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Les Pays-Bas des Habsbourg ou les Dix-Sept Provinces sont constitués des Pays-Bas belgiques restés sous la souveraineté de la dynastie des Habsbourg du XVe au XVIIIe siècle. Ces territoires avaient été réunis en 1443 au sein des Pays-Bas bourguignons. Ils couvriraient approximativement aujourd'hui le Benelux, à l'exception de la Principauté de Liège, et le Nord-Pas-de-Calais.
Les Pays-Bas bourguignons sont les provinces des Pays-Bas acquises par les ducs de Bourgogne (dynastie des Valois) entre le XIVe siècle et XVIe siècle. On les désignait alors comme les « États de par-deçà » englobant la Flandre, le Hainaut et l'Artois, la Hollande, la Zélande et les autres territoires néerlandais, ou encore les « Pays-Bas » pour les distinguer des « États de par-delà », les possessions plus méridionales de Bourgogne et Franche-Comté.
En 1482, Maximilien de Habsbourg en prit le contrôle en se mariant avec Marie de Bourgogne, dernière héritière de la maison de Valois. Leur dynastie s'y maintint jusqu'en 1795.
Louis XI avait également des visées sur cet État, parmi les plus riches de l'Europe du XVe siècle. La succession de Marie fut ainsi à l'origine de nombreux conflits entre les rois de France et les Habsbourg.
Les Pays-Bas des Habsbourg deviennent les Pays-Bas espagnols avec la Pragmatique Sanction de 1549 et l'abdication de l'empereur et roi Charles Quint le 16 janvier 1556.
La maison de Valois et celle des Habsbourg firent valoir leurs droits respectifs jusqu'à la signature du traité de Nimègue, en 1678, qui fixa la frontière avec la France.
La noblesse des provinces comprenait les familles francophones du Sud et les familles néerlandophones du Nord. Cependant, la langue commune de toute la noblesse était le français.
Maison Souverain
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement
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Habsbourg (1482 - 1700) (1714 - 1797)
Après le mariage de Maximilien Ier avec Marie de Bourgogne, princesse de Valois et héritière des possessions Bourguignonnes (notamment les Pays-Bas) et le mariage de son fils Philippe « le Beau » avec Jeanne « la Folle », héritière des Espagnes et de leurs nombreuses dépendances, le fils de ces derniers, Charles Quint (ou Charles V), hérita d'un empire sur lequel « le soleil ne se couchait jamais ». Après l'abdication de l'empereur Charles V - aussi roi Charles Ier des Espagnes et des Indes (1516-1556), la famille se sépara en deux branches, l'autrichienne et l'espagnole. Souverain : ( patrimoine Seconde Maison de Bourgogne )
puis également roi des Espagnes, de Naples et de Sicile, puis également roi et empereur des Romains (seulement Charles Quint). Armes :
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Bourgogne (1369 - 1482)
Les ducs de Bourgogne vont unifier ces pays qui formaient des principautés séparées et parfois hostiles faisant partie pour la Flandre du royaume de France et pour le Brabant, le comté de Namur, de Hainaut le duché de Luxembourg et autres territoires du Saint-Empire. Le premier d'entre eux, Philippe le Hardi, reçut le duché de Bourgogne en fief. Bien qu'il soit le cadet, on ne peut, dans le cas présent, parler d'apanage (terre donnée au cadet de la famille). En effet, à l'époque, l'apanage royal doit retourner au domaine royal si celui qui le détient n'a pas d'héritier mâle. Or, Jean II le Bon transmet cette terre à son fils sans aucune clause de ce type. Le duché pourra être transmis à des héritières féminines ou à des branches collatérales. Le duché ne retournera donc au domaine royal que s'il y a extinction totale de la lignée ducale. De plus, les ducs devront foi et hommage au souverain, ce qui tend à démontrer qu'il s'agit bien d'un fief. Le duc de Bourgogne, par cet acte, devient le vassal du roi de France. En 1369, Philippe le Hardi épousa la fille du comte de Flandre. Toute la politique des ducs de Bourgogne consista ensuite à essayer de s'emparer des régions situées entre la Bourgogne et la Flandre et d'en faire un État entre la France et le Saint-Empire. Ils procédèrent par mariage, héritage ou achat (Jean sans Peur et Philippe le Bon) ou conquête (Charles le Téméraire). Les acquisitions des ducs s'étendaient depuis la Picardie et le comté d'Artois, au sud, jusqu'à Groningue, au nord. Le duché du Luxembourg vint s'ajouter en 1443 à leur territoire, à l'est mais séparé des autres provinces par la principauté de Liège, ce qui amena les ducs à établir sur cet évêché un protectorat rigoureux, dans un souci d'unification de leurs États. Souverain :
autres armories:
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Ancien Maisons Souverain
modifierArmoiries | Écu | Nom et blasonnement |
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comtes de Flandres, l'un des Six pairs laïcs originaux de la France: Maison de Flandre, Maison de Normandie. Maison de Lorraine, Maison de Dampierre. La maison Valois-Bourgogne hérité le comté en 1384.
Armes ancien:
Armes soverain :
deuxième fils de Robert III de Flandre et de Yolande de Bourgogne comtesse de Nevers.
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ducs de Brabant La famille des Régnier est une famille franque de la noblesse lotharingienne remontant au IXe siècle et à l'origine de plusieurs maisons : maison de Hainaut, maison de Brabant, maison de Montfort-l'Amaury, maison de Hesse et Maison de Mountbatten (seule branche subsistante aujourd'hui). La maison Valois-Bourgogne hérité le duché en 1406.
Armes soverain les ducs de Brabant:
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maison de Hollande, comtes de Hollande et de Zélande av. 833 - 1299
Membres célèbres : (voir aussi: arbre genealogie des comtes de Hollande
Après Jean Ier, de Maison d'Avesnes, les comtes de Hainaut héritent du comté de Hollande et de Zélande.
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Duché de Luxembourg Le comté apparu à la fin du Xe siècle, quand le comte Sigefroid fit construire le château de Luxembourg. Le comté était un fief masculin, c’est-à-dire qu'en cas d'extinction de la maison comtale, il retournait à l'empereur. Cela arriva une première fois en 1136 et l'empereur confia le comté à Henri IV de Namur, un cousin germain du dernier comte. Henri IV mourut lui aussi sans fils et le comté fut donné à ses gendres Thiébaut Ier de Bar, puis Waléran III de Limbourg, époux successifs de sa fille unique Ermesinde. Ce second mariage permit e.a. l'incorporation du marquisat d'Arlon, terre jusqu'alors tenue par les ducs de Limbourg. Quatre des comtes de la maison de Limbourg-Luxembourg furent élus empereurs et élevèrent en 1355 le Luxembourg (avec ses territoires annexes: Durbuy, La Roche et Arlon) à la dignité ducale, mais, ayant de gros besoins financiers, ils finirent par donner le Luxembourg en gage à des princes cadets de la famille, tout en conservant le titre ducal. L'une d'entre eux, Élisabeth de Goerlitz, elle-même endettée, dut vendre en 1443 le duché de Luxembourg au duc de Bourgogne Philippe III le Bon, qui l'incorpora dans l'ensemble des Pays-Bas bourguignons.
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Duché de Gueldre
Ancien armes soverain 1236 à 1276:
Armes soverain après 1379:
Renaud avait une sœur :
(Maison d'Egmont)
En 1471, Charles le Téméraire remet Arnold sur le trône et l'oblige à le reconnaitre comme héritier du duché de Gueldre.
(Maison de Bourgogne)
En 1492, il reconnaît les droits de Charles d'Egmont (Maison d'Egmont)
À sa mort, Charles Quint attribue le Gueldre à un lointain cousin, au mépris des droits du duc Antoine de Lorraine, neveu du dernier duc par sa mère Philippa de Gueldre. Les ducs de Lorraine conserveront néanmoins le titre et les armes de Gueldre. (Maison de Clèves) En 1543, Charles Quint reprend le Gueldre pour l'incorporer dans ses états.
Les armes ancien de Gelre sont similar a les armes de Nassau . En 1221, Henri II de Nassau épousa Mathilde de Gueldre (décédée en 1247), (fille du comte Otton Ier de Gueldre). | ||
comtes de Hainaut Comtes mérovingiens,Comtes carolingiens, Maison de Flandre, Maison d'Avesnes, Maison de Dampierre, Wittelsbach.
Le comté passe à la maison de Flandre en 1051, mais ce n'est qu'en 1191 que les deux comtés de Flandre et de Hainaut sont unis. Ils sont à nouveau séparés en 1280, à la mort de Marguerite II de Flandre, et le Hainaut passe alors à la maison d'Avesnes, puis en 1345 à la maison de Bavière. En 1428, Jacqueline de Bavière est contrainte de reconnaître Philippe III le Bon, duc de Bourgogne, comme héritier, lequel réunit le Hainaut en 1433 aux Pays-Bas bourguignons.
Armes soverain :
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comtes de Namur (av. 907 à 1421) Comtes carolingiens du comté de Lomme, Maison de Namur, Maison de Flandre, Maison capétienne de Courtenay, Maison de Luxembourg/Maison de Luxembourg et Limbourg, Maison de Dampierre. En 1421, il vend le marquisat de Namur en viager à Philippe le bon, duc de Bourgogne.
Armes soverain : Membres célèbres :
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Avesnes (Hainaut, et Hollande), 1299-1345 La maison d'Avesnes peut désigner deux familles nobles du Hainaut, des Flandres et de la Hollande. La deuxième maison de Avesnes épousé le héritière de comtes d'Hainult et aussi plus tard le héritière comtes de Hollande et de Zélande. Ils furent suivis par la Maison de Wittelsbach, ducs de Bavière, qui a été succédé par la maison de Bourgogne, qui a été succédé par les Habsbourg. Fiefs :
Armes originale :
Armes soverain :
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Wittelsbach, duc de Bavière-Straubing, comtes de Hainaut et de Hollande de 1345 à 1433. En 1428 Philippe le Bon comme héritier de ses domaines,
écartelé en 1 et 4 fuselé en bande d'azur et d'argent et en 2 et 3 contre-écartelé en 1 et 4 d'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules et en 2 et 3 d'or, au lion de gueules, armé et lampassé d'azur[13].
Son fils Guillaume lui disputa les comtés de Hollande et de Zélande qu'elle lui abandonna en 1354.
Elle reconnut en 1428 Philippe le Bon comme héritier de ses domaines, qu'elle lui abandonna formellement en 1433. |
A
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Arenberg (Brabant)
Le 18 août 1547, Marguerite de La Marck-Arenberg, sœur de Robert III de La Marck-Arenberg, mort sans postérité, épouse Jean de Ligne, baron de Barbençon. De ce mariage est issue la troisième Maison d'Arenberg qui subsiste encore de nos jours. Le baron Jean de Ligne était issu de la maison de Ligne, une des plus anciennes et des plus illustres maisons du comté de Hainaut, dont il était un des pairs ou premiers barons. Cette dynastie européenne déplaça le centre de son pouvoir vers les Pays-Bas méridionaux au courant du XVIe siècle. Sa fidélité aux Habsbourg fut récompensée à cette époque par l’élévation à la dignité princière en 1576 puis ducale en 1644.
Fiefs : La famille détient (ou a porté) les titres de :
Membres célèbres :
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Avesnes (Hainaut, Flandres et Hollande) La maison d'Avesnes peut désigner deux familles nobles du Hainaut, des Flandres et de la Hollande. La deuxième maison de Avesnes épousé le héritière de comtes d'Hainult et aussi plus tard le héritière comtes de Hollande et de Zélande. Ils furent suivis par la Maison de Wittelsbach, ducs de Bavière, qui a été remplacée par la maison de Bourgogne, qui a été remplacée par les Habsbourg. Fiefs :
Armes originale :
Armes :
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B
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Barbançon (duché de Brabant)
Fiefs : Membres :
Armes :
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Bergh, van (comté de Hollande)
Fiefs :
Membres :
Armes:
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Berlaymont (comté de Namur)
Fiefs : Membres :
Armes :
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Blois (comté de Hollande), comté de Flandre, comté de Hainaut)
Fiefs :
Membres :
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Borssele (nl) (nl) (comté de Zealand)
Fiefs :
Armes :
Armes portées ensuite par : |
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Bourgogne-Bevern (duché de Brabant)
Descendants d'Antoine, bâtard de Bourgogne, seigneur de Beveren. Il est l'un des nombreux bâtards du duc Philippe III de Bourgogne Fiefs :
Armes :
Membres :
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Brederode (Comté de Hollande)
Elle descend de la première maison des comtes de Hollande
Armes
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Brimeu (duché de Brabant)
Fiefs :
Membres :
Armes :
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(van)Bronckhorst et Batenburg (duché de Gueldre et comté de Zutphen)
Les seigneurs de Bronckhorst ont toujours occupé une place spéciale à partir de la fin du Moyen Âge, comme l'un des quatre seigneurs et bannerets que le premier membre des États de l'Zutphen trimestre. Leur égard a augmenté lorsque vers 1530 Joost van Bronckhorst-Borculo a été élevé. Par l'empereur Charles V au comte En raison de cette élévation a été bannerij van Bronckhorst souvent appelé «comté», mais on croit que la position du comte liée uniquement à Bronckhorst, pas dans leur domaine. Leur territoire était allodial un puits qui a été non seulement complice de l'État et de la région. Pendant les quatre-vingts ans de guerre préfèrent les Bronckhorsts du côté de Guillaume d'Orange. Fiefs :
Membres :
Armes :
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C
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Chalons (comté de Bourgogne)
La maison de Chalon-Arlay, également dite d'Orange-Chalon, après le mariage de Jean III de Chalon-Arlay avec Marie des Baux, est issue d'une branche cadette des comtes de Bourgogne & la Maison d'Ivrée. C'était une des principales maisons nobles du comté de Bourgogne. Elle était souveraine pour certaines de ses possessions en particulier la principauté d'Orange. Elle s'est éteinte en 1530 en la personne de Philibert de Chalon, mort sans enfant légitime. Ses titres et noms ont néanmoins été relevés par son neveu René de Nassau-Breda, dit de Chalon. Celui-ci étant également mort sans postérité, ses biens sont entrés en possession de son cousin, Guillaume de Nassau-Dillenbourg (sans obligation de relever le nom Chalon), fondateur de la maison d'Orange-Nassau, régnant actuellement aux Pays-Bas. Souverains : Fiefs : Membres : (Seigneurs de Chalon-Arlay)
(Seigneurs de Chalon-Arlay et prince d'Orange)
Armes :
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Croÿ (Picardie& Hainault)
On trouve les premières traces de la Maison de Croÿ au XIIe siècle, en Picardie. Elle a pris son nom du village de Crouy-Saint-Pierre (Somme), ce qui explique que le nom Croÿ se prononce toujours en français "crouï" (et non crouille). Ce sont alors de petits seigneurs locaux sans fortune ni influence. Les Croÿ doivent entièrement leur fortune à leur position de conseillers et serviteurs des princes : avant le XVe siècle et l'ascension fulgurante d'Antoine le Grand, ce n'est qu'une maison obscure. Fiefs :
Membres : (Bourgogne)
(Croÿ-Aerschot)
(Croÿ-Havré) [Première ligne]
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D
modifierE
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Maison d'Egmond (Hollande)
Egmond ou Egmont, ancienne et illustre famille des Pays-Bas, dont les chefs étaient avoués de l'abbaye d'Egmond (aujourd'hui en Hollande-Septentrionale) et les avoués de Comtes de Hollande. Elle remonte à Berwold d'Egmont. Les seigneurs d'Egmont, ayant acquis le comté de Buren en 1472, se divisèrent en deux lignes qui s'éteignirent, l'une vers 1650 et l'autre en 1707. Arnoul, Adolphe et Charles d'Egmond, de la branche aînée, régnèrent sur le duché de Gueldre (avec diverses interruptions) de 1423 à 1538. Les seigneuries d'Egmond et de Buren avaient été érigées en comtés, la première en 1486, la deuxième en 1492. Le comte de Buren a été hérité par la Maison d'Orange-Nassau, voir ci-dessous. Souverain : Fiefs :
Armes de Personnages :
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Maison d'Enghien (Hainault)
Il descendra le fils de Jake bâtard d'Havré.
Membres : Armes : |
G
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Maison de Glymes (Duché de Brabant)
Ils descendent de Jean van Cordekin bâtard du duc Jean II de Brabant (Maison de Brabant). Fiefs :
Membres : (Les Glymes)
La numérotation reprend à zéro avec Jean Ier de Berghes (Jean IV de Glymes), qui prend le nom de Berghes après son mariage avec Jeanne de Bautershem, dame héritière de Berghen, Grimberghen, Bracht, Melin etc. Les seigneurs de Berghes :
Armes :
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H
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Maison de Hénin-Liétard
Armes :
Fiefs de ; Branche cadette des Pays-Bas :
Membres :
Arme s: De gueules, à la bande d'or.[20],[21]
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Maison de Haynin
Étienne de Denain, chevalier, vivant en l’an 1205, fut l'époux de Rose de Hainaut, dite de Mons, dame de Hainin. * Jean de Haynin (au service des ducs de Bourgogne vers 1450) [22] connu pour être le plus ancien utilisateur du terme « Wallon » Armes :
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Hornes (Liège)
La seigneurie puis comté de Horn (ou Hornes, Horne, Hoorne) était un fief d'Empire, vassal du comté de Looz, et située à la marge septentrionale de celui-ci. Faute d'héritiers, il fut annexé aux domaines du prince-évêque de Liège en 1568. Son territoire se situe dans l'actuelle province de Limbourg. Pendant le deuxième tiers du XVIe siècle, la famille s'éteint peu à peu, les différentes branches ne parvenant pas à assurer leur descendance agnatique. En 1531, Jacques II de Hornes meurt sans héritier, un an après son père et laisse le comté à son frère Jean. Malgré un prestigieux mariage avec Anne d'Egmond, la sœur du comte de Bueren et la veuve de Josse de Montmorency, Jean de Hornes n'a pas d'enfant. Il lègue donc ses biens à Philippe, fils du premier lit de sa femme, faisant entrer le comté dans la maison de Montmorency. Fiefs :
Membres :
d'or au 3 cors de gueules virolés et enguichés d'argent |
J
modifierL
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
Lalaing (Hainaut)
La Maison de Lalaing est une importante famille de la noblesse belge (Hainaut) à laquelle appartiennent les Seigneurs de Lallaing. Elle a donné de nombreux gouverneurs et généraux au service des souverains du Hainaut, ducs de Bourgogne puis rois d'Espagne, sept grands baillis de Hainaut et douze chevaliers de l'ordre de la Toison d'or. Fiefs :
Armes :
Membres célèbres : (Branche de Bugnicourt)
(Branche de Montigny)
(Seconde branche de Lalaing)
(Branche de Hoogstraten)
(Branche de la Mouillerie)
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Lannoy (Comté de Flandre)
La Maison de Lannoy est une illustre famille de la noblesse belge, qui donna son nom à la ville de Lannoy, dans la Flandre actuellement française, entre Lille et Roubaix, dont ils furent seigneurs. Cette famille d'ancienne chevalerie du Comté de Flandre, dont la filiation prouvée remonte au XIIIe siècle, donna de grands guerriers, des hommes d'État et des chevaliers de la Toison d'or. Après la bataille de Pavie en 1525, le Roi de France, Francois Ier, ne voulut remettre son épée qu'au seul Charles de Lannoy, vice-roi de Naples. Jean II de Lannoy fut tué à la bataille d'Azincourt (1415) tandis que Baudouin Ier de Lannoy fut ambassadeur en Angleterre. En 1551, Anne d'Egmont, fille de Françoise de Lannoy, épouse Guillaume d'Orange, dit Guillaume le Taciturne, et c'est ainsi que Lannoy devint la possession de la Maison de Nassau. Armes :
Membres célèbres :
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Ligne (comte de Hainaut)
Une ancienne et illustre famille de la noblesse belge. Elle remonte au XIe siècle[23] et doit son nom au village de Ligne, en Belgique, situé entre Ath et Tournai. Les seigneurs de Ligne font partie de l'entourage du comte de Hainaut lors des croisades. Ils connaissent ensuite l'ascension progressive dans la hiérarchie nobiliaire : barons au XIIe siècle, comtes de Fauquembergues et princes d'Épinoy au XVIe siècle. En 1547, Jean de Ligne (vers 1525-1568), baron de Barbençon, épouse Marguerite de La Mark, comtesse puis princesse (1576) d'Arenberg, et fonde ainsi la 3e Maison d'Arenberg[24]. Fiefs :
Armes :
Membres :
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Luxembourg et Limbourg
Une branche cadette de la même maison des comtes et ducs de Luxembourg, Empereurs romain germanique, et rois de Bohême et rois de Hongrie et Margrave de Brandebourg Fiefs :
Armes :
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M
modifierMarck, van den/de la (Liège)
La maison de La Marck est une branche de la maison de Berg. Son origine remonte à Évrard Ier d'Altena (mort en 1180), fils aîné d'Adolphe II de Berg (mort en 1160), qui reçut de son père en apanage le comté d'Altena. Ses descendants agrandirent ce comté vers le nord et son petit-fils Adolphe Ier (mort en 1249) prit le titre de comte de La Marck. En 1368, Adolphe III de La Marck (mort en 1394) acquiert le comté de Clèves. Après cette acquisition, la famille est parfois appelée seconde maison de Clèves. Jean III de Clèves (1490-1539) acquiert les duchés de Juliers et de Berg en 1511. Cette branche cadette de la famille est issue d'Évrard Ier de La Marck-Aremberg (mort en 1387), fils d'Engelbert II (mort en 1328) et frère d'Adolphe II (mort en 1347) qui hérita de sa mère la seigneurie d'Aremberg. Après la mort de Robert III de La Marck-Aremberg (1541), le nom d'Aremberg fut relevé, à la suite du mariage de sa sœur Marguerite avec Jean de Ligne, par la maison de Ligne. Cette branche acquerra le duché de Bouillon et la seigneurie de Sedan et donnera deux maréchaux à la France : Robert III de La Marck (mort en 1536) et Robert IV de La Marck (1512-1556). À la mort de Charlotte de La Marck (1574-1594), la principauté de Sedan et le titre de duc de Bouillon passera à la maison de La Tour d'Auvergne. Cette branche s'éteindra en 1820, avec la mort de Louise-Marguerite de La Marck (1730-1820). Fiefs :
Membres :
Armes:
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Marnix (Franche-Comté)
Une famille noble de Savoie et de Franche-Comté. Fiefs :
Membres :
Armes : D'azur à la bande d'argent, accostée de deux étoiles d'or. Cimier, une licorne issante d'argent, la corne & le crin d'or. [26]
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Maison de Melun (Flandre & Hainaut)
Fonctions héréditaires :
Membres :
Armes : D'azur aux neuf besants d'or et au chef du même.[1],[27],[28] . | |
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Maison de Merode (Brabant) et (Liège)
La famille doit son nom à la localité allemande de Merode, un village de la commune de Langerwehe, située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, non loin des frontières néerlandaise et belge, qui possède un château. Dès le XIVe siècle, une branche de la famille Merode a acquis le pouvoir et les possessions dans le Duché de Brabant et le Prince-évêché de Liège, sur le territoire de la Belgique actuelle.
Fiefs:
Membres:
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Montmorency-Nivelle (Flandre)
Une branche cadette de la Maison de Montmorency de France. De la branche installée en Flandre par Jean de Montmorency-Nevele est issu le comte de Hornes, initiateur de l'indépendance des Pays-Bas, décapité en 1568 à Bruxelles avec le Lamoral (comte d'Egmont). Fiefs :
Armes:
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N
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
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Nassau (Brabant)
Un des premiers maisons nobles des Pays-Bas et l'une des maisons princières de l'Allemagne. Le centre des possessions Nassau aux Pays-Bas étaient autour de Bréda. La première de cette ligne de s'établir aux Pays-Bas était Jean Ier de Nassau-Dillenbourg qui a épousé Marguerite de La Marck (†1409), (fille de Adolphe comte de La Marck), (Maison de Clèves). Le véritable fondateur de la fortune de l'Nassau aux Pays-Bas était son fils, Englebert Ier de Nassau-Dillenbourg. Il est devenu conseiller à la bourguignonne ducs de Brabant, d'abord à Anton de Bourgogne, et plus tard de son fils Jan IV de Brabant. Il servirait plus tard Philippe le Bon. Il a épousé en 1403 le Néerlandais noble Johanna van Polanen et ainsi hérité des terres aux Pays-Bas, avec la baronnie de Breda comme le noyau des possessions néerlandaises et la fortune de la.
À suivre avec la Maison d'Orange-Nassau, stathouder de Hollande et de Zélande etc., captain-general des armies de Provinces-Unies, et souveraine des Pays-Bas jusqu'à ce jour avec le roi Willem-Alexander des Pays-Bas. Aussi une roi d'Angleterre, Écosse, et Irland, Guillaume III.
Souverains : Fiefs :
Membres célèbres:
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O
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
P
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
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de Pardieu (Comté d'Artois)
La famille de Pardieu est une ancienne famille de la noblesse française originaire d'Avremesnil en pays de Caux, en Normandie. Fiefs :
Membres :
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Perrenot de Granvelle (Franche-Comté/comté de Bourgogne)
La famille Perrenot est issue du milieu rural du XVe siècle de la vallée de la Loue en Franche-Comté. Elle achète son affranchissement et s’installe à Ornans en tant qu’artisans. Nicolas Perrenot de Granvelle est le fils de Pierre Perrenot, notaire d'Ornans, et d'Etiennette Philibert, issue de la noblesse locale. Son père l'envoie à l’université de Dole (alors capitale du comté de Bourgogne) pour suivre des études d'avocat. Nicolas Perrenot de Granvelle (1486-1550) fut au XVIe siècle garde des Sceaux[Lequel ?], premier conseiller et homme de confiance franc-comtois de l'empereur Charles Quint, suzerain de la ville impériale de Besançon et comte de Bourgogne. Il est le père du cardinal et homme politique Antoine Perrenot de Granvelle et le bâtisseur du Palais Granvelle à Besançon.
Membres :
Armes :
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de Praet (Comté de Flandre)
Membres :
Armes :
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R
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
S
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
Schetz (Duché de Brabant)
Fiefs :
Membres :
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T
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
Trazegnies (Hainaut)
Beaucoup de grandes maisons féodales d'ancienne chevalerie telles les Ligne, les Arenberg, les Lannoy, les Croÿ, les Lalaing, sont originaires du Hainaut en Belgique.
Membres :
Armes : Bandé d'azur et d'or à l'ombre d'un lion brochant sur le tout, à la bordure engrêlée de gueules
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V
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Vergy (comté de Bourgogne)
La Maison de Vergy est une des plus anciennes maisons nobles françaises, connue depuis le IXe siècle. Certains historiens la font remonter jusqu'au VIIe)[35]. La origine est Vergy près de Beaune, en Bourgogne. Avec les autres possessions bourguignonnes, Vergy sera intégré au domaine royal en 1477, à la mort de Charles le Téméraire. Le château est aussitôt cédé à Guillaume IV de Vergy-Autrey par Louis XI. En 1609, à la suite de la participation du duc de Mayenne, gouverneur de la Bourgogne, à la Ligue de 1589, Henri IV fait entièrement raser le château[36].
Armes :
Membres :
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W
modifierFigure | Nom de la maison et blasonnement |
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Van Wassenaer (Comté de Hollande)
Selon la légende de famille, le nom ne peut être prise à partir du croissant de lune (wassende) sur les armoiries de la famille, emprunté à une bannière arabe qu'un membre de la famille van Wassenaer obtenu lors d'une croisade. Les terres de la Chambre des Wassenaer comprennent, entre autres, la ville de Wassenaar et le Kasteel Duivenvoorde près Voorschoten. Selon certaines archives de la famille, de Wassenaar signifie Wasser Herren, Mer Lords / Kings, qui est un titre immémoriaux traditionnelle que les Romains envahissent (sous Caligula) reconnus alors qu'ils étaient destitution de la famille de leur position aussi immémoriaux des Rois de Batavia (poste repris 400 ans plus tard, pendant quatre siècles, etc) le croissant a été nommé "Wassenaar" après le nom de famille, et semble correspondre à l'époque des croisades sud tandis que d'autres frères ont pris les armes des Croisades du Nord à la mer Baltique (Anker la croix de Hermann adoptées par les Paets / Paats). La famille van Wassenaar départ est également apparu sous le nom Duivenvoorde, après le château que la famille possédait pendant une grande partie de la fin du Moyen Âge. Le premier ancêtre est un Philippe de Wassenaer, qui a vécu au début du XIIIe siècle, et les terres appartenant à Wassenaar. Fiefs :
Membres :
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- Arnaud Bunel :
Notes et références
modifier- Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
- Henri d'Hulst, Le Mariage de Philippe le Beau avec Jeanne de Castille à Lierre le 20 octobre 1496, Anvers, Impr. générales Lloyd Anversois, 1958, 83 p.
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- Ottfried Neubecker, Roger Harmingues, Le Grand livre de l'héraldique, Bordas, (réimpr. 1982), 288 p. (ISBN 2-04-012582-5)
- Image des armoiries de la reine Jeanne Ire et le roi Philippe Ier de Castille dans San Hipolito el Real, Tamara de Campos, Palencia (Espagne) www.sanhipolitoelreal.enlaze.es, mis en ligne le 11-09-2008,(es) [lire en ligne]
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- (en) Johannes Baptist Rietstap, Armorial général, contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe: précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, (lire en ligne), p. 376 :
« Gironné d'or et d'azur »
- Johannes B. Rietstap, « Armorial de JB Rietstap », sur Euraldic Heralogic et ses Compléments sur www.euraldic.com, Euraldic, (consulté le ) : « Avant l'adoption du lion rampant qui paraît sur le sceau de Philippe d'Alsace en 1170 les anciennes armes des Comtes de Flandre auraient été suivant divers auteurs un gironné (L'origine de cet écu a été diversement interprétée le plus grand nombre voulant que le Comte de Flandre comme avoué de Saint-Bertin ait adopté les armoiries de cette abbaye Interprétation qui demeure sujette à caution car il est constant que les maisons religieuses ont fait usage de l'écu de leur fondateur ou de celui de l'un de leurs bienfaiteurs) (Ce même gironné (d'or et d'azur) apparaît sur l'écu de la collégiale Saint-Pierre de Lille fondée en 1066 et sur celui de Notre-Dame de Bourbourg fondée en 1102 ces deux églises ajoutant sur le tout un écusson de gueules Mais à cette époque il n'y avait pas encore d'armoiries comtales et l'adoption de cet écu ne dut être que tardive quand s'était déjà accrédité le prétendu gironné des Comtes de Flandre) (En réalité l'écu de Saint-Bertin qui n'apparaît qu'en 1384 n'a jamais été un gironné mais bien une escarboucle et c'est ce meuble que nous trouvons sur le plus ancien monument héraldique flamand la pierre tombale de Guillaume de Normandie surnommé Cliton comte de Flandre (1127-1128) placée dans l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer Le comte y tient une épée et un bouclier allongé orné d'une escarboucle de huit pièces Il est inadmissible que l'on ait confondu ce meuble avec le gironné et ce qui confirme que l'escarboucle est bien le premier emblème des Comtes de Flandre c'est l'existence d'un petit denier classé à Saint-Omer par Dewismes (Monnaies du Comté d'Artois p 136 n° 69) où le comte tient un bouclier de profil dont on ne peut distinguer l'emblème le graveur pour parer à cette lacune a reporté celui-ci dans le champ de la pièce devant le bouclier c'est une petite escarboucle. »
- « Coat of arms of Flanders », sur en.Wikipedia.org, Wikipedia (consulté le )
- (en) Ernest Warlop, Oude Vlaenderen en de zwarte leeuw op gouden veld, vol. 28, Miscellanea archivistica, , 5-52 p.
- (en) Lieve Viaene et Ernest Warlop, Gemeentewapens in België: Vlaanderen en Brussel, vol. 1, Brussel, , 67-69 p.
- >(en) Hubert de Vries, Wapens van de Nederlanden: De historische ontwikkeling van de heraldische symbolen van Nederlanden, België, hun provincies en Luxemburg, Amsterdam, , 64-65 p.
- Héraldique Européenne : Hainaut
- Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne.
- Voir : Seigneurie de Schleiden (de)
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- Jules et Léon Gauthier, Armorial de Franche-Comté, Paris, .
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- http://agfh59.free.fr/nouveau_jean_de_haynin.htm
- Jean-François Houtart, Anciennes Familles de Belgique, (Recueil de l’Office généalogique et héraldique de Belgique, n° LXI).
- http://books.google.be/books?id=ODcFAAAAIAAJ&pg=PA359&lpg=PA359&dq=arenberg+ligne&source=web&ots=b3hfJEDK_q&sig=COT_WCFPTrGBw_0yS2dfkQ-l-8I&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=6&ct=result
- « roglo.eu », Jacques III de Luxembourg (consulté le )
- (en) Jean-Charles-Joseph De Vegiano (seigneur d'Hovel), Le nouveau vrai supplémént aux deux volumes du Nobiliaire des Pays-Bas et de Bourgogne ou Mélanges de généalogie et de chronologie, avec le blason des armoiries de J.-F. de Ghislain, (lire en ligne), p. 41
- Armorial Wijnbergen
- Armorial du Héraut Vermandois
- Source : www.heraldique-europeenne.org
- Johannes Baptist Rietstap, Armorial général, contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe: précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , p. 746
- (en) Herbert H. Rowen, The princes of Orange: the stadholders in the Dutch Republic, Baltimore, Cambridge University Press, , 2e éd. (ISBN 978-0-8063-4811-7, LCCN 65021472), p. 29 :
« He used these arms until 1582 when he purchased the marquisate of Veere and Vlissingen. It had been the property of Philip II since 1567, but had fallen into arrears to the province. In 1580 the Court of Holland ordered it sold. William bought it as it gave him two more votes in the States of Zeeland. He owned the government of the two towns, and so could appoint their magistrates. He already had one as First Noble for Philip William, who had inherited Maartensdijk. This made William the predominant member of the States of Zeeland. It was a smaller version of the countship of Zeeland (& Holland) promised to William, and was a potent political base for his descendants. William then added the shield of Veere and Buren to his arms. »
- Extraits des archives de Malte, page 8, de Jules François Charles Marie Ghislain Huyttens
- Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines… de Louis-Eugène de la Gorgue-Rosny, page 1112.
- Histoire du château et des seigneurs d'Esquelbecq en Flandre, page 67, de Alphonse Bergerot
- « Vergy », dans :Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), Dictionnaire universel d'histoire et de géographie, Paris, 1878, 25e édition (Wikisource)
- L'association L'Abbaye de Saint-Vivant (consulté le 1er XII 2006)
- « briantimms.net », L'Armorial Wijnbergen (consulté le )
Liens internes/ Articles connexes
modifier- Liste de maisons (généalogie) europeanne
- Lion de Republic des Provinces Unies des Pays-Bas
- Lignages de Bruxelles
- Liste chronologique de familles belges
- Liste de devises de familles belges