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FROSCH.

Les gosiers sont en voix.

(Il chante.)

Le très-saint empire de Rome,
Comment est-il encor debout ?….

BRANDER.

Quelle laide chanson ! Fi ! une chanson politique ! La triste chanson !… Remerciez Dieu chaque matin de n’avoir rien à démêler avec l’empire de Rome. Je regarde souvent comme un grand bonheur pour moi de n’être ni empereur, ni chancelier. Cependant, il ne faut point qu’un chef nous manque ; et nous devons élire um pape. Vous savez quelle est la qualité qui pèse dans la balance pour élever un homme à ce rang.

FROSCH, chante.

Lève-toi vite, et va, beau rossignol,
Dix mille fois saluer ma maîtresse.

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