Maxime Prévot

homme politique belge

Maxime Prévot, né à Mons le , est un homme politique belge, président du parti Les Engagés, bourgmestre de Namur et député fédéral.

Maxime Prévot
Illustration.
Maxime Prévot en 2023.
Fonctions
Président de Les Engagés
En fonction depuis le
(5 ans, 10 mois et 7 jours)
Élection
Prédécesseur Benoît Lutgen
Bourgmestre de Namur
En fonction depuis le
(12 ans, 8 mois et 28 jours)
Réélection 14 octobre 2012
14 octobre 2018
Coalition Les Engagés-Ecolo-MR
Prédécesseur Jacques Étienne
Député fédéral à la Chambre des représentants
En fonction depuis le
(5 ans, 5 mois et 13 jours)
Élection 26 mai 2019
Réélection 9 juin 2024
Circonscription Province de Namur
Législature 55e, 56e
Vice-président du Gouvernement wallon
Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

(3 ans et 6 jours)
Ministre-président Paul Magnette
Gouvernement Magnette
Prédécesseur Carlo Di Antonio (Travaux publics & Patrimoine)
Éliane Tillieux (Santé & Action sociale)
Successeur Carlo Di Antonio (Travaux publics)
Alda Greoli (Santé & Action sociale)
René Collin (Patrimoine)
Député au Parlement wallon

(1 an, 9 mois et 5 jours)
Élection 25 mai 2014
Circonscription Namur
Législature 9e
Prédécesseur Clotilde Leal-Lopez

(5 ans, 1 mois et 15 jours)
Élection 7 juin 2009
Réélection 25 mai 2014
Législature 8e
Successeur Clotilde Leal-Lopez
Biographie
Nom de naissance Maxime Patrick Robert Albert Prévot
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Mons (Belgique)
Nationalité Belge
Parti politique LE
Diplômé de Université catholique de Louvain
Université de Namur

Maxime Prévot
Bourgmestre de Namur

Biographie

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Maxime Prévot est né à Mons le dans une famille de classe moyenne, sa mère travaillant à l'ONEM et son père étant informaticien[1]. Il grandit au Grand-duché de Luxembourg, où son père travaillait en tant qu'informaticien pour la commission européenne et vit ensuite à Arlon. C'est à l'âge de 7 ans, à l'occasion du divorce de ses parents qu'il quitte la Lorraine belge et s'installe avec son frère et leur mère à Dave, section de l'entité de Namur[1]. Il finit ses études secondaires à l'institut Saint-Berthuin de Malonne[1].

Il étudie les sciences politiques aux FUNDP puis à l'UCL et revient ensuite aux Facultés universitaires de Namur pour une spécialisation en droit et gestion des nouvelles technologies de l'information et de la communication (DTIC)[2] où il prend alors goût à la chose politique, sans guère jouir de soutien familial en la matière[1]. Parallèlement à ses études, il est également animateur louveteau et arbitre de football[1].

Il rejoint le cdH et devient président des jeunes cdH de Namur. Après ses études, il rejoint durant trois ans l'un des big four de l'audit, PricewaterhouseCoopers[2] avant d'intégrer d'autres responsabilités au sein du parti et se consacrer entièrement à la politique, successivement en tant qu'échevin, député fédéral, député wallon et bourgmestre de Namur et vice-président du Gouvernement wallon.

Carrière politique

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Débuts

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Maxime Prévot fait partie d'une tranche de jeunes politiciens originaires d'horizons plutôt laïques à rejoindre le cdH[3]. Il occupe au sein de ce parti entre 2004 et 2006 la fonction de directeur politique[2]. Lors des élections de 2006, il est élu comme échevin de la ville de Namur[2]. En 2007, il est élu député fédéral à la Chambre. En 2009, il est élu au Parlement wallon et y est désigné chef de groupe cdH. En 2010, il est à nouveau élu député fédéral à la Chambre.

Lors des élections de 2012, il est élu bourgmestre de Namur avec 13 549 voix de préférence[4],[1]. Le Journal Le Soir souligne l'un des plus hauts scores électoraux réalisés dans cette ville, les scores n'ayant pas dépassé les 10 000 voix de préférence depuis au moins plus de 40 ans[1]. Il succède à Jacques Étienne, bourgmestre cdH.

Maxime Prévot communique sur plusieurs niveaux de langage, pouvant aussi bien s'adresser à l'électeur plus populaire, qu'aux yuppies[1]. Selon le journaliste Éric Burgraff, il dispose d'une image de « bosseur guindailleur »[1].

En , il participe à l'enregistrement d'une émission de divertissement flamand, De Slimste Gemeente (nl) (litt. la commune la plus intelligente), un jeu de quiz télévisé où s'affrontent des communes belges, toutes flamandes Namur excepté, représentées par un homme, une femme et le bourgmestre de la commune[5].

Mandat au gouvernement Wallon (2014-2017)

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Lors des élections régionales belges de 2014, Maxime Prévot est tête de liste CDH pour la circonscription de Namur qui est la seule à ne pas perdre de position par rapport aux élections de 2009[6]. Il est nommé président du parlement wallon de façon temporaire, dans l'intervalle de la négociation en vue de la formation du gouvernement de l'entité fédérée[7]. Le nouvel exécutif de cette entité fédérée entre en fonction le  ; Maxime Prévot devient vice-président du Gouvernement wallon et ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine[8].

Il met en œuvre la réforme du financement des infrastructures hospitalières[9]. Il a pu impulser le premier Plan volontariste en matière d'autisme[10] et dégager des moyens pour créer de nouvelles places pour accueillir les personnes handicapées et rénover leurs structures d’accueil et d’hébergement au travers le Plan ERICh[11]. Il a augmenté les moyens pour la prise en charge des cas prioritaires[12] et contribué à l'adoption du premier Plan Accessibilité wallon[13].

Via le plan Papy Boom[14], il libère des moyens à hauteur de près de 200 millions d’euros[15] pour faire face en partie au vieillissement de la population[16]. Il instaure le parcours d’intégration obligatoire pour les étrangers primo-arrivants[17], trace les perspectives de la réorganisation de la première ligne de soins[18] et consolide les réseaux locaux multidisciplinaires[19] notamment pour la prise en charge des malades chroniques, met en œuvre des mécanismes incitant les médecins à s’installer dans les zones en déficit[20] et il instaure le Réseau Santé Wallon[21].

Il définit un cadre pour financer et reconnaître les restaurants sociaux et les épiceries sociales[22] pour les plus démunis, pérenniser l’approche Housing First pour la remise au logement des sans-abri[23], refinancer les abris de nuit[24] et veiller à organiser une offre d’accueil sur l’ensemble du territoire, pérenniser les moyens dévolus au secteur LGBT[25].

Comme ministre des Travaux publics, il soutient le Plan Infrastructures qui vise la réhabilitation des voiries[26] et soutient également l'amélioration des voies hydrauliques[27]. Dans ce cadre, il soutient le Centre Perex 4.0[28], et le renouvellement intégral des luminaires des routes régionales[29]. Il permet l’implantation de grandes éoliennes sur les aires autoroutières[30] et fait voter la réforme du permis de conduire B[31].

En juin 2017, Maxime Prévot décide de ne pas préserver ses fonctions au Gouvernement wallon suite à la rupture de l'accord de gouvernement par Benoît Lutgen[32],[33]. Il précipite sa fin de fonction annoncée en vue de mettre fin au cumul de fonctions de bourgmestre de Namur[34],[35].

Gouvernement fédéral (2019-2024)

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En juin 2019, Maxime Prévot est à réélu comme député fédéral à la Chambre.

Il est élu député à la Chambre des représentants à la suite des élections législatives fédérales belges de 2024[36].

Gestion de parti

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Le , Benoit Lutgen annonce qu'il quitte la présidence du cdH[37]. Maxime Prévot est alors pressenti pour lui succéder. Le , il est élu lors d'un congrès du parti réuni à Louvain-la-Neuve avec 85% des voix[38].

En mars 2022, il fonde le Mouvement Les Engagés. Fruit d’une grande opération de consultations citoyennes étalée sur deux ans, Les Engagés se décrivent comme un parti en mouvement et un mouvement qui prend parti[39].

Formation du gouvernement fédéral 2024

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À la suite de la démission de Bart De Wever de son rôle de formateur, dans le cadre de la création d'un gouvernement fédéral belge, Maxime Prévot est chargé le d’une mission de médiation par le roi Philippe[40]. Son rôle est rencontrer les partenaires potentiels pour un gouvernement fédéral et reprendre les négociations rapidement[40]. Sa mission prend fin le avec la nomination de Bart De Wever comme formateur[41].

Positions politiques

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Maxime Prévot est considéré comme étant au centre-droit, proche du Mouvement réformateur[42].

Il se prononce en 2015 sur l'état des routes souhaitant un meilleur entretien des 7 800 kilomètres de voiries gérées par la Région wallonne, dont l'état s'est selon lui détérioré sous ce qu'il appelle « les années Daerden » en référence à Michel Daerden ; il souhaite mettre en place une politique d'amélioration pour 2017[43].

Il soutient et participe au travail préparatoire de la création d’une assurance autonomie obligatoire[44]. Hélas, tandis qu’il se trouvait en Laponie[45], l’annonce du retrait de la députée libérale Patricia Potigny[46] de la majorité MR-cdH reporte le projet de réforme sur l’assurance autonomie et les aides APE[47].

Le domaine de la Santé est un thème qui lui tient à cœur. Il plaide notamment pour le refinancement des soins de santé, l'amélioration des soins psychiatriques et pour la refédéralisation des ministères de la Santé[48],[49].

Il se montre assez réticent aux réseaux sociaux. En 2016, il déclare : « J’apprécie Facebook, mais il devient de plus en plus le déversoir du ressenti du moment, et ça peut être lourd[50]. »

Controverses

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Après son élection en au poste de bourgmestre de la ville, il jouit d'une certaine popularité au sein de la ville de Namur[1]. Dès , il connaît son premier revers : lors de sa déclaration de politique communale, il déclare vouloir modifier le jour du marché, soulevant protestations et manifestation devant l'hôtel de Ville. Sous la pression, il reviendra sur sa décision[51].

En , il porte plainte en diffamation contre Richard Dessart, un militant de 25 ans ayant mis en doute l'impartialité du collège communal en sous-entendant des liens entre le cdH et le promoteur Actibel[52]. Le , Maxime Prévot est condamné à payer des indemnités à Richard Dessart[53].

Au printemps 2017, alors que la Région wallonne subit des modifications éthiques, il est pris dans une tourmente médiatique car il refuse d'abandonner son rôle dans l'administration communale, qu'il cumule avec ses fonctions ministérielles[54].

Vie privée

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Actuellement marié à Nathalie[55], il est le père de Valentine, né d’une première union[56].

Liste des mandats politiques exercés

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  • Conseiller du CPAS de Namur (2000-2006)[57];
  • Échevin des Affaires sociales, du Logement, de la Prévention urbaine, de la Santé et des Sports de la Ville de Namur (2006-2012) ;
  • Conseiller de la Province de Namur (2006-2007);
  • Directeur politique du cdH (2004-2006);
  • Bourgmestre de Namur (depuis le );
  • Député fédéral (2007-2010);
  • Président du Parlement wallon ( - );
  • Vice-président du Gouvernement wallon et ministre Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine ( - );
  • Président du parti politique Les Engagés (depuis le ).

Notes et références

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  1. a b c d e f g h i et j Éric Burgraff, « Entretien avec Maxime Prévot », Le Soir,‎ , p. 26 (lire en ligne)
  2. a b c et d « Maxime Prévot, l'étoile montante du cdH (Biographie) », sur L'avenir, (consulté le ).
  3. Paul Wynants, « L'évolution du CDH (2004-2011) : I. Juin 2004-décembre 2007 », Courrier hebdomadaire du CRISP, CRISP, vol. 2131-2132, no 6,‎ , p. 1-79 (ISSN 0008-9664, DOI 10.3917/cris.2131.0005, résumé, lire en ligne)
  4. Jean Faniel, « Les résultats des élections communales du 14 octobre 2012 en Wallonie », Courrier hebdomadaire du CRISP, CRISP, vol. 2204-2205, no 39,‎ , p. 5-5 (ISSN 0008-9664, résumé, lire en ligne)
  5. ML, « Maxime Prévot dans un jeu télé flamand "pour son image politique" », sur La Dernière Heure/Les Sports, (consulté le ).
  6. Pierre Blaise et al., « Les résultats des élections régionales et communautaires du 25 mai 2014 », Courrier hebdomadaire du CRISP, CRISP, vol. 2223-2224, no 18,‎ , p. 5-114 (ISSN 0008-9664, résumé, lire en ligne)
  7. « Maxime Prévot président du Parlement wallon », sur L'Echo,
  8. « Arrêté du Gouvernement wallon fixant la répartition des compétences entre les Ministres et réglant la signature des actes du Gouvernement » [PDF], sur Wallex Wallonie,
  9. « Le plan qui modernisera les hôpitaux », sur Le Soir, (consulté le ).
  10. Tassin Stéphane, « La Wallonie lance son "plan autisme" », sur La Libre.be, (consulté le ).
  11. « La Wallonie débloque 63 millions au profit du secteur du handicap », sur Le Soir, (consulté le ).
  12. Pascale Serret, « Handicap : de l’oxygène pour traiter l’urgence », sur lavenir.net, (consulté le ).
  13. « Un plan wallon « Accessibilité » pour les personnes à mobilité réduite », sur CAWaB asbl (consulté le ).
  14. « La Wallonie enclenche le plan "Papy Boom" », sur 7sur7.be (consulté le ).
  15. G.Dx, « Maisons de repos: 13 millions pour la Wapi ! », sur DHnet, (consulté le ).
  16. « Plan Papy Boom: 200 millions d'euros et 677 places supplémentaires », sur fr (consulté le ).
  17. « Parcours d’intégration: le coup de maître de Maxime Prévot », sur Le Soir, (consulté le ).
  18. « Réorganisation de la première ligne wallonne: le point », sur fr (consulté le ).
  19. « La Wallonie pérennise les Réseaux locaux multidisciplinaires pour les malades chroniques - Éducation Santé », sur educationsante.be (consulté le ).
  20. « Un plan wallon pour attirer les médecins à la campagne », sur Le Soir, (consulté le ).
  21. « Le Réseau santé wallon désormais plate-forme officielle pour la Wallonie », sur fr (consulté le ).
  22. « Coup de pouce pour les restaurants sociaux et épiceries sociales de Wallonie », sur Guide Social (consulté le ).
  23. « ‘Housing first, la Wallonie renforce sa politique de lutte contre la pauvreté - Éducation Santé », sur educationsante.be (consulté le ).
  24. Pascale Serret, « Au minimum 5 abris de nuit en plus en Wallonie », sur lavenir.net, (consulté le ).
  25. « Les premières Maisons arc-en-ciel et leur Fédération enfin agréées et mieux soutenues - Éducation Santé », sur educationsante.be (consulté le ).
  26. Belga, « Le « Plan infrastructure » de Maxime Prévot comprendra les routes dites de l’emploi », sur lavenir.net, (consulté le ).
  27. Emeline Berlier, « La Louvière: 500 millions pour les voies hydrauliques », sur DHnet, (consulté le ).
  28. « PEREX 4.0 : 1ère étape pour une gestion « high-tech » des infrastructures wallonnes routières et fluviales », sur Sofico, (consulté le ).
  29. Y. N, « Des lampes intelligentes pour éclairer nos routes », sur DHnet, (consulté le ).
  30. « Des éoliennes surles aires d’autoroute », sur Le Soir, (consulté le ).
  31. Axel Mercier (St.), « La validité du permis théorique réduite à 18 mois en Wallonie », sur DHnet, (consulté le ).
  32. « Le cdH lance un appel pour mettre en place de nouvelles majorités et évincer le PS », sur RTBF (consulté le ).
  33. « Accord pour un gouvernement MR-CDH en Wallonie », sur Le Soir, (consulté le ).
  34. « Maxime Prévot lassé par les critiques sur son cumul », sur Le Soir, (consulté le ).
  35. Belga, « Maxime Prévot quittera le gouvernement wallon "au plus tard en 2018" », sur DHnet, (consulté le ).
  36. « Élections 2024 : voici la liste des élues et élus belges dans les différents parlements », sur RTBF (consulté le ).
  37. La Libre.be, « Benoît Lutgen quitte la présidence du CDH », sur lalibre.be (consulté le ).
  38. La Libre.be, « Maxime Prévot élu président du CDH avec 85% des voix: "Nous devons incarner un nouvel avenir politique" », sur lalibre.be (consulté le ).
  39. Belga Belga, « Elections internes des Engagés: Maxime Prévot est réélu à la présidence de l'ex-CDH avec 81,7% des voix », sur La Libre.be, (consulté le ).
  40. a et b « Maxime Prévot chargé d’une mission royale : le nouveau médiateur a jusqu'au 2 septembre pour trouver un terrain d’entente », sur RTBF (consulté le )
  41. « Le Roi remet le formateur Bart De Wever en selle après avoir entendu le médiateur Maxime Prévot », sur RTBF (consulté le )
  42. François Brabant, « Maxime Prévot, le plus libéral des CDH ? », sur Le Vif, (consulté le ).
  43. Philippe de Boeck et Jean-François Lauwens (édité par C.D.P.), « La carte des routes wallonnes en piteux état », sur Le Soir, (consulté le ).
  44. « Maxime Prévot: «Une cotisation générale obligatoire pour chaque Wallon» », sur Le Soir, (consulté le ).
  45. « Maxime Prévot, de retour de Laponie, s'exprime sur Bel RTL: "Vous regrettez ce voyage, parce qu'il est tombé au mauvais moment?" (vidéo) », sur RTL Info, (consulté le ).
  46. « Patricia Potigny quitte le MR et rejoint les listes Destexhe: 'Il n'y avait plus de ligne claire' », sur RTBF (consulté le ).
  47. « Jeholet: "Je pense que la réforme des APE est reportée" », sur 7sur7.be (consulté le ).
  48. B-Plus, « Maxime Prévot: "Het doel is dat de partijen als geheel meer moeite doen om naar de bekommernissen van het hele land te luisteren" », sur B-Plus, (consulté le ).
  49. Michaël Bouche, « Semaine de quatre jours, N-VA, crise de la santé mentale: Maxime Prévot se livre à l’approche des élections », sur 7sur7, (consulté le ).
  50. « Grand feu de Bouge: Tanguy Auspert y jetterait bien «les fientes de pigeons» », sur lavenir.net, (consulté le ).
  51. « Namur: le marché le dimanche? "Très mauvaise idée" pour les maraîchers », sur lameuse.be, (consulté le ).
  52. « "Maxime Prévot fait peur à ceux qui veulent s’exprimer" », l'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  53. B.L., « Namur: Richard Dessart indemnisé de 480€ par le bourgmestre Prévot », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  54. M. Dum, « Prévot respecte la lettre (en grinçant), mais pas l’esprit », l'Avenir,‎ (lire en ligne)
  55. « Namur : L’ancien ministre et bourgmestre de Namur Maxime Prévot s’est marié ce week-end avec sa compagne »  , sur sudinfo.be, (consulté le ).
  56. https://www.lavenir.net/cnt/dmf20160915_00880701/grand-sauveur-gros-amateur-ou-joyeux-guindailleur-qui-est-maxime-prevot
  57. « La fiche détaillée des mandats, fonctions et professions de Maxime Prévot (cdH) », sur cumuleo.be (consulté le ).

Lien externe

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os 15
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