Voir aussi : gaiment

Étymologie

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Adverbe

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Invariable
gaîment
\gɛ.mɑ̃\

gaîment \ɡɛ.mɑ̃\ invariable

  1. Variante orthographique de gaiement.
    • […] ; elle répondait fort gaîment, et paraissait tout heureuse de l’accueil qu’on lui faisait. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, t. 2, 4, 1833)
    • — Eh bien ! je vous prends pour mon enfant, dit-elle gaîment. — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
    • — Ma foi ! cher ami, dit-il gaîment, il faut en prendre notre parti ; nous sommes magnifiques nous ressemblons à s’y méprendre à des mannequins de la Passion. — (Gustave Aimard, Le Forestier, Éditions Amyot, Paris, 1869, p. 66)
    • Donc, ma trousse en bandoulière et ma boîte pleine de trésors, je revenais gaîment par la route, quand, aux portes de Dublin, j’aperçus une jolie fille de cinq à six ans, toute seule, qui pleurait. — (Octave Mirbeau, La Chambre close, Ernest Flammarion, Paris, 1920)
    • Quoi qu’il en soit, on peut dire qu’il savait se disputer gaîment, faire des réparties spirituelles, quelquefois étonner par sa bêtise feinte et exagérée, se taire à propos, se quereller à propos, brouiller ensemble de jeunes amis et les conduire ensuite sur le terrain, — (Alexandre Pouchkine, Eugène Onéguine, Traduction de Paul Béesau, 1868, page 144)

Apparentés étymologiques

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Prononciation

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Anagrammes

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  NODES