Zorro

personnage de fiction créé en 1919 par Johnston McCulley

Zorro (surnom qui signifie « renard » en espagnol) est un personnage de fiction créé en 1919 par Johnston McCulley (1883-1958) : c'est l'alter ego d'un riche hidalgo (issu de la petite noblesse espagnole), qui cache son identité à l'aide d'un masque noir et d'un costume noir pour combattre l'injustice en Haute-Californie, région de la colonie espagnole de la Nouvelle-Espagne, à l'époque où Monterey en était la capitale, au début du XIXe siècle. Son costume entièrement noir comprend une cape, un chapeau plat (sombrero cordobés), et un loup qui masque la partie supérieure de son visage.

Zorro
Affiche du film Le Signe de Zorro (1920).
Affiche du film Le Signe de Zorro (1920).

Alias Don Diego de la Vega (véritable identité)
Origine Californien
Sexe Masculin
Caractéristique Excellent escrimeur et cavalier
Famille Don Alejandro de la Vega (père)
Entourage Bernardo (serviteur)
Ennemi de Les soldats californiens et les bandits

Créé par Johnston McCulley
Interprété par Douglas Fairbanks
Tyrone Power
Guy Williams (série télévisée)
Frank Langella
Alain Delon
Duncan Regehr (série télévisée)
Anthony Hopkins
Antonio Banderas
Jean Dujardin (série Paramount +)
Miguel Bernardeau (série Prime Video)
Première apparition Le Fléau de Capistrano (1919)

Ce personnage a inspiré des romans, des bandes dessinées, des films, des séries télévisées, des dessins animés, des jeux et d'autres héros masqués tels que Batman chez DC Comics (du propre aveu du dessinateur Bob Kane[1]) ou El Aguila chez Marvel Comics.

Genèse

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Première édition du roman-feuilleton Le Fléau de Capistrano dans la gazette illustrée All-Story Weekly (1919).

Le , est publiée dans la gazette illustrée américaine All-Story Weekly une histoire sous forme de feuilleton, intitulée Le Fléau de Capistrano (The Curse of Capistrano) écrite par Johnston McCulley. Le personnage de Zorro y apparaît pour la première fois, sous le surnom de Señor Zorro, et sous le nom véritable de Don Diego Vega, un riche noble de 24 ans du village de Reina de Los Angeles.

Très vite, l'histoire sera publiée sous forme de roman en 1924 sous le titre de Le Signe de Capistrano, puis sera republiée sous le nouveau titre de Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro). C'est un très grand succès qui est très vite adapté au cinéma dès 1920 avec Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro) dans lequel Douglas Fairbanks, la grande star de l’époque, tient le rôle-titre. Le film connaît un tel succès qu'en réponse à la demande publique alimentée par le film, Johnston McCulley écrira plus de soixante aventures supplémentaires de Zorro dès 1922. La dernière, The Mask of Zorro, a été publiée un an après la mort de l’auteur, en 1959. Si Le Fléau de Capistrano, la toute première aventure de Zorro, révélait l'identité du justicier masqué à la fin, les aventures suivantes qu'écrira l'auteur garderont, quant à elles, son identité toujours secrète.

Pour inventer Zorro, l'auteur se serait inspiré de plusieurs personnages :

  • le Mouron rouge, personnage de justicier anglais sous la Révolution française, créé par la baronne Emma Orczy en 1903 ;
  • Joaquin Murietta (1829–1853), un homme semi-légendaire de Californie qui luttait contre les abus et vols perpétrés par les Anglo-Américains sur les mineurs d'origine latino-américaine pendant la ruée vers l'or, et dont la vie avait fait l'objet d'un roman en 1854 écrit par John Rollin Ridge (1827–1867) ;
  • William Lamport (1611–1659), un contrebandier irlandais[2] ;
  • Guillén Lombardo, personnage qui marque ses victimes d'un « Z » dans le roman Memorias de un impostor de Vicente Riva Palacio ;
  • Martín Garatuza (en), personnage historique né en 1601, surnommé el Zorro dans le roman fictionnel Martín Garatuza : Memorias de la Inquisición de Vicente Riva Palacio.

Johnston McCulley meurt en 1958, au moment où la toute première série télévisée tournée avec Zorro (Zorro), produite par Walt Disney, avec Guy Williams dans le rôle-titre, commençait à susciter un fort engouement[3]. Les magasins reçoivent de nombreux articles à l'effigie de Zorro avec des capes, des masques et même une épée avec une craie sur la pointe[3]. La presse et la télévision sont elles aussi prises par la folie Zorro au point que tout sujet était bon, du refus de Guy Williams de parader à cheval dans l'Oregon au vaccin en forme de « Z » d'un pédiatre californien (évoqué par le magazine Life), en passant par le premier baiser du héros titré « Rouge à lèvres pour marquer Zorro » (dans le Philadelphia Inquirer)[3].

Histoire

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Douglas Fairbanks dans Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro, 1920), revêtu de sa tenue noire emblématique, avec chapeau, loup et cape.

En Californie, au XIXe siècle, Don Diego de la Vega lutte contre ceux qui maltraitent les faibles : les bandits et l'administration militaire. Il est aidé dans sa tâche par son fidèle serviteur Bernardo.

Portée politique

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Le personnage de Zorro s'inscrit dans la propagande anti-mexicaine (en) des États-Unis, qui s'est notamment développée à partir des prémices de la guerre américano-mexicaine. Il dénigre la société et les dirigeants mexicains, en transposant l'archétype du héros chevaleresque dans une incarnation d'un justicier, héritier de la noblesse espagnole, protégeant les paysans indigènes mexicains de Californie (présentés comme impuissants, incapables de se révolter) contre les abus de despotiques Mexicains, principaux rivaux économiques des États-Unis, à l'époque où ceux-ci s'apprêtaient à prendre leur indépendance de l'Empire espagnol (dans les romans originels) ou venaient de la prendre (dans diverses adaptations postérieures).

Rivalité américano-mexicaine

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La présentation négative des dirigeants mexicains, dépeints comme une caste d'antagonistes malfaisants, particulièrement despotiques envers les paysans indigènes, dépourvus des valeurs morales chevaleresques associées à la noblesse espagnole à travers le personnage de Zorro, permet aux États-Unis de légitimer (a posteriori) leur invasion du Mexique, et en particulier leur annexion de la Californie (en), lors de la guerre américano-mexicaine[4] ainsi que leur ingérence à plus long terme chez cet ancien rival pour le contrôle du commerce en Amérique[5].

Romantisme colonial ambigu

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Le personnage de Zorro, riche noble espagnol défenseur des pauvres paysans indigènes maltraités par les Mexicains, s’inscrit dans le cadre plus large du mouvement artistique et architectural du renouveau colonial espagnol (« Spanish Colonial Revival »), qui valorisait l’héritage espagnol de la Californie, tout en dénigrant la période ayant suivi l'indépendance mexicaine et précédé l'invasion américaine (1821-1848), en la présentant comme une période de décadence et de désordre[6].

Œuvres sur Zorro

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Romans parus en France

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Johnston McCulley a écrit une soixantaine d'aventures de Zorro. À la suite de la diffusion à la télévision française de la série Zorro produite par les studios Disney en 1957, quelques-unes ont été traduites en français sous le titre d'auteur de Walt Disney :

Éditions Hachette

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  • 1959 : Zorro (réédité en 1972)
  • 1971 : Zorro arrive !
  • 1972 : Le Retour de Zorro
  • 1973 : Zorro et le Sergent Garcia
  • 1973 : Zorro et le Trésor du Pérou
  • 1974 : Zorro contre le gouverneur
  • 1975 : L'Épée de Zorro
  • 1980 : Zorro (réédition en 1985)
  • 1980 : Zorro arrive ! (réédition en 1985)
  • 1986 : Le Retour de Zorro
  • 1986 : Zorro et le Sergent Garcia
  • 1986 : Zorro contre le gouverneur
  • 1987 : L'Épée de Zorro (Seul Zorro et le trésor du Pérou n'est pas réédité dans la bibliothèque rose)
  • 1991 : Zorro et l'Épée du cid (ISBN 9782010182556) (Ce volume démarre les adaptations de la série avec Duncan Regehr alors que les précédents adaptaient la série de Disney avec Guy Williams)
  • 1991 : Zorro et la Forteresse du diable (ISBN 9782010182549)
  • 1991 : Mauvais Quart d'heure pour Zorro (ISBN 978-2010182570)
  • 1986 : Zorro contre-attaque (Ce titre et les deux suivants sont des traductions des romans de Johnston McCulley)
  • 1986 : Zorro et les Pirates
  • 1986 : Le Signe de Zorro

Adaptation de la série télévisée par Katherine Quénot

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  • Le retour du héros, 2015, 91 p. (Zorro, les chroniques ; 1)
  • La mine secrète, 2016, 93 p. (Zorro, les chroniques ; 2)
  • Un cœur à prendre, 2016, 90 p. (Zorro, les chroniques ; 3)
  • Pris au piège, 2016, 92 p. (Zorro, les chroniques ; 4)
  • Le nouveau voisin, 2016, 92 p. (Zorro, les chroniques ; 5)
  • Mission sauvetage, 2017, 92 p. (Zorro, les chroniques ; 6)
  • Zorro et son double, 2017, 93 p. (Zorro, les chroniques ; 7)

Collection Folio Junior, éditions Gallimard

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Sous le titre d'auteur Johnston McCulley :

D'autres auteurs ont repris le personnage, notamment :

Films qui ont été renommés films Zorro

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Courts-métrages

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  • 2013 : Les larmes de Don Diego (Zorro Begins) de Didier de Kall.

Un fan-film français mêlant l'univers de Zorro à celui du manga Saint Seiya. Ce fan-film se veut être le prequel de la série de Walt Disney avec Guy Williams. On découvre ainsi comment Don Diego est devenu Zorro et pourquoi il a choisi le symbole du Renard. Le court-métrage s'est vu félicité par John Gertz, le président de la Zorro Productions Inc. [réf. nécessaire]

Séries télévisées

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Dessins animés

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Bandes dessinées

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Le personnage de Zorro a été adapté en bande dessinée en France dès 1939 dans Jumbo. Ses animateurs les plus connus furent André Oulié (1947-1967), Eu. Gire (1949), dans des périodiques pour enfants et des petits formats. De 1974 à 1986, Le Journal de Mickey publia des histoires inédites dues pour la plupart à Robert Rigot puis Carlos Marcello (dessin) et Jean-Marie Nadaud (scénario).

Le personnage a été utilisé en Italie à partir de 1940. Des planches de Pier Lorenzo De Vita et Giuliano Giovetti furent publiées dans Le Journal de Mickey à partir de 1965 (numéro 667). De 1964 à 1967 Hans Kresse (dessin) et Joop Termos (scénario) proposèrent des histoires inédites aux lecteurs de l'hebdomadaire jeunesse néerlandais Pep.

Aux États-Unis, des histoires de Zorro apparaissent dans Four Color à partir de 1949. De 1958 à 1961, de nombreuses histoires adaptées de la série télévisée de 1957-1961 furent publiées, certaines dessinées par Alex Toth et Warren Tufts. Plusieurs de ces histoires furent reprises dans Le Journal de Mickey entre 1958 et 1978. De nombreux comic books éphémères ont été créés dans les années 1990 et 2000. Un comic strip a existé au tournant des années 2000.

Théâtre

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  • 1998 : Zorro, la légende, de Jean-Marc Michelangeli et Frédéric Muhl, mise en scène Frédéric Muhl, musique Barrio-Chino (Compagnie Carboni & Spirituosi).
  • 2008 : Zorro, comédie musicale de Stephen Clark, mise en scène Christopher Renshaw, musique Gipsy Kings, Garrick Theatre, Londres.
  • 2009 : Zorro, le musical, de Stephen Clark, adaptation de Éric Taraud, mise en scène Christopher Renshaw, musique Gipsy Kings, Folies Bergère, Paris.

Musique et chansons

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En 1964, Henri Salvador sort Zorro est arrivé, chanson parodique sur la face B d'un disque 45 tours du label Rigolo[8]. La chanson est une reprise de Along Came Jones du groupe américain The Coasters, adaptée et écrite par Bernard Michel. Salvador n'aimait pas la chanson, mais celle-ci fut un grand succès populaire dans les années 1960[9].

 
« Un Z qui veut dire Zorro ! »

Un an plus tard, la série télévisée Zorro avec Guy Williams dans le rôle principal est diffusée à la télévision française en . Son générique[10], chanté par Claude Germain (mari d'Anne Germain), son frère José Germain et Vincent Munro, devient culte avec ses paroles : « Un cavalier qui surgit hors de la nuit / Court vers l'aventure au galop ! / Son nom il le signe à la pointe de l'épée / D'un Z qui veut dire Zorro ! » La chanson ressort sur un disque 45 tours en 1985, chantée cette fois par Jean Stout[11],[12],[13].

La même année que la reprise de Jean Stout, Disney lance deux titres chantés par Douchka Esposito : Zorro… Je chante parce que je t'aime et La chanson de Zorro. Les deux chansons sont classées au Top 50, la première à la 49e place et la seconde à la 16e place[14],[15].

En 1975 sort le film franco-italien Zorro avec Alain Delon dans le rôle du justicier. Le thème du film, Zorro is back est écrit par Guido et Maurizio de Angelis (sous le nom d'Oliver Onions) et sort sur un 45-tours la même année[16].

En 1998 sort le film américain Le Masque de Zorro avec Antonio Banderas dans le rôle principal. La chanson du film, I Want to Spend My Lifetime Loving You (en) écrite par James Horner et Will Jennings, et chantée par Marc Anthony et Tina Arena, est classée dans de nombreux charts européens : 3e en France, 9e en Belgique et 34e en Suisse[17].

En 2008 est produit le spectacle Zorro, le musical par Stephen Clark. Sa version française, adaptée par Éric Taraud, est présentée aux Folies Bergère en . L'album du spectacle propose 16 titres sur des musiques des Gipsy Kings[18],[19].

Jeux vidéo

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Jeu d'action, développé par Datasoft et édité par U.S. Gold.
Jeu d'action, édité par Ubisoft Entertainment.
Jeu d'action et d'aventure développé par In Utero et édité par Cryo Interactive.
Jeu d'action, édité par 505 Games.

Jeux de rôle

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Notes et références

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  1. (en) Roberta E. Pearson et William Uricchio, The Many lives of the Batman, Routledge, , 213 p. (présentation en ligne), p. 6.
  2. Fabio Troncarelli, The Man Behind the Mask of Zorro.
  3. a b et c (en) John G. West, The Disney Live-Action Productions, p. 221.
  4. Foucrier Annick, « Le mythe californien dans l'histoire américaine », Pouvoirs, 2010/2 (n° 133), p. 5-15 : « en mettant en scène un régime espagnol despotique, [le personnage de Zorro] justifie aussi la conquête du territoire par les États-Unis démocratiques. »
  5. Fabien Blanc, « L’interventionnisme des États-Unis au Mexique : un combat contre la démocratie », Littératures, 2013 : « Les États-Unis supplantèrent ainsi totalement les puissances européennes au Mexique. Même si les États-Unis aidèrent le Mexique à se débarrasser des envahisseurs, en considérant le fait que ces envahisseurs représentaient une menace pour eux, on ne peut que se douter des intentions réelles de ce pays en pleine expansion durant le XIXe siècle.[...] Après la défaite des puissances européennes, Benito Juárez se réinstalla au pouvoir. Le soutien qu’il avait reçu des États-Unis fit de ceux-ci une puissance amie. L’influence étatsunienne allait désormais prendre un tour plus organisé sous la supervision des deux gouvernements, les États-Unis tentant déjà de peser sur les décisions politiques mexicaines. »
  6. Emmanuelle Pérez Tisserant, Zorro, la légende de la Californie, 2019, pp.72-77.
  7. Notice n°: FRBNF32983686 se la Bibliothèque nationale de France.
  8. (en) « Zorro Est Arrivé », sur Discogs.
  9. Bertrand Dicale, « Et alors et alors Zorro est arrivé », sur www.lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le ).
  10. « Zorro. Générique en français », sur youtube.com.
  11. Olivier Fallaix et Rui Pascoal, La belle histoire des génériques télé : De Goldorak à Pokémon, Paris/impr. en Italie, Ynnis Editions, , 160 p. (ISBN 978-2-37697-062-0), p. 145.
  12. Florian Guadalupe, « "Un jour, un générique" : "Zorro" », sur www.ozap.com, (consulté le ).
  13. (en) « Jean Stout – La Chanson De Zorro », sur Discogs.
  14. « Douchka - Zorro… Je chante parce que je t’aime (chanson) », sur lescharts.com (consulté le ).
  15. « Douchka - LA CHANSON DE ZORRO (chanson) », sur lescharts.com (consulté le ).
  16. (en) « Oliver Onions – Zorro Is Back - Chanson Extraite de la Bande Originale Du Film " Zorro " », sur Discogs.
  17. « Tina Arena & Marc Anthony - I WANT TO SPEND MY LIFETIME LOVING YOU (chanson) », sur lescharts.com (consulté le ).
  18. Mary Matys, « Zorro le musical », sur www.theatrotheque.com, (consulté le ).
  19. Rate Your Music, « Zorro: Le musical », sur rateyourmusic.com (consulté le ).

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrages

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  • (en) Audrey Parente et Rich Harvey, « A Century of Zorro : Celebrating the first true costumed hero », Alter Ego no 158,‎ , p. 45-49 (lire en ligne).
  • Olivier Besombes, Didier Liardet & Michelle Roussel : Zorro, l'emblème de la révolte, Éditions Yris, Nouvelle édition 2015.
  • (en) Mitzi M. Brunsdale, Icons of Mystery and Crime Detection : From Sleuths to Superheroes (2 volumes), Greenwood, coll. « Greenwood Icons », , 700 p. (ISBN 978-0-313-34530-2, lire en ligne), « Zorro : The Masked Avenger », p. 731-759.
  • Martin Winckler, Le rire de Zorro : étude de fond de Zorro, Paris, Bayard, , 147 p. (ISBN 2-227-47165-4).
  • Henri Filippini, « Zorro », dans Dictionnaire encyclopédique des héros et auteurs de BD, Opera Mundi, (ISBN 9782723427852), p. 178.
  • Sonia Ben Khaled Salhi, Mythes et légendes dans la didactique du Français langue étrangère, thèse de linguistique, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2014. Partie 3.2. « Zorro, le mythe du personnage » (p.129-132).

Sites internet

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Liens externes

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