Sérézin-de-la-Tour

commune française du département de l'Isère

Sérézin-de-la-Tour est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Sérézin-de-la-Tour
Sérézin-de-la-Tour
Le bourg de Sérézin-de-la-Tour en juin 2019.
Blason de Sérézin-de-la-Tour
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté d'agglomération Porte de l'Isère
Maire
Mandat
Daniel Wajda
2020-2026
Code postal 38300
Code commune 38481
Démographie
Population
municipale
1 133 hab. (2021 en évolution de +12,07 % par rapport à 2015)
Densité 122 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 30″ nord, 5° 20′ 42″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 466 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgoin-Jallieu
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Sérézin-de-la-Tour
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Sérézin-de-la-Tour
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Sérézin-de-la-Tour
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Sérézin-de-la-Tour
Liens
Site web www.serezindelatour.fr

Située dans la petite région du Nord-Isère, la petite commune, à l'aspect encore très rurale, est adhérente à la communauté d'agglomération Porte de l'Isère dont le siège est fixé à L'Isle-d'Abeau.

Ses habitants sont les Sérézinnois[1].

Géographie

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Localisation et description

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Situation de Sérézin-de-la-Tour.

Le territoire de Sérézin-de-la-Tour se situe dans la partie septentrionale du département de l'Isère, dans la région naturelle des Terres froides, à mi-chemin entre les agglomérations de Bourgoin-Jallieu et de La Tour-du-Pin.

Le centre-ville (bourg de Sérézin) se situe (par la route) à 49 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 70 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 343 km de Marseille et 519 km de Paris.

Géologie et relief

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Sérézin-de-la-Tour se situe entre la plaine de Lyon et les collines du Bas-Dauphiné qui bordent les Terres froides, secteur formé par les moraines des glaciers de l'époque quaternaire déposées sur un bloc molassique[2].

Communes limitrophes

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  Ruy-Montceau Cessieu  
Nivolas-Vermelle N
O    Sérézin-de-la-Tour    E
S
Succieu Saint-Victor-de-Cessieu

Hydrographie

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Les limites septentrionales et méridionales de la commune correspondent très exactement aux lits de deux cours d'eau :

  • Au Nord, la Bourbre, une rivière d'une longueur de 72,2 km et qui la sépare de la commune voisine de Ruy-Montceau[3]. Le Syndicat Mixte d'Aménagement du Bassin de la Bourbre, regroupant 75 communes, est la structure de gestion du bassin[4] ;
  • Au Sud, le ruisseau de Vernécu (ou Verneicu) d'une longueur de 6 km[5], un affluent de l'Agny en limite de territoire communal. Cette dernière est un affluent de la Bourbre.
  • À l'Est, l'Hien d'une longueur de 17,2 km[6], s'écoule en limite du territoire communal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transport

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Panneau d'entrée de la commune sur la route de Cessieu

La commune est situé à l'écart des grands axes de circulation mais son territoire est bordé par une voie autouroutière qui ne la dessert pas directement :

  • L'A43 qui relie à Lyon et à Chambéry et l'A48 qui relie Lyon à Grenoble passe à proximité. Une bretelle autoroutière situé dans la commune voisine de Nivolas-Vermelle permet de rejoindre le territoire de la commune :
  8 à 37 km : Bourgoin-Jallieu-centre, Nivolas-Vermelle, Ruy-Montceau.

Le bourg central de Sérézin est traversé par la RD 59a qui relie Nivolas-Vermelle à Mornas, hameau de Saint-Victor-de-Cessieu.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sérézin-de-la-Tour est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[14]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Le territoire de la commune est situé dans la partie méridionale de l'aire urbaine de Bourgoin-Jallieu et se présente sous la forme d'un grand village entouré de quelques hameaux épars.

Hameaux, lieux-dits et écarts

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Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Sérézin-de-la-Tour, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].

  • la Fleurette
  • Marais du Vernay
  • En Couge
  • la Poudrière
  • En Gorge
  • Longeville
  • Marcelin
  • Magnier
  • les Carrières
  • les Moirouds
  • la Perollière
  • le Grillet
  • les Ayes
  • le Colombier
  • la Revaillière
  • Coubarant
  • l'Aglan
  • la Besseye
  • Champs du Puits
  • la Bruyère
  • la Goutte
  • les Colombs
  • Bois Rond
  • Quinsonnas
  • CHâteau Quinsonnas

Risques naturels et technologiques majeurs

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Sérézin-de-la-Tour est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Toponymie

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Selon André Planck, auteur d'un livre sur la toponymie des communes de l'Isère, le nom Sérézin-de-la-Tour (Cirizin au Xe siècle) proviendrait du mot « cerise », le fruit du cerisier. La finale de « la Tour » provient de la proximité de la commune avec celle de La Tour-du-Pin, principale ville de la région[21].

Histoire

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Préhistoire, Antiquité et Moyen Âge

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Le hameau de Quinsonnas est attesté en 1244. En 1339, une enquête delphinale, menée dans la description du mandement de La Tour-du-Pin évoque un bourg clos à Quinsonnas.

 
Château de Quinsonnas en 1907

Vers 1404, la juridiction de Quinsonnas est reconnue au seigneur du lieu (famille de Grolée, marquis de Bressieux, seigneurs). Celui-ci qui fonde une chapelle à Quinsonnas à cette même date, sous le titre de la Sainte Vierge, de Saint François et de Sainte Suzanne.

En 1540, le château est en ruines. La famille de Pourroy, possède le domaine au XVIIe siècle et qui l'on doit la reconstruction des lieux[22].

Époque contemporaine

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En 1882, Nivolas est distraite de la commune de Sérézin pour former une nouvelle commune distincte, dont le chef-lieu est fixé à Nivolas, appelée Nivolas-Vermelle à la suite de la Loi du qui distrait les Sections de Vermelle et de Nivolas, des communes des Eparres et de Sérézin pour en former une commune distincte qui prendra le nom de Nivolas-Vermelle », promulguée au Journal officiel le . Jusqu'à la Révolution, la paroisse portait le nom de Cirizin (voir chapitre étymologie).

Politique et administration

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Hôtel de ville de Sérézin-de-la-Tour en juin 2019

Administration municipale

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Commune peuplée d'un peu plus de 1000 habitants en 2019, le conseil municipal de Sérézin-de-la-Tour est composé de quinze membres (neuf hommes et six femmes) dont un maire, trois adjoints au maire et onze conseillers municipaux[23].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Gérard Neury    
Olivier Chanel SE Cadre
En cours Daniel Wajda    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 1 133 habitants[Note 2], en évolution de +12,07 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5041 1421 0771 2081 3711 4321 3601 3721 355
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3921 4161 2451 3021 343569615616596
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
543525506451447441442405394
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
391386389482529611776800925
2017 2021 - - - - - - -
1 0571 133-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Rattachée à l'académie de Grenoble, la commune héberge le groupe scolaire Eugène Robert qui comprend une école maternelle et une école élémentaire. Ce groupe, situé route de Succieu, est l'unique établissement public de la commune[28].

Équipement et clubs sportifs

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L'AS Sérézin de la Tour est le nom de l'équipe de football locale

Médias

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Presse régionale

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers et autres événements divers à caractère local.

 
Église de Sérézin de la Tour

La communauté catholique et l'église de Sérézin-de-la-Tour (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Sainte-Anne qui, elle-même, est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[29].

Économie

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Entreprises et secteurs d'activité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Grille d'entrée et château de Quinsonnas en juin 2019
L'édifice est situé sur une butte dominant la vallée de la Bourbre. Il est bordé par une pente abrupte au nord, tandis que les autres versants présentent des pentes plus douces. Il s'agit d'une propriété privée fermée au public.

Personnalités liées à la commune

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La famille de Quinsonnas (du nom d'un château et d'un hameau de la commune) dont Arthus Pourroy, seigneur de Quinsonnas (1597 - 1679), maître ordinaire à la chambre des comptes de Dauphiné et receveur général du Dauphiné est identifié sur un site généalogique comme le premier à porter ce titre[30] et dont un membre dénommé Octavien Pourroy de Lauberivière, marquis de Quinsonas, est connu pour avoir combattu durant la guerre franco-allemande de 1870, puis pour avoir été élu député de l'Isère.

Héraldique

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Les armes de Sérézin-de-la-Tour se blasonnent ainsi : De sable à la croix d'argent remplie gironnée de gueules et d'or, au sautoir d'argent remplie de gueules brochant sur le tout.

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 19 juin 2019
  2. Gérard Espinasse, « Deux plaines du Bas-Dauphiné : la Bièvre et le Liers (Etude physique) », Revue de géographie alpine, vol. 37, no 1,‎ , p. 5–70 (DOI 10.3406/rga.1949.5456, lire en ligne, consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Bourbre (V17-0400) » (consulté le ).
  4. « SMABB - Syndicat Mixte d'Aménagement du Bassin de la Bourbre », sur smabb.fr (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau (V1730660) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'Hien (V1720500) » (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Sérézin-de-la-Tour et Bourgoin-Jallieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sérézin-de-la-Tour ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Site géoportail, page des cartes IGN
  19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  20. [1]
  21. André Planck, L'origine du nom des communes du département de l'Isère, édition L'atelier, 2006, (ISBN 2-84424-043-7), p. 243.
  22. Site chateau-fort-manoir-chateau.eu, page "Château de Quinsonnas", consulté le 19 juin 2019
  23. Site serezindelatour.fr, page sur le conseil municipal, consulté le 19 juin 2019
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Site education.gouv.fr, page "École primaire Eugène Robert", consulté le 19 juin 2019
  29. Site de messe-infos, page sur la paroisse Sainte-Anne
  30. Site gw.geneanet.org, fiche "Arthus Pourroy", consulté le 19 juin 2019
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Note 7