Villers-sur-Mer
Villers-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie.
Villers-sur-Mer | |
L'avenue de la République, la digue et le front de mer. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | CC Cœur Côte Fleurie |
Maire Mandat |
Chhun-Na Lenglart 2024-2026 |
Code postal | 14640 |
Code commune | 14754 |
Démographie | |
Gentilé | Villersois |
Population municipale |
2 469 hab. (2021 ) |
Densité | 275 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 19′ 14″ nord, 0° 00′ 23″ ouest |
Altitude | Min. 3 m Max. 136 m |
Superficie | 8,99 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Dives-sur-Mer (banlieue) |
Aire d'attraction | Trouville-sur-Mer (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-l'Évêque |
Législatives | 4e circonscription du Calvados |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.villers-sur-mer.fr/ |
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Bordée par la Manche, c'est une commune balnéaire et touristique.
Géographie
modifierSituation
modifierLa commune est située sur le littoral de la Manche, sur la Côte Fleurie, entre Deauville et Houlgate, à environ 45 km de Caen, 70 km du Havre, 100 km de Rouen, 200 km de Paris.
Villers-sur-Mer est également la commune française la plus septentrionale traversée par le méridien de Greenwich. Rénové en 2016, ce dernier est matérialisé par une ligne bleue sur le parapet de la digue centrale juste après le casino et par un marquage au sol lumineux[1]. Cette ligne fictive est néanmoins décalée de 102,478 m vers l'ouest par rapport au méridien[2].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Blonville-sur-Mer, Saint-Pierre-Azif, Saint-Vaast-en-Auge, Gonneville-sur-Mer et Auberville.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 8,99 km2 ; son altitude varie de 3 à 136 mètres[4].
La commune est située dans la vallée de la Touques, large dépression qui entaille le plateau du Pays d'Auge et qui résulte de mouvements tectoniques sous la forme de horst et graben dont l'origine et le contrôle structural sont induits par le jeu de la faille de Villers[Note 1]. Cette vallée est une plaine alluviale encadrée d'escarpements plus ou moins vigoureux qui tranchent le bord de deux plateaux crayeux recouverts d'argile à silex sur lesquels se développent des hêtraies-chênaies (plateau à l'ouest sur lequel on peut apercevoir le clocher de Beaumont-en-Auge, plateau de Saint-Gatien à l'est avec le Mont Saint-Léger). Au quaternaire, la Touques faisait un coude vers l'ouest et contournait le mont Canisy pour se jeter à la mer au niveau du marais de Villers-Blonville[5].
Hydrographie
modifierVillers-sur-Mer est bordée au nord-ouest par la Manche.
Elle est drainée par plusieurs ruisseaux qui confluent dans le Ruisseau de Saint-Vaast qui se jette dans la mer après être passé dans la zone humide des Marais de Villers.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deauville à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Villers-sur-Mer est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), zones urbanisées (31,3 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 9 451, alors qu'il était de 9 695 en 2015 et de 9 647 en 2010[I 6].
Parmi ces logements, 15,8 % étaient des résidences principales, 83 % des résidences secondaires et 1,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 21,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 78,5 % des appartements[I 7].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-sur-Mer en 2020 en comparaison avec celle du Calvados et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (83 %, très) supérieure à celle du département (17,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %), caractéristique d'une commune très touristique. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,2 % en 2015), contre 57,2 % pour le Calvados et 57,5 pour la France entière[I 8].
Typologie | Villers-sur-Mer[I 6] | Calvados[I 9] | France entière[I 10] |
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Résidences principales (en %) | 15,8 | 75,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 83 | 17,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 1,2 | 6,8 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa gare de Villers-sur-Mer, établie sur la ligne de Mézidon à Trouville - Deauville, est une halte ferroviaire rénovée en 2011 desservie par les trains TER Normandie qui effectuent des missions entre les gares de Trouville - Deauville et Dives - Cabourg.
Risques naturels et technologiques
modifierLa commune est susceptible d'être concernée par le retrait du trait de côte. Toutefois, le conseil municipal a voté à l'unanimité en février 2022 contre l'inclusion de Villers-sur-Mer dans la liste des communes du Calvados concernées par les servitudes prévues par la la loi dite climat et résilience, qui limiteraient les possibilités de construire dans les zones exposées à ce risque d'érosion d'ici 30 à cent ans[15],[16].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Villaris en 1282[17],[18].
L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ».
Le locatif sur-Mer est présent dès 1801[4], mais absent sur la carte de Cassini (1758)[19].
Le gentilé est Villersois.
Histoire
modifierAntiquité
modifierL’occupation humaine du site de Villers est attestée par les archéologues depuis le premier siècle avant Jesus Christ puisque lors de la construction de nombreuses villas, au XIXe siècle, il a été trouvé des poteries datant de cette époque.
Ces poteries démontrent l’existence sur le site de Villers, au bord du Marais et en contrebas des collines, d’une « industrie ayant en partie pour base l’argile » en rapport avec « l’extraction de sel marin » qui s’est perpétuée jusqu’au XIXe siècle : la méthode consistant à laver les sables salés puis à porter à ébullition les eaux de lavage pour en extraire le sel après séchage.
Le nom du lieu-dit « les Salines » en témoigne[20].
L’occupation a perduré à l’époque romaine : il existait d’ailleurs une voie romaine succédant à une voie gauloise (lieu-dit la « Vé Maine) dans le même quartier où ont été trouvées les poteries gauloises[21].
À la suite du recul du trait de côte dû à l’érosion marine, le bourg gallo-romain a disparu sous la plage[22].
Temps modernes
modifierLa carte de Cassini, datant du XVIIIe siècle, fait apparaître une église, deux fermes (la Motte et la Fontaine) et le château[19].
Époque contemporaine
modifierIl semble que Villers-sur-Mer (alors appelée Villers) présentait plutôt l'aspect, au début du XIXe siècle, d'une agglomération de hameaux[23]. On pouvait ainsi constater sur le cadastre le château avec son manoir et, parsemées, diverses fermes.
La station balnéaire de Villers-sur-Mer aurait été créée en 1856 après celles de Trouville-sur-Mer (1825), Beuzeval (1849-1850), Cabourg (1853), Houlgate (1854), Deauville n'ayant été créée qu'en 1859. L'endroit aurait été apprécié dans les années 1840 par certains artistes (Paul Huet, Constant Troyon, Alphonse Karr).
La station est fondée par Félix Pigeory, architecte à Paris, créateur et rédacteur de la Revue des Beaux-Arts, et par Pierre-Michel-François Chevalier dit « Pitre-Chevalier », succédant à la direction du journal Le Figaro à Alphonse Karr, qui l'aurait donc initié aux charmes de Villers-sur-Mer.
La station se serait d'abord développée vers le secteur des Falaises des Vaches Noires, qui offre à la fois les avantages de la mer et de la campagne (Villers à l'est était marquée par des terrains marécageux). À la fin des années 1850, la station possédait une cinquantaine de constructions et un casino (d'abord en bois sur pilotis puis en dur face à la mer).
Entre 1870 et 1900, la station se développe, sans doute grâce à la mise en service d'une première partie de la ligne de chemin de fer en 1882, avec l'installation d'un second casino, la construction de nombreuses villas dans le quartier historique des falaises puis vers les terrains marécageux de l'est qui se développeront principalement autour de 1900. En 1883, la station comporte plus de 190 constructions, l'hôtel de ville étant érigé en 1887. Villers-sur-Mer est alors une station familiale réputée. Le Villers-sur-Mer des Villersois se développe également dans le centre-ville et dans les rues plus marginales à l'époque (rues Fanneau, Sandret, Forin).
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La plage en 1907.
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Les planches vers 1910.
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La place en 1907 avec jeux d'enfants.
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La plage et le casino.
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Les villas de la plage.
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La gare.
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Premières automobiles vers 1910.
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L'ancienne église.
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Sortie de messe, vers 1910.
Dans l'entre-deux-guerres, Villers-sur-Mer se développe toujours vers l'est. Dans les années 1930, la station fera l'objet d'un plan d'embellissement alors obligatoire pour les stations balnéaires, avec notamment la construction d'une nouvelle digue en 1934 et d'un nouveau quartier (rue du Docteur-Sicard entre le rond-point des Tennis et le rond-point du Plein-Air).
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Villers-sur-Mer est occupée par l'armée allemande, ainsi qu'en atteste la présence de plusieurs blockhaus sur le territoire de la commune (quartier des falaises et de l'actuel Villers 2000).
À partir de , plusieurs opérations contre des navires alliés sont menées depuis les plages de la commune par des hommes-torpilles allemands à bord de Neger, avec pour résultat la destruction d'au moins deux navires stationnés face à Omaha Beach ; le croiseur anglais devenu polonais HMS Dragon par l'aspirant Potthast le et le destroyer Isis le .
Villers-sur-Mer est libérée le par la brigade belge du général Jean-Baptiste Piron.
À partir des années 1950, les nouveaux quartiers de l'est se développent, après la récession qui suit la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début de ce que l'on appelle les « Trente Glorieuses ».
À partir des années 1970, Villers-sur-Mer accentue le développement du tourisme avec la création de Villers 2000, sa nouvelle digue (sur les anciens terrains marécageux et les anciennes dunes de sable) et la construction de nombreux lotissements (vers le quartier de la Gare et le château de San Carlo). Ce développement continue encore aujourd'hui plus en hauteur vers la route de Dives.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Lisieux du département du Calvados.
Elle faisait partie de 1831 à 1949 du canton de Dozulé, année où la commune est intégrée au canton de Trouville-sur-Mer[4]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Pont-l'Évêque
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.
Intercommunalité
modifierVillers-sur-Mer est membre de la communauté de communes Cœur Côte Fleurie, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Toutefois, fin 2022, la commune, insatisfaite de la place qu'elle tient dans cette intercommunalité ressentie comme étant essentiellement au service du développement de Deauville, fait part d'une réflexion en vue de la quitter pour rejoindre la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge[24]. Dans ce cadre, Villers-sur-Mer quitte fin 2024 la Société publique locale inDeauville, qui constitue le réseau d’information et de valorisation du territoire de onze communes centré sur Deauville, et dont Villers est le second contributeur. Selon la municipalité, cela lui permettra de valoriser de manière autonome un « slow tourisme respectueux de l’environnement, des falaises des vaches noires et du marais[25] »[26].
Administration municipale
modifierCompte tenu de la population nde la commune, son conseil municipal est composé de vingt-trois membres, dont le maire et ses adjoints[27].
Liste des maires
modifierJumelages
modifier- Boffzen (Allemagne) depuis 1977
- Wickham (Royaume-Uni) depuis 1978
- BelgiqueLeopoldsburg (Belgique) depuis 2021[38]
Équipements et services publics
modifierEspaces publics
modifierEn 2016, la commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[39].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].
En 2021, la commune comptait 2 469 habitants[Note 5], en évolution de −9,19 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Festival Sable Show : Festival de musiques actuelles, les concerts se déroulent les mardis et vendredis soir de juillet et août pendant la saison touristique[43].
- Le Salon du livre : depuis 2015, 45 auteurs normands et nationaux se retrouvent au Villare, centre associatif et culturel pour présenter leurs ouvrages
- Festival des Nouveaux Talents et invités : depuis 1991 du 16 au chaque été, concerts d'excellence de musique de chambre grâce au soutien de la municipalité[44].
- Fête de la coquille : depuis 1996, le dernier week-end du mois d'octobre est l'occasion de fêter la coquille Saint-Jacques. Autour d'un marché proposant coquilles, fruits de mer et produits artisanaux, des animations culinaires et musicales sont proposées pendant deux jours[45].
- Les Concerts du Hameau Fleuri : première édition été 2013, troisième édition en 2015. La villa du Hameau Fleuri accueille des artistes français et internationaux (Gabriel Bacquier, Bernard Pisani, Jay Gottlieb, Pascal Contet, Éric Sammut, Jean-Pierre Drouet…) et ouvre ses portes pour proposer une saison de douze concerts qui se déroulent en plein air dans les jardins de la villa mais également dans d'autres lieux de la Côte Fleurie.
- Villers Games : depuis 2015, cet événement propose de découvrir les jeux vidéo sous toutes leurs formes pendant deux jours au printemps[46].
-
Festival Sable Show 2014.
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Festival des Nouveaux Talents 2014.
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Villers Games 2017.
Sports et loisirs
modifier- Tennis : Villers-sur-Mer est dotée d'un tennis club fondé par Charles Fougères dans les années 1930 qui a vu passer de nombreux champions français, dont l'un des « Quatre Mousquetaires » : René Lacoste.
- Cyclisme : Villers-sur-Mer est ville-étape du Tour de France en 1986.
- Volley ball : premier site balnéaire normand de volley de plage. Les tournois organisés par Christian Caldaguès et Guy Robin depuis quarante ans ont accueilli les meilleurs joueurs français et le tournoi de clôture en septembre est parrainé par l'AIFVB (association des internationaux du volley-ball français).
- Cercle nautique de Villers-Blonville, situé au pied des falaises des « Vaches Noires », labellisé« école française de voile », garantissant des navigations agréables en toute sécurité, le cercle nautique est ouvert à tous. L'école de voile propose en toutes saisons diverses formules de voile ou de char à voile. La flotte est composée d'optimist, pico, topaz 12, teddy, dart 16 et de bateaux collectifs pour six personnes. L'école de char à voile est ouverte toute l'année. Possibilité de pratiquer du kayak.
- L'AS Villers Houlgate Normandie Côte Fleurie (ASVH) fait évoluer douze équipes de football, dont l'équipe A en Championnat de France de football de National 3 et deux équipes de futsal en ligue de Basse-Normandie[47]. Le club participe chaque année à la Coupe de France de football avec son équipe fanion et a atteint à deux reprises le 8e tour (2018 et 2023).
Vie associative
modifierVillers-sur-Mer accueille un nombre relativement important d'associations loi de 1901 et a ouvert pour elles, en 2010, Le Villare, espace associatif et culturel, près de l'église.
Parmi les associations particulièrement actives figure notamment l'Association paléontologique de Villers-sur-Mer[48] qui depuis 1979, offre un programme d'activités aux amateurs de fossiles et dispose de bons contacts avec les milieux scientifiques. Elle organise des excursions dans la région, des voyages d'études en France et à l'étranger et organise des conférences, dont trois par an qui sont destinées au grand public (juillet/août). Depuis 1995, elle publie une revue annuelle, L'Écho des Falaises, consacrée à des sujets relatifs à la paléontologie en Normandie (ISSN.1253-6946).
On peut également signaler l’Association des jeunes villersois (AJV), créée en 1965 et qui est assure, avec ses onze sections, de multiples activités à vocations sportive et socioculturelles[49].
Médias
modifierJournaux disparus, localisés à Villers-sur-Mer[50] :
Économie
modifierDepuis , Villers-sur-Mer bénéficie de la dénomination commune touristique[51].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Martin de style néogothique, construite entre 1872 et 1898 en pierre calcaire de Caen ou de Ranville, sur les plans de Aimar Lavalley-Duperroux, dont les 51 vitraux de Duhamel-Marette sont renommés. Son clocher culmine à 35 mètres[52],[53]. Les vitraux de Duhamel-Marette sont classés au titre objet[54], ainsi que le tableau Saint Joseph père nourricier du Christ de Benjamin-Constant[55].
- La rénovation de sa façade a lieu de 2020 à 2024[56].
- Château de Villers du XVIIe siècle en brique et pierre, avec des décors intérieurs de style Louis XV[57].
- Vestiges d'une motte féodale au sud de la ville, en bout de crête, au sommet du coteau[58].
- Nombreuses villas parmi lesquelles :
- la villa Miramar : chalet de la Commission impériale de l’exposition universelle de 1867 de Paris, il est remonté en 1870 rue Foulans. Au cours du XXe siècle, il a été agrandi et renommé à plusieurs reprises[59],[60] ;
- la villa Castellamare[61].
- Le dinosaure végétal et son petit face à la mer, sur le parterre fleuri de la place Jean-Mermoz, représente un des monuments principaux de Villers-sur-Mer[Note 8]. Devenu emblème de la ville, cette sculpture végétale rappelle les ossements de reptiles marins mésozoïques découverts dans les falaises des Vaches Noires.
- Le point de départ des falaises des Vaches Noires, gisement paléontologique de grande renommée scientifique fossiles, qui contient des invertébrés marins contenus dans les différentes couches jurassiques et crétacés (ammonites, bivalves, oursins, spongiaires…) mais également de nombreux ossements de reptiles marins mésozoïques (pliosaures, ichthyosaures, crocodiles des genres éteints Metriorhynchus et Steneosaurus et occasionnellement, des restes isolés de dinosaures théropodes)[62].
- Le Paléospace l'Odyssée, un musée ouvert en , situé dans le marais non loin de la plage, seul site de Normandie consacré à la paléontologie (via la falaise des Vaches Noires), au méridien de Greenwich et au marais littoral et qui comprend depuis 2017 un planétarium[63].
- Le marais de Blonville-Villers est une zone humide couvrant près de 150 ha dans la vallée de la Touques. Il s'agit d'un marais d'eau douce alimenté par les eaux de ruissellement de quatre bassins versants de 1 700 ha. Ce marais arrière-littoral est une roselière avant d'être aménagé au Moyen Âge en vue d'une valorisation agricole : le drainage par un réseau de 17 km de fossés et de canaux délimite des parcelles pour le maraîchage, la culture de céréales, l'embouche ou la fauche[64].
- Le Parc naturel du Marais[65].
- La plage et ses cabines de bain.
- Le Villare, espace associatif et culturel (près de l'église), qui accueille de nombreuses associations, événements et des expositions temporaires pendant toute l'année.
-
La rue Michel-d'Ornano.
-
La villa du Hameau Fleuri.
-
Le casino.
-
L'église Saint-Martin.
-
La villa Miramar.
-
La villa Castellamare.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifier- Anne Louise Boyvin d'Hardancourt Brillon de Jouy (1744-1824), musicienne et compositrice, amie de Boccherini, Fragonard et Benjamin Franklin, a résidé, depuis le Révolution française jusqu'à sa mort, à Villers-sur-Mer, où elle est enterrée au cimetière. Sa fille Cunégonde épousa Antoine Marie Paris d'Illins, et leur fils Raoul (1808-1874) fut maire de la ville.
- Félix Pigeory (1813-1873), architecte français et [historien d'art, auteur d'hôtels particuliers. Il est le principal fondateur de la station balnéaire de Villers-sur-Mer.
- Paul Ernest Dupont (1816-1891), homme d'affaires et peintre, séjourne à Villers-sur-Mer[66],[67].
- Charles-Adolphe Demachy (1818-1888), banquier, a largement contribué au développement de la commune. Père de Robert Demachy. Il a fait construire la villa San Carlo.
- Félix Godefroid (1818-1897), harpiste et compositeur belge, mort dans sa résidence de Villers-sur-Mer.
- Charles Tillot (1825-1895), peintre, a séjourné souvent à Villers-sur-Mer dont il a peint la plage et les falaises.
- Pierre Ucciani (1851-1939), peintre corse, séjourne à Villers, d'abord chez sa première épouse Hortense Bégard[68], villa « Le Murmure », puis devenu veuf chez sa fille Marie-Renée Ucciani, villa « Corsica » jusqu'à sa mort[69],[70].
- Alfred Bruneau (1857-1934), compositeur français, propriétaire d'une villa à Villers-sur-Mer baptisée Le Paradou.
- Robert Demachy (1859-1936), photographe. Il réside à la villa San Carlo où il passe chaque été durant près de cinquante ans (des années 1880 aux années 1920). Il a réalisé de très nombreuses photographies de la commune et de ses environs.
- Georges Méliès (1861-1938), réalisateur, inventeur des trucages et du spectacle cinématographique, a passé ses vacances de à Villers-sur-Mer. Il a tourné en 1896 un film intitulé Plage de Villers par gros temps.
- Eugène Bénet (1863-1942), sculpteur français à qui l'on doit Le Poilu victorieux, séjourne à Villers villa Corsica chez son élève Marie-Renée Ucciani.
- Charles Koechlin (1867-1950), compositeur français, résident à Villers-sur-Mer durant ses vacances pendant toute sa vie.
- Léon Giran-Max (1867-1927), peintre français, trésorier du Salon des artistes français[71],[72], vient peindre avec son ami Pierre Ucciani, ils séjournent à Corsica chez Marie-Renée Ucciani.
- Élisabeth Fuss-Amoré (1879-1959), artiste peintre, sociétaire du Salon des artistes français et modèle d'Amedeo Modigliani, demeura à Villers successivement au « Murmure »[73], puis à la villa « Néra »[74], et enfin à « Corsica », villa de sa cousine Marie-Renée Ucciani.
- Marthe Chenal (1881-1947), cantatrice de l'Opéra qui a chanté la Marseillaise le depuis le balcon de l'Opéra de Paris, a passé de nombreuses vacances à Villers-sur-Mer dans sa villa du Cloître[75].
- Marie-Renée Ucciani (1883-1963), artiste peintre, sculptrice et sociétaire du Salon des artistes français, rachète à son oncle la villa Néra pour faire construire dans le jardin la villa Corsica, mieux exposée au nord pour y peindre[69],[76].
- Madeleine Barjac (1883-1974), née à Villers-sur-Mer, comédienne.
- Eugène Robert Defforges (1896-1945), né à Villers-sur-Mer, amiral, résistant.
- Jean-Baptiste Piron (1896-1974), commandant des Forces belges libres, dite Brigade Piron, libératrices de Villers-sur-Mer le .
- Louis Armand (1905-1971), mort à Villers-sur-Mer), ingénieur, haut fonctionnaire, membre de l’Académie française et résistant.
- Raymond Delbeke (1911-1961), combattant et résistant 1939-45, neveu de Marie-Renée Ucciani, passe ses vacances en famille à Villers-sur-Mer.
- Jacques Isorni (1911-1995), avocat, écrivain, a séjourné dans la commune où il est enterré.
- Jacques Sternberg (1923-2006), écrivain belge qui passa ses vacances, de 1978 à 1985, à la villa Guy Vette, rue des Bains.
- Raymond Ruffin (1929-2007), écrivain, historien, chroniqueur d'origine normande, enterré dans la commune.
- Hervé Dubly (1935-2005), né à Villers-sur-Mer, peintre.
- Paul Mentré (1935-2020), conseiller municipal.
- Claude Lelouch (né en 1937), réalisateur, producteur, acteur, scénariste, y possède une résidence secondaire[77].
La digue Ouest porte depuis 2023 le nom de promenade Claude-Lelouch[78]. - Roland Urban (1939-2016) cascadeur, coureur automobile, réalisateur et producteur de cinéma, pour les festivals du cinéma, réside chez ses amis villa Corsica.
- Patrick Grainville (né en 1947 à Villers-sur-Mer), écrivain.
- François-Bernard Huyghe (1951-2022) politologue, écrivain et enseignant, et son épouse Édith (1954-2014) écrivain et journaliste, demeurent « villa Corsica » chez leur amie Nancy Bonnin Lo Méo écrivain, journaliste et enseignant[79],[80],[81],[82],[83].
Villers-sur-Mer dans les arts et la culture
modifierLa dernière scène du film Les Quatre Cents Coups de François Truffaut a été tournée en 1959 sur la plage de Villers-sur-Mer (dernier tronçon de la rue Alfred-Feine).
Le film Les Misérables (1995) de Claude Lelouch a en partie été tourné à Villers-sur-Mer.
L'action du roman Les Refuges de Jérôme Loubry se déroule en grande partie à Villers-sur-Mer.
-
Gustave Caillebotte : Villas à Villers-sur-Mer, 1880.
-
Lucien Jonas : La belle histoire, 1921.
Héraldique
modifierBlason | Taillé : au premier d'or au drakkar d'azur, la voile chargée de deux léopards d'argent passant l'un sur l'autre, au second de sinople à la coquille d'escargot d'argent, à l'étoile de huit rais taillée d'azur et d'argent brochant en chef sur la partition[84]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierBibliographie
modifier- Magdeleine Gaston-Duprez, Villers-sur-Mer et ses 9 casinos, 1988 (ISBN 978-2-905891-02-0)
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Site de la mairie.
- Site de SPACE, qui gère l’ensemble des manifestations de la ville de Villers-sur-Mer.
- Office de tourisme intercommunal InDeauville
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
- « Dossier complet : Commune de Villers-sur-Mer (14754) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Villers-sur-Mer sur le site de l'Insee
- « Villers-sur-Mer » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Le rejet de la faille de Villers atteint 55 m à Reux. Cet accident tectonique traverse l'ensemble de la région avec un trajet plus ou moins brisé selon une direction armoricaine NW-SE et représente la continuation de la faille de Cormeilles - Freneuse-sur-Risle.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le groupe scolaire de la commune porte le nom de ce maire.
- Le stade de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Pamela Barthélémy, guide nature à l'office de tourisme de Villers, explique que la commune est une station balnéaire familiale, d'où son choix d'exposer un dinosaure herbivore sympathique plutôt que des dinosaures carnivores (type T. rex), ce qui trahit le message scientifique car n'ont été retrouvées dans les falaises des Vaches Noires que des vertèbres de ces derniers. cf. [vidéo] Seb l'aquariophile, « Fête du dinosaure de Villers sur Mer », sur YouTube,
- Villa édifié par Pitre Chevalier. cf. « Pitre Chevalier aurait eu 200 ans ce 16 novembre », sur ouest-france.fr, .
- En 1998, le maire Gérard Vauclin décide d'installer, au mois de juin, le colosse de verdure. Depuis, chaque année, il est réinstallé par les services techniques pour la saison estivale. Il est constitué de 9 000 plants, sur une armature de fer remplie de 15 m3 de terreau. Pour fêter le retour de ce colosse de 7 m de haut et 12 m de long, l'office de tourisme et le Paléospace proposent une multitude d'animations autour du thème des dinosaures. cf. « Le dinosaure de verdure, emblème de la station depuis 16 ans », sur ouest-france.fr, .
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Villers-sur-Mer - Section LOG T2 » (consulté le ).
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Autres sources
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- « Recul du trait de côte : trois communes de la Côte fleurie ne veulent pas apparaitre sur la liste des communes vulnérables : Cabourg, Villers-sur-Mer et Blonville-sur-Mer ne souhaitent pas être inscrites par l’État sur la liste de huit communes du Calvados concernées par l’érosion du littoral », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Frédéric Bourgeois, « Recul du trait de côte : 3 communes du Bessin parmi les 8 plus vulnérables du Calvados : Asnelles, Ver-sur-Mer et Saint-Côme-de-Fresné font partie des huit communes littorales du Calvados les plus vulnérables au recul du trait de côte », La Renaissance - Le Bessin Côte de Nacre, (lire en ligne, consulté le ).
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- Jacques Lalubie, Randonnées et patrimoine en Pays d’Auge, t. 1, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , chapitre 10, page 138.
- Les développements qui suivent sont issus essentiellement u travail de Carmen Popescu, architecte du patrimoine, dont la note de travail a été publiée dans le numéro 91 d'avril 2005 de La lettre de Villers. Une présentation détaillée figure également sur le site internet de la commune de Villers-sur-Mer.
- « Une crise agite l'intercommunalité : Villers-sur-Mer songe à reprendre son indépendance : La communauté de communes Cœur Côte fleurie (Calvados) connaît sa première crise majeure en 20 ans d'existence : Villers-sur-Mer souhaite retrouver plus de liberté », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Madeleine Remoleur, « Fin 2024, Villers-sur-Mer va quitter la SPL inDeauville : « la transition va se faire en douceur » : Villers-sur-Mer a adopté sa sortie de la SPL inDeauville : pour reprendre en main sa compétence tourisme et marketing territorial, la Ville a prévu une transition « en douceur », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre-Marie Puaud, « Divorce sur la Côte fleurie : Villers-sur-Mer ne veut plus payer pour faire rayonner Deauville : C'est désormais officiel : Villers-sur-Mer va quitter la société InDeauville qui est en charge de promouvoir le tourisme de onze communes du secteur. La station balnéaire ne veut plus vivre dans l'ombre de sa voisine. "Nous reprenons notre souveraineté" », France 3 Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
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- Marie-Madeleine Remoleur, « Jean-Paul Durand : « Comme médecin ou à la mairie, ma mission était d’être au service des gens » : Vendredi 3 juillet 2020, lors du conseil municipal de Villers-sur-Mer (Calvados), Jean-Paul Durand laissera son siège de maire à Thierry Granturco. Rencontre », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
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- « Villers-sur-Mer : le maire Thierry Granturco annonce sa démission : Mardi 26 mars 2024, Thierry Granturco annonce démissionner de son siège de maire de Villers-sur-Mer (Calvados) », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Boris Letondeur, « Coup de théâtre sur la Côte Fleurie, Thierry Granturco démissionne de la mairie de Villers-sur-Mer : Pris dans la tourmente politique et judiciaire, Thierry Granturco annonce ce mardi 26 mars 2024 son intention de démissionner de son poste de maire de Villers-sur-Mer. L'avocat, édile depuis 2020, justifie son départ par les menaces, insultes et intimidations dont il serait victime », France 3 Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
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- Marie-Madeleine Remoleur, « Musique classique : les nouveaux talents et leurs invités débarquent à Villers-sur-Mer : Le Festival des nouveaux talents et invités sera de retour à Villers-sur-Mer pour sa 33e édition du 16 au 22 août. Rencontre avec Charlène Froëlich-Willem, directrice artistique », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Madeleine Remoleur, « Villers-sur-Mer : pour sa 28e édition, la Fête de la coquille voit les choses en grand : La 28e Fête de la coquille s'installe à Villers-sur-Mer les 28 et 29 octobre 2023. Au menu : salon de la gastronomie et du vin, chef étoilé comme parrain, animations… », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
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- « Église Saint-Martin », notice no PA14000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Marie-Madeleine Remoleur, « Villers-sur-Mer : au moins quatre ans de travaux de rénovation pour l’église Saint-Martin : Les travaux de rénovation de l’église Saint-Martin devraient démarrer en 2020. Ils permettront de rénover les façades extérieures de l'église de Villers-sur-Mer (Calvados) », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- « Verrière », notice no PM14001190, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Tableau : Saint Joseph père nourricier du Christ », notice no PM14001332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Marie-Madeleine Remoleur, « Villers-sur-Mer : la façade de l’église Saint-Martin a revêtu « un manteau de pierres neuves » : La première tranche des travaux de l’église Saint-Martin, concernant la façade de l’entrée, la tour et le clocher de l’édifice religieux, est terminée à Villers-sur-Mer (Calvados) », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- Notice no PA14000030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- Jean-Philippe Poivre, « De l'exposition universelle de 1867 à Villers-sur-Mer : la villa Miramar », Revue Le Pays d'Auge, no 4, , p. 28.
- Erwan Savin, « De Paris au bord de mer ; le chalet Haret, 150 ans d’histoire de la villégiature : Il y a tout juste 150 ans, Paris accueillait l’exposition universelle d’art et d’industrie de 1867. Organisée par Napoléon III afin de valoriser l’Empire et sa puissance industrielle, il s’agit de la 2e édition organisée à Paris après celle couronnée de succès en 1855. Cette manifestation, inaugurée le 1er avril s’est tenue sur le Champ de Mars durant sept mois, accueillant un peu plus de dix millions de visiteurs. L’occasion de faire un focus sur un pavillon emblématique de cette manifestation qui a voyagé à travers le temps et l’espace », Pierre d'angle, le magazine de l'ANABF (consulté le ).
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- Michel Rioult, Villers-sur-Mer, son site, ses falaises, sa plage, son musée, éd. Syndicat d'initiative de Villers-sur-Mers, , 31 p..
- Marie-Madeleine Remoleur, « Plus de 70 000 visiteurs en 2023 : à Villers-sur-Mer, le Paléospace toujours plus près des étoiles : Après une année 2023 exceptionnelle où le Paléospace a accueilli plus de 70 000 visiteurs, l'année 2024 s'annonce riche en rendez-vous et nouveautés », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
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- "Pays d'Auge", septembre/octobre 2012, 62e année, no 5 (ISSN 1149-3305).
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- « Léon Giran-Max, Le Nationale et Salon des Indépendants ».
- Villa « Le Murmure » de sa tante Hortense Bégard.
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- « Villers-sur-Mer. Claude Lelouch va inaugurer une promenade à son nom : Dimanche 26 mars 2023, Villers-sur-Mer inaugurera sa « Promenade Claude Lelouch ». Au programme de la journée : un expo photo, une projection ou encore un temps de rencontre », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
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- Poitou, Charentes et Vendée, Nancy Lo Méo (pseudo Ogam Bonnin), 1993, coll. Hommes et traditions populaires, 192 pages (catalogue.bpi.fr), Centre Pompidou « https://catalogue.bpi.fr/en/document/ark:/34201/nptfl0000249094?searchToken=e72476fb768a706e45159168ec62505ac9c15872 ».
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- Anjou-Maine-Touraine, signature Nancy Bonnin-Lo Méo (1996), coll. Hommes et traditions populaires (data.bnf.fr), « https://data.bnf.fr/fr/13547863/nancy_bonnin-lo_meo/ ».
- Anjou-Maine-Touraine, signature Nancy Bonnin-Lo Méo (1996), coll. Hommes et traditions populaires (catalogue.bnf.fr), « https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb370861074 ».
- « Villers-sur-Mer », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).