En histoire, l'expression Deuxième Rome, en référence à la « Première Rome » et à la « Troisième Rome », peut désigner :

Références

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  1. Antonio Desideri, (it) Storia e storiografia, vol. II, Messine-Florence, Ed. D'Anna, 1997
  2. Socrate le Scolastique, Histoire de l'Église, I, 16 et 17 ([1]) ; Démétrius John Georgacas, (en) « The Names of Constantinople », dans : Transactions and Proceedings of the American Philological Association, Johns Hopkins University Press 1947, fasc. 78, p. 347–67 citent ἡ δευτέρα Ῥώμη (« Deuxième Rome »), qualificatif donné par l'empereur romain Constantin Ier en 330 à la nouvelle capitale impériale Constantinople, auparavant nommée Byzance. Ce dernier nom ne fut cependant pas oublié, d'où l'adjectif « byzantin » créé en 1557 par Hieronymus Wolf pour l'Empire romain d'Orient et tout ce qui s'y rapporte, et largement popularisé par Edward Gibbon à l'époque moderne. Dans les textes ultérieurs on appelle aussi Constantinople Alma Roma (Ἄλμα Ῥώμα « Rome nourricère ») ou Rome Néourge (Ῥώμη νεουργής « Rome rebâtie ») et Grégoire de Nazianze, cite le terme de « Nouvelle Rome » (Νέα Ῥώμη - of Nazianzus_PG 35-38/De vita sua.pdf) qui, depuis le concile de Constantinople I, fait partie de la titulature officielle du patriarcat œcuménique de Constantinople (Archevêque de Constantinople, Nouvelle Rome, et patriarche œcuménique ; lire aussi Dominic Moreau, « L’établissement, l’affirmation et l’expansion du patriarcat de Constantinople jusqu’à Justinien : une question politique ou hérétique ? » dans International Congress of Byzantine Studies de 2016, [2]).
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