Saint-Genis-d'Hiersac
Saint-Genis-d'Hiersac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Genis-d'Hiersac | |||||
Saint-Genis vue de la route d'Angoulême. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Rouillacais | ||||
Maire Mandat |
Stéphanie Roturier 2022-2026 |
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Code postal | 16570 | ||||
Code commune | 16320 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Genissois | ||||
Population municipale |
915 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 45′ 03″ nord, 0° 01′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 147 m |
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Superficie | 19,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Nouère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | saintgenisdhiersac.fr | ||||
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Ses habitants sont les Saint-Genissois et Saint-Genissoises[1].
Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierSaint-Genis-d'Hiersac est une commune située à 15 km au nord-ouest d'Angoulême et 8 km au sud-est de Rouillac, sur la route d'Angoulême à Saint-Jean-d'Angély et la rive droite de la Charente dont elle surplombe la large vallée.
Le bourg de Saint-Genis est aussi à 8 km à l'est de Vars et 9 km au nord d'Hiersac, chef-lieu de son canton, d'où le nom de la commune située à son extrémité nord[2].
La route principale est la D 939, route d'Angoulême à La Rochelle par Saint-Jean-d'Angély, qui traverse toute la commune en restant sur les hauteurs et passe à 0,3 km au nord du centre-bourg. La D 11, route de Rouillac à Chasseneuil par Vars, bifurque aussi de cette route et traverse le nord de la commune d'ouest en est. La D 19, route d'Angoulême à Genac et Aigre par la rive droite de la Charente, bifurque aussi de la D 939 près du bourg et va vers le nord. Ce dernier est traversé par la D 53 en direction d'Hiersac[3].
Saint-Genis-d'Hiersac fait partie des 80 communes de l'aire urbaine d'Angoulême.
Hameaux et lieux-dits
modifierLa commune compte quelques hameaux relativement importants : Basse au nord-est, au bord de la Charente et sur la route de Vars, Boisrouffier, Grosbot, plus près du bourg et dominant la vallée, les Avenants à l'ouest, Roissac, les Chênasses, les Grillauds et Boursandreau au sud, etc.[3].
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierLe sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien). Le Portlandien occupe le sud de la commune et forme une cuesta faisant face au nord-est qui correspond aussi au versant ouest de la vallée de la Charente, très large au nord d'Angoulême.
On trouve quelques zones de grèzes datant du Quaternaire, sur le sommet du plateau 500 m à l'est du bourg. Les vallées mêmes de la Charente (partie inondable, à l'extrême nord-est de la commune) et de la Nouère (à l'ouest) sont composées d'alluvions plus récentes (limon, argile sableuse, tourbe)[4],[5],[6].
La commune occupe les hauteurs comprises entre les vallées de la Nouère à l'ouest, et celle de la Charente à l'est. La Charente se divise en de nombreux bras, et la Grande Île ou île de Saint-Genis fait partie du territoire communal.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 147 m, situé à Grosbot et dominant la vallée de la Charente, correspondant aussi à la crête de la cuesta. Le point le plus bas est à 41 m, situé le long de la Charente à l'extrémité nord-est. Le bourg est à environ 130 m d'altitude, et le clocher de son église est visible de loin. À l'ouest, la Nouère quitte la commune à une altitude de 59 m[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, la Nouère, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La commune est à la fois arrosée par la Charente en amont d'Angoulême à son extrémité nord-est (hameau de Basse), et, sur sa limite occidentale, par la Nouère, affluent de la Charente en aval d'Angoulême.
De nombreuses sources et fontaines sont disséminées dans la commune, comme la Font des Rosiers près de la Nouère, ou la source de la Prévôté, la source du Tillet et la fontaine de Sérignac près du bourg[3].
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Genis-d'Hiersac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,3 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), cultures permanentes (15,2 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (2,6 %), prairies (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Genis-d'Hiersac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et la Nouère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2021[18],[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 69,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 439 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 402 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].
Toponymie
modifierLes formes anciennes sont Sanctus Genesius en 879[22], Sanctus Genesius de Moleriis en 1307[23].
Genesius est le nom de plusieurs saints, dont un martyr chrétien à Rome. Les noms dérivés Saint-Genis , Saint-Genès, Saint-Geniès, Saint-Geniez, Saint-Gineis sont nombreux en France; voir aussi Saint-Genis-de-Blanzac dans le sud du département[24].
Saint-Genis-d'Hiersac était appelé autrefois Saint-Genis-les-Meulières, parce qu'il existait des carrières importantes d'où l'on extrayait des meules de moulins[25].
Pendant la Révolution, elle s'est appelée provisoirement Genis-les-Meulières[26], et la commune a été créée Saint-Genis en 1793, avant de s'appeler Saint-Genis-d'Hiersac en 1897[27].
Histoire
modifierDeux anciennes voies romaines passaient dans la commune. Au nord, la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon par Limoges et Clermont fait la limite de commune et va d'est en ouest. L'autre voie, celle de Saint-Cybardeaux à Angoulême et Périgueux[28], orientée du sud-est au nord-ouest, est à peu près parallèle à la route actuelle D 939 et passe non loin du bourg. Les deux voies se croisaient au nord-ouest de la commune peu avant Dorgeville[3], et ce carrefour a pu justifier l'existence d'un marché et d'une agglomération, peut-être Sermanicomagus (ou Germanicomagus) au site des Bouchauds[28].
La période gallo-romaine a laissé quelques vestiges : près des Avenants, une villa a été trouvée, ainsi qu'aux Airaux (il s'agit peut-être du même site) ; près des Grillauds, quatre sépultures. Sous la première marche de l'église, une sépulture du VIIe siècle a été trouvée[29].
Au Moyen Âge, un château fort occupait la position stratégique de Saint-Genis. C'était un fief qui relevait de la châtellenie de Montignac. Entre le XVe siècle et la fin du XVIIIe siècle, il a appartenu à la famille de La Porte aux Loups. Au XVIIe siècle, le logis actuel a remplacé le château, dont il ne reste que des caves, oubliettes et souterrains-refuges qui débouchaient dans la plaine.
Les carrières d'où l'on extrayait des meules de moulins étaient situées à l'endroit du champ de foire actuel.
La Motte (aussi orthographié la Mothe) était un autre fief, qui a donné son nom à la famille Horric de La Motte-Saint-Genis. Cette ancienne famille fait remonter son origine à Horric, un chef des Vikings qui envahirent l'Angoumois au IXe siècle[25].
L'église paroissiale de Saint-Genis, datant du XIe siècle, était le siège d'un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[30].
Entre le Xe et XVIIIe siècles, Saint-Genis était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[31].
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer départementaux, la ligne d'Angoulême à Matha, appelée le Petit Rouillac. Des foires de fondation assez récente se tenaient au bourg le 3 de chaque mois[25].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierFiscalité
modifierLa fiscalité est d'un taux de 22,98 % sur le bâti, 53,06 % sur le non bâti, et 9,85 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).
La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.
Politique environnementale
modifierDans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[34].
Démographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2022, la commune comptait 915 habitants[Note 2], en évolution de +0,33 % par rapport à 2016 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 459 hommes pour 442 femmes, soit un taux de 50,94 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierAgriculture
modifierLa viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].
Commerces
modifierAu bourg, le récent bâtiment des halles comprend un bar-restaurant.
Il y a une boulangerie, une pharmacie, un médecin, un notaire, deux garagistes, un bureau de poste, des infirmières et des artisans (électricien, tailleur de pierre, maçon...).
Équipements, services et vie locale
modifierEnseignement
modifierSaint-Genis-d'Hiersac possède une école élémentaire publique comprenant trois classes. Le secteur du collège est Rouillac[41].
Vie locale
modifierLe Club des anciens a changé son nom en pour le Club de l'Amitié.
Lieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifierL'église Saint-Genis date initialement du XIe siècle.
Patrimoine civil
modifier- Le logis de la Porte aux Loups a été construit au XVIIe siècle sur l'ancien château[25].
- Le logis de la Motte, au sud du bourg, date du XVIIIe siècle et comporte un portail en anse de panier qui est muré portant l'inscription Horric de la Mothe-Saint-Genis. Les deux pavillons latéraux ont été construits en 1788 et sont datés sur une cheminée à l'extérieur. Le puits est daté de 1763 : quatre colonnettes avec chapiteaux soutiennent un entablement arrondi ouvragé sur lequel repose une petite coupole.
- La Motteluche. Située à proximité du logis de la Motte, la motte arasée a fait l'objet d'une fouille en 1977. À cette occasion furent découverts les bases d'une tour carrée, une cave voûtée et un souterrain de plus de quinze mètres. Subsistent également de nombreuses boutisses d'angles et un puits de huit mètres. La motte est attestée avant la fin du XIe siècle dans le cartulaire de Saint-Amant-de-Boixe. Le matériel découvert lors de la fouille fait remonter l'occupation du site aux XIe et XIIe siècles[42].
- Le Logis de Boisrouffier, au nord-est de la commune, possède un magnifique pigeonnier carré.
- La voie Agrippa (ancienne voie romaine reliant Saintes à Lyon via Limoges), passe en limite nord de la commune.
- Faïencerie artisanale Roullet-Renoleau[43].
- Le monument aux morts, est situé devant la mairie. Il est surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
-
Poids public.
-
Logis, au bourg, dominant la vallée de la Nouère.
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L'ancien temple protestant.
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Le logis de la Motte vu de la D 53.
-
Fontaine de la Prévoté, une des nombreuses fontaines de la commune.
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La voie Agrippa.
Personnalités liées à la commune
modifier- Josué Gaboriaud (1883-1955), peintre charentais, y est décédé.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Genis-d'Hiersac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Nom du club des anciens en 2011
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Genis-d'Hiersac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Genis-d'Hiersac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Genis-d'Hiersac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 50
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 65
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 600.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 330
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Auguste-François Lièvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, Niort, L.Clouzot, , 2e éd., 127 p. (présentation en ligne, lire en ligne)
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 129-130
- Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
- André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
- Gérard Guidier, « Wilfried Fournier a été élu maire », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
- C.A., « Saint-Genis-d'Hiersac : Stéphanie Roturier est élue maire », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
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- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Genis-d'Hiersac (16320) », (consulté le ).
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- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
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- « Faïencerie Roullet-Renoleau » (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel de la commune
- Catillus Carol, « Saint-Genis-d'Hiersac », (consulté le )
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :