En 1968, signature des « Accords » de Grenelle entre les syndicats, le patronat et le gouvernement : augmentation du SMIG et des bas salaires, réduction progressive de la durée du travail en vue d’aboutir à la semaine de 40 heures, abaissement de l’âge de la retraite, reconnaissance de la section syndicale d’entreprise et augmentation des droits syndicaux. Georges Séguy, secrétaire général de la CGT, va aux usines Renault de Boulogne-Billancourt, présenter aux grévistes les résultats des négociations : les ouvriers votent la poursuite de la grève.