Saint-Gobain (Aisne)
Saint-Gobain est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Saint-Gobain | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Laon | ||||
Intercommunalité | CA Chauny-Tergnier-La Fère | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Mathieu 2020-2026 |
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Code postal | 02410 | ||||
Code commune | 02680 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 315 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 78 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 48″ nord, 3° 22′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 207 m |
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Superficie | 29,73 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Saint-Gobain (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tergnier | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Aisne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://ville-saint-gobain.fr/ | ||||
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Géographie
modifierDescription
modifierSituée à 8 km de La Fère, à 12 km de Coucy-le-Château et de Tergnier, à 14 km de Chauny et d'Anizy-le-Château et à 21 km de Laon, la commune est enserrée par la forêt domaniale de Saint-Gobain, appelée forêt de Voas au Moyen Âge puis haute forêt de Coucy ensuite[1].
La gare la plus proche est la gare de La Fère située à 8 km mais la gare de Tergnier, située à 12 km présente l'avantage d'être desservie par des trains directs pour Paris-Nord et en direction de Maubeuge pour Saint-Quentin.
Saint-Gobain est à 15 km de l'échangeur no 12 de l'A26.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ruisseau de Servais, le cours d'eau 01 de Briquenet[2], le ruisseau de la Bovette[3], le ruisseau de Missancourt[4], le cours d'eau 01 de la commune de Deuillet[5], le cours d'eau 01 de la Plaine Jean Moussu[6], le cours d'eau 01 du Vivret[7], le cours d'eau 02 de la commune de Bertaucourt-Epourdon[8], le fossé 01 de la commune de Servais[9], le fossé 03 de la commune de Bertaucourt-Epourdon[10], le fossé du Champ Bateau[11] et le fossé du Sart des Nonnains[12],[13],[Carte 1].
Le ruisseau de Servais, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune de Septvaux et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Amigny-Rouy, après avoir traversé sept communes[14].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang du Pré Lardot (0,7 ha)[Carte 1],[15].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Oise moyenne ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[16].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[18].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 11 km à vol d'oiseau[19], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[22].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Gobain est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gobain, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (84,8 %), terres arables (6,8 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[28].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus-Gobanus (1131) ; ecclesia Beati-Gobani (1190) ; Sanctus-Goubanus (1202) ; Sanctus-Guobanus (1269) ; Saint-Goubain (1344) ; Saint-Goubaing (1417) ; Sainct-Goubain (1479) ; Sainct-Gobaing (1554) ; Saint-Gaubin (1578) ; Saint-Gobin (1591) ; Sainct-Gobain (1630)[29].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Libre en 1793[30].
Saint-Gobain est un hagiotoponyme qui fait référence à Gobain de Voas, saint chrétien d'origine irlandaise. Il aurait séjourné à l'abbaye Saint-Vincent de Laon[31] ou à Corbeny[32], avant de s'installer dans un ermitage et être décapité par des maraudeurs en 670, dans la forêt de Voas, à laquelle on donna son nom. Il est enterré dans son oratoire, devenu un lieu de pèlerinage.
Histoire
modifierEn 1692, les associés de la manufacture royale des glaces, créée en 1665 à l'initiative de Jean-Baptiste Colbert pour contrer la suprématie vénitienne dans le domaine des verres à miroir s'implantent sur le site de l'ancien château-fort qu'Enguerrand de Coucy avait fait construire sur l'éperon rocheux de Saint-Gobain et qui avait été démantelé au milieu du XVe siècle, attirés par le caractère isolé des lieux qui préservait les secrets de fabrications, ainsi que par la présence d'importantes forêts pourvoyeuses de bois de chauffage permettant la fusion à haute température du verre. Les premiers verriers de Saint-Gobain proviennent d'une glacerie exploitée à Tourlaville, et l'on compte une centaine d'ouvriers vers 1700, plus les bucherons. En 1788, ils sont 500 et quatre fours de fusion alimentent la manufacture, répartis dans deux halles. La production est arrêtée pendant la Révolution française et reprend en 1795, et surtout à partir de 1800. Vers 1810, la manufacture emploie 1000 personnes et dispose de 4 fours répartis dans quatre halles. À partir de 1806, la production de l'usine se diversifie : en effet, pour abaisser la température de fusion (1700°) du sable pour le transformer en verre , on peut ajouter des « fondants », comme la soude, et une première soudière est aménagée au hameau de Charles-Fontaine à Saint-Gobain. Petit à petit, l'industrie chimique se développe à Saint-Gobain puis à Chauny, avec la fabrication d'ammoniaque, d'engrais superphosphates, d'acide sulfurique[33]…
Saint-Gobain était autrefois reliée à la gare de Chauny par la ligne de Chauny à Saint-Gobain (1856-1950) et à la gare de Tergnier par un tramway sur route géré par la Compagnie des chemins de fer départementaux de l'Aisne.
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Le dépôt du tramway de Tergnier à Anizy-Pinon.
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L'arrêt du tramway à La Chesnoye.
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L'usine électrique du tramway.
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La route et le pont du chemin de fer en 1918.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Saint-Gobain est membre de la communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La Fère, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Chauny. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[25]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Tergnier pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[25], et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[35].
Administration municipale
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2021, la commune comptait 2 315 habitants[Note 2], en évolution de +2,03 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Principaux équipements
modifierLa commune dispose en 2021 d'un bureau de poste, dont l'ouverture se réduit progressivement depuis 2016[47]
Le centre de rééducation et de réadaptation fonctionnelle Jacques-Ficheux est implanté à Saint-Gobain[48]. La création d'une maison de santé est prévue l'intercommunalité en 2022 dans l‘ancienne halle des moulages de la manufacture[49],[50].
Manifestations culturelles et festivités
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Gobain de Saint-Gobain.du XIIIe siècle Elle contient un tableau de Charles Lamy, « Le Christ que l'on met au sépulcre », restauré en 2020[53]
- Manufacture royale de glaces de miroirs, créée en 1665 par Colbert pour concurrencer les verriers italiens de Murano qui dominaient alors le marché européen. Elle fut la première usine fabriquant du verre à vitres permettant l'élaboration des fenêtres.
- Berceau du groupe Saint-Gobain, aujourd'hui cette manufacture ne fonctionne plus mais l'on peut y voir le portail en pierre de taille de l'usine, fermée en 1995. Le verre de la pyramide du Louvre a été fabriqué dans cette usine.
- L'ancienne usine électrique du Tramway de Tergnier à Anizy - Pinon, aujourd'hui locaux communaux.
- Monument aux morts.
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Église Saint-Gobain.
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Manufacture des glaces de Saint-Gobain.
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L'ancienne usine électrique.
Personnalités liées à la commune
modifier- Barthélémy Étienne Parant (1742-1817), général des armées de la République, décédé dans la commune.
- Jean-Charles-Julien Luce de Lancival (né à Saint-Gobain le en 1764 - mort en 1810), poète et auteur dramatique.
- Famille Leclère-Grandin : leurs legs ont permis la construction de la maison de retraite portant leur nom.
- Louis Victor Marcé (1828-1864) est inhumé dans le cimetière (carré Biver)[54].
Une liste de personnalités gobanaises se trouve sur le site internet de la commune à l'adresse suivante : http://ville-saint-gobain.fr/personnalites/
Héraldique
modifierBlason | De sable aux trois salamandres d'argent rangées en pal, la première et la dernière contournées ; au chef coupé de vair et de gueules[55].
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Détails | Blason officiel |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Parick Étiévant, « Le chemin de fer de Chauny à Saint-Gobain et les usines de la compagnie de Saint-Gobain », Historail, no 58, , p. 6-35 (ISSN 1957-5971).
Articles connexes
modifier- Liste des communes de l'Aisne
- Origine du nom : Saint Gobain
- Manufacture royale de glaces de miroirs
- L'entreprise : Saint-Gobain
- Chemin de fer : Ligne de Chauny à Saint-Gobain
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Saint-Gobain » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Notes de type "Carte"
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Références
modifier- Jérôme Buridant, Les espaces forestiers laonnois (début XVIIe-début XIXe siècle). Hommes, environnement et paysage à l'époque pré-industrielle, Université de Paris IV-Sorbonne : thèse de 3e cycle, 1999.
- Sandre, « le cours d'eau 01 de Briquenet »
- Sandre, « le ruisseau de la Bovette »
- Sandre, « le ruisseau de Missancourt »
- Sandre, « le cours d'eau 01 de la commune de Deuillet »
- Sandre, « le cours d'eau 01 de la Plaine Jean Moussu »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Vivret »
- Sandre, « le cours d'eau 02 de la commune de Bertaucourt-Epourdon »
- Sandre, « le fossé 01 de la commune de Servais »
- Sandre, « le fossé 03 de la commune de Bertaucourt-Epourdon »
- Sandre, « le fossé du Champ Bateau »
- Sandre, « le fossé du Sart des Nonnains »
- « Fiche communale de Saint-Gobain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « le ruisseau de Servais »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Oise moyenne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Gobain et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Gobain », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 246.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Page 83 dans Histoire de l'abbaye de Saint-Vincent de Laon (1858) par dom Robert Wyard, moine bénédictin
- Goban (Gobain, Govan), OSB M (AC)
- Parick Étiévant, « Le chemin de fer de Chauny à Saint-Gobain et les usines de la compagnie de Saint-Gobain », Historail, no 58, , p. 6-35 (ISSN 1957-5971).
- « communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La Fère - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Le Courrier de l'Association historique de Saint-Gobain, n°2, novembre 2013, p. 10-12
- « Achille Gibon ».
- « Les grands verriers à Saint-Gobain : 1-Louis BOUDIN », sur amicaleretraites-saint-gobain.com via Internet Archive (consulté le ).
- Registre des délibérations de Saint-Gobain
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- « Michel Carreau, le maire de Tergnier, regrette « un mot un peu fort » à destination de Frédéric Mathieu, le maire de Saint-Gobain : Ce dimanche 13 juin, un message du conseiller départemental sortant de Tergnier sur les réseaux sociaux ciblant un candidat aux cantonales a mis le feu aux poudres et entraîné beaucoup de questions », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le maire et les adjoints sortants ont été reconduits à Saint-Gobain », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
- « Le maire réélu pour un nouveau mandat à Saint-Gobain », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- François Fené, « Saint-Gobain : polémique, un «format» qui ne passe pas comme une lettre à la poste : La Poste avait baissé le nombre d'heures hebdomadaires d'ouverture de son bureau gobanais de 30 à 27 en 2016. Elle revient à la charge avec un nouveau « format », diminution de 27 à 21 ou 24 heures. Le maire refuse cette modification », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- Delphine Oliva, « L'unité de soins de suite post-Covid toujours ouverte au centre de rééducation de Saint-Gobain », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- Delphine Oliva, « Une maison de santé dans l'ancienne Manufacture à Saint-Gobain : L‘établissement pourrait ouvrir dans moins de deux ans, dans l‘ancienne halle des moulages. Le maire promet une dizaine de praticiens », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Vifs échanges au conseil municipal de Saint-Gobain autour de la future maison de santé : Les élus de la majorité et l'unique conseiller municipal d'opposition de Saint-Gobain ont exprimé leurs désaccords quant au site choisi », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
- Halima Najibi, « Festival des Vers Solidaires penser le monde autrement ! », France 3, (lire en ligne)
- « Bobines Rebelles 19 et 20 avril 2014 à Saint Gobain », sur cybertaria.org (consulté le ).
- « Le tableau de Charles Lamy exposé dans l'église de Saint-Gobain après restauration : Samedi, le maire, Frédéric Mathieu, et Anita Oger-Leurent, conservateur des Monuments historiques, ont dévoilé le tableau de Charles Lamy La Déposition de Croix qui a retrouvé sa place dans l'église après avoir longtemps séjourné dans le grenier de la mairie. Il a récemment été restauré dans un atelier parisien », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- J-P Luauté, Th. Lempérière, La vie et l'œuvre pionnière de Louis Victor Marcé, Éditions Glyphe, 2012
- « 02680 Saint-Gobain (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).