À chaque phonème correspond un graphème. Autrement dit, une lettre se prononce toujours de la même façon, quelle que soit sa place dans le mot et quelles que soient les lettres apparaissant avant ou après.
API
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Lettre(s)
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\b\ |
b
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\t͡s\ |
c
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\d\ |
d
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\f\ |
f
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\ɡ\ |
g
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\h\ |
h
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\ʒ\ ou \d͡ʒ\[1] |
j
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\k\ |
k
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\l\ |
l
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\m\ |
m
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\n\ |
n
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\p\ |
p
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\r\ |
r
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\s\ |
s
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\t\ |
t
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\v\ |
v
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\w\ |
w
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\k͡s\ ou \ɡ͡z\[2] |
x
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\j\ |
y
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\z\ |
z
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\kw\ |
qu
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\t͡ʃ\ |
ch
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\ʃ\ |
sh
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- ↑ Uniquement après un n.
- ↑ En fonction du plus facile à prononcer pour le locuteur.
- La lettre q est toujours suivie de la lettre u. Ainsi, on ne se sert jamais de q pour faire le son \k\, mais uniquement \kw\.
- Si les digrammes résultent de la composition d’un affixe et d’un radical, la diphtongue ne doit pas être réalisée, par exemple neutila ou kreuro.
- Les lettres i et u, lorsque la racine a au moins deux syllabes, et qu’elles sont suivies par une autre voyelle, se changent en diphtongue. Par exemple, januaro donne \ʒa.'nwa.ro\, mais dio reste \'di.o\.
L’accent tonique diffère en fonction de la fin du mot. Les mots finissant par -ar, -ir et -or sont accentués sur la dernière syllabe. Tous les autres mots sont accentués sur l’avant dernière syllabe.