Droits LGBT à la Barbade

droit barbadien applicable aux personnes LGBT

Les personnes lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres à la Barbade ne possèdent pas les mêmes droits que les personnes non-LGBT. En décembre 2022, les tribunaux statuent que les lois de la Barbade contre la sodomie et la « grossière indécence » sont inconstitutionnelles et les exclues donc de la loi sur les infractions sexuelles (Sexual Offences Act). Cependant, les relations entre personnes du même sexe ne sont pas reconnues et les protections juridiques contre les discriminations sont limitées.

Droits LGBT à la Barbade
Image illustrative de l'article Droits LGBT à la Barbade
Carte de la Barbade associée au drapeau arc-en-ciel.
Dépénalisation de l'homosexualité  depuis 2022
Identité de genre  Non
Service militaire  Non
Protection contre les discriminations  constitutionnellement depuis 2022
Mariage  Non
Partenariat  Non
Adoption  Non

En raison de la faible population de la Barbade, de nombreux LGBT barbadiens choisissent de « rester dans le placard », craignant que leur coming out ne les expose à l'ensemble du pays[1]. La Barbade organise sa première semaine de la fierté en juillet 2018. Des activités de sensibilisation et d'acceptation sont alors organisées dans tout le pays[2]. Les célébrations de la fierté ont lieu de nouveau en juillet 2019[3] mais sont annulés en 2020, comme de nombreux festivals en raison de la pandémie de COVID-19[4].

En septembre 2020, le gouvernement annonce son intention de reconnaître « une certaine forme » d'union civile entre partenaires de même sexe, ainsi que d'organiser un référendum sur le mariage homosexuel. Ce projet est bien accueilli par certains militants des droits des homosexuels, mais critiqué par d'autres, estimant que la proposition d'union civile est inutilement vague et que le référendum sur le mariage risque d'échouer[5].

Légalité des relations homosexuelles

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La chanteuse barbadienne Rihanna, célèbre sur l’île, a souvent exprimé son soutien aux droits LGBT[6].

Avant la décision du tribunal de décembre 2022 d'annuler les lois sur la sodomie et la grossière indécence[7], le sexe anal et oral de même sexe et de sexe différent était criminalisé en vertu du chapitre 154, articles 9 et 12 de la loi sur les infractions sexuelles (Sexual Offences Act). L'article 9 criminalise la « sodomie », que l'acte soit commis en privé et consenti, ou qu'il soit commis entre deux hommes ou entre un homme et une femme. L'article 12 criminalise la « grave indécence », définie comme tout acte « impliquant l'utilisation des organes génitaux dans le but d'éveiller ou de satisfaire le désir sexuel ». La peine encourue pour « sodomie » était la réclusion à perpétuité, tandis que la peine maximale pour la « grave indécence » était de dix ans de prison si l'acte était commis sur ou envers une personne âgée de 16 ans ou plus. Cependant la loi était rarement appliquée[8].

Efforts de décriminalisation

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En 2018, Human Rights Watch (HRW) publie un rapport intitulé : « Je dois partir pour être moi : lois discriminatoires contre les personnes LGBT dans les Caraïbes orientales ». L'organisation appelle la Barbade à abroger l'article 9 et exhorte son gouvernement à créer un environnement sûr pour tous les Barbadiens[9]. Un ministre du gouvernement avertit par la suite que des forces extérieures tentaient d'imposer le mariage homosexuel au pays. HRW qualifie la réponse du ministre de « réponse politique bon marché », du fait que son rapport ne mentionne pas du tout le mariage entre personnes de même sexe, et se concentre plutôt sur la discrimination et le harcèlement auxquels les personnes LGBT sont confrontées à la Barbade[10].

En août 2016 et avril 2015, la Cour suprême du Belize puis celle de Trinité-et-Tobago, statuent que les lois criminalisant l'homosexualité sont inconstitutionnelles. Ces décisions sont bien accueillies par les militants LGBT barbadiens, qui espèrent également voir leur propre loi abrogée. Cependant, la Constitution de la Barbade contient une « clause de sauvegarde » qui protège les lois héritées de l'ancien Empire britannique contre tout contrôle constitutionnel, même si ces lois vont à l'encontre des droits humains fondamentaux, rendant ainsi difficile toute contestation juridique de la loi sur la sodomie[11]. Cela amène donc les militants LGBT barbadiens à plutôt porter plainte devant les tribunaux internationaux. En juin 2018, la militante transgenre Alexa Hoffmann et deux autres Barbadiens, une lesbienne et un gay, déposent une plainte auprès de la Commission interaméricaine des droits de l'homme (CIDH) en contestant le chapitre 154, avec ses articles 9 et 12 de la loi sur les infractions sexuelles avec l'aide de Trans Advocates and Agitation Barbados, du Réseau juridique canadien VIH/sida, du Programme international des droits humains de l'université de Toronto et d'autres défenseurs locaux et internationaux[12]. L'affaire est examinée par la CIDH en 2018. Fin juillet 2019, la Commission donne trois mois au gouvernement de la Barbade pour répondre à la demande. Si l'État refuse d'abroger ses lois, la commission peut renvoyer l'affaire devant la Cour interaméricaine des droits de l'homme, qui peut rendre une décision contraignante exigeant que la Barbade abroge les lois. Lors d'une conférence mondiale sur la décriminalisation de l'homosexualité organisée à la Barbade par des militants LGBT, la Ministre de l'autonomisation des personnes et des Affaires des personnes âgées, Cynthia Y. Forde, déclare : « Nous n'avons aucune crainte de contestation judiciaire de nos lois. C'est ainsi que les nouvelles lois sont élaborées et que la jurisprudence est renforcée et maintenue pertinente »[13]. En réponse, plusieurs dirigeants d'Églises évangéliques prévoient de se rencontrer pour formuler une réponse officielle à cette affaire[14],[15].

L'évêque anglican de la Barbade, ainsi que l'Église catholique, s'opposent à la loi sur la sodomie, déclarant que, bien qu'ils condamnent moralement l'homosexualité, les gouvernements doivent respecter les droits de toutes les personnes, y compris les personnes LGBT[6]. D'un autre côté, certains groupes plus fondamentalistes, extrémistes et fanatiques religieux attaquent les militants et les personnes LGBT de manière plus large. Il s'agit notamment de l'Église du Nouveau Testament, qui déclare des commentaires factuellement incorrects et non scientifiques concernant l'orientation sexuelle, affirmant que l'hétérosexualité, l'homosexualité et la bisexualité sont choisies, et soutient que la discrimination envers les personnes LGBT doit être encouragée, tout en jouant le rôle de victime[16].

Reconnaissance des relations homosexuelles

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Il n'existe pas de reconnaissance des unions homosexuelles à la Barbade. En juin 2016, le procureur général Adriel Brathwaite déclare que le gouvernement de la Barbade ne modifiera pas la loi pour permettre le mariage entre personnes de même sexe[17].

En janvier 2018, la Cour interaméricaine des droits de l'homme (CIDH) statue que la convention américaine relative aux droits de l'homme impose et exige la reconnaissance du mariage homosexuel[18].

En juillet 2020, le gouvernement lance le programme de visa « Welcome Stamp », permettant aux travailleurs étrangers de rester à la Barbade jusqu'à un an. Cependant à la suite de critiques selon lesquelles le programme permettait uniquement aux travailleurs d'amener avec eux leur conjoint de sexe opposé, le gouvernement modifie les règles du programme pour autoriser également les conjoints de même sexe[19].

Le , le gouvernement annoncé son intention d'adopter une forme d'union civile, puis d'organiser un référendum sur la question du mariage homosexuel, afin de mettre fin à la discrimination sur l'île[20].

Adoption et parentalité

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Les couples homosexuels ne peuvent pas adopter légalement à la Barbade.

Bien que cela ne soit pas explicitement interdit ou réglementé par la loi, le Barbados Fertility Center propose des traitements de fécondation in vitro et d'insémination artificielle aux couples lesbiens. Quant à la gestation pour autrui, elle demeure illégale à la Barbade[21].

Protection contre la discrimination

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Dans la décision de décembre 2022 décriminalisant la sodomie, publiée en mai 2023, la Haute Cour de la Barbade juge que la discrimination fondée sur l'orientation sexuelle est inconstitutionnelle[22].

En août 2020, le Parlement de la Barbade a adopté la loi de 2020 sur l'emploi (prévention de la discrimination) (Employment (Prevention of Discrimination) Act), qui interdit la discrimination dans l'emploi fondée sur le sexe, l'orientation sexuelle, l'état civil et le statut de partenaire domestique, entre autres motifs[23],[24].

La militante barbadienne Alexa D.V. Hoffmann fait valoir que le projet de loi exclut les protections pour les travailleurs transgenres parce que « l'identité de genre » et « l'expression de genre » ne sont pas répertoriées comme motifs de discrimination protégés[25].

Mouvement pour les droits LGBT à la Barbade

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En 2013, Donnya Piggott (en) et Ro-Ann Mohammed (en) fondent l'association Barbados Gays, Lesbians and All-Sexuals Against Discrimination (BGLAD) en tant qu'organisation visant à créer un mécanisme éducatif et à ouvrir un dialogue public de manière solidaire pour la communauté LGBT de la Barbade[26].

La Barbade organise son premier petit événement de la fierté en novembre 2017[1]. En juillet 2018, malgré la crainte de réactions négatives, environ 120 personnes défilent lors du premier défilé de la fierté gay sur Rihanna Drive, dans la capitale Bridgetown[27],[2].

La Première ministre Mia Mottley, élue en mai 2018, est considéré comme « pro-LGBT »[28].

Conditions sociales

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Reconnaissance des unions entre personnes de même sexe aux Petites Antilles et à Porto Rico
  • Mariage homosexuel
  • Décision contraignante d'un tribunal national établissant le mariage homosexuel, mais le mariage n'est pas encore prévu
  • Autre type de partenariat
  • Cohabitation non enregistrée
  • Pas de reconnaissance des couples homosexuels
  • Interdiction constitutionnelle du mariage homosexuel
  • Activité sexuelle homosexuel illégale mais sanctions non appliquées
  • Île soumise à l'arrêt de la CIDH

En février 2018, la militante transgenre barbadienne Alexa Hoffmann est attaqué avec un couperet à viande par Brandon Coward, bien qu'elle lui avait permis de rester chez elle en raison de problèmes personnels[29],[30]. L'attaque laisse Hoffmann avec de graves blessures, notamment à la gorge. En avril 2019, Coward est reconnu coupable et condamné à payer à Hoffmann 460 $Bds (230 $US) sous peine de trois mois de prison[31].

Le , la première veillée aux chandelles a lieu à la Barbade pour rendre hommage aux vies perdues des personnes transgenres et non-binaires à cause de la violence transphobe et sexiste dans le monde. Il s'agit de la deuxième manifestation pour la Journée du souvenir trans (Transgender Day of Remembrance ; TDoR) dans le pays, la première est un « Flash Stand pour l'égalité et l'inclusion » dédié aux personnes transgenres, qui s'est tenu le en tant qu'une des activités de lancement de la première fierté officielle de la Barbade[32].

Demandes de réfugiés homosexuels

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En 2011, le gouvernement de la Barbade déclare qu'il enquête sur des allégations selon lesquelles certains homosexuels barbadiens cherchaient le statut de réfugié au Canada. En 2016, un journal guyanais a rapporté que plus de 300 membres de la communauté LGBT de la Barbade cherchaient l'asile au Canada, au Royaume-Uni et aux États-Unis en raison de persécutions dans leur pays[33]. La ministre barbadienne des Affaires étrangères, Maxine McClean, fait part de l'inquiétude du gouvernement face à ces demandes visant à obtenir le statut de réfugié au Canada, puisque deux des neuf demandes adressées au gouvernement canadien ont déjà été refusées et des questionnements sont soulevées quant à savoir si c'était le cas, d'une tentative d'abuser du système d'asile au Canada[34].

L'organisation Bajan United Gays and Lesbians Against AIDS, Barbados (UGLAAB) déclare qu'elle envisage également de mener sa propre enquête concernant les mêmes allégations.

L'ambassadeur de la Barbade aux États-Unis, John Beale, déclare ensuite à la presse locale que certains des autres pays de la région figuraient parmi les plus nombreux demandeurs d'asile aux États-Unis, mais il ajoute que l'ambassade des États-Unis à Bridgetown n'ont pas encore signalé de problèmes spécifiques à la Barbade au Département d'État des États-Unis. L'ambassadeur souligne que les lois sur la sodomie font partie de la loi de la Barbade et que le gouvernement barbadien doit peut-être envisager de retirer officiellement ces lois pour maintenir la bonne image de la Barbade sur la scène internationale[35].

Relations internationales

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En 2011, le Premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron, déclare lors de la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth (CHOGM) en Australie que son gouvernement aurait des difficultés à fournir une aide aux pays qui avaient encore des lois interdisant la sodomie. Par la suite, le procureur général de la Barbade, Adriel Brathwaite, déclare publiquement que la politique de la Barbade ne serait pas dictée par le Royaume-Uni[36]. À la suite de cette déclaration, plusieurs membres de la communauté ouvertement gay de la Barbade déclarent que la Barbade doit commencer à proposer des forfaits touristiques aux touristes gays[37]. Cependant, une ligne de commentaires informelle du journal Barbados Nation révèle que ce plan n'était pas apprécié par certains[38].

À la suite du commentaire du Royaume-Uni, la Cour interaméricaine des droits de l'homme créé une unité chargée de lutter pour les droits des homosexuels. Il note les problèmes présentés par certaines lois de la région et déclare qu'il « promouvrait le développement harmonieux de tous ses domaines d'activité fondé sur l’interdépendance et l'indivisibilité de tous les droits de l'homme et la nécessité de protéger les droits de tous les individus et groupes historiquement victimes de discrimination. »[39].

Opinion publique

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De récents sondages menés par Caribbean Development Research Services Inc. (CADRES) révèlent que les Barbadiens sont plus tolérants que les années précédentes[40]. Dans un sondage réalisé en 2016 par CADRES, 67% des Barbadiens se décrivent comme tolérants envers la communauté LGBT et 82% s'opposent également à la discrimination à l'encontre de la communauté LGBT[41].

Ces dernières années, en partie à cause de la légalisation rapide du mariage homosexuel dans de nombreux pays, dont les États-Unis, de nombreux pasteurs évangéliques américains sont venus à la Barbade. Les militants des droits humains les accusent de propager et de prêcher la violence et la haine. Du fait de ses émissaires évangéliques, la rhétorique homophobe à la Barbade est devenue plus répandue[1].

Tableau récapitulatif

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Légalisation de l'homosexualité   depuis 2022
Égalité de majorité sexuelle   depuis 2022
Lois contre la discrimination au travail   depuis 2020 par la loi et constitutionnellement depuis 2022 ; orientation sexuelle uniquement
Lois contre la discrimination dans tous les autres domaines   sur le plan constitutionnel depuis 2022 ; orientation sexuelle uniquement
Lois contre les crimes fondés sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre   Sur le plan constitutionnel depuis 2022 ; orientation sexuelle uniquement
Mariage homosexuel   Non
Reconnaissance des couples homosexuels (unions civiles)   Non
Adoption d'un beau-fils par des couples homosexuels   Non
Adoption homosexuelle   Non
Autorisation pour les homosexuels de servir dans l'armée   Non
Droit de changer de sexe dans l'état-civil   Non
Accès à la FVI pour les lesbiennes   Oui
Gestation pour autrui pour les couples homosexuels d'hommes   Non
Autorisation du don de sang pour les HSH   Non

Notes et références

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  1. a b et c (en) Alexa Hoffmann, « This is why we needed the first ever Barbados Pride » [« C'est pourquoi nous avions besoin de la toute première Barbados Pride »], sur gaystarnews.com, Gay Star News, (version du sur Internet Archive).
  2. a et b (en) Sofia Lotto Persio, « Barbados holds first Pride parade and it’s as fabulous as you expect » [« La Barbade organise le premier défilé de la fierté et c'est aussi fabuleux que vous vous y attendez »], sur thepinknews.com, PinkNews, (consulté le ).
  3. (en) Rédaction, « "Outstanding" PRIDE parade » [« Défile de la fierté « exceptionnelle » »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (consulté le ).
  4. (en) « Barbados’ Crop Over Festival Cancelled Due To COVID-19 » [« Le festival Crop Over de la Barbade annulé en raison du COVID-19 »], sur pridenews.ca, Pride News, (consulté le ).
  5. (en) Anastasia Moloney, « Barbados pledges same-sex marriage vote, but supporters doubt reform » [« La Barbade promet le vote sur le mariage entre personnes de même sexe, mais les partisans doutent de la réforme »], sur nationalpost.com, National Post, (consulté le ).
  6. a et b (en) Human Rights Watch, « She's Famous, From Barbados, and an LGBT Ally » [« Elle est célèbre, de la Barbade et une alliée LGBT »], sur hrw.org, (consulté le ).
  7. (en) Lee Yan LaSur, « Barbados to repeal its buggery & gross indecency laws » [« La Barbade abroge ses lois sur la sodomie et la grossière indécence »], sur stvincenttimes.com, St Vincent Times, (consulté le ).
  8. (en) Barbade. « Sexual Offences Act », chap. 154 [lire en ligne (page consultée le 17 novembre 2023)].
  9. (en) Human Rights Watch, « "I Have to Leave to Be Me" : Discriminatory Laws against LGBT People in the Eastern Caribbean » [« « Je dois partir pour être moi » : lois discriminatoires contre les personnes LGBT dans les Caraïbes orientales »], sur hrw.org, (consulté le ).
  10. (en) Human Rights Watch, « Cheap Political Trick in Barbados : Eastern Caribbean LGBT Activists Seek Protection, Not Marriage » [« Réponse politique bon marché à la Barbade : Les militants LGBT des Caraïbes orientales cherchent la protection, pas le mariage »], sur hrw.org, (consulté le ).
  11. (en) Rédaction, « Our win too ! » [« Notre victoire aussi ! »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (version du sur Internet Archive).
  12. (en) Rob Salerno, « LGBT activists file challenge of Barbados' anti-gay laws » [« Les militants LGBT contestent les lois anti-gay de la Barbade »], sur xtramagazine.com, Xtra!, (consulté le ).
  13. (en) Colville Mounsey, « Govt given three months to answer challenge to anti-same sex laws » [« Le gouvernement a donné trois mois pour répondre à la contestation des lois anti-homosexuelles »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (consulté le ).
  14. (en) « Religious leaders in Barbados to respond to IACHR position » [« Les dirigeants religieux de la Barbade répondrons à la position de la CIDH »], sur antiguaobserver.com, The Gleaner, (consulté le ).
  15. (en) Rédaction, « "Stand firm" on anti-gay laws – church leaders » [« « Tener ferme » sur les lois anti-gay - les dirigeants de l'église »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (consulté le ).
  16. (en) Anmar Goodridge-Boyce, « No same sex ! » [« Pas de même sexe ! »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (version du sur Internet Archive).
  17. (en) Sandy Deane, « Gay blow : AG rules out same-sex marriages » [« Coup dur pour les gays : le procureur général exclut les mariages homosexuels »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (version du sur Internet Archive).
  18. (en) AFP, « Inter-American Court endorses same-sex marriage » [« La Cour interaméricaine approuve le mariage entre personnes de même sexe »], sur france24.com, France 24, San José, (consulté le ).
  19. (en) Rédaction, « Barbados welcomes gay couples to apply for visa to work remotely from the island » [« La Barbade invite les couples homosexuels à demander un visa pour travailler à distance depuis l'île »], sur gaytoday.com, Gay Today, (consulté le ).
  20. (en) Rédaction, « Government to recognise ‘a form of civil unions’ for same sex couples » [« Le gouvernement reconnaîtra « une forme d'union civile » pour les couples de même sexe »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (consulté le ).
  21. (en) Ralph, « Single and same sex couples fertility options » [« Options de fertilité pour les couples simple ou de même sexe »], sur barbadosivf.com, Barbados Fertility Center, (consulté le ).
  22. (en) Human Dignity Trust, « Barbados High Court delivers written judgment on 2022 oral decision to strike down laws criminalising LGBT people » [« La Haute Cour de la Barbade rend un jugement écrit sur la décision orale de 2022 d'abroger les lois criminalisant les personnes LGBT »], sur humandignitytrust.org, (consulté le ).
  23. (en) « Employment (Prevention of Discrimination) Bill, 2020 » [« Loi de 2020 sur l'emploi (prévention de la discrimination) »], sur barbadosparliament.com, Parlement de la Barbade, (consulté le ).
  24. (en) « Employment (Prevention of Discrimination) Bill, 2020 » [« Loi de 2020 sur l'emploi (prévention de la discrimination) »] [PDF], sur barbadosparliament.com, Parlement de la Barbade, (consulté le ).
  25. (en) Colin Stewart, « Barbados tells bosses it’s OK to fire trans workers without cause » [« La Barbade dit aux patrons qu'il est acceptable de licencier des travailleurs trans sans cause »], sur 76crimes.com, Erasing 76 Crimes, (consulté le ).
  26. (en) Bea Dottin, « BGLAD : Don't hate » [« BGLAD : Pas de haine »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  27. (en) Stefania Sarrubba, « These beautiful pictures of Barbados Pride will restore your faith in humanity » [« Ces belles photos de la fierté de la Barbade restaureront votre foi en l'humanité »], sur gaystarnews.com, Gay Star News, (version du sur Internet Archive).
  28. (en) Heather Cassell, « Barbados elects pro-LGBT female prime minister » [« La Barbade élit une femme Premier ministre pro-LGBT »], sur ebar.com, The Bay Area Reporter, (consulté le ).
  29. (en) Luova Labs, « Near Death » [« Près de la mort »], sur barbadostoday.bb, Barbados Today, (version du sur Internet Archive).
  30. (en) Tre Greaves, « Act of kindness backfires » [« L'acte de gentillesse se retourne contre lui »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  31. (en) Colin Stewart, « Barbados : No jail time for violent attack on trans activist » [« Barbade : Pas de peine de prison pour une attaque violente contre un militant trans »], sur 76crimes.com, Erasing 76 Crimes, (consulté le ).
  32. (en) Colin Stewart, « Barbados : A brush with death, a vigil for trans murder victims » [« Barbade : Au contact de la mort, veillée pour les victimes de meurtres trans »], sur 76crimes.com, Erasing 76 Crimes, (consulté le ).
  33. (en) Rédaction, « Gays leaving Barbados for Canada » [« Les gays quittent la Barbade pour le Canada »], sur stabroeknews.com, Stabroek News, (consulté le ).
  34. (en) Ricky Jordan, « Gay scam? » [« Arnaque gay ? »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  35. (en) Tony Best, « Gay backlash worry » [« S'inquiéter du contrecoup gay »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  36. (en) Luigi Marshall, « Not by UK » [« Pas part le Royaume-Uni »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  37. (en) Anesta Henry, « Dear: Cash in gay tourism » [« Cher : Argent dans le tourisme gay »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  38. (en) Carol Martindale, « Talk back: Readers see no reason to focus on gay tourism » [« Revenez en arrière : Les lecteurs ne voient aucune raison de se concentrer sur le tourisme gay »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  39. (en) Organisation des États américains, « IACHR Creates Unit on the Rights of Lesbian, Gay, Bisexual, Trans, and Intersex Persons » [« La CIDH crée une unité sur les droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexuées »], sur oas.org, (consulté le ).
  40. (en) rhondathompson, « Homosexuality debate rages in Barbados » [« Le débat sur l'homosexualité fait rage à la Barbade »], sur nationnews.com, The Daily Nation, (consulté le ).
  41. (en) Barbados Today, « Barbados MP: Accept the existence of gay relationships » [« Député de la Barbade : Accepter l'existence de relations homosexuelles »], sur antillean.org, Antillean Media Group, (consulté le ).

Voir aussi

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  NODES
Association 1
INTERN 12
Note 3