Trégarantec

commune française du département du Finistère

Trégarantec [tʁegaʁɑ̃tɛk] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Trégarantec
Trégarantec
L'église paroissiale Saint-Théarnec.
Blason de Trégarantec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Brest
Intercommunalité CC Côte des Légendes
Maire
Mandat
Yann Toudic
2023-2026
Code postal 29260
Code commune 29288
Démographie
Gentilé Trégarantécois
Population
municipale
622 hab. (2021 en évolution de +9,51 % par rapport à 2015)
Densité 119 hab./km2
Population
agglomération
25 712 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 05″ nord, 4° 17′ 38″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 87 m
Superficie 5,21 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lesneven
Législatives 5e circonscription du Finistère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trégarantec
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trégarantec
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Voir sur la carte topographique du Finistère
Trégarantec
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Trégarantec
Liens
Site web https://tregarantec.bzh/

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Ploudaniel et Saint-Méen.

Hydrographie

modifier

À l'est, Trégarantec est séparée de la commune voisine de Saint-Méen par un petit fleuve côtier, le Quillimadec[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061 mm, avec 17,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploudaniel à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 146,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Trégarantec est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier
 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), forêts (10,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (5,1 %), prairies (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 254, alors qu'il était de 238 en 2015 et de 242 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Trégarantec en 2020 en comparaison avec celle du Finistère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) inférieure à celle du département (13,6 %) et e à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,2 % en 2015), contre 68,8 % pour le Finistère et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Trégarantec en 2020.
Typologie Trégarantec[I 2] Finistère[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 88,5 79 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2 13,6 9,7
Logements vacants (en %) 9,5 7,4 8,2

Toponymie

modifier

Attesté sous la forme Tregarentec en 1251, son suffixe variera entre les -Tuc, -Tec, -Toc.

Tregaranteg en breton.

Son nom est composé à partir du mot breton treb, qui signifie « subdivision d'une paroisse », et de saint Théarnec, autre graphie de Saint Arnoc ou Arnec.

« L'ancien petit royaume d'Illy était dans la paroisse de Trégarantec, dans la section Lysien, et contenait dix-sept villages. Saint Arnec est le patron de Trégarantec[13] »

Histoire

modifier

Moyen Âge

modifier

La paroisse de Trégarantec, citée pour la première fois vers 1329-1332, faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily (le siège de l'archidiaconé se trouvait à Trégarantec) relevant de l'évêché de Léon. Elle est sans doute issue d'un démembrement de la paroisse primitive de Ploudaniel.

Temps modernes

modifier

Roland de Neufville, puîné de la maison du Plessis-Bardoult ou Plessis-Bardoul[14], évêque de Léon de 1562 à 1613, échange, par un contrat signé le l'île d'Oixant[Note 2] avec René de Rieux, marquis de Sourdéac, contre la terre de Porléac'h (manoir de Porz Lech Bihan) en Trégarantec[15].

Portz Lech Bihan, qui appartenait primitivement aux évêques de Léon, était passé entre les mains du seigneur de Brézal, qui venait de le vendre au seigneur de Sourdéac, René de Rieux, et l'évêque tenait à recouvrer ce bien, « situé proche le manoir principal des champs, de l'évêché, Portz lech bras, qui, sans cette acquisition, eût été si étroitement serré que les évêques n'y eussent pu bonnement demeurer, combien que leur résidence, y soit pour partie du temps fort requise, ce manoir étant à demi-lieue du siège de la justice royale (Lesneven) et au milieu de l'évêché de Léon jouxte autre bien appelé le Portz lec'h bras, en Trégarantec, appartenant audit évêché, ce qui aurait été fait et promis avec l’avis et consentement de MM. les chanoines de Léon, mais non encore rédigé par écrit comme il est requis ; pour à quoy parvenir, le seigneur Évêque, ne pouvant assister en personne, pour son absence notoire de cet évêché, aurait nommé pour le représenter noble homme Rolland Guéguen (habitant Portzlech) selon les lettres de procure lui données le dernier ». Le contrat est définitivement signé le et le manoir de Portz Lech Bihan est alors estimé 300 livres 8 sols 1 denier de rente annuelle[16].

En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Trefcarantec [Trégarantec] de fournir 8 hommes et de payer 52 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[17].

Époque contemporaine

modifier

En 1887 la commune de Trégarantec est dans l'obligation de construire une école publique afin de respecter la loi du sur les constructions d'office qui oblige les communes dépourvues d'école publique à en construire une[18].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Brest du département du Finistère.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lesneven[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Lesneven porté de 12 à 18 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription du Finistère.

Intercommunalité

modifier

Trégarantec est membre de la communauté de communes dénommée communauté Lesneven Côte des Légendes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1803 1811 Pierre Kermarrec    
1811 1829 François Le Page    
1829 1835 Pierre Jaouen    
1838 1855 Jean Claude Caër[Note 3]   Cultivateur
1855 1871 François Lichou    
1872 1884 Jacques Le Borgne    
1884 1902 Antoine Miorcec de Kerdanet    
1903 1907 Charles Miorcec de Kerdanet[Note 4]    
1907 1908 Paul Guéguen    
1908 1917 Charles Miorcec de Kerdanet[Note 4]    
décembre 1919 mars 1965 François Lichou[21]    
mars 1965 mars 1977 François Morvan    
mars 1977 mars 1989 François Patinec[Note 5]    
mars 1989 juin 1995 François Salaün    
juin 1995 mars 2008 Jean-Lou Phelep DVD Conseiller d'éducation
mars 2008 29 mars 2014 François Salaün    
mars 2014[22] mai 2020[23] Agnès Jaouen DVG Retraitée de l'enseignement
mai 2020[24] septembre 2023[25],[26] Jean-Lou Phelep DVD Retraité,
Démissionnaire
novembre 2023[27] En cours
(au 9 décembre 2023)
Yann Toudic   Cadre de la fonction publique

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 622 habitants[Note 6], en évolution de +9,51 % par rapport à 2015 (Finistère : +1,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
486490530585582611651666628
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
584573575558562576592558514
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
525583496506468494511492435
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
378340377415429512524566601
2021 - - - - - - - -
622--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Il y avait encore 100 % de messalisants[Note 7] à Trégarantec en 1950[31].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • L'église paroissiale Saint-Théarnec, qui dataite du XVIIe siècle. Incendiée dans la nuit du 17 au , elle a été aussitôt reconstruite en style néogothique[32].
  • Le manoir de Kerduden est construit en 1874, par Antoine Miorcec de Kerdanet, qui habitait au lieu-dit Kerdanet.
  • Le calvaire du cimetière constitue, quant à lui, un monument en lui-même, il est daté du XVIIe siècle, lui aussi, et est considéré comme l'un des joyaux du patrimoine trégarantécois.

Langue bretonne

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

La devise de la commune[réf. nécessaire] : « War sao, paotred! » - « Debout les gars ! ».

Pour approfondiri

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. le nom de l'île d'Ouessant était fréquemment écrit Oixant au Moyen Âge
  3. Jean Claude Caër, né le 22 juillet 1800 à La Grande Palue en La Forest-Landerneau, décédé le 27 juin 1869 à Toulalan en Trégarantec
  4. a et b Charles Daniel Marie Miorcec de Kerdanet, né le 8 octobre 1874 à Lesneven, décédé le 25 mars 1918 à Châlons-en-Champagne. [1]
  5. François Patinec, né le 4 octobre 1931 à Trégarantec, décédé le 14 mars 2018 à Lesneven : « Nécrologie. Décès du maire honoraire François Patinec », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Personnes allant à la messe chaque dimanche
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Trégarantec » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Trégarantec - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Trégarantec - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Finistère » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

modifier
  1. Le Quillimadec est un petit cours d'eau long de 26,5 km, qui prend sa source sur les hauteurs de Plounéventer et forme la limite entre les communes de Ploudaniel, Trégarantec, Lesneven, Kernouës, Saint-Frégant et Guissény, situées sur sa rive gauche, et celles de Saint-Méen, Plouider et Kerlouan, situées sur sa rive droite. À la fin du XVIIIe siècle, selon Jean-Baptiste Ogée, il faisait tourner 14 moulins.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Trégarantec et Ploudaniel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ploudaniel-Inra » (commune de Ploudaniel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ploudaniel-Inra » (commune de Ploudaniel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brest », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Malo-Joseph de Garaby, Vie des bienheureux et des saints de Bretagne, pour tous les jours de l'année, L. Prud'homme, Saint-Brieuc, 1839, consultable https://books.google.fr/books?id=AWqB2ci3hBQC&pg=PA253&lpg=PA253&dq=saint+Guinien&source=bl&ots=2thfZ6XIMw&sig=BUmFBXNJhQsLbDS0c7iHKVl4nwc&hl=fr&sa=X&ei=2ZnFUJjRIMWChQea1YHQDg&ved=0CFcQ6AEwBg#v=onepage&q=saint%20Guinien&f=false
  14. Le château du Plessis-Bardoul est situé à Pléchâtel (Ille-et-Vilaine)
  15. A. Kerneis, L'île d'Ouessant. Les seigneurs et les gouverneurs. Achat par le Roy en 1764, Bulletin de la Société académique de Brest, 1894, pages 137-138, consultable https://archive.org/details/bulletindelasoc59bresgoog
  16. Archives du diocèse de Quimper et de Léon, cité par http://www.infobretagne.com/ouessant.htm
  17. "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
  18. Journal La Lanterne, n° du 6 septembre 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7504517v/f3.image.r=Tr%C3%A9babu?rk=1008588;4
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Source : Geneawiki
  21. « Mort de M. François Lichou maire de Trégarantec pendant 46 ans », Ouest-France (archives du journal),‎ (lire en ligne  )
  22. « Municipales. Agnès Jaouen devient maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  23. « Municipales 2020. Agnès Jaouen : « Pourquoi je ne me représente pas » : Lors de la cérémonie des vœux, Agnès Jaouen, maire de Trégarantec, a confirmé qu’elle ne briguerait pas un nouveau mandat de maire en 2020. Explications », Le Télégramme,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  24. « Trégarantec. Nouveau maire, Jean-Lou Phelep n’est pas un novice », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  25. « Après vingt-huit ans de mandat, Jean-Louis Phelep, maire de Trégarantec, veut démissionner en 2023 : L’élu de Trégarantec, dans le Finistère, a annoncé, lors de ses vœux à la population, son désir de mettre fin à son mandat, dans le courant de l’année. Il se dit « fatigué moralement et physiquement », Ouest-France,‎ (lire en ligne  ).
  26. « Il l’avait annoncé, Jean Louis Phelep n’est plus maire de Trégarantec : Depuis le lundi 4 septembre 2023, date de réception du courrier confirmant l’accord du préfet du Finistère, Alain Espinasse, Jean Louis Phelep n’est plus le maire de Trégarantec », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal en 1989, Jean Lou Phelep deviendra maire de Trégarantec en 1995. Ceci le mènera jusqu’à 2008 [...] Jean Lou Phelep, qui après 6 ans comme conseil municipal d’opposition (2008-2014), ne sera plus élu à compter de 2014 [...] celui qui est Maire honoraire de Trégarantec depuis 2008, va finalement accepter de revenir aux commandes de la commune… ».
  27. « À Trégarantec, Yann Toudic est le nouveau maire : L’équipe municipale de Trégarantec est désormais au complet, avec l’élection, jeudi soir, de Yann Toudic au poste de maire, lequel est accompagné de trois nouveaux adjoints », Le Télégramme,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Seul candidat pour le poste, Yann Toudic a été élu à la majorité, sans surprise. À 43 ans ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  32. http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-thearnec-tregarantec
  NODES
admin 9
chat 1
Note 12