Stanislas Guerini

homme politique français

Stanislas Guerini, né le à Paris, est un homme politique français.

Stanislas Guerini
Illustration.
Stanislas Guerini en 2017.
Fonctions
Ministre de la Transformation et de la Fonction publiques

(2 ans, 4 mois et 1 jour)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gabriel Attal
Gouvernement Borne
Attal
Prédécesseur Amélie de Montchalin
Successeur Guillaume Kasbarian
Délégué général de La République en marche

(3 ans, 9 mois et 16 jours)
Élection
Secrétaire général Didier Medori
Prédécesseur Philippe Grangeon (intérim)
Christophe Castaner
Successeur Stéphane Séjourné (secrétaire général)
Emmanuel Macron (président d'honneur)
Député français

(5 ans, 1 mois et 1 jour)
Élection 18 juin 2017
Réélection 19 juin 2022
Circonscription 3e de Paris
Législature XVe et XVIe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur Annick Lepetit
Successeur Caroline Yadan
Biographie
Date de naissance (42 ans)
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (jusqu'en 2016)
EM/LREM/RE (depuis 2016)
Diplômé de HEC Paris
Profession Entrepreneur
Site web stanislasguerini.fr
Ministres français de la Fonction publique

D'abord membre du Parti socialiste et proche de Dominique Strauss-Kahn, il participe à la fondation du parti LREM. Il est élu député dans la 3e circonscription de Paris lors des élections législatives de 2017, puis est réélu en 2022.

À la fin de l’année 2018, il succède à Christophe Castaner comme délégué général de LREM.

Le 20 mai 2022, il est nommé ministre de la Transformation et de la Fonction publiques dans le gouvernement Élisabeth Borne. Initialement non reconduit dans le gouvernement Gabriel Attal lors de sa nomination le 11 janvier 2024, il retrouve finalement son poste le 9 février suivant.

Il perd son siège de député le 7 juillet 2024, lors de législatives anticipées, après la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron.

Situation personnelle

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Origines

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Stanislas Guerini naît le à Paris[1]. Son grand-père paternel, immigré italien, a fui le régime fasciste pour venir s'installer en France[2]. Son père Bernard Guerini (1948-) est diplômé de HEC Paris et Harvard Business School et a dirigé la filiale française d'Air Products[3].

Formation et carrière professionnelle

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Élève à l'École alsacienne puis au lycée Henri-IV[4],[5], diplômé de l'École des hautes études commerciales de Paris en 2006, dont il a par ailleurs dirigé le Bureau des élèves, Stanislas Guerini crée l’entreprise Watt & Home, société de vente et d'installation de panneaux solaires[6], fondée en 2007 avec Jean-Pascal Emelien[7], le père d'Ismaël Emelien[5].

Fin 2013, il quitte son poste de directeur général de Watt et Home et devient « directeur de l'expérience client » (sic) de la multinationale Elis[4],[5],[8].

Vie privée

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Marié à Marie-Luce Conrard, une ingénieure responsable de la stratégie et des opérations chez Google Cloud France[9][10], il est père de trois enfants[11]. Ismaël Emelien est son témoin de mariage[12] et Stanislas Guerini celui d'Ismaël Emelien[13].

Parcours politique

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Débuts auprès de Dominique Strauss-Kahn

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L'Opinion indique qu'il a été « séduit par les idées » de Michel Rocard[14]. Étudiant à HEC, il effectue un stage au groupe de réflexion « À gauche en Europe » fondé par Dominique Strauss-Kahn et Michel Rocard[13].

Membre du Parti socialiste[15],[16], il fait partie de l'équipe de campagne de Dominique Strauss-Kahn pour la primaire PS de 2006, aux côtés d'autres personnalités qui, plus tard, soutiendront Emmanuel Macron : Ismaël Emelien, Cédric O, Benjamin Griveaux, Sibeth Ndiaye, et Adrien Taquet[17],[5],[11]. En vue de la primaire du PS de 2011, il travaille avec Pierre Moscovici sur le programme présidentiel de Dominique Strauss-Kahn[18].

Cadre d'En marche

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Il rejoint l'entourage d'Emmanuel Macron fin 2015, par la connaissance d'Ismaël Emelien et Benjamin Griveaux, et fait partie de la petite équipe qui fonde En marche[19]. Son appartement situé place des Ternes (Paris) sert de premier quartier général[2],[8]. Il est secrétaire de l'association de financement du mouvement[20] et référent départemental à Paris, en plus d'animer plusieurs grands rassemblements politiques d'Emmanuel Macron[4].

Il est chauffeur de salle des meetings d'Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle[18]. Le soir du second tour, il supervise la cérémonie de la victoire à la pyramide du Louvre[21].

Député de Paris

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Il est investi par La République en marche aux élections législatives de 2017 dans la troisième circonscription de Paris[22]. Il obtient 45,08 % des voix au premier tour, puis l'emporte au second tour face à la candidate UDI Valérie Nahmias avec 65,50 % des voix[23].

Il est membre de la commission des Finances, de l'Économie générale et du Contrôle budgétaire, et porte-parole du groupe La République en marche à l'Assemblée nationale, avec Aurore Bergé, Olivia Grégoire et Hervé Berville[24].

Il est rapporteur parlementaire du projet de loi pour un État au service d'une société de confiance[25], projet plus connu sous le nom de « droit à l'erreur »[26]. Il fait également partie d'un des binômes missionnés par Bruno Le Maire pour mener les travaux préparatoires du plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, sur le thème « Partage de la valeur et engagement sociétal des entreprises » : avec Agnès Touraine, présidente de l’Institut français des administrateurs, il propose un développement du droit mou et une limitation du droit normatif, le renforcement de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) au sein de la stratégie des entreprises, ainsi que la simplification et le renforcement du recours à l’intéressement et à la participation, notamment pour les PME[27].

Il fait partie des nouveaux députés LREM qui sont issus du milieu de l'entreprise et qui se sont engagés après avoir été séduits par le côté « start-up » d’En marche : ils assument de vouloir transposer les règles de l’entreprise à l’exercice de leur mandat politique et ont eux-mêmes imprégné le fonctionnement de LREM de leurs méthodes managériales et de leur vocabulaire[28],[29].

Délégué général de LREM

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Pierre Person se retire de la lutte pour l'élection au poste de délégué général de LREM face à Stanislas Guerini, ce qui suscite des remous au sein du parti.

En , il se déclare candidat pour succéder à Christophe Castaner au poste de délégué général de LREM[21]. Le mois suivant, le retrait de Pierre Person le laisse comme seul favori du scrutin. Mediapart évoque l'amertume des soutiens de ce dernier, qui se plaignent de pressions à leur encontre, et souligne que Stanislas Guerini « demeure très proche du porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux – qui vise la mairie de Paris – et d’Ismaël Emelien et Cédric O (par ailleurs membre du bureau exécutif de LREM). Tous les quatre ont été des soutiens actifs de Dominique Strauss-Kahn. Cette proximité fait grincer des dents, allant même jusqu'à alimenter les soupçons d'instrumentalisation de LREM pour l'ambition parisienne de Benjamin Griveaux »[30]. Les journalistes Jérémy Marot et Pauline Théveniaud estiment que Stanislas Guerini et Pierre Person ne présentent, « sur le fond, aucune différence idéologique » mais ont, « sur la forme, une pratique politique différente. Dans la galaxie DSK, Guerini se rapproche de la sphère Moscovici, qui s'est politisée d'abord dans le réseau grandes écoles et se distingue davantage en produisant des notes au kilomètre qu'en labourant le terrain. […] Quant à Person, c'est un jeune Cambadélis, aguerri par l'action au MJS et à l'Unef au sein des facs, mais aussi fin connaisseur des appareils »[31]. Libération indique alors que Stanislas Guerini est « particulièrement apprécié à Matignon et Bercy, moins nettement à l’aile gauche de LREM »[18].

Le , il est élu délégué général de La République en marche, avec 82 % des voix des 743 membres du « Conseil » de LREM[32], face à Joachim Son-Forget[33].

En 2019, il lance une consultation interne en vue d’une révision des statuts du parti[34]. Sa réforme vise notamment à « décentraliser » le parti, dont le fonctionnement est jugé vertical[35]. Il est alors décrit par BFM TV comme « fédérateur » au sein du parti[36].

 
Stanislas Guérini, le , lors du rassemblement en hommage à Samuel Paty, place de la République à Paris.

Figurant sur la liste LREM du 17e arrondissement de Paris lors des élections municipales de 2020, son nom circule pour remplacer la tête de liste Agnès Buzyn entre les deux tours mais il refuse d'envisager cette hypothèse : selon Libération, il « [préfère], comme nombre de dirigeants macronistes, se laisser une chance d’entrer au gouvernement en cas de remaniement »[37].

Emmanuel Macron estime qu'il se montre trop discret dans le débat public, selon Le Canard enchaîné du 3 février 2021. Il est menacé de perdre la tête du parti après les élections régionales et départementales de 2021, qui constituent un échec pour LREM : sa nomination au gouvernement est évoquée[38]. Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée, milite pour son maintien à la tête du parti[39]. En août 2021, il installe le nouveau bureau exécutif de LREM[38].

Fin 2021, il devient membre du comité exécutif d'« Ensemble citoyens ! », mouvement réunissant les partis de la majorité présidentielle, mais n'en intègre pas la présidence, occupée par Jean Castex, Édouard Philippe, Richard Ferrand et François Bayrou[40].

Le , il annonce que La République en Marche change de nom, et devient « Renaissance »[41].

Le , il prend publiquement la défense de la candidature controversée de Jérôme Peyrat (condamné pour violence conjugale) aux élections législatives dans la 4e circonscription de la Dordogne, avant d'en exiger lui-même le retrait après le tollé provoqué par ses propos le soutenant : « C'est un honnête homme, je ne le crois pas capable de violences sur les femmes, et donc il se soumettra au jugement des électeurs »[42].

Ministre de la Transformation et de la Fonction publiques

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Le 20 mai 2022, il est nommé ministre chargé de la Transformation et de la Fonction publiques dans le gouvernement Élisabeth Borne. Il succède ainsi à Amélie de Montchalin.

 
Stanislas Guerini en campagne rue Legendre à Paris (2024).

En mars 2024, il annonce la « mise en place d'un dispositif de prime très cohérent de 500, de 1 000, de 1 500 euros pour tous les agents publics qui seront sur le terrain » lors des Jeux olympiques de Paris[43].

En juillet 2024, il est battu au second tour des élections législatives, dans la 3e circonscription de Paris par Léa Balage El Mariky, la candidate écologiste. Il n'est alors plus titulaire d'aucun mandat électif[44].

Prises de position

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S'agissant de la laïcité et de l'islam, Marianne estime qu'il semble se rattacher au « courant libéral » au sein de la majorité en déclarant vouloir « mener une bataille culturelle, dans tous les espaces de notre République, pour dire aux femmes qu'elles doivent avoir la liberté de porter ou de ne pas porter le voile »[45]. Toutefois, il prend position sur Twitter contre une élue LREM remplaçante pour les élections départementales qui porte le voile sur une affiche de campagne en réponse à un tweet de Jordan Bardella provoquant un tollé[46].

Au début de la pandémie de Covid-19, il se dit « allant et ouvert » sur le déploiement du traçage numérique des individus[47].[pertinence contestée]

En , sa proposition de verser un chèque de 400  à près de quatre millions de personnes n'est pas validée par Emmanuel Macron[48].[pertinence contestée]

Synthèse des résultats électoraux

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Élections législatives

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Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2017 LREM 3e de Paris 17 321 45,08 1er 17 801 65,50 Élu
2022 12 851 32,50 2e 19 612 51,00 Élu
2024 18 001 24,60 2e 22444 46,41 Battu

Notes et références

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  1. « Résultat des élections législatives 2017 : 3e circonscription - département Paris », sur les-elections.info, .
  2. a et b Mathilde Siraud, « Stanislas Guerini, un « premier de cordée » pour diriger le mouvement présidentiel », Le Figaro,‎ 1er-2 décembre 2018, p. 6 (lire en ligne).
  3. « Bernard Guerini », sur Les Échos (consulté le ).
  4. a b et c Mathieu Magnaudeix, « Les députés LREM parisiens, comme un livre ouvert sur les réseaux Macron », sur Mediapart, .
  5. a b c et d Sophie des Déserts, « Le casse du siècle », Vanity Fair n°53, décembre 2017, pages 108-115 et 154-155.
  6. "Législatives: pourquoi ces patrons veulent devenir députés sous Macron", BFMTV, 16 mai 2017
  7. Arthur Nazaret, « Comment les "DSK boys" ont pris leur revanche grâce à Macron », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Qui est Stanislas Guérini, le nouveau patron de LREM », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
  9. Filiale de la société Alphabet Inc.
  10. Prisma Média, « Stanislas Guerini : qui est son épouse Marie-Luce Conrard ? - Gala », sur Gala.fr (consulté le )
  11. a et b Mariana Grépinet, « Stanislas Guérini. Un inconnu à la tête des marcheurs », Paris Match, semaine du 28 novembre au 5 décembre 2018, p. 50.
  12. Alexandre Le Drollec et Julien Marti, « Stanislas Guerini: 10 choses à savoir sur le nouveau patron de LREM », sur nouvelobs.co, (consulté le ).
  13. a et b Pauline Théveniaud, « Stanislas Guerini, le «bon garçon» de la République en marche », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  14. « Stanislas Guerini prend la tête de La République en marche », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  15. « Stanislas Guerini prend la tête de La République en marche », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  16. Alain Auffray, « Stanislas Guerini, un nouveau patron pour sortir LREM du coma politique », sur libération.fr, (consulté le ).
  17. « Stanislas Guérini, cheville ouvrière et futur rapporteur du texte sur le « droit à l’erreur » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. a b et c Alain Auffray, « Stanislas Guerini, un nouveau patron pour sortir LREM du coma politique », sur liberation.fr, (consulté le ).
  19. « Résultats législatives 2017: Stanislas Guerini élu dans la 3e circonscription de Paris », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
  20. "Le macronisme, un rocardisme sarko-compatible", L'Humanité, 12 juillet 2016
  21. a et b Isabelle Ficek, « Exclusif Stanislas Guerini pressenti pour prendre la tête d'En Marche », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  22. « Candidats investis La République En Marche ! », en-marche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Ministère de l'Intérieur - Troisième circonscription de Paris.
  24. « A. Bergé porte parole de LREM à l'Assemblée », 78actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. [http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-discussion/projet-loi-pour-etat-au-service-societe-confiance.html
  26. « Fonction publique : un État au service d'une société de confiance », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  27. Romain Cayrey, « Projet de loi Le Maire sur les entreprises : ce qu'il faut retenir des travaux préparatoires », sur Le Moniteur.fr, (consulté le ).
  28. Alexandre Lemarié et Manon Rescan, « Les députés LRM, entre culture d’entreprise et discipline de parti », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  29. Jannick Alimi, « Les trois familles des députés En Marche ! », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  30. Manuel Jardinaud, « Chez LREM, l’élection du délégué général se passe de débat démocratique », sur Mediapart, (consulté le ).
  31. Jérémy Marot et Pauline Théveniaud, Les Apprentis de l'Élysée, Plon, , 280 p., p. 312.
  32. « Stanislas Guerini, un nouveau patron pour sortir LREM du coma politique », sur Libération.fr, (consulté le ).
  33. Alexandre Lemarié, « Le député Stanislas Guerini élu à la tête de La République en marche », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  34. Geoffroy Clavel et Alexandre Boudet, « Aux municipales, LREM pris au piège de ses contradictions », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  35. Alexandre Lemarié, « A la veille des municipales, La République en marche en mal de démocratie interne », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  36. Jules Pecnard, « Fédérateur en quête de poids politique, qui est Stanislas Guerini, patron de LaREM? », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  37. Charlotte Belaïch, « Agnès Buzyn revient en marche arrière », sur liberation.fr, (consulté le ).
  38. a et b Matthieu Deprieck, « Stanislas Guerini, à fond la forme », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  39. Corinne Lhaïk, « Alexis Kohler, la doublure du Président en campagne », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  40. Matthieu Deprieck, « Stanislas Guerini, à l’ombre des stars de la macronie », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  41. « Législatives : LREM change de nom et devient "Renaissance", la majorité réunit les partis pro-Macron sous la bannière "Ensemble" », sur ladepeche.fr (consulté le )
  42. Fanny Rocher, « Violences conjugales: Stanislas Guerini fait son mea culpa près avoir défendu la candidature de Jérôme Peyrat », BFM TV, (consulté le )
  43. Stanislas Guérini fait tourner la planche à billets pour éviter les grèves de fonctionnaires pendant les JO, marianne.net, 9 mars 2024
  44. Martin Lagrave, Législatives : les grands perdants de la dissolution de l’Assemblée nationale, lefigaro.fr, 8 juillet 2024
  45. Louis Nadau, « Schiappa contre Taché : ce serre-tête qui coupe LREM en deux camps opposés sur la laïcité et le voile », sur marianne.net, (consulté le ).
  46. « LaREM/Départementales : le voile de la discorde », sur lci.fr, (consulté le ).
  47. Sébastien Tronche, « Covid-19 : le tracking fracture la majorité », sur liberation.fr, (consulté le ).
  48. « Le "chèque déconfinement", proposé par le patron d'En marche, ne plaît pas à Emmanuel Macron », sur lejdd.fr, (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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