Pascal Bruckner

philosophe, romancier et essayiste français

Pascal Bruckner, né le dans le 15e arrondissement de Paris, est un philosophe, romancier et essayiste français.

Pascal Bruckner
Pascal Bruckner en 2017.
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Biographie

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Famille

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Issu d'une famille chrétienne[1],[Note 1], Pascal Bruckner passe son enfance entre l'Autriche, la Suisse et la France. Son père est protestant (non pratiquant), sa mère catholique (pratiquante) et lui-même a été baptisé catholique, comme il l'explique dans son livre autobiographique Un bon fils, publié en 2014[2].

Son père[3], René Bruckner, né en [4] et décédé en , ingénieur de l'École des mines de Paris[5], antisémite convaincu, était très favorable aux thèses nazies[6] et haïssait les Juifs. Il devança le STO et œuvra pour les usines Siemens, à Berlin, puis à Vienne, entre 1942 et 1945[7].

Sa mère, Monique Bruckner née Fourteau en , ancienne professeure au collège Notre-Dame-de-Sion à Petrópolis (Brésil), est morte le [8].

Dans Un bon fils, il évoque l'extrême violence physique exercée par son père à l'encontre de sa mère et de lui-même[2].

Pascal Bruckner est l'ex-mari de l'actrice Violaine Astrid Monique Barret, avec qui il a un fils, Éric Bruckner. Il a ensuite été durant quelques années le compagnon de la psychologue Caroline Thompson[9], fille de Danièle Thompson et petite-fille du réalisateur Gérard Oury, avec qui il a une fille, Anna Bruckner.

Il déclare avoir souvent été erronément considéré comme de confession juive et comme un « intellectuel juif »[6]. Il qualifie d'« ironie de l'histoire assez cocasse » le fait d'être considéré comme juif[10] en raison de son nom et de sa sympathie exprimée à l'égard de l'État d'Israël, alors qu'il a un nom d'origine germanique porté aussi bien par des protestants, mais aucune ascendance liée à la judéité, et que René Bruckner, son père, était extrêmement antisémite et favorable au nazisme.

Études

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Pascal Bruckner vit jusqu'à l'âge de 4 ans dans un sanatorium en Autriche[11]. Il fait ses études primaires et secondaires chez les jésuites à Lyon, puis à Paris, au lycée Henri-IV, ses classes d'hypokhâgne et khâgne de 1968 à 1970 — où il se lie d'amitié avec Alain Finkielkraut, avec lequel il écrira ensuite deux livres —. Il poursuit à l'université Paris-I et à l'université Paris-VII, et enfin à l’École pratique des hautes études.

Sa thèse de 3e cycle, consacrée à l'émancipation sexuelle dans la pensée du socialiste utopiste Charles Fourier (« Le corps de chacun est accessible à tous »), a été dirigée par Roland Barthes (et soutenue en 1975 à l'université Paris-VII)[12],[13].

Carrière

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Depuis 1986, il enseigne dans des universités américaines, notamment celle de New York. À compter de 1990, il est maître de conférences à l’Institut d'études politiques de Paris mais ne fait pas partie du corps enseignant permanent[pas clair].

Outre ses activités d'écrivain, Pascal Bruckner est éditeur chez Grasset jusqu'en 2020, après quoi il entre au jury du prix Goncourt. Il collabore dans les années 1990 et 2000 au Nouvel Observateur et au Monde, depuis les années 2010 au Point et au Figaro.

Il intervient le mercredi dans la matinale de Radio Classique.

Engagements et prises de position

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Années 1970

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Son premier livre, Le Nouveau Désordre amoureux est un essai paru en juillet 1977, coécrit avec Alain Finkielkraut[14], son ami depuis l’âge de dix ans, rencontré en classe d'hypokhâgne du Lycée Henri-IV (Paris)[15], avec qui il a partagé un séjour linguistique au Trinity College de Dublin en 1967[15].

Le livre se montre, dans l'un de ses chapitres, « plus que complaisant » envers l’apologie de la pédocriminalité professée trois ans auparavant par l'écrivain Tony Duvert, selon l'historienne Malka Malkovich, interrogée par Atlantico[16], qui dénonce cette apologie dans un livre[17].

Le philosophe Michel Onfray observe que Bruckner et Finkielkraut inviteraient à ce que leurs lecteurs s'inspirent des livres de l'auteur pédophile Tony Duvert[18], ceux-ci regrettant selon lui qu'il « provoque le scandale », alors qu'il devrait « susciter des vocations, dessiller les yeux ».

Le livre, publié par Bruckner et Finkielkraut, en 1977 fait partie des ouvrages des « nouveaux philosophes », qui « reconnaissaient toute la pertinence des livres de Tony Duvert et de son apologie de la sexualité avec les enfants », observe aussi Julie Rambal, dans Le Temps, quotidien généraliste de Lausanne[19], en citant la même partie du livre.

De son côté, Bruckner expliquera avoir été en Mai 68 et dans les années qui suivent proche des mouvements gauchistes, plutôt libertaires, dans son livre Un bon fils[20]. Plus tard, après s'être éloigné du gauchisme, il sera associé, à la marge, aux « nouveaux philosophes »[réf. nécessaire]. Il avait alors flirté avec le maoïsme — ce que Bruckner nie catégoriquement dans son livre autobiographique —, selon un article de 2014 du journaliste Jérôme Garcin, dans une formule journalistique en accroche[21]. Dès 1986, l'ex-militant d'extrême-gauche et de la cause homosexuelle Guy Hocquenghem s'adressait à lui dans sa Lettre ouverte à ceux qui sont passés du col Mao au Rotary.

Années 1980 et 1990

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De 1983 à 1988, il est membre du conseil d'administration d'Action contre la faim.

De 1992 à 1999, il milite contre les différentes offensives serbes en ex-Yougoslavie[22], en Croatie d'abord, puis en Bosnie et au Kosovo. Il figure aux élections européennes de 1994 sur la liste L'Europe commence à Sarajevo. En 1999, il défend l'intervention militaire de l'OTAN contre les forces serbes.

Années 2000

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Lors du second tour de l'élection présidentielle de 2007, il soutient Nicolas Sarkozy puis dira plus tard en avoir été déçu. Il se réclame du camp progressiste, « malgré l'épaisse bêtise et la bonne conscience qui y règnent »[6].

Dès , il avait appuyé la guerre d'Irak lancée par le gouvernement de George W. Bush dans un article paru dans Le Monde, cosigné par Romain Goupil et André Glucksmann[23],[24], qui participeront, trois ans plus tard, à la création de la revue d'orientation néo-conservatrice Le Meilleur des mondes. En , il critique dans Le Figaro l'impréparation de l'armée américaine ainsi que l'usage de la torture à la prison d'Abou Ghraib[25]. Il a parallèlement signé en 2003 un appel de soutien à l'Initiative de Genève[26], plan de paix prévoyant la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël.

Années 2010

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En 2018, il présente sa candidature à l'Académie française[27]. Il affronte Benoît Duteurtre, mais aucun candidat n'est élu[28].

Prises de position

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Sexualité et société
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En , il signe le « Manifeste des 343 salauds », publié par la revue Causeur, qui défend les hommes faisant appel aux services de prostituées.

Invité de l'émission « C Politique » de France 5 le , Pascal Bruckner associe les LGBT aux pédophiles, ce qu'il qualifie plus tard de « mauvaise plaisanterie » après le tollé causé par ces propos, qu'il finit par retirer[29]. Au cours de la même émission, il qualifie l'écriture inclusive de « mélange de crétinisme et de totalitarisme ».

Réchauffement climatique et attaques personnelles de Greta Thunberg
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Pascal Bruckner est considéré comme un « climato-relativiste », au même titre que Luc Ferry ou encore Sylvie Brunel, par le site Reporterre, consacré principalement aux grandes questions environnementales, sociétales et sociales, dans une enquête datée de 2019[30].

Dans son ouvrage de 2011, Le Fanatisme de l'apocalypse, Bruckner prend acte du réchauffement climatique, pour juger la réponse catastrophiste inadaptée et dangereuse. Dans une tribune au Figaro du , il présente la jeune activiste écologiste suédoise Greta Thunberg comme la représentante d'une « dangereuse propagande de l'infantilisme climatique »[31]. Cette tribune est qualifiée de « vilénie » par Claude Askolovitch, qui lui reproche de s'attaquer à l'âge, au sexe, au physique ainsi qu'à la forme d'autisme de Greta Thunberg[32].

Retraite à 70 ans
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Il suggère de fixer l’âge de la retraite à 70 ans : « En Belgique, la retraite sera fixée à 67,5 ans en 2020. C’est déjà le cas en Allemagne. La réforme Macron devrait donc aller plus loin encore. Si la France veut se distinguer en Europe, il faut fixer l’âge de la retraite à 70 ans[33]. »

Années 2020

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Le , il est élu à l'Académie Goncourt[34].

Prises de position

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Écologie
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En février 2022 sur la chaîne CNews, peu avant l'élection présidentielle de 2022, il déplore que la cause écologiste ait "été accaparée par l’ultra-gauche qui y a vu une manière supplémentaire de condamner le capitalisme", en soulignant que ce n'est pas "forcément un sujet de gauche" parce que "le premier grand écologiste, ç'a été un certain Adolf Hitler, qui a fait en 1936 une loi de protection de la forêt"[35].

Accusations de complicité de terrorisme à l'encontre des Indigènes de la République et de Rokhaya Diallo
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En 2015, les associations les Indivisibles et les Indigènes de la République portent plainte contre lui pour diffamation à la suite des propos qu'il a tenus au cours de l'émission 28 Minutes sur Arte ; il y avait accusé les associations d'avoir « justifié idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo » et déclaré qu'il fallait « faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie ». L'audience a lieu le , la défense étant assurée par Richard Malka ; lors du verdict, rendu le [36], les deux associations sont déboutées par la justice[37].

En présentant le procès comme un « djihad judiciaire », il y déclare ne « rien » regretter, mais « nuance discrètement ses propos », pour ne plus dire qu'elle a « armé » les frères Kouachi mais a une « responsabilité indirecte », puis « finit par reconnaître » que cette tribune n’était finalement « pas un appel au meurtre »[réf. nécessaire].

Le sur le plateau d'une chaîne de la TNT, Pascal Bruckner accuse Rokhaya Diallo d'avoir « entraîné la mort des douze de Charlie Hebdo » et d'avoir ainsi « armé le bras des terroristes » en 2015 en signant quatre ans plus tôt, en 2011 un appel de personnalités « pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à Charlie Hebdo »[38],[39]. Rokhaya Diallo lui intente un procès pour diffamation[40],[41], comme le lui conseillent Cyril Hanouna et d'autres chroniqueurs[42]. Au terme du procès, en juin 2024, le tribunal relaxe Pascal Bruckner, jugeant que l'écrivain n'avait pas franchi les limites de la liberté d'expression dans un débat « d'intérêt public »[43].

Critique de la notion d'islamophobie et procès

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En décembre 2014, il accuse François Hollande d'être "parti à la reconquête de l'électorat musulman", jugeant que l'appel de Bernard Cazeneuve à lutter contre l'islamophobie est "une supercherie sémantique"[44].

Pascal Bruckner critique à plusieurs reprises le concept d'islamophobie, dont il affirme que :

« calqué sur celui de xénophobie, [il] a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent[45],[46]. »

Il accuse aussi le mot d'avoir été « forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 1970 pour contrer les féministes américaines », affirmation qualifiée de mensongère par les sociologues Marwan Mohammed et Abdellali Hajjat[47],[48],[49] et invalidée par l'Agence France-Presse[50].

Publications

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Romans et récits

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Livres jeunesse

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Infographie

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Notes et références

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  1. Bruckner est un patronyme germanique signifiant « pontonnier » et porté originellement aussi bien par des protestants que par des juifs.

Références

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  1. « Hors des pensées battues », Luc Le Vaillant, Libération.fr, 21 juillet 2000.
  2. a et b Pascal Bruckner, Un bon fils, Grasset, (ISBN 978-2-246-80029-3).
  3. L'histoire de son père nazi, Myboox.
  4. « Généalogie de Pascal BRUCKNER », sur Geneanet (consulté le )
  5. « Antisémite, raciste, révisionniste… Mon père ce vieux salaud », Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur, 14 avril 2014.
  6. a b et c Raphaël Leyris, « Pascal Bruckner : mon père ce nazi », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  7. Pacal Bruckner, mon père ce nazi, Raphaëlle Leyris, Le Monde, 17 avril 2014.
  8. Voir sur scholar.lib.vt.edu.
  9. Voir sur philomag.com.
  10. Philippe Plassart, « Pascal Bruckner : L’impératif de bien nommer les choses », sur Le Nouvel Economiste, .
  11. Voir sur lexpress.fr.
  12. Catalogue SUDOC.
  13. (OCLC 26347042)
  14. Robert Solé, « "Le Paradoxe amoureux", de Pascal Bruckner : Pascal Bruckner revient à ses premières amours », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  15. a et b Alexandre Devecchio, « Pascal Bruckner et Alain Finkielkraut : ils se sont tant aimés », Le Figaro, 5 décembre 2019.
  16. "« Mai 68 a généré l’essor de l’industrie capitaliste pornographique et la confusion entre libertinage, liberté et violence » par Malka Malkovich, interview dans Atlantico le 18 février 2018 [1]
  17. L'Autre héritage de 68, publié aux Editions Albin Michel, en 2018 par l'historienne Malka Malkovich
  18. "L'autre pensée 68: Contre-histoire de la philosophie", par Michel Onfray, 2018 [2]
  19. Julie Rambal, dans Le Temps du 13 mars 2018 [3]
  20. Un bon fils, par Pascal Brucker en 2014 aux éditions Grasset
  21. Voir sur bibliobs.nouvelobs.com.
  22. Pascal Bruckner, « Punir Milosevic », Le Monde, 8 avril 1994.
  23. « Point de vue : la faute », Pascal Bruckner, André Glucksmann et Romain Goupil, 14 avril 2003.
  24. « Irak : silence des néoconservateurs français », Béligh Nabli, huffingtonpost.fr, 16 juin 2014.
  25. Pascal Bruckner, « L'intervention américaine en Irak : l'effroyable gâchis », Le Figaro, 11 mai 2004.
  26. « Il faut soutenir le Pacte de Genève »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), Marianne, ..
  27. « Candidatures au fauteuil de M. Michel Déon (F8) », sur academie-francaise.fr (consulté le ).
  28. « Élection blanche au fauteuil de M. Michel Déon (F8) », sur academie-francaise.fr (consulté le ).
  29. « Pascal Bruckner associe LGBT et pédophilie, une « plaisanterie » douteuse », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Le climatoscepticisme n’est pas mort », sur reporterre.net, (consulté le ).
  31. « Pascal Bruckner : « Greta Thunberg ou la dangereuse propagande de l’infantilisme climatique» », sur www.lefigaro.fr, (consulté le ).
  32. « Claude Askolovitch : « Mais pourquoi Pascal Bruckner déteste-t-il Greta Thunberg ? » », sur www.slate.fr, (consulté le ).
  33. « Pascal Bruckner: "Il faut fixer l’âge de la retraite à 70 ans" », sur Challenges, (consulté le ).
  34. « Les écrivains Camille Laurens et Pascal Bruckner nommés à l’académie Goncourt », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Article de Samuel Gontier dans Télérama le 16 février 2022 [4]
  36. Saïd Mahrane, « Le curieux procès Bruckner », lepoint.fr, (consulté le ).
  37. « Procès Bruckner : une défaite pour les collabos de l'islamisme », entretien avec Laurent Bouvet, lefigaro.fr, 19 janvier 2017.
  38. « Pascal Bruckner accuse Rokhaya Diallo d'avoir « entraîné la mort des douze de Charlie Hebdo » », huffingtonpost.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Vos paroles ont entraîné la mort des 12 de Charlie Hebdo » : Pascal Bruckner accuse Rokhaya Diallo, ladepeche.fr, 22 octobre 2020.
  40. "Rokhaya Diallo contre Pascal Bruckner : au procès de l’intellectuel, la liberté d’expression disséquée" par Rozenn Morgat le 22/05/2024 [5], lefigaro.fr
  41. "Pascal Bruckner contre Rokhaya Diallo : « Quand on débat, il faut s’attendre à être piétiné »" par David Perrotin le 22 mai 2024 [6]
  42. Téléloisirs [7]
  43. Nicolas Bastuck, Pascal Bruckner n’a pas diffamé Rokhaya Diallo, tranche la justice, lepoint.fr, 25 juin 2024
  44. Article par Vincent Trémolet de Villers dans Le Figaro le 22/12/2014
  45. L'invention de l'islamophobie, Libération, 23 novembre 2010.
  46. « Pascal Bruckner : L’islamophobie, ça n’existe pas ! », Causeur, 29 octobre 2012.
  47. « Islamophobie : un abus de langage ? », Libération, 20 septembre 2013.
  48. Tiphaine Le Liboux, « Pourquoi Valls n’aime pas le mot "islamophobie" », rue89.nouvelobs.com, 4 août 2013.
  49. Pascal Bruckner, « L’invention de l’« islamophobie » », sur Libération (consulté le ).
  50. « Non, le terme « islamophobie » n'a pas été « créé par l'ayatollah Khomeini » », sur Factuel, (consulté le ).
  51. Présentation sur le site de l'éditeur.
  52. « "Le Fanatisme de l'Apocalypse : sauver la Terre, punir l'homme", de Pascal Bruckner : la rhétorique de la dérision en défaut » sur lemonde.fr.
  53. Laetitia Hélary, « Manuel pour jeune papa », Ouest-France,‎ (lire en ligne).

Liens externes

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