Rivières (Gard)

commune française du département du Gard

Rivières (Rivières-de-Theyrargues) est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Rivières
Rivières (Gard)
Mairie de Rivières.
Blason de Rivières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Jean-Marie Itier
2020-2026
Code postal 30430
Code commune 30215
Démographie
Gentilé Rivièrois, Rivièroises
Population
municipale
415 hab. (2021 en évolution de +23,51 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 38″ nord, 4° 16′ 32″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 414 m
Superficie 9,96 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rivières
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Rivières
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Rivières
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Rivières

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, l'Auzon, le ruisseau du Peyrol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« la Cèze et ses gorges » et les « garrigues de Lussan »), un espace protégé (le « secteur nord du massif du Bouquet ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Rivières est une commune rurale qui compte 415 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Rivièrois ou Rivièroises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Theyrargues, inscrit en 1974, et l'hôpital, inscrit en 2009.

Géographie

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Rivières (appelé localement "Rivières de Theyrargues") est une petite commune du canton de Rousson qui se situe au nord du Gard, près de l'Ardèche, au nord-est de la sous-préfecture Alès.

Elle se situe sur le piémont des Cévennes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 977 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méjannes-le-Clap à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 000,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

Un espace protégé est présent sur la commune : le « secteur nord du massif du Bouquet », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 147,6 ha[9].

Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[11] :

  • « la Cèze et ses gorges », d'une superficie de 3 550 ha, un territoire dont les principaux habitats naturels sont des formations méditerranéennes (Asplenion, Quercion ilicis) dans les gorges, avec notamment des descentes remarquables d'espèces montagnardes[12]

et un au titre de la directive oiseaux[11] :

  • les « garrigues de Lussan », d'une superficie de 29 150 ha. Ce site abritait en 1999 un site de nidfication d'un couple de vautour percnoptère. Ce site constitue un lien essentiel dans la petite population méditerranéenne résiduelle du Sud-Est de la France (comprenant une vingtaine de couples seulement), situé entre les noyaux d'Ardèche et Drôme-Isère, au nord, des gorges du Gardon, au sud, du Lubéron et des Alpilles, à l'est, du haut montpelliérais et des Gorges Tarn-Jonte[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[14] : la « rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » (228 ha), couvrant 9 communes du département[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[14] :

  • le « cours moyen de la Cèze » (648 ha), couvrant 16 communes du département[16] ;
  • le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[17].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Rivières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), terres arables (5,3 %), zones urbanisées (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Rivières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Cèze et l'Auzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1993, 1994, 1995, 1997, 1998, 2002 et 2014[21],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rivières.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 47,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 214 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 213 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

La commune est en outre située en aval du barrage de Sénéchas, un ouvrage de classe A[Note 5] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Étymologie

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Les formes les plus anciennes de la rivière Gard ont été données par Adrien de Valois[27]. Sidoine Apollinaire Vardo fluvius[28] vers 460, et Ruricius Guardo, d'autres Wardo, vers 500; le Grand Guerdon en 1633[29]; le Gardon et par abréviation le Gard[30].

Il serait issu d'un radical *gw-ar- qui dans le domaine ligure, *gw- a perdu son élément occusif au profit de l'élément bilabial, et *gwar-u est devenu Var; dans le domaine cévenol, au contraire, *gw- a conservé son élément occlusif qui a absorbé l'élément bilabial, et *gwar-d-on(e) est devenu Gardon[31]. Ce radical pourrait être celtique, et signifie eau, rivière[32].

Histoire

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Rivières de Therargues doit son nom au comte de Therargues qui siégea au château de Rivières. Rivières doit son nom aux trois rivières qui traversent le village : l'Auzonnet, la Cèze et un long canal. Rivières fut une petite « ville » car à ce siècle-là, il y avait peu de villages possédant un hôpital ainsi que d'autres services publics que nous ne trouvons actuellement que dans les villes. En 1790, l'Assemblée nationale désigne Rivières-de-Theyrargues (actuelle Rivières) comme canton. C'est là que siègent pendant la terreur les commissaires civils munis de pouvoir illimités, ce qui les incite à se livrer aux pires excès dans la région (1790-1795). En 1795 (an III), le canton de Rivières-de-Theyrargues est supprimé et rattaché au canton de Barjac qui dépend de l'arrondissement d'Alais (Alès actuellement).

Héraldique

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  Blason
D'argent au pal losangé d'or et de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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Rattachements électoraux

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Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Gard.

Liste des maires

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années 1940 : Fulbert Malignon

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1800 Pierre Guiollet    
1971 mars 2001 Denis Tailland SE  
mars 2001 En cours Patrice Rouquette DVG[33] Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 415 habitants[Note 6], en évolution de +23,51 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
603569616611688755732778758
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
738744674643638567574590558
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
494447428352345304267245270
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
261240239238227234303321326
2014 2019 2021 - - - - - -
331391415------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 172 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 361 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 750 [I 5] (20 020  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 11,6 % 10,3 % 13,5 %
Département[I 8] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 220 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (61,6 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 42 emplois en 2018, contre 36 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 139, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,5 %[I 11].

Sur ces 139 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 93,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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25 établissements[Note 9] sont implantés à Rivières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 25 entreprises implantées à Rivières), contre 30 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 15 4 3 3
SAU[Note 11] (ha) 135 163 178 104

La commune est dans le Bas-Vivarais, une petite région agricole occupant une petite frange nord du département du Gard[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 104 ha[40],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Privat de Rivières.

Les monuments de Rivières sont :

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Rivières ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Alès », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Rivières » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Rivières » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Rivières » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Rivières » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Rivières et Méjannes-le-Clap », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Méjannes-le-Clap » (commune de Méjannes-le-Clap) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Méjannes-le-Clap » (commune de Méjannes-le-Clap) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « le « secteur nord du massif du Bouquet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  11. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rivières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « site Natura 2000 FR9101399 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « site Natura 2000 FR9112033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Rivières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF le « cours moyen de la Cèze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Rivières », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rivières », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. VALOIS (Adrien de) Vardo Flu. Notitia Galliarum (1675), p. 585.
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