Wikipédia:Oracle/semaine 43 2017

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Encore une recherche

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Nantes 1889.

Bonjour, merci pour les précédentes réponses sur le sujet [1] j'ai trouvé une piste assez possible, voir ici : [2] son article sur W : Gaston Grandclément son uniforme pourrait être préfet maritime ?. La ressemblance est ténue et c'est pas sûr à 100%. Le grand collier reste intrigant, personne d'autre ne semble le porter.

Ayant une collection de photos du XIXe siècle, j'ai de multiples questions à poser, mais je me limiterai à quelques unes. Par exemple cette photo de la classe de mathématiques spéciales du Lycée Georges-Clemenceau à Nantes en 1889. Surement des gens notables, et la surprise d'y voir un élève Noir, assez peu courant pour 1889. Qui ce pourrait-être ? Difficile car peu d'indices, seul une coïncidence de quelqu'un ayant déjà rencontré le sujet pourrait m'aider. Merci à l'avance. - Siren - (discuter) 23 octobre 2017 à 17:50 (CEST)Répondre

… là, il faut contacter directement "Clem", qui a un Comité de l'Histoire du Lycée visiblement très dynamique (3 livres, conférences, visites… ). Il « recueille tout document et tout témoignage en rapport avec l’histoire du « Lycée de Nantes ». Nul doute que son président (mail en bas de page) sera heureux de voir cette photo s'il ne l'a déjà, et t'indiquera la meilleure recherche. Tiens-nous au courant. (… rigolo, c'est mon ancien bahut et j'y ai usé quelques fonds de culotte (2de - terminal)… mais je ne suis pas sur la photo.)Hautbois [canqueter] 24 octobre 2017 à 05:06 (CEST)Répondre
Merci, j'ai grand espoir de trouver quelques célébrités sur cette photo. - Siren - (discuter) 24 octobre 2017 à 17:35 (CEST)Répondre
… à cette époque sont passés Jules Verne, Aristide Briant… — Hautbois [canqueter] 24 octobre 2017 à 18:25 (CEST)Répondre

Association mondiale des peuples aspirant à l'indépendance?

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Bonjour, j'aimerais savoir s'il existe un genre d'organisation mondiale regroupant les peuples qui aspirent à avoir un pays indépendant comme l'Écosse, le Québec, la Catalogne etc... Je ne cherche pas une liste mais vraiment un réseau sous une forme ou une autre.

Merci ô Oracle! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 192.222.212.137 (discuter), le 24 octobre 2017 à 16:16.

Bonjour. Je suppose que la réponse « l’Onu » ne convient pas (?).
Pourtant, c’est l’Onu qui a, entre autres, permis le (en) référendum d’autodétermination conduisant à l’indépendance du Timor oriental, qui a pris une résolution menant à l’indépendance de la Namibie, et qui a envoyé une mission au Soudan veillant au maintien de conditions permettant le référendum sur l'indépendance du Soudan du Sud.
L’Onu ne défendra cependant pas la sécession de la Catalogne ou de l’Écosse, qui ne sont pas considérées comme faisant l’objet d’une colonisation ou d’une oppression des nations espagnole et britannique dont elles sont constitutives : le cadre dans lequel l’Onu défend le droit à l’autodétermination des peuples est celui de la Résolution 1514 ou Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et peuples coloniaux.
Une discussion intéressante à ce sujet, à partir du cas de l’annexion russe de la Crimée : [3].
Grasyop 24 octobre 2017 à 18:55 (CEST)Répondre
Organisation des nations et des peuples non représentés --Xuxl (discuter) 24 octobre 2017 à 19:25 (CEST)Répondre

Curiosité linguistique

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Bonjour !

Pourquoi dans la langue courante entend-on souvent l’expression « un Noir américain » mais jamais l’expression « un Noir français » ? Simple curiosité. Merci pour votre réponse. Bises. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 2a01:cb00:5e5:6200:4af:a9d:15b:10a5 (discuter), le 25 octobre 2017 à 11:37.

Bonjour. L’une des raisons tient certainement au choix des États-Unis de permettre à leurs citoyens, lors des recensements, d’indiquer une identification ou affiliation à une « race » (unique avant 2000 ; éventuellement multiples depuis). Parmi les choix les plus courants figure la réponse « afro-américain » (African American). La France, ne propose pas de tels choix dans ses recensements (certainement par crainte de dérives racistes), et encadre par ailleurs fortement toute forme de statistiques ethniques. Grasyop 25 octobre 2017 à 12:17 (CEST)Répondre
Voir aussi l'article (avec un trait d'union) Afro-Américains.

en français le contexte historique est différent. -- Doalex (discuter) 25 octobre 2017 à 12:35 (CEST)Répondre

On est en France, donc on dit simplement un noir, lorsque le contexte exige cette précision. « Le clown Chocolat est un artiste noir... ». Bertrouf 26 octobre 2017 à 18:18 (CEST)Répondre

Quasi-satellites

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Un quasi-satellite fait une ellipse autour du soleil. Bertrouf 26 octobre 2017 à 17:22 (CEST)Répondre

À l'occasion d'une modif de l'article (469219) 2016 HO3 (un quasi-satellite de la Terre), j'ai relu l'article Quasi-satellite et ça me rend perplexe. « Un quasi-satellite ou une quasi-lune est un astéroïde qui coorbite avec une planète autour du Soleil, sur une orbite elliptique qui lui est propre et dont l'excentricité orbitale est supérieure à celle de l'orbite de la planète, mais a la même longitude moyenne que celle de la planète » : à part l'usage du mot astéroïde, qui n'est clairement pas crucial dans la construction du mot quasi-satellite, je ne vois pas la différence avec un grand nombre de satellites et notamment la Lune. Je me rappelle en effet avoir lu dans des bouquins de géophysique ou d'astronomie que, dans un repère lié au Soleil, la Lune a un mouvement qui, non seulement ne forme pas de boucles (genre épicycloïde), mais n'a même pas de point d'inflexion (en d'autres termes, le centre de courbure de son orbite est toujours situé du côté du Soleil). Même longitude moyenne et excentricité orbitale supérieure à celle de la planète, c'est valable aussi pour tous les satellites. Et « une orbite elliptique qui lui est propre » n'a pas de sens, si l'on y réfléchit. Alors, c'est vraiment astéroïde le mot important ? — Ariel (discuter) 25 octobre 2017 à 11:51 (CEST)Répondre

Bonjour.
Je pense que dans ce cas-ci, le terme "astéroïde" fait principalement référence à la taille de l'objet, par opposition aux satellites (certains disent les lunes) qui ont un statut bien établi depuis longtemps. --Lupercus (discuter) 25 octobre 2017 à 12:30 (CEST)Répondre
Cette définition pourrait dire que les satellites naturels des planètes sont des cas particulier des quasi-satellites. J'imagine bien un truc qui tourne à la manière d'un satellite mais plus en avant ou en arrière par rapport à la planète en question. --CQui (discuter) 26 octobre 2017 à 14:01 (CEST)Répondre
Bon, il y a certainement des lunes qui tournent suffisamment vite (autour de leur planète) pour que leur orbite (par rapport au soleil) fasse des boucles ou ait au moins des points d'inflexion, donc pour lesquelles il ne viendrait pas à l'esprit de parler de quasi-satellites. « Un truc qui tourne à la manière d'un satellite mais plus en avant ou en arrière par rapport à la planète en question » : alternativement plus en avant ou plus en arrière (cf. (469219) 2016 HO3), donc rien de spécial comparé aux « vrais » satellites. Taille de l'objet : nombre de lunes consacrées sont très comparables à des astéroïdes, voire en sont d'anciens (à commencer par Phobos et Deimos). En termes d'orbites, la spécificité la plus notable de (469219) 2016 HO3 (comparé à la Lune) est que son orbite (par rapport à la Terre) bouge beaucoup d'une révolution à l'autre (mais elle est bien à peu près elliptique). — Ariel (discuter) 26 octobre 2017 à 15:08 (CEST)Répondre
Je ne suis pas certain d'avoir compris le point de blocage. La lune n'a pas une orbite elliptique autour du soleil ? Bertrouf 26 octobre 2017 à 16:33 (CEST)Répondre
Si, justement (je suppose que tu parles de la notre de lune, la Lune) : les très faibles variations de part et d'autres d'une ellipse ne vont même pas jusqu'à inclure des points d'inflexion. Du coup je ne vois pas la différence avec un quasi-satellite (le schéma ci-dessus est caricatural ; dans le cas de (469219) 2016 HO3 ce « quasi-satellite » reste à distance faible de la Terre, comparée au rayon de l'orbite autour du soleil).
Peut-être, mais la lune doit quand même son mouvement à la force gravitationnelle de la terre, (pardon, Lune et Terre) et de ce fait suit celle-ci autour du soleil. Les quasi-satellites tournent autour du soleil, et sont "influencés" par la planète qu'ils accompagnent, ils sont trop éloignés pour être dans la force gravitationnelle de leur planète. Enfin, c'est ce que je comprends en lisant l'article. Bertrouf 26 octobre 2017 à 18:26 (CEST)Répondre
 
mouvement de 2016 HO3 autour de la Terre, vu dans un référentiel centré sur le Soleil et suivant la Terre sur son orbite.
Le mot « astéroïde » est effectivement inutilement restrictif. Si on met une patate sur la bonne orbite, ce sera aussi un quasi-satellite. Après, pour satellites et quasi-satellites, prenons le cas des « compagnons » de la Terre. Les satellites comme les quasi-satellites « tournent autour de la Terre » dans un référentiel centré sur le Soleil et suivant la Terre : voir ci-contre pour 2016 HO3. Ils se distinguent en cela des troyens et des objets sur des orbites en fer à cheval. L'élément qui sépare les quasi-satellites des satellites, c'est alors a priori leur période de révolution « autour de la Terre ». D'un point de vue terrien, il faut comprendre par là le temps qu'il faut à l'objet pour revenir au même endroit dans le ciel de la Terre. Pour un satellite, ça peut valoir à peu près ce que ça veut ; par exemple, pour la Lune ça vaut 29,5 jours. Pour un quasi-satellite, à l'inverse, cette période vaut 1 an, c'est-à-dire autant que la période de révolution de la Terre et de ce QS lui-même autour du Soleil. SenseiAC (discuter) 26 octobre 2017 à 20:12 (CEST)Répondre
  Ariel Provost, Lupercus, Cqui et Bertrouf : cf. ma réponse juste au-dessus. SenseiAC (discuter) 26 octobre 2017 à 20:19 (CEST)Répondre
Ah Merci SenseiAC  , ça c'est une bonne réponse, si elle est avérée. Où trouve-t-on ce renseignement pour (469219) 2016 HO3 (dans l'article la période indiquée est celle du mouvement autour du soleil) ? Si je prends pour demi-grand axe la moyenne ½(38+100)=69 fois la distance Terre-Lune (mais cette évaluation est très approximative) je trouve pour la période de révolution autour de la Terre 573 mois lunaires (3e loi de Képler). C'est en effet tout sauf petit devant la période orbitale autour du soleil. Si mon calcul vaut quelque chose c'est même beaucoup plus grand (44 ans). — Ariel (discuter) 27 octobre 2017 à 06:09 (CEST)Répondre
  Ariel Provost : Je doute sérieusement qu'on puisse appliquer Kepler au couple Terre + quasi-satellite (QS) comme si c'était un système isolé : l'influence du Soleil est certainement largement dominante. Àma, le plus simple est de voir la chose comme suit : au périhélie du QS, le QS est entre le Soleil et la Terre ; il ne revient à cet endroit-là qu'un an après (en négligeant la précession des orbites). Pour la Lune, elle est entre le Soleil et nous à chaque nouvelle lune. Pour la définition, je demande cet après-midi confirmation à un dynamicien (et s'il a des références, tant qu'à faire). SenseiAC (discuter) 27 octobre 2017 à 15:36 (CEST)Répondre
Oui, j'en doute aussi, mais je voulais voir quel ordre de grandeur ce calcul donnait. Tiens j'ai fait un autre calcul (pour comparer la Lune et 2016 HO3), celui de la distance à laquelle l'attraction solaire (pour être précis, l'accélération d'attraction gravitationnelle du Soleil) l'emporte sur l'attraction terrestre (on la trouve sûrement quelque part, mais j'avais plus vite fait de calculer) : sauf erreur de calcul j'ai trouvé 259 500 km, c'est-à-dire nettement moins que la distance Terre-Lune ! C'est alors que je me suis rendu compte que dans un repère centré sur la Terre et d'axe Soleil-Terre ce n'était pas l'attraction solaire au niveau de la Lune qui comptait mais la différence entre l'attraction solaire au niveau de la Lune et l'attraction solaire au niveau de la Terre (parce que là elle est exactement opposée à la force centrifuge du repère tournant), exactement comme pour les marées. Là j'ai la flemme de faire le calcul mais on trouverait sans doute que dans ce repère tournant l'attraction terrestre est prédominante pour la Lune mais pas pour 2016 HO3. Tu me suis ? — Ariel (discuter) 27 octobre 2017 à 16:37 (CEST)Répondre
P.S. Ce qui me pousse à essayer de comprendre s'il y a une différence essentielle entre satellite et quasi-satellite et, dans l'affirmative, où elle se situe exactement, c'est le mouvement de 2016 HO3 relatif à la Terre (figure ci-dessus), qui semble être une belle ellipse, même si celle-ci se dandine d'une révolution solaire à l'autre. — Ariel (discuter) 27 octobre 2017 à 16:44 (CEST)Répondre
  Ariel Provost : Après une petite recherche, voici quelques références (parmi d'autres) qui peuvent être un bon point de départ pour retaper l'article. Pour commencer, voici un extrait de Wiegert, Inane et Mikkola (2000) :

« The term “quasi satellite” (QS), coined by Mikkola & Innanen (1997), refers to an object in a specific configuration of a 1 : 1 mean motion resonance, one in which the body librates around the longitude of its associated planet. QSs are an extension of the retrograde periodic orbits of the circular restricted three-body problem (en) (Jackson 1913; Szebehely 1967 ; Hénon 1969 ; Hénon & Guyot 1970). When viewed in a frame that corotates with the planet, the QS traces a path around that body over the course of one orbital period, much as a satellite would. This path is retrograde and, at low eccentricities, elliptical with a 2 : 1 major-to-minor axis ratio (Fig. 1). No bodies are currently known to be in such a configuration. »

Au niveau des articles de Mikkola et Innanen de 1997, j'ai juste trouvé ceci, sans texte accessible. Cependant, j'ai trouvé cet article de Mikkola et al. (2004) qui dit ceci :

« A QS orbit is one in which the asteroid orbits the Sun in an approximate ellipse with the same (mean) period as the planet and with nearly the same mean longitude. Such motion is stabilized by the mother planet with a mechanism resembling that of Trojan motion (Jackson 1913; Mikkola & Innanen 1997). Thus the asteroid moves around the Sun in a weakly perturbed elliptic orbit, while in the rotating coordinate system, where the planet is in a fixed position, the trajectory is a retrograde elongated orbit around the planet, thus the name ‘QS’. »

Il faut noter qu'il existe des occurrence bien plus ancienne que 1997 de l'expression « quasi-satellite » (voir ici) et de l'étude de ce type d'orbites ; Mikkola et al. (2006) en retracent l'historique depuis Jackson (1913), « the earliest publications on the subject […] (to [their] knowledge) ».
J'ajouterai pour finir le résumé de cet article de Wiegert (2006) (seul le résumé semble accessible) :

« An asteroid moving around the Sun having the same mean motion and mean longitude as a planet, but a different eccentricity, remains near the planet much like a satellite even when the distance is large enough so that it is not a bound satellite in the strictest sense (eg. even when it is well outside the planet's Hill sphere). This motion, which we term "quasi-satellite" (QS) motion, is one class of possible behaviours of small bodies in 1:1 mean-motion resonance with a planet, of which Trojan or tadpole motion is perhaps the best known class. If the QS orbit is coplanar with the planet, then the motion is stable in the secular approximation. When the orbits are inclined enough, an asteroid can be trapped into such a quasi-satellite (QS) motion for a finite period of time. The conditions under which this can occur are discussed and examples of recently-discovered QS objects in our own Solar System are examined. »

SenseiAC (discuter) 27 octobre 2017 à 17:16 (CEST)Répondre
Merci SenseiAC   pour cette recherche biblio, les citations que tu donnes sont plus éclairantes que les textes Wiki. Je vais regarder ces réfs de plus près (peut-être pas tout de suite) et je vais parallèlement tâcher de mener à bien le raisonnement dans un repère tournant (un tour par an), ça me fera une petite révision (dire que je l'ai enseigné !). — Ariel (discuter) 27 octobre 2017 à 18:25 (CEST)Répondre

Matteo Facella : auteur, illustre, inconnu ? ou les trois ?

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Bonjour. Matteo Facella. Qui est cet homme que wikipedia ne connait pas ? Une de ses citations : « Dieu crée l'homme, l'homme crée la machine, la machine detruit l'homme. » Ayant fait une recherche sommaire sur google, j'ai été redirigé vers un site qui donne des citations d'internautes. C'est juste pour ma gouverne. Merci de me répondre. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 195.24.193.106 (discuter), le 25 octobre 2017 à 13:16.

Il s’agit manifestement d’un internaute inconnu ayant écrit cette phrase sur un site prévu pour. Grasyop 25 octobre 2017 à 14:00 (CEST)Répondre
Presque. Je pense qu'il s'agit plus d'un exemple qui sert de publicité au site, d'où l'omniprésence de ce patronyme associé à la citation mais pas d'autre occurrence sur les réseaux sociaux de la personne derrière la citation. Bertrouf 26 octobre 2017 à 16:15 (CEST)Répondre

Est-il plus agréable de courir quand il fait chaud ?

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Bonjour chères Pythies. Cette question toute bête peut paraître triviale : on préfère être dehors par beau temps que quand il fait froid, non ?
Cependant dans mes souvenirs d'écoliers, je revois des situations que je trouve inexplicables.
Pendant les récréations, par grands froids, nous restions quasiment immobiles à subir, en grelottant ; alors que le simple fait de courir du genre "jouer au loup" aurait fait disparaître ces désagréments, et en jouant en plus.
Par temps chauds, c'était tout le contraire.
D'où les questions :
Q1) C'était tellement systématique que j'en arrive à me demander si ces étranges comportements contre intuitifs ne sont pas inscrits dans nos gènes ?
Q2) Par la même occasion, j'aimerais avoir des témoignages d'enseignants. Nos chères têtes blondes ont-elle le même comportement de nos jours ?
Q3) Y-a-t-il une différence entre les garçons et les filles ?
Je vous remercie pour vos cogitations.--Jojodesbatignoles (discuter) 27 octobre 2017 à 11:56 (CEST)Répondre

Bah non, quand il fait chaud, il est plus agréable de faire la sieste. Grasyop 27 octobre 2017 à 19:43 (CEST)Répondre
« Q3) » ? Mon choix est fait depuis loooooooooooooongtemps. — Hautbois [canqueter] 27 octobre 2017 à 14:26 (CEST)Répondre
J'ignore ce qu'il en est des écoliers, mais j'ai un collègue ancien coureur de marathon, reconverti au triathlon, qui préfère courir quand il fait plutôt froid et humide que quand il fait chaud, car c'est mieux au niveau de la respiration. - Cymbella (discuter chez moi) - 27 octobre 2017 à 23:24 (CEST)Répondre
Et la sieste quand il fait froid, ce n'est pas mal non plus, avec la bonne couette. Le sport quand il fait froid, soit on commence bien habillé et on a très vite trop chaud alors il faut enlever des vètements et ce n'est pas pratique, soit on commence en ayant froid et c'est dur de se convaincre à y aller. Donc même si c'est plus logique, c'est moins simple. --CQui (discuter) 28 octobre 2017 à 17:47 (CEST)Répondre
Des écoliers qui jouent au loup par les temps qui courent, mon pauvre monsieur, vous avez entendu parler des smartphones ? 109.27.167.121 (discuter) 28 octobre 2017 à 18:02 (CEST)Répondre
En Franche-Comté, je n’ai jamais eu froid l’hiver avant le collège. À l’école primaire on était bien trop occupés à jeter de la neige, faire des forts, etc, pour avoir froid. rv1729 29 octobre 2017 à 22:08 (CET)Répondre

Plus de transpiration sur le front qu'ailleurs autour du crane ?

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Bonjour les savants omniscients. En faisant du cyclisme je porte un casque comportant des tampons pour absorber la sueur ; je constate une chose étrange. Après la randonnée, les tampons frontaux sont trempés alors que les 3 autres (latéraux et arrière) sont quasiment secs. Je précise que ma coupe de cheveux exclut qu'ils interviennent : j'arbore une boule à zéro.Je vous remercie.--Jojodesbatignoles (discuter) 28 octobre 2017 à 09:35 (CEST)Répondre

La sueur est issue des glandes sudoripares, inégalement réparties sur le corps, et plus abondantes sur les zones (naturellement, voire ancestralement) non poilues. en:Sweat_gland#Distribution indique : 370 glandes par cm² sur la paume des mains ; 200 sur leur dos ; 175 sur le front ; 155 sur la poitrine, l’abdomen, les avant-bras ; 60 à 80 sur les jambes et dans le dos. Grasyop 28 octobre 2017 à 10:29 (CEST)Répondre
Pour compléter la question : sait-on si la différence entre individus tient à la morphologie (densité ou taille des glandes sudoripares ?) ou à la physiologie (et aux hormones variées qui la régulent) ? (Puisqu'on est parti dans les confidences, moi aussi j'ai un front prolifique alors que mes aisselles restent sèches ; pour d'autres c'est bien évidemment le contraire.)Ariel (discuter) 28 octobre 2017 à 10:32 (CEST)Répondre

Samuel Kress

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Bonsoir tout le monde ! En 1984, (c'est loin !), mon premier patron le marchand François Heim, le vendeur du Verrou de Fragonard, m'avait dit que Samuel Henry Kress avait fait des dons de sa collection aux musées des villes où il y avait des succursales de ses magasins. Auriez-vous des informations pour sourcer cela ? Merci. Philippe Nusbaumer (discuter) 28 octobre 2017 à 17:45 (CEST)Répondre

Bonsoir. L’article en anglais donne une liste des villes où on trouve des donations Kress, mais ce ne sont pas des petits bleds comme on le laisse entendre ailleurs (ou c’est moi, tout étant relatif ?). 28 octobre 2017 à 19:10 (CEST)
  NODES
Association 2
INTERN 2
Note 1