Pierre Alexis de Ponson du Terrail

écrivain français
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Pierre Allexi[a] Joseph, Ferdinand de Ponson du Terrail, connu sous le titre de vicomte de Ponson du Terrail, né le à Montmaur et mort le [1] à Bordeaux, est un écrivain français.

Pierre Alexis de Ponson du Terrail
Portrait photographique de Ponson du Terrail par Nadar.
Titre de noblesse
Vicomte
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 41 ans)
Bordeaux (France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Surnoms
Tesson du Portail, Ponton du SérailVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Georges BruckVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Période d'activité
Rédacteur à
Autres informations
Conflit
Genres artistiques
Distinction
Œuvres principales
Vue de la sépulture.

Écrivain populaire, il a écrit 200 romans et feuilletons en vingt ans[2]. Personnage phare du roman populaire, c’est l’un des maitres du roman-feuilleton, notamment célèbre pour son personnage Rocambole, dont le nom est passé dans la langue française avec l’adjectif « rocambolesque »[3]. Sa mort prématurée est due en partie aux souffrances et aux fatigues endurées lors de son engagement dans la guerre de 1870.

Biographie

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Illustration des Drames de Paris. Rocambole aux éditions Jules Rouff, .

Ponson est né dans la propriété de campagne de son grand-père maternel Pierre Toscan du Terrail[b], de Ferdinand Marie de Ponson et de Marie Suzanne Bénédicte Toscan du Terrail, ses parents étant alors domiciliés à Simiane, berceau de la famille Simiane[4]. D’une vieille famille militaire persuadée de descendre de Bayard, sieur du Terrail[5], c’était le neveu du général Toscan de Terrail[6].

De 1838 à 1844, il est élève au collège d’Apt[7]. En 1845, âgé d’environ seize ans, il étudiait au lycée de Marseille, actuel lycée Thiers, pour entrer à l’école navale[8]. Il y avait dans ce lycée un maitre d’études, nommé Suzini, qui avait habité Paris, où il s’était rendu, comme tant de jeunes, avec l’espoir d’y acquérir gloire et fortune dans les lettres, avant de revenir enseigner en Provence[8]. Il connaissait néanmoins parfaitement tous les écrivains en renom et, comme il avait pris en amitié le jeune Ponson, il lui parlait souvent de ces écrivains, il l’initiait aux mœurs de la littérature contemporaine[8]. L’aspirant à l’école navale se mit à rêver, lui aussi, la gloire littéraire et, au lieu d’étudier, il s’occupa à lire des romans et même à essayer d’en faire[8]. Il en résulta qu’il échoua à l’examen[8]. À peine remis de cet échec, il alla frapper, un manuscrit sous le bras, à la porte du directeur du Courrier de Marseille et, huit jours après son texte paraissait en feuilleton dans le Courrier, sous le pseudonyme de « Georges Bruck »[8]. Il s’agissait de l’histoire d’un premier amour, qui ne laissait guère prévoir le genre auquel se livrerait plus tard exclusivement l’ancien lycéen marseillais[8].

Arrivé à Paris vers la fin de 1847[8], il entra, lors de la Révolution de 1848, dans la garde mobile, où il fut promptement élu officier, ayant renoncé à la carrière navale, à cause de son peu d’aptitude pour les mathématiques[6]. La lecture de Jérôme Paturot[c] décida de sa vocation de romancier[8]. Ses débuts furent pénibles, il se mettait à la besogne à cinq heures du matin pour ne se reposer que lorsqu’il avait achevé son œuvre quotidienne, prodigieux labeur qui dura vingt ans[1]. À compter de 1850, il fournit à divers journaux un très grand nombre de romans-feuilletons, qui lui donnèrent un des premiers rangs dans cette spécialité[6]. Ses premiers essais littéraires, qui parurent dans la Mode et l’Opinion publique[6], s’inscrivent dans la tradition du roman gothique[9]. Par exemple, son roman la Baronne trépassée () est une histoire de vengeance située autour de 1723 dans la Forêt-Noire. Il s’agit, dans la même veine que La Ville vampire de Paul Féval, d’une parodie des histoires de vampires.

En , il entame la rédaction du premier roman du cycle Rocambole (parfois également appelé sous le titre Les Drames de Paris) : l'Héritage mystérieux, qui paraît dans le journal La Patrie. Il vise principalement à mettre à profit le succès des Mystères de Paris d’Eugène Sue. Rocambole devient un grand succès populaire, procurant à Ponson du Terrail une source de revenus importante et durable. Au total, il rédigera neuf romans mettant en vedette Rocambole qui, non content de passer dans la langue française, donnera également naissance à l’adjectif « rocambolesque »[3]. Le dernier mot de Rocambole a ainsi valu à la Petite Presse, en aout 1866, un tirage de plus de cent mille exemplaires[10]. Rocambole devient un véritable phénomène de société, le mot de « rocambolesque » fait son apparition dans le vocabulaire pour désigner une histoire compliquée et invraisemblable. Le succès de Ponson, qui écrit très vite et sans se relire, attire en effet les jalousies : les mauvaises langues le surnomment « Tesson du Portail » ou « Ponton du Sérail »[11] et s’amusent à parodier son style primesautier avec des pastiches du genre « D’une main il leva son poignard, et de l’autre il lui dit… », « Quand il se releva, il était mort » ou « Elle avait les mains aussi froides que celles d'un serpent », que certains finiront par croire comme émanant réellement de sa plume, même si, des années même avant sa mort, L'Intermédiaire des chercheurs et curieux avait indiqué l’origine de cette dernière plaisanterie, due à un journaliste du Figaro[12]. Cela pourtant n’empêchera pas le même périodique de tomber dans son propre piège en attribuant, plusieurs années après, d’autres bourdes légendaires au même auteur[12].

Son intense production littéraire[d] lui permet, en tout cas, de mener grand train, comme de conduire au bois sa voiture et faire caracoler son cheval, luxe inusité qui ne lui fut pas pardonné, et dont on se vengea par des attaques qui tournèrent au profit de celui qui en était l’objet[13]. Comme il n’appréciait ce qu’il gagnait que pour le faire partager à ses amis, sa maison d’Auteuil était ouverte à ses amis[1]. Une autre fois qu’à une soirée, il avait joué gros jeu et s’était trouvé décavé, Charles Schiller, de la Patrie, lui avait suggéré : « Faites de la copie, la copie c’est de l’argent. » Les invités partis, Ponson ralluma les bougies, se mit à sa table et écrivit, dans la nuit, les Oranges de la marquise, nouvelle qui, dès le lendemain, procura de l’argent à son auteur[13].

 
Caricature de Ponson par Nadar.

Le , il épouse, à Orléans, Louise Lucile Jarry, fille d’Alexandre Isidore, maire de Donnery, et de Geneviève Lucile Morand. Sont présents à son mariage : l’architecte Victor Charles de Montullé, l’avocat et écrivain Frédéric Thomas, le feuilletonniste Étienne Joseph Enault et l’avocat et journaliste Emmanuel Gonzales. À l’occasion de son mariage, il découvre les multiples erreurs de l’enregistrement de son état civil. À Montmaur, son nom est « Deponson » au lieu de « de Ponson ». À Orléans, il est appelé « Duponson ». Il est, en conséquence, amené à faire rectifier son état civil, et signe son acte civil de mariage « P. A. de Ponson » et l’acte religieux « A. de Ponson du Terrail ».

Ponson a habité deux propriétés en Orléanais : Les Charmettes à Donnery et la Reinerie à Fay-aux-Loges. Le , il acquiert à Donnery, la propriété des Charmettes (qui tire son nom des anciens propriétaires Charmet, négociants en vin parisiens). Cette grande demeure borde le canal d'Orléans. Il y fait construire un chalet qui lui permet de ranger ses voitures au rez-de-chaussée, et qui lui sert de cabinet de travail à l’étage. Il eut quelques démêlés avec l’administration du canal qui lui fit démolir un balcon qu’il avait fait ajouter sans autorisation, et qui surplombait le chemin de halage. Chaque année, de la fin de l’été jusqu’au début de l’hiver, il descend régulièrement de Paris pour habiter cette maison car c’est la période de la chasse. Il a aussi demeuré à la Reinerie, propriété de sa belle-mère. Mais l’inventaire dressé après sa mort, montre qu’il n’y possédait rien. Tous ses effets et meubles étaient aux Charmettes. À Paris, il habitait un hôtel particulier rue Erlanger[e],[14].

À la fin de l’année 1865, il mène de front dans cinq journaux quotidiens, grands ou petits, cinq romans-feuilletons à la fois[6] et fournira, pendant plus de vingt ans, toute la presse parisienne (l'Opinion nationale, la Patrie, le Petit Journaletc.) en feuilletons. Dans le nombre se trouvait le Moniteur, alors journal officiel[6]. Très goûté en haut lieu, pour cette collaboration, il fut décoré de la Légion d’honneur en 1866[6].

Entre 1865 et 1871, il écrit plusieurs romans ayant l’Orléanais pour cadre : Le Chambrion (1865) ; Le Nouveau Maître d’école (1865), sur lequel il compte beaucoup pour la Légion d’honneur qu’il obtiendra en 1866[15] ; La Veuve de Sologne (1866) ; Les Mémoires d’un gendarme (1867) ; Mon Village (1867-1868) ; Le Grillon du Moulin (1868) ; Maître Rossignol, le Libre Penseur (1869) ; Le Forgeron de la Cour-Dieu (1869-1870) ; Les Mystères du bois (1871).

 
Gravure représentant Pierre Alexis Ponson du Terrail, parue dans le journal La Patrie, lors de sa mort.

Saint-Donat est le nom qu’il donne à Donnery, son village d’adoption, dans plusieurs romans : Le Nouveau Maître d’école et deux des romans composant Mon Village : la Mère Miracle et le Brigadier La Jeunesse. Si l’action est purement fictive, plusieurs personnages ont réellement existé, leurs noms ayant été légèrement modifiés. Dans le Nouveau Maître d’école, il brosse un portrait savoureux du maire de Saint-Donat et de sa femme (ses beaux-parents). Celui de la femme est particulièrement piquant, encore qu’il ait été adouci depuis la première épreuve du roman figurant dans son dossier de Légion d’honneur.

En , au début de la guerre franco-allemande de 1870, alors qu’il venait d’entamer la rédaction d’un nouvel épisode de la saga de Rocambole, Napoléon III ayant capitulé devant les Allemands, il prit une part active à la défense du pays[10] en prenant les armes[8]. Ayant quitté la capitale assiégée pour gagner sa demeure orléanaise, il se démène pour mettre sur pied un corps de francs-tireurs composé de paysans et de chasseurs, et opérant en forêt de Marchenoir[16]. Les journaux parisiens et locaux en parlèrent longuement, mais on doutait de l’efficacité de ce corps franc, qui fut donc rapidement intégré dans l’armée régulière. Les Allemands ayant incendié son château, il se vit obligé de quitter la région, vers la fin de [16], pour suivre le gouvernement provisoire à Tours, puis à Bordeaux, où il succomba des suites de l’épidémie de variole, à cinq heures du soir, au 94 de la rue de Pessac[17], avec, à son chevet, le prêtre qui lui avait administré les derniers sacrements, sa vieille mère et sa jeune femme[8], laissant inachevée la saga de Rocambole. Son dernier feuilleton, publié six mois avant sa mort, dans le Petit Moniteur, quand éclata la guerre, s’intitulait les Français à Berlin[18].

En dépit des préoccupations dues à la guerre, une foule nombreuse vint à ses obsèques, le à l’église Sainte-Eulalie de Bordeaux[18], auxquelles assistèrent Dalloz, Joubert, Claudin, Debans, du Moniteur, Gibiat et Léon Dupont, du Constitutionnel, Ganesco, de la Liberté, Jenty et Garcin, de la France ; la presse bordelaise était représentée par Doinet, du Journal de Bordeaux, et Ribadieu, de la Guienne ; vinrent également Alphonse Royer, ancien directeur de l’Opéra, et plusieurs artistes des théâtres de Paris ; André de Bellecombe, de la Société des gens de lettres, Filippi, du ministère de l’Intérieur, etc.[18]. D’abord inhumé au cimetière de la Chartreuse, où Dalloz prononça un discours et où un détachement du 5e de ligne lui rendit les honneurs militaires attachés au grade de chevalier de la Légion d’honneur[18], son corps ne fut ramené à Paris qu’en 1878, où il fut inhumé, le , en présence notamment d’Alexandre Dumas fils, Emmanuel Gonzalès, le baron Taylor, Édouard Dentu, Pierre Zaccone, Élie Berthet, Jules Noriac, Félix Duquesnel, du Boisgobey, Gustave Aimard, Camille Debans, Charles Chincholle, Pierre Véron, Honoré Champion, Léonce Peragallo, Jules Moret, Eugène Ritt[19], au cimetière de Montmartre, où aucune inscription, pas même son nom, ne signale sa sépulture à l’attention du visiteur[16].

Sa postérité littéraire est telle qu’il continue de publier, même après sa mort. Du moins, c’est ce que donnerait à penser la parution, sous son nom, de la Juive du Château-Trompette en feuilleton dans le Petit Bordelais, en 1871[20], mais ce roman doit probablement être attribué à Charles Chincholle[20].

Les Charmettes furent un temps la propriété de Henri Boland (vers 1881).

Œuvres

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Cycle Rocambole

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Portrait authentique de Rocambole publié dans la Lune en 1867.
  • L’Héritage mystérieux, Paris, Louis de Potter, , 9 vol. in-8° (OCLC 458018304).'
  • Le Club des Valets-de-cœur, Paris, Louis de Potter, , 16 vol. in-8° (OCLC 458018384).'
  • Les Exploits de Rocambole : Une fille d’Espagne. La Mort du sauvage., Paris, Louis de Potter, , 16 vol. in-8° (OCLC 458018479).'
  • Les Chevaliers du clair de lune, 1860-1863, composé de :
    • Le Manuscrit du Domino et La Dernière Incarnation de Rocambole.
    • Le Testament de Grain de Sel et Le Château de Belle-Ombre.
  • La Résurrection de Rocambole, 1865-1866), composé de :
    • Le Bagne de Toulon, Les Orphelines, Madeleine, Rédemption et La Vengeance de Wasilika.
  • Le Dernier Mot de Rocambole, 1866-1867), composé de :
    • Les Ravageurs, Les Millions de la bohémienne, Le Club des crevés, La Belle Jardinière et Le Retour de Rocambole & 'La Vérité sur Rocambole' sont souvent affiliée à cette série.
  • Les Misères de Londres, 1868, composé de :
    • La Nourrisseuse d’enfants, L’Enfant perdu et Le Moulin sans eau, Les Tribulations de Shoking ainsi que :
    • Newgate, Le Cimetière des suppliciés, Un drame dans le Southwark, L’Enfer de mistress Burtin, Les Amours du Limousin, La Captivité du maître, Le Fou de Bedlam et L’Homme gris
  • Les Démolitions de Paris, 1869 et La Corde du pendu, 1870.
  • La baronne trépassée, Paris, Baudry, , 319, 318, 320, 3 vol. in-8° (OCLC 764023554, lire en ligne).
  • La femme immortelle, 1852.
  • Les Coulisses du monde : Un prince indien, Paris, Baudry, , 2 vol. 21 cm (OCLC 42043034).
  • Le pacte de sang, (2 tomes), Hetzel, et Alphonse Durr Leipzig, 1858.
  • Les chiens de chasse. Récits d'automne, Paris, F. Amyot, 1863.
  • Mémoires d’une veuve, Édouard Dentu,1865.
  • Les nuits de quartier Breda, Édouard Dentu, 1867.
  • La messe noire, Aventures de cape et d'épée, (3 volumes), Édouard Dentu, 1869
    • La ribaude ensorcelée,
    • La danseuse de cordes,
    • Le palais mystérieux
  • Les Cosaques à Paris, librairie Hachette, 1866.
  • La mère Michel, librairie Hachette, 1866.
  • Bavolet, (texte écrit en 1850) mais publié à la suite de la messe noire chez E. Dentu en décembre 1869
  • Le forgeron de la Cour-Dieu, 1869 ; réédité sous forme de roman-feuilleton dans Le Journal du Loiret du au .
  • La jeunesse du roi Henri, 4 vols.
    • La jeunesse du roi Henri.
    • Les galanteries de Nancy-la-belle.
    • Les amours du roi-trèfle
    • La reine des barricades, Paris, E. Dentu, , 432 p., in-12 (lire en ligne).
  • Le trompette de la Bérésina : La mare aux fantômes, Paris, A. Faure, , 2e éd., v-291, in-16 (lire en ligne).

Apocryphes

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Adaptations

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Cinéma

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Rocambole a été adapté à plusieurs reprises au cinéma :

Télévision

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Théâtre

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Notes et références

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  1. Alexis est ainsi orthographié dans son acte de naissance ; il s’agit d’une erreur du clerc, influencé par la forme provençale « Allesi ».
  2. Son arrière-grand-père, côté maternel, Jacques Toscan du Plantier, notaire à Montmaur, est l’ancêtre du producteur français Daniel Toscan du Plantier.
  3. Roman satirique et social de Louis Reybaud paru de 1843 à 1848.
  4. Soixante-treize romans-feuilletons, parfois cinq en même temps. Voir Le Spectacle du monde, vol. 558-562, Paris, (lire en ligne), p. 58.
  5. Cet immeuble a été endommagé lors d'un bombardement en 1871. Voir Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de minuit, septième édition, 1963, t. 1 (« A-K »), « Rue Erlanger », p. 478.

Références

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  1. a b et c Fortuné du Boisgobey, « Ponson du Terrail », Le Monde illustré : journal hebdomadaire, 15e année no 722,‎ , p. 92 (lire en ligne, consulté le ).
  2. Quatrième de couverture de La Femme immortelle parue en poche aux Éditions de l’Aube en 2006.
  3. a et b « rocambolesque, adj. », sur cnrtl.fr, (consulté le ).
  4. Élie-Marcel Gaillard, Ponson du Terrail : le romancier à la plume infatigable, Avignon, A. Bathélemy, , 207 p., 24 cm (ISBN 978-2-87923-116-7, OCLC 633675666, lire en ligne), p. 16.
  5. Élie-Marcel Gaillard, op. cit. sur Google Livres, p. 33-5.
  6. a b c d e f et g Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains, Paris, Hachette, , 4e éd., 1888 p. (lire en ligne), p. 1467.
  7. Le Rocambole : bulletin de l'Association des amis du roman populaire, vol. 6-9, Paris, A.A.R.P., (lire en ligne), p. 158.
  8. a b c d e f g h i j et k L’Illustration européenne, Bruxelles, Bureaux de l’administration, 1re année – 1870, 416 p. (lire en ligne), p. 126.
  9. Joëlle Prungnaud, Gothique et décadence : recherches sur la continuité d’un mythe et d’un genre au XIXe siècle en Grande-Bretagne et en France, Paris, Honoré Champion, , 497 p., 23 cm (ISBN 978-2-7453-3060-4, OCLC 918668296, lire en ligne), p. 116-8.
  10. a et b Jules Moureau (d), Polybiblion : revue bibliographique universelle, t. 6, Paris, , 264 p. (lire en ligne), p. 135.
  11. Michel de Decker, Alexandre Dumas : un pour toutes et toutes pour un !, Paris, Place des éditeurs, , 222 p., 24 cm (ISBN 978-2-71444-677-0, OCLC 613962540, lire en ligne), p. 129.
  12. a et b Revue belge, t. 4, Paris, (lire en ligne), p. 239.
  13. a et b « Le vicomte Ponson du Terrail », Revue pour tous illustrée, Fayard, nos 1-2,‎ , p. 82 (lire en ligne, consulté le ).
  14. Commission du vieux Paris. Séance du 27 novembre 2007.
  15. Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires : 1822-1850, t. 2, Paris, Hachette, , 417 p. (lire en ligne), p. 268.
  16. a b et c Edmond Dubois, La curiosité historique & militaire : organe des amateurs et des curieux, t. 5, Paris, , 384-xxix (lire en ligne), p. 165.
  17. Le Correspondant, vol. 316, Paris, Bureaux du Correspondant, (lire en ligne), p. 97.
  18. a b c et d « Obsèques de Ponson du Terrail », Le Monde illustré : journal hebdomadaire, 15e année no 722,‎ , p. 94 (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Obsèques de M. Ponson du Terrail », Le Figaro,‎ , p. 2 (ISSN 0182-5852, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
  20. a et b Alfu, Ponson du Terrail : Dictionnaires des œuvres, Encrage Édition, , 2036 p. (ISBN 978-2-36058-942-5, lire en ligne), p. 787.

Voir aussi

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Bibliographie

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Liens externes

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