Wikipédia

Mariette Teisserenc

peintre, plasticienne et graveuse française
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Teisserenc.

Mariette Teisserenc (née Dessèvre le à Grand-Couronne en Seine-Maritime) est une artiste peintre, plasticienne et graveuse française[1],[2]. Elle est également connue sous les noms d’artiste « Teisse » ou « Teisse-renc ».

Mariette Teisserenc
Mariette Teisserenc en 1987.
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Mariette DessèvreVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonymes
Teisse, Teisse-RencVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Membre de
Bundesverband Bildender Künstlerinnen und Künstler (d)
Union des femmes peintres et sculpteursVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvements
Maîtres
Influencée par

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Formée au design graphique à l’École des Arts décoratifs de Düsseldorf[3],[4], elle renonce, dès 1978, à une carrière dans la publicité pour se consacrer à sa pratique artistique.

Peintre abstraite impliquée dans la cause des femmes artistes en France et à l’étranger[5],[6],[7],[8], son œuvre se caractérise par des formes épurées, la proéminence de la couleur noire et de la ligne, entre tensions et recherches d’équilibre[9].

Biographie

modifier

Mariette Teisserenc naît Mariette Dessèvre[10] le à Grand-Couronne près de Rouen, en Haute-Normandie. Elle passe son enfance et fait ses études à Paris. C’est là qu’elle est initiée aux arts plastiques par l’artiste et enseignante, Magdeleine Mocquot (1910—1991).

Düsseldorf

modifier

En 1963, elle s’installe en Sarre puis, s’établit à Düsseldorf (République Fédérale d’Allemagne). En 1967, elle s’inscrit à l’école des Arts décoratifs de Düsseldorf (Düsseldorfer Werkkunstschule)[3],[4], renommée en 1971, Fachhochschule Düsseldorf. L’institution est dirigée par le graphiste, Kurt Herbert Wolff (1916–2003). Elle y suit les cours de la section de « Grafik Design » sous l’égide du professeur Heinz Kampmann-Hervest (1913–1985). Elle est récompensée en 1969 d’un 2e Prix du design graphique pour un logo de la société Henkel and Co GmbH (Düsseldorf, RFA)[11] et en 1971 par un 1er Prix de la Société des Expositions Nord-Est-Allemande (Nordwestdeutsche Austellungsgesellschaft mbH (NOWEA)), Messe Düsseldorf.

Inspirée par des recherches calligraphiques, Mariette Teisserenc se tourne vers l’art abstrait. Elle met alors en place une approche qui influencera durablement son œuvre : « étudier le point de rencontre des formes, là où les tensions sont maximums ». Le Neue Ruhr Zeitung du note à propos d'une exposition commune avec la peintre finlandaise, Maïkki Strömberg, au Consulat général de France à Düsseldorf, « Rythmen und Kompositionen : Bilder von Mariette Teisserenc und Maikki Strömberg » : « Mariette Teisserenc […] présente des gouaches en noir et blanc. Ses compositions, comme autant de silhouettes, s’articulent d’une tension à l’autre et suggèrent l’influence de Kandinsky. […] »[12],[13].

La Mòstra del Larzac

modifier

L'artiste passe une partie de ses étés sur le Causse du Larzac dans l'Hérault. Elle y installe un atelier et profite des espaces pour réaliser des toiles de grandes dimensions.

L’été 1972 est l’occasion pour elle de participer pour la première fois à la « Mòstra del Larzac » (Les Infruts, commune de La Couvertoirade, Hérault). Ce lieu d’expositions et de débats, animé par l’intellectuel et militant occitaniste, Félix Castan (1920-2001)[14], se renouvelle chaque été jusqu’au début des années 1990. Nombreux artistes y figurent tels que : Pierre Soulages (1919-2022)[15],[16],[17], Albert Ayme (1921-2012)[15],[18], Bernard Dufour (1922-2016)[19], Michel Bertrand (1935-2009)[20], Ben (Benjamin Vautier, 1935)[21], ou encore, Claude Viallat (1936)[22]. En 1977, au nom de ses principes de décentralisation, l'organisateur décline une invitation du Centre Pompidou à exposer les artistes de la Mòstra à Paris[23].

L'été 1982 est un autre tournant pour Mariette Teisserenc : Félix Castan lui propose d’exposer un tableau de grandes dimensions. Un procédé s’impose à elle : concevoir son œuvre en accolant plusieurs toiles. Chacune est considérée seule ou comme un élément de l’œuvre total. L’artiste répétera le dispositif dans de nombreux travaux ultérieurs. Elle intitule le tableau La Mòstra et y incorpore des éléments de papier de soie acryliqués et des cordes.

Art et Regard des Femmes

modifier
 
Art et Regard des Femmes, Affiche de l'Exposition à la Mairie du IIIe Arrondissement de Paris, 10-23/03/1979

En 1976, elle quitte définitivement Düsseldorf et rentre à Paris. C’est l’occasion de renouer avec des amies peintres et militantes de la cause des femmes artistes. L’expérience des expositions en Allemagne et sa carrière dans la publicité ont affermi sa détermination à améliorer la visibilité de son travail et celui de ses camarades femmes. L'artiste renonce définitivement à son métier de publicitaire en 1978. Commence alors, une période active en termes d’expositions.

Rapidement après sa création, Mariette Teisserenc rejoint le collectif Art et Regard des Femmes[24]. Elle en assume la présidence dès 1980[6],[7],[8].

Abstract 3 et Tour of America

modifier

Mariette Teisserenc expose depuis au sein du Salon de la Jeune Peinture (33e édition). Pour sa première participation, elle rejoint le groupe « Figurations Actuelles » animé par l’artiste, Raul Ferreira-Rocha (1951)[25]. « A la demande de la Présidente, Concha Benedito (1936), je crée un premier groupe exclusivement consacré à l'Art abstrait. Pour ce faire, je me limite à deux artistes : la plasticienne américaine, Sheila Reid[26] et la peintre hollandaise, Leny Aardse-Scholten (1944)[27],[28]. Nos œuvres respectives sont différentes et se complètent. Nous avons surtout un enthousiasme commun pour faire connaître notre démarche de femmes artistes et pour exposer à l’étranger. »

Le groupe «  Abstract 3  »[9] est ainsi formé et figure en tête du catalogue du 34e Salon de la jeune Peinture (1983), Hommage au travail collectif[29],[30]. Les trois artistes participent ensemble aux deux éditions suivantes du salon (1984[31] et 1985[32]) puis exposent à deux reprises au Pays-Bas (Albrandswaard[33],[34] et Apeldoorn)

De septembre à , elles organisent une exposition itinérante aux États-Unis, Tour of America[35],[36],[37],[38]. Lisa Dennison (1953), alors Conservatrice-adjointe au Musée Guggenheim, écrit à propos de sa visite de l’exposition : « Les œuvres de Sheila Reid, Mariette Teisserenc et Leny Aardse sont innovantes de par leur technique et leur concept. Elles partagent en commun de nombreuses préoccupations artistiques tout en conservant leurs puissantes individualités. Comme un seul tout mais aussi l’une par rapport à l’autre, leurs œuvres sont un dialogue de tempéraments, de couleurs, de textures, d'échelles, de rythmes divers. Ce sont ces similitudes et ces différences qui donnent à l’ensemble une vitalité extraordinaire. En définitive, la volonté de ces artistes de partager leur travail avec un large public, de le rendre, en soi, vecteur de communication, est tout particulièrement appropriée à l'esprit qui réunit depuis le début ces trois femmes de nationalités diverses. Ce fut un privilège pour moi de connaître personnellement chaque artiste et de découvrir de première main leur travail si accompli ».

Le Grand Nord canadien

modifier

L’intérêt de Mariette Teisserenc pour le Canada est multiple. Une exposition en particulier va le renforcer : « Paris-couleur-Montréal ». Organisée dans le cadre du 36e Salon de la Jeune Peinture (1985) à Paris, elle est un échange entre artistes français (tels que Mariette Teisserenc, Jean-Michel Correa (1958) ou encore Daniel Lacomme (1949)[39]) et québécois (entre-autres, Laurent Bouchard (1931), Robert Deschênes (1950), Nycol Beaulieu (1951) ou Lili Richard (1938))[32]. L’exposition s’exporte par la suite à Montréal (Maison de la Culture de Côte-des-Neiges) où Mariette Teisserenc fait la connaissance du collectionneur et future galeriste, Pierre Riverin (1942-2015)[40]. Cinq ans plus tard, s’ouvre à la galerie Riverin-Arlogos de Eastman (Québec) la première d’une longue série d'expositions[41],[42],[43] : « TEISSE – Œuvres récentes de Mariette Teisserenc » (1990)[44].

En 1996, l’artiste défend un projet de recherche « Autour du ‘Ulu’ et de sa pratique » devant l’Association Française d’Action Artistique (AFAA, Ministère des Affaires Étrangères) avec un soutien préalable du Ministère des Affaires autochtones et du Nord québécois. L’objectif est d’aller à la rencontre de communautés inuit isolées et d’étudier leur pratique d’un couteau traditionnel, le ‘Ulu’, dont l’usage est exclusivement réservé aux femmes. Elle s’embarque ainsi à destination de Inukjuak et Akulivik (Nunavik, Canada), où elle résidera pendant plusieurs semaines au sein de familles inuit. Mariette Teisserenc présente les résultats de ses recherches à la galerie Riverin-Arlogos : « Retour du Grand Nord, une artiste française chez les Inuit » (1998)[41].

La Communication de Dieu avec les hommes

modifier

Une œuvre monumentale se révèle particulièrement importante pour l’artiste : la conception de 12 vitraux pour l’église Saint-Pierre et Saint-Paul de Brûlon-sur-Sarthe (Pays de la Loire)[45],[46],[47]. « Parmi les quatre projets reçus qui ont été exposés à la mairie en octobre dernier, la population et le conseil municipal ont choisi, de manière anonyme, un projet aux lignes épurées. Il est l'œuvre de Mariette Teisserenc, peintre née à Paris [sic], [...]. Elle décide de participer [à ce concours], car trois années plus tôt, elle a suivi des cours sur l'art contemporain et le sacré [Institut d’Art Sacré (IAS), Institut Catholique de Paris (ICP)]. ‘C'est le moment de les mettre en pratique. Moi qui ne fais que de l'abstrait, je réalise un travail figuratif aux lignes épurées. Les détails distraient de l'essentiel.'[...] C'est une vraie collaboration avec Eric Boucher (maître-verrier de Seiches-sur-le-Loir), dans le choix des couleurs et du rendu de lumière en fonction de l'emplacement [...][48]. »

Mariette Teisserenc explique au sujet de cette réalisation : « Travailler pour des vitraux d’église n’est pas un travail neutre laissé au bon vouloir de l’artiste car cela touche l’Art et le Religieux. Je me suis tout d’abord longuement imprégnée de l’atmosphère des lieux dans l’idée de ce que demandait le cahier des charges, à savoir La Communication entre Dieu et les hommes. Comment la ressentir en moi et la faire sentir à travers mes vitraux dans cet espace très précisément »[49].

Expositions

modifier

Personnelles (liste partielle)

modifier
 
Affiche de l'exposition "TEISSE (Mariette Teisserenc) : Neue Arbeiten", Galerie Octogone 18/11-21/12/1990, Aix-la-Chappelle
  • 1981 : « Mariette Teisserenc : toiles, dessins, pastels », De De Novum, Düsseldorf (Allemagne)
  • 1987 : Mariette Teisserenc : Peintures (Art Majeur), Presse Club de France, Paris VIII (France)
  • 1987 : Tour of America – Mariette Teisserenc, Frances Aronson Gallery, Atlanta (États-Unis)
  • 1987 : Mariette Teisserenc's New Pantings, Anne Gazeau-Secret's residence, New York (États-Unis)
  • 1987 : Mariette Teisserenc : New Works, CADME Gallery, Philadelphie (États-Unis)
  • 1990 : Teisse Neue Arbeiten , Galerie Octogone, Aix-la-Chapelle (Allemagne)
  • 1990 : Teisse, Galerie Riverin-Arlogos, Eastman (Canada)[44]
  • 1992 : Élan vital, Résidence de la Consule générale de France, Cologny (Genève, Suisse)
  • 1993 : Schilderijen van Mariëtte Teisse-renc, Teun Renes Galerij, Apeldoorn (Pays-Bas)
  • 1994 : Mariette Teisserenc, Galerie Point Rouge, Paris VIII (France)
  • 1996 : Volcans, Espace Municipal Pierre Laporte, Clermont-Ferrand (France)[50]
  • 1998 : Retour du Grand Nord, une artiste française chez les Inuit, Galerie Riverin-Arlogos, Eastman (Canada)[41]
  • 2003 : Retour au Québec, Galerie Riverin-Arlogos, Eastman (Canada)[42]
  • 2005 : Nuit blanche, Piscine de la Butte-aux-Cailles, Paris XIII (France)
  • 2011 : L’Équilibre du Point, Galerie Riverin-Arlogos, Eastman (Canada)

Collectives (liste partielle)

modifier

Performances

modifier

Œuvres

modifier
 
Mariette Teisse-Renc, Nuit Blanche de Paris, Piscine de la Butte-aux-Cailles, 2/10/2004[71].
  • La Communication de Dieu avec les hommes (Église Saint-Pierre et Saint-Paul de Brûlon, Sarthe), 2011-2012, 12 vitraux[49]
  • Sans titre (œuvre monumentale réalisée pour la Nuit Blanche de la Ville de Paris, 2/10/2004, Piscine de la Butte-aux-Cailles, Paris), 2004, acrylique (5 éléments)[71]
  • La Mòstra, 1983, technique mixte (acrylique, papier de soir, cordes)
  • Sans titre (ou « Faut-il enfermer les fous ? » commande réalisée dans le cadre du projet « Autour de la folie » de l'asbl. « Le Cheval Bleu », Paris), 1983, technique mixte (texte imprimé sur papier calque, tissus, cordes)[29],[72],[73]
  • Liens - Entre la vie et la mort, 1981, technique mixte (toile de lin, peinture vinylique, acrylique, cordes)
  • Sans titre (série Arbres), 1978, huile sur toile
  • Sans titre (d'après détail de tuyaux d'usine), 1973, gouache sur papier
  • B1(2) 70 (d'après étude calligraphique), 1970, gouache sur papier

Bibliographie

modifier
  • 2001, Lettres d’Afrique du Sud : un livre sur la Paix, Catherine Samet (texte) et Mariette Teisserenc (texte), Paris V : L’Harmattan, 250 pp. (ISBN 2-7475-1442-0)[74]
  • 2006, Les Mille et un contes et récits de Tozeur ou L’aventure du Sud Tunisien, Catherine Samet (texte) et Mariette Teisserenc (texte et illustrations), préface de Moncer Rouissi, Paris V : L’Harmattan, 272 pp. (ISBN 2-296-01054-7)[75]

Notes et références

modifier
  1. ↑ (en) « Teisse-Renc, Mariette », sur De Gruyter : Allgemeines Künstlerlexikon (AKL), (consulté le ).
  2. ↑ ArtFacts, « Mariette Teisserenc | Artist », sur ArtFacts (consulté le ).
  3. ↑ a et b (de) Hans Joachim Orth, 1980 Düsseldorf Creativ, Düsseldorf, Verlag Müller «Schwann» GmbH, (ISBN 978-3-88528-300-3), p. 274
  4. ↑ a et b (de) Klaus-Dieter Lehmann, Bildende Künstler und Autoren Düsseldorf, Düsseldorf, Literaturdüro Nordrhein-Westfalen e.V., , s.p. (1pp.)
  5. ↑ Fabienne Dumont, Des sorcières comme les autres : Artistes et féministes dans la France des années 1970 - Collection Archives du féminisme., Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 594 p. (ISBN 978-2-753-53250-2)
  6. ↑ a et b Fabienne Dumont, « Femmes, art et féminisme en France dans les années 1970 », Sisyphe.org,‎ (lire en ligne   [php]).
  7. ↑ a et b Fabienne Dumont, « Les années 1968 des plasticiennes : création de collectifs et ruptures dans les parcours individuels », Clio. Femmes, Genre, Histoire, no 29,‎ , p. 141–151 (ISSN 1252-7017, DOI 10.4000/clio.9249, lire en ligne, consulté le ).
  8. ↑ a et b (en-US) Rakhee Balaram, Women’s groups and collective art practices, Manchester University Press, (ISBN 978-1-5261-2517-0, lire en ligne).
  9. ↑ a et b (en-US) s.n., Three Contemporary Artists: Sheila Reid, Mariette Teisserenc, Leny Aardse-Scholten, Albany, New York, Mario Negri Institute Foundation, , 120 p. (lire en ligne).
  10. ↑ « Carnets des Anciens : Mariages », Nouvelles de l'Institut catholique de Paris,‎ juin-septembre 1963 (14e année numéros 5-6), p. 31 (lire en ligne).
  11. ↑ (de) s.n., « Im Gespräch », Rheinische Post (Düsseldorfer Feuilleton),‎ .
  12. ↑ a et b (de) K. Sch., « Rythmen und Kompositionen : Bilder von Mariette Teisserenc und Maikki Strömberg », Neue Ruhr Zeitung (NRZ),‎ .
  13. ↑ Henri Fuscien-Trasan, L'Art sous toutes ses formes - Paris XIIIe, Villenave d'Ornon, Ed. Fus-art, , 88 p. (ISBN 2-908853-36-1), p. 78
  14. ↑ Philippe-Jean Catinchi, « Disparitions : Félix-Marcel Castan, écrivain occitan précurseur du mouvement anticentraliste », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. ↑ a et b Félix-Marcel Castan, Abstraction au Carré (cat. expo. 16e Mòstra del Larzac, 14/07-15/09/1984), La Couvertoirade (Aveyron), Editions Cocagne, , 60 p. (ISBN 978-2-905-20601-5, lire en ligne).
  16. ↑ Félix-Marcel Castan, « Dossier Spécial : Abstraction au carré (II) – Abstraction toulousaine (cat. 19ème Mòstra del Larzac, 13/07-13/09/1987) », La Mòstra (No. 22, trimestriel), Ed. Cocagne,‎ (lire en ligne)
  17. ↑ Félix-Marcel Castan, « Abstraction (cat. expo. 20e Mòstra del Larzac, 16/07-11/09/1988) », Mòstra (No. 27, trimestriel, Ed. Cocagne),‎ , p. 60 (lire en ligne).
  18. ↑ Félix-Marcel Castan, « Abstraction (4) - (cat. expo. 21e Mòstra del Larzac, 15/07-10/09/1989) », Mòstra (No. 30, trimestriel, Ed. Cocagne),‎ , p. 56 (lire en ligne).
  19. ↑ Félix-Marcel Castan, Irréductible Réalité (cat. expo. 18ème Mòstra del larzac, 13/07-15/09/1986), Montauban, Editions Cocagne, , 56 p. (lire en ligne).
  20. ↑ Bernard Gouttenoire, Michel Bertrand : Parcours (1935-2009), Editions Montchalin, , s.p. (ISBN 978-2-917086-06-3).
  21. ↑ Félix-Marcel Castan, Le centre et la périphérie (cat. 27e Festival de Montauban, 23/06-10/071984), Montauban, Éditions Cocagne, , 32 p. (lire en ligne).
  22. ↑ Félix-Marcel Castan, « Móstra del Larzac, pour une Occitanie expérimentale », Móstra (No. 0, trimestriel, Ed. Móstra),‎ .
  23. ↑ Monique Jouanen, « A la Mòstra del Larzac », Midi-Libre,‎ .
  24. ↑ Anouk Chambard, Franny Tachon, « EXPO 4 – Les lieux alternatifs féministes parisiens dans les années 1970 », sur Femmes Artistes en Réseaux (F.A.R.), (DOI 10.58079/11nxt, consulté le )
  25. ↑ a b et c Concha S. Benedito, 33 Salon Jeune Peinture Grand Palais Mars 1982 (cat.expo. 20/11-01/12/1982), Grand Palais, Société de la Jeune Peinture, , 223 p., p. 109 et 137.
  26. ↑ (en-US) Sheila Reid, A Place Between Thoughts: the Art of Sheila Reid, Scotts Valley, CreateSpace, , 207 p. (ISBN 978-1-466-29345-8, lire en ligne).
  27. ↑ (en) Jan Salentijn, Leny Aardse: Recent Paintings, Apeldoorn, Centraal Beheer, .
  28. ↑ a et b Julie Carpentier, « Strasbourg, Culture : Quatre plasticiennes à l'œuvre (Mariette Teisserenc, Michèle Laveix, Leny Aardse (d)   et Sonia Gerber) », Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA),‎ .
  29. ↑ a b et c Concha S. Benedito, Jeune Peinture 34eme Salon Grand Palais 1983 Hommage au Travail Collectif (cat. expo. 28/01-23/02/1983), Grand Palais (Paris), Société de la Jeune Peinture, , 276 p., p. 9-12 et 266
  30. ↑ Mondher Ben Milad, « Jeune Peinture : Grand Palais, jusqu'au 23 février », Les Cahiers de la Peinture (Bimensuel d'études, de critiques et d'information),‎ 1 février 1983 (n°146), p.9-12.
  31. ↑ a et b Gérard Matharan, Jeune Peinture 35e Salon (cat.expo. 11/02-4/03/1984), Grand Palais (Paris), Société de la Jeune Peinture, , 357 p. (lire en ligne), p. 18-21 et 254-9.
  32. ↑ a b et c Françoise Decorse, 36e salon de la Jeune Peinture (cat.expo. 6-23/02/1985), Grand Palais (Paris), Société de la Jeune Peinture, , p. 7 et 29-31.
  33. ↑ a et b (nl) s.n., « In Rhoons kasteel : Internationale ontmoeting in gemeenschaps visie », Midweek,‎ .
  34. ↑ a et b (nl) s.n., « Tentoonstelling schilderijen en objecten : Boeiend en eigentijds werk », De Schakel (editie : Albrandswaard),‎ .
  35. ↑ a et b (en) Tour of America: Shiela Reid, Leny Aardse, Mariette Teisserenc : an Exhibition of Contemporary Art, (lire en ligne).
  36. ↑ a et b (en-US) s.n., « Art exhibit : The Fine Arts Gallery at Ole Miss », The Oxford Eagle,‎ 18 septembre 1986 (vol. 118 no. 229), p.1
  37. ↑ a et b s.n., « Artists », The News and Daily Advance, Lynchburg,‎ , D.4-5
  38. ↑ (en) MoMA (New York), « Dossier documentaire », sur nyarc.primo.exlibrisgroup.com (consulté le ).
  39. ↑ a et b superadmin, « Une amitié qui traverse le temps », sur Le Reflet du Lac, (consulté le ).
  40. ↑ Dany Jacques, « L'ex-préfet Pierre Riverin décède à 73 ans », sur Le Reflet du Lac, (consulté le ).
  41. ↑ a b et c s.n., « Expositions : Eastman Riverin-Arlogos », La tribune,‎ , F4 (lire en ligne  ).
  42. ↑ a et b s.n., « Expositions en région : Riverin-Arlogos », La Tribune,‎ , H6 (lire en ligne  ).
  43. ↑ a et b s.n., « Riverin-Arlogos : Les 30 ans », Le Devoir,‎ , E9 (lire en ligne).
  44. ↑ a et b s.n., « Expositions - ateliers et galeries: Riverin-Arlogos », Le Devoir,‎ , p. C7 (lire en ligne)
  45. ↑ « Église Saint-Pierre et Saint-Paul - Brûlon », sur www.guide-tourisme-france.com, (consulté le ).
  46. ↑ s.n., « 3. L’église Saint-Pierre et Saint-Paul », Petites Cités de Caractère de la Sarthe : Brûlon,‎ , p. 5 (lire en ligne   [PDF])
  47. ↑ Ouest-France, « Brûlon, petite cité de caractère de la Sarthe, devient cité en lumière le vendredi 16 décembre 2022 », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  48. ↑ s.n., « Mariette Teisserenc a peint les nouveaux vitraux », L'Echo Fléchois (Les Nouvelles : Brûlon et son canton),‎ , p.20.
  49. ↑ a et b Jean-Philippe Geffroy, La communication de Dieu avec les hommes : vitraux du chevet de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul de Brûlon, Brûlon, Mairie de Brûlon-sur-Sarthe, , 38 p..
  50. ↑ s.n., « Expositions : Histoires de volcans », Le Mois à Clermont-Ferrand,‎ , p.10-1
  51. ↑ Modesta Asensio-Allenet, UFPS 79 (cat. expo. 95e Salon de l'Union des Femmes Peintres. Sculpteurs. Graveurs. Décorateurs, 17/05-7/06/1979), Musée du Luxembourg (Paris), UFPS, , s.p..
  52. ↑ (de) s.n., Jahresaustellung Düsseldorfer Künstler (cat. expo. Kunstpalast de Düsseldorf, 31/05-12/07/1981), Düsseldorf, Arbeitsgemeinschaft Düsseldorfer Künstlervereinigungen, , p. 304.
  53. ↑ Modesta Asensio-Allenet, 100e Salon UFPS 84 (cat. expo. 100e Salon de l'Union des Femmes Peintres Sculpteurs Graveurs Décorateurs, 5-29/06/1984), Musée du Luxembourg (Paris), UFPS, , s.p.
  54. ↑ Nathalie Maquet, Aspect de la Jeune Peinture Abstraite (cat. expo. 29/04-23/05/1986), Paris, Imp. LIS 33, , 12 p.
  55. ↑ Christiane de Casteras, Hommage à Iris Clert, Grand Palais (Paris), Dialogue - UFPS - Venizelos, , s.p..
  56. ↑ Christiane de Castéras, Biennale des Femmes au Grand Palais (cat. expo. 4-30/06/1988), Grand Palais (Paris), UFPS, , s.p..
  57. ↑ a et b Roberto Gutierrez, « Plages - Presse - revue d'art contemporain - interventions d'artistes plasticiens », sur www.revue-plages.com, (consulté le ).
  58. ↑ s.n., « Portrait : La revue "Plages" une structure mentale », Art Jonction (Journal Trimestriel d'Information Culturelle et d'Art Contemporain),‎ octobre - décembre 1995 (n°3), p.5.
  59. ↑ (nl) s.n., « Kunstkalender : Teun Renes adviesburo en galerie voor beeldende kunst », Kunst Beeld (Tijdschrift voor beeldende kunst),‎ juin 1991 (jaargang nr. 6), p. 70.
  60. ↑ (nl) « Tentoonstellingen : Galerie Teun Renes », ACT (Apeldoorns Cultureel Tijdschrift),‎ , p. 13.
  61. ↑ (en) Georgette L. Owens, International Women Artists - Entering The Second Millenium, Greenbrae (Californie), Alliance of Women Artists, , 192 p. (ISBN 0-9658412-0-0), p. 148-9.
  62. ↑ Concha S. Benedito, MAC 2000 : Manifestation d’Art Contemporain (Espace Eiffel-Branly) (cat.expo.), Paris, MAC 2000, .
  63. ↑ G. Léo., 23ème Semaine d'Art Contemporain de Saint-Mandé (cat.expo. 28/05-11/06/2006), Saint-Mandé, Mairie de Saint-Mandé, , 12 p., p. 8-9.
  64. ↑ Ariane Dutartre, « Oeuvre de Mariette TEISSE-RENC : 'Sans titre, sans date' »  , sur Artothèque Saint Mandé, (consulté le ).
  65. ↑ Pierre Riverin, Les 30 ans de la galerie Riverin-Arlogos : Mariette Teisse-Renc, Jean-Michel Correïa, Daniel Lacomme, Eastman, Arlogos-Riverin Art Contemporain, , 16 p..
  66. ↑ G. Léo., « Expositions : 37e Semaine d’Art Contemporain », Saison Culturelle 2020-2021 Saint Mandé (bulletin d'info. annuel),‎ , p. 15 (lire en ligne   [PDF]).
  67. ↑ « 37e semaine d’art contemporain de Saint-Mandé », sur Fréquence Protestante (consulté le ).
  68. ↑ « Les artistes du Groupe de ASILVA au Salon Comparaisons », sur Centre Culturel Hellénique, (consulté le ).
  69. ↑ « De l'apparence à l'imaginaire », sur Salon Comparaisons (consulté le ).
  70. ↑ Françoise Bataillon, Jeune Peinture aujourd’hui, au 35e salon, Paris, Éditions Jeune Peinture et les auteurs, (ISBN 2-904652-01-9), p. 29 et 46.
  71. ↑ a et b s.a., « Oriflammes - Couleurs de Chine - Portes ouvertes d'ateliers d'artistes du 13e, Paris », Brochure Association "13 en vue", vol. s.v., no s.n.,‎ , p. 6
  72. ↑ s.n., Le Cheval Bleu : Autour de la Folie, 4e Arrondissement (Paris), Le Cheval Bleu asbl., , 16 p..
  73. ↑ (de) Yvonne Friedrichs, « Zur 'Jahresausstellung Düsseldorfer Künstler' im Kunstpalast : Kaffee-Krönung mit Pfauenfedern », Rheinische Post (Düsseldorfer Feuilleton),‎ .
  74. ↑ « Lettres d'Afrique du Sud - Un livre pour la paix », sur www.editions-harmattan.fr, (consulté le ).
  75. ↑ « Les mille et un contes et récits de Tozeur - Ou L'aventure du Sud Tunisien », sur www.editions-harmattan.fr, (consulté le ).

Liens externes

modifier

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Mariette_Teisserenc&oldid=220276521 ».
  NODES
Association 2
HOME 1
Intern 4
mac 3
Note 3
os 62
text 6