.
En 2018, la revue mensuelle L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2017 :
Filière | Élèves admis dans une grande école* |
Taux d'admission* |
Taux moyen sur 5 ans |
Classement national |
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ECS | 8 / 40 élèves | 20 % | 18 % | 19e sur 95 |
Khâgne A/L | 0 / 43 élèves | 0 % | 4 % | 20e sur 41 |
Khâgne LSH | 5 / 39 élèves | 13 % | 8 % | 7e sur 73 |
MP / MP* | 22 / 89 élèves | 25 % | 22 % | 15e sur 114 |
PC / PC* | 10 / 73 élèves | 14 % | 12 % | 24e sur 110 |
PSI / PSI* | 13 / 76 élèves | 17 % | 16 % | 26e sur 120 |
BCPST | 29 / 41 élèves | 71 % | 66 % | 6e sur 53 |
Source : Classement 2018 des prépas[19] - L'Étudiant (Concours de 2017). * le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. Par exemple, en filière ECE et ECS, ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP ; en khâgne, ce sont l'ENSAE, l'ENC, les 3 ENS, et 5 écoles de commerce. |
Bureau des élèves
modifierLes préparationnaires ont fondé une association « les Kalaux du Clapas »[20] ou « les Khâlots du Clapas », aussi appelé « le Bural » ou « Très Vénérable Bural » (sous-entendu « bureau des élèves »). Elle s'occupe de la gestion du budget destiné à organiser des soirées diverses, parmi lesquelles le Gala des Prépas de Joffre, ainsi que des commandes de khâlots. Le budget de l'association repose, entre autres, sur le bénéfice réalisé lors des commandes de khâlots et des ventes de tickets lors des soirées.
Personnalités célèbres
modifierProfesseurs
modifier- Paul Villard, physico-chimiste, agrégé de sciences physiques, découvreur des rayons gamma en 1900 au laboratoire de chimie de l'École normale supérieure et membre de l'académie des sciences ;
- Édouard Roche, astrophysicien, professeur à l'Université de Montpellier et membre correspondant de l'académie des sciences ;
- Claude Lévi-Strauss[21], anthropologue français, figure fondatrice du structuralisme ;
- Emmanuel Le Roy Ladurie[2], agrégé d'Histoire, docteur ès lettres, professeur émérite au Collège de France ;
- Régis Messac, écrivain (1929-1936) ;
- Robert Verdier, député SFIO, fondateur du PSA et du PSU ;
- Jean Joubert, écrivain et poète, professeur d'anglais ;
- Patrick Loubatière[22], écrivain, professeur;
- Jean-Paul Brighelli[23], écrivain ;
- Jean-Claude Michéa, philosophe ;
- Jesus Gutierrez Flores, historien, écrivain espagnol[24].
Élèves
modifier- Joseph Joffre, maréchal de France;
- Antoine-Jérôme Balard (1802-1876), chimiste, découvreur du brome, lauréat de la Royal Medal de la Royal Society de Londres en 1830, professeur à l'École Normale Supérieure et au Collège de France ;
- Fabrice Bellard[25] (1972-), polytecnicien, informaticien et mathématicien ;
- Antonin Besse[26] (1877–1951), entrepreneur et philanthrope, fondateur du St Antony's College de l'Université d'Oxford ;
- Joseph Boussinesq (1842-1929), mécanicien des fluides et mathématicien, professeur à la Sorbonne et membre de l'académie des sciences ;
- André Chamson[27] (1900-1983), essayiste, historien et romancier français ;
- Jean-Antoine Chaptal (1756-1832), chimiste, membre de l'académie des sciences ; industriel et homme d'état (Ministre de l'intérieur sous Napoléon) ;
- Georges Charpak[2],[28] (1924-2010), physicien, Prix Nobel de Physique en 1992, chercheur au CERN et professeur à l'ESPCI ParisTech ;
- Françoise Combes (1952-), astrophysicienne, normalienne, professeure au Collège de France, membre de l'académie des sciences, lauréate de la médaille d'or du CNRS en 2020 ;
- Auguste Comte[2] (1798-1857), polytechnicien, philosophe, dont une citation est lisible à l'entrée du lycée : « L'univers doit être étudié non pour lui-même mais pour l'homme. » ;
- Gaston Darboux (1842-1917), mathématicien, normalien, secrétaire perpétuel de l'académie des sciences, lauréat de la Sylvester Medal de la Royal Society de Londres en 1916;
- Patrick Drahi (1963-), polytechnicien, homme d'affaires dans le domaine des télécoms et des media ;
- Catherine Dulac (1963-), biologiste, normalienne, professeure de biologie moléculaire et cellulaire à l'université Harvard, membre de l'académie des sciences, lauréate du Breakthrough Prize 2020;
- Georges Frêche[29] (1938-2010), homme politique, ancien député-maire de Montpellier;
- Michel Galabru[30] (1922-2016), acteur ;
- André Gide[2], écrivain, Prix Nobel de littérature en 1947;
- Axelle Lemaire(1974-), femme politique, Secrétaire d'État chargée du numérique et de l'innovation (2014-2017) ;
- Victor Malzac (1997-), poète français ;
- Paul Mirabel (1995-), humoriste français ;
- Fulgence Ouedraogo[31] (1986-), rugbyman international ;
- Alain Peyrefitte[32] (1925-1999), homme politique, normalien, énarque, diplomate et écrivain, plusieurs fois ministre et académicien ;
- Édouard Roche (1820-1883), astrophysicien, professeur à l'Université de Montpellier et membre correspondant de l'académie des sciences ;
- Marius Roustan[33] (1870-1942), homme politique, sénateur de l'Hérault (1920-1940), Ministre de l'Éducation nationale (1935-1936) ;
- Philippe Saurel[34] (1957-), homme politique, maire de Montpellier ;
- François Trinh-Duc (1986-), rugbyman international ;
- Paul Valéry[2], poète (1871-1945), professeur au Collège de France et académicien ;
- Loïc Wacquant[35] (1960-), sociologue et anthropologue, professeur à l'Université de Berkeley.
Notes et références
modifier- « Collège Joffre : Dirigeants », sur Kompass, (consulté le ).
- « Un peu d'histoire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lycée Joffre.
- « Notice historique sur le Collége Royal de Montpellier », sur Google Books.
- Jacques Baudé, « L’expérience des « 58 lycées » », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 4, , p. 105-115 (DOI 10.48556/SIF.1024.4.105)
- Jacques Baudé, « Le système LSE », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 7, , p. 41-56 (DOI 10.48556/SIF.1024.7.41)
- Daniel Caous, « Témoignage d'un ancien élève sur l'ambiance d'un club informatique « 58 lycées » des années 1975 », EPInet : la revue électronique de l'EPI Association, Association Enseignement public & informatique (EPI), no 231, (ISSN 2429-3067, lire en ligne, consulté le )
- Jean-Daniel Dodin (Enseignant retraité - ancien professeur de construction et mécanique industrielle au lycée Rive Gauche à Toulouse, années 1980), « Galerie photos salles informatiques de deux établissements toulousains "Expérience des 58 lycées", années 1980 (lycée Rive Gauche et lycée Saint-Sernin) : Ordinateurs T1600 et Mitra 15, périphériques, supports et ambiance club » (Galerie photos, crédit Jean-Daniel Dodin), sur dodin.org, (consulté le ).
- EPI Association, « Liste des 58 lycées », sur epi.asso.fr, Enseignement public et informatique, (consulté le ).
- Association pour un conservatoire de l'informatique et de la télématique, « Collection ACONIT, les mini-ordinateurs français Télémécanique T1600 et CII Mitra 15 », sur db.aconit.org (consulté le ).
- Pierre Ratinaud, Historique des technologies de l'information et de la communication dans l'Éducation nationale : Expérience des 58 lycées - Matériels (Diaporama de présentation - Extrait), Toulouse, 14 p. (lire en ligne), p. 5
- Daniel Caous et Jacques Baudé, « Les mini-ordinateurs « Éducation nationale » de la décennie 1970 », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 19, , p. 41-48 (DOI 10.48556/SIF.1024.19.41, lire en ligne [PDF], consulté le )
- Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique, « Rencontres sur le PST - Aconit Grenoble - 14 et 15 novembre 2013 » [PDF] (Diaporama de présentation), sur aconit.org, Mission nationale pour la sauvegarde du patrimoine scientifique et technique contemporain, (consulté le ), p. 15.
- Mission nationale pour la sauvegarde du patrimoine scientifique et technique contemporain, « 200 kg de masse mais peu de mémoire ! », sur collections.umontpellier.fr, Mission nationale pour la sauvegarde du patrimoine scientifique et technique contemporain, (consulté le ).
- Musée des Arts et Métiers, « La mission PATSTEC », sur arts-et-metiers.net, Musée des Arts et Métiers (consulté le ).
- [Référence de la notice : PM34002435] Ministère de la Culture, « Instrument scientifique : ordinateur T1600 Télémécanique » (Notice), Base Palissy, sur pop.culture.gouv.fr, (consulté le ).
- « Les échecs aux Grosses Têtes de RTL »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur strategy.com (consulté le ).
- Classement Départemental et National des lycées français.
- Méthodologie du classement national des lycées français.
- « Palmarès : le classement 2018 des prépas », sur letudiant.fr, (consulté le ).
- Les Kalaux du Clapas, R.N.A no W343000740, publié le 6 avril 2013 sur le site du Journal officiel de la République française (consulté le 8 décembre 2018).
- Didier Eribon, De près et de loin, Paris, Éditions Odile Jacob,
- Le Parisien, article du 30 janvier 2012
- « La prépa, ascenseur social ? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lycée Joffre, .
- Présentation de la section internationale espagnole sur le site du Lycée Joffre
- « Fabrice Bellard », sur L'univers de Pi (consulté le ).
- « Besse, Antonin (1877–1951), entrepreneur and benefactor by T. A. B. Corley », sur Oxford DNB.
- « Ces étudiants qui ont fréquenté Montpellier », sur lacitoyennete.com, (consulté le ).
- « Georges Charpak (1924-2010) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lycée Joffre (consulté le ).
- Fiche de Georges Frêche sur le site de Montpellier Agglomération
- « Ces étudiants qui ont fréquenté Montpellier »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lacitoyennete.com/ (consulté le ).
- « Interview : Fulgence Ouedraogo et Ariane Brodier », sur Actu.fr, .
- Michel Héluwaert, Pour l'éducation populaire, Paris, Editions L'Harmattan, , 266 p. (ISBN 2-7475-5926-2, lire en ligne), p. 75
- « Marius Roustan ».
- « Philippe Saurel, Maire de la Ville de Montpellier », sur montpellier.fr (consulté le ).
- (en) « Loic Wacquant », sur MacArthur Fondation (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Association amicale des anciens élèves du lycée de Montpellier (préf. Paul Valéry), Livre d'or du lycée : guerre 1914-1919 (Biographie), Montpellier, impr. de la Manufacture de la Charité, , XI-211 p., 26 cm (OCLC 799385570, SUDOC 069368244, présentation en ligne).
- Louis Secondy (1934-2021), Jean Coubès (col.) et Étienne Verley (col.) (préf. Rémy Chastel (1927-2002), ill. Gabriel Mutte), Histoire du Lycée de Montpellier : de l’ancien Collège des jésuites à la Citadelle, 1630-1988, Montpellier, Les Presses du Languedoc / Max Chaleil, , 350 p., 24 cm (ISBN 2-85998-055-5 et 9782859980559, OCLC 462642883, BNF 35007909, SUDOC 001433350, présentation en ligne).
Fonds d'archives
modifier- Fonds : Lycée Joffre de Montpellier (1928-1981) [11,10 ml]. Cote : 1646 W 1-122. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
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