Montferrand-le-Château
Montferrand-le-Château est une commune française située dans le département du Doubs, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Montferrand-le-Château | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Doubs | ||||
Arrondissement | Besançon | ||||
Intercommunalité | Grand Besançon Métropole | ||||
Maire Mandat |
Michel Gaillot 2020-2026 |
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Code postal | 25320 | ||||
Code commune | 25397 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montferrandais | ||||
Population municipale |
2 185 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 292 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
2 524 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 11′ 02″ nord, 5° 54′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 223 m Max. 371 m |
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Superficie | 7,48 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Montferrand-le-Château (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Besançon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Besançon-6 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | www.montferrand-le-chateau.fr | ||||
modifier |
Ses habitants sont les Montferrandais et Montferrandaises.
Géographie
modifierCommunes limitrophes
modifierGrandfontaine | Avanne-Aveney | |||
N | Rancenay | |||
O Montferrand-le-Château E | ||||
S | ||||
Thoraise |
Transport
modifierLa commune est desservie par les lignes 52 54 du réseau de transport en commun Ginko.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 162 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,4 | −0,3 | 2,5 | 5 | 8,9 | 12,3 | 14,1 | 13,8 | 10,5 | 7,3 | 3 | 0,4 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 2,8 | 3,7 | 7,5 | 10,8 | 14,7 | 18,3 | 20,2 | 20 | 16,1 | 12 | 6,5 | 3,4 | 11,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 6 | 7,8 | 12,5 | 16,5 | 20,5 | 24,3 | 26,3 | 26,2 | 21,7 | 16,7 | 10 | 6,3 | 16,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−22 09.01.1985 |
−15 11.02.1986 |
−14,9 01.03.05 |
−4,3 08.04.21 |
−1,4 06.05.19 |
2,4 03.06.06 |
6,5 03.07.11 |
4 31.08.1986 |
0,5 30.09.1987 |
−6 31.10.1997 |
−10 27.11.1985 |
−19,5 20.12.09 |
−22 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,8 30.01.02 |
22,3 24.02.21 |
25,4 31.03.21 |
28,1 21.04.18 |
32,7 25.05.09 |
36,7 27.06.19 |
39,9 25.07.19 |
39,3 12.08.03 |
34,3 14.09.20 |
30 07.10.09 |
23,1 11.11.1995 |
20,5 16.12.1989 |
39,9 2019 |
Précipitations (mm) | 77,8 | 73,4 | 78,7 | 80,1 | 101,8 | 86,4 | 80,8 | 88,2 | 90,2 | 107,5 | 104,3 | 97,4 | 1 066,6 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6 −0,4 77,8 | 7,8 −0,3 73,4 | 12,5 2,5 78,7 | 16,5 5 80,1 | 20,5 8,9 101,8 | 24,3 12,3 86,4 | 26,3 14,1 80,8 | 26,2 13,8 88,2 | 21,7 10,5 90,2 | 16,7 7,3 107,5 | 10 3 104,3 | 6,3 0,4 97,4 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montferrand-le-Château est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montferrand-le-Château, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 310 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (44 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,5 %), zones urbanisées (20,4 %), prairies (19,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), terres arables (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (3,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierMonsferrandis en 1248 ; Momfarrant en 1255 ; Montferrant en 1292 ; Montfarrand en 1352[14].
Histoire
modifierMontferrand-le-Château est actuellement une petite commune de 2 000 habitants sise le long du bassin fluvial du Doubs. Cependant son centre historique se situe au sommet d'un des nombreux chaînons calcaires qui parsèment la vallée du Doubs, donnant un relief particulier à la région bisontine.
Au sommet de ce point culminant a été construit un complexe de fortifications datant sans doute du Moyen Âge classique donc compris entre les Xe et XIIIe siècles, dont il reste aujourd'hui de nombreux vestiges parsemés dans la forêt, qui a recouvert ces vestiges médiévaux. Néanmoins, une ancienne tour de guet, au toit tombé en ruine, est nettement visible, facile d'accès on peut y contempler un magnifique panorama, dont les visées stratégiques étaient évidentes au Moyen Âge, car de là, le seigneur de Montferrand pouvait surveiller ce qui pouvait se tramer dans les seigneuries avoisinantes comme Thoraise, Rancenay ou Avanne, mais surtout observer le Doubs, axe fluvial très emprunté au Moyen Âge car plus rapide par rapport aux voies terrestres.
Le nom de Montferrand apparaît pour la première dans les écrits, associé à Jean de Cicon parent d'Othon de Cicon (seigneur de Karistos en Eubée, Grèce en 1206). Il prend le nom de son domaine : Jean de Montferrand (premier du nom). Famille puissante que celle des sires et seigneurs de Montferrand qui possède la rive droite du Doubs au sortir de Besançon jusqu'aux abords de la forêt de Chaux (à l'est de Dole) comprenant :
- le château de Montferrand,
- le château de Thoraise,
- le château de Torpes,
- le château de Corcondray,
- le château de Fourg,
- le château d'Avanne.
Elle partage aussi la rive gauche avec les familles d’Arguel et d’Abbans. Au sortir de Besançon, plus au nord, les villages de Pelousey, Auxon-Dessus, Miserey, Villers-Buzon et Emagny tombent en partie entre leurs mains durant un temps. Exerçant aussi une influence considérable dans les affaires de la ville de Besançon, la vicomté de Besançon lui appartient avec Pierre de Montferrand et en 1295 avec Eudes de Montferrand. Plusieurs de ses membres ont aussi été chargés par les comtes de Bourgogne de la garde de leurs forteresses principales: Fromont de Montferrand en 1276 et Jean de Thoraise en 1391 ont été ainsi baillis du comté de Bourgogne. La maison de Montferrand comptera parmi ses conquêtes, durant ses plus glorieuses années, les villages d’Avanne, Rancenay, Grandfontaine, Thoraise, Torpes, Velesmes, Routelle et Corcondray.
Les seigneurs de Montferrand durant leur histoire sont aussi mêlés à bien des événements de la vie comtoise, française et même européenne :
- 1259 : pillage et destruction du château archiépiscopal de Gy par Pierre de Montferrand et d'autres seigneurs comtois ligués contre l'Archevêque de Besançon, Guillaume de la Tour et les citoyens de Besançon appuyés par Jean de Châlon. Il est atteint, comme ses complices par la sentence d'excommunication lancée par l'Archevêque de Besançon et confirmée par le Pape Alexandre IV. C'est seulement sur l'intervention du Roi de France Saint Louis et réconciliation entre les deux parties que la paix revient à Besançon et dans le Comté.
- 1285 : expédition en Sicile contre Pierre d’Aragon (Croisade d'Aragon),
- 1295-1301 : Eudes de Montferrand et les seigneurs francs-comtois se rebellent contre Philippe le Bel et détruisent ses châteaux d’Ornans, Clerval et Pontarlier.
Le mariage de Jeanne de Montferrand avant 1359 scelle le destin de la maison de Montferrand à celle de sire Ansel de Salins (ministre du comte de Flandre et de Bourgogne) qui reçoit de Jean de Thoraise (branche des Montferrand à Thoraise) les fiefs de Mont et Grandfontaine en 1354 puis rachète les parts du reste de la seigneurie au cousin de son épouse Jean IV de Montferrand en 1373, et devient ainsi seigneur de Montferrand, Thoraise, Mont et Grandfontaine.
La famille Montferrand s'éteint au XVe siècle après s'être divisée en plusieurs branches adoptant ainsi les noms de leurs domaines : Montferrand, Torpes, Thoraiseet Corcondray; seigneuries qui, successivement au fil des mariages et héritages, passent aux mains des seigneurs de Salins, de Vergy, d'Achey et de Grammont.
- Généalogie
Jean de Montferrand, (? - 1252), dit « Jean de Cicon » chevalier, seigneur de Montferrand. Il est le fils de Jean de Cicon et de N. de Bourgogne. En 1230 il prête hommage à Jean Ier de Chalon, comte de Chalon, pour son château de Montferrand ; lors de cette cérémonie il déclare son fils Guillaume homme lige du comte[15].
Mariage et succession : Il épouse N... de La Tour de qui il a :
- Guillaume qui suit,
- Hugues,
- Jean,
- Fromond,
- Henri,
- Étienne,
- Otton.
Guillaume de Montferrand, (? - vers 1310), damoiseau, seigneur de Montferrand. Il engage la terre de Grandfontaine à Alix de Méranie, comtesse de Bourgogne, en 1254[15].
Mariage et succession : il épouse Isabelle/Sibylle, (? - après ), fille de Thibaud III de Rougemont et de Comtesse de Belmont, de qui il a :
- Pierre de Cicon, (? - 1273),
- Jean qui suit.
Jean de Montferrand, (? - 1252), seigneur de Montferrand.
Mariage et succession : son épouse est inconnue, il a :
- Guillaume qui suit,
- Hugues, (? - 1283/88), il épouse N... de La Tour,
- Henri, (? - après 1264), il épouse Félicie, fille d'Hugues de Rans et de Béatrice de Pesmes.
Guillaume de Montferrand, (? - vers 1252), seigneur de Montferrand.
Mariage et succession : son épouse est inconnue, il a :
- Pierre qui suit,
- Humbert, (? - avant 1288), il épouse Henriette, fille d'Aymon Ier de La Sarraz et de Marguerite.
Pierre de Montferrand, (? - 1273/77), damoiseau, seigneur de Montferrand, vicomte de Besançon. Il est cité dans un titre de la chambre des comtes de Dole en 1260 lorsqu'il obtient de Thibaud IV de Rougemont la dignité de vicomte. C'est sous ce titre qu'il est nommé en 1268 dans un acte par lequel Hugues de Montferrand s'engage à remettre les seigneuries de Granfontaine, de Mont et le bois de Vernois (ces deux derniers actuellement partie intégrante de la commune de Montferrand) au comte de Bourgogne Othon IV. À cette même époque Pierre fait la guerre à son oncle Hugues et détruit le château de Thoraise. L'année suivante Hugues fait la paix avec son neveu et Guillaume d'Aubonne, son complice[15].
Mariage et succession : il épouse Isabelle, fille de Jean Ier de Ray et de Yolande de Choiseul, de qui il a Eudes qui suit.
Eudes de Montferrand, (? - ), chevalier, seigneur de Montferrand, vicomte de Besançon. Il prête hommage en 1292 à Jean Ier de Chalon-Arlay. Il donne la vicomté de Besançon à Humbert de Cuiseaux en 1293[15].
Mariage et succession : il épouse Huguette, fille de Philippe de Vienne et d'Agnès de Bourgogne, de qui il a Jean qui suit.
Jean de Montferrand, (? - 1351), chevalier, seigneur de Montferrand. Il teste en 1351 et choisit sa sépulture dans l'église des cordeliers de Besançon[15].
Mariage et succession : il épouse Marguerite, (? - après le ), fille de Jean de Vaugrenant et d'Helvis de Villersexel, de qui il Jeanne, (? - après 1408), dame de Montferrand. Elle hérite de la seigneurie de Vaugrenant après la mort de ses neveux Jean et Aymé[15]. Elle épouse Anselme de Salins-la-Tour.
Époque contemporaine
modifierLa saline de Montferrand est exploitée à la fin XIXe siècle.
Héraldique
modifierBlason de la commune
Blason | D'azur semé de billettes d'or, au lion couronnée du même, armé de sable et lampassé de gueules brochant. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].
En 2021, la commune comptait 2 185 habitants[Note 4], en évolution de +4,75 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
modifier-
Vestiges et donjon du château de Montferrand-le-Château.
-
Le château surplombant la vallée du Doubs.
-
La Tour de Montferrand-le-Château dominant les méandres du Doubs.
- Les chapelles :
- Chapelle du couvent de la Marne
- Chapelle du cimetière de la Marne
- Chapelle du couvent des Dominicaines de Béthanie du Mont
-
Chapelle du couvent de la Marne.
-
Chapelle du cimetière de la Marne.
-
Chapelle du couvent des Dominicaines de Béthanie du Mont.
Personnalités liées à la commune
modifier- Bienheureux Jean-Joseph Lataste (né à Cadillac (Gironde) le 5 septembre 1832 - 10 mars 1869) est un prêtre dominicain, fondateur des Sœurs dominicaines de Béthanie. Il a été déclaré Vénérable le 1er juin 2007 par le Pape Benoît XVI et béatifié le 3 juin 2012. Il a été appelé « l'apôtre des prisons ».
- Marcel Capiomont (1909-1944), Résistant.
- Henri Angonnet (1922-1944), Résistant.
- André Brenot (1923-1944), Résistant.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Doubs
- Gare de Montferrand - Thoraise
- Château de Thoraise
- Saline de Montferrand
Bibliographie
modifier- Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 288 à 299
- Louis Borne. Les sires de Montferrand, Thoraise, Torpes, Corcondray, aux XIIIe, XIVe et XVe siècles. Essai de généalogie et d'histoire d'une famille féodale franc-comtoise. Besançon, impr. Jacques et Demontrond, 1924.
Liens externes
modifier- Site de la mairie de Montferrand-le-Château
- « Connaissez-vous l'histoire de votre village »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) de Gilbert Sauget sur www.montferrand-le-chateau.fr
- Montferrand-le-Château sur le site de l'Institut géographique national
- Geneall, de Montferrand [1]
- Roglo, de Montferrand [2]
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montferrand-le-Château et Dannemarie-sur-Crète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montferrand-le-Château », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 4, Besançon, Cêtre, .
- Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne
- Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
- « Les candidats aux sénatoriales dans le Doubs », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.