Les Ayvelles

commune française du département des Ardennes

Les Ayvelles est une commune française située dans le département des Ardennes, en région Grand Est.

Les Ayvelles
Les Ayvelles
Église.
Blason de Les Ayvelles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Charleville-Mézières
Intercommunalité CA Ardenne Métropole
Maire
Mandat
Sylvia Tucci
2023-2026
Code postal 08000
Code commune 08040
Démographie
Gentilé Ayvelliens, Ayvelliennes ou Ayvellois, Ayvelloises
Population
municipale
859 hab. (2022 en évolution de −4,77 % par rapport à 2016)
Densité 158 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 43′ 20″ nord, 4° 45′ 28″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 210 m
Superficie 5,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Charleville-Mézières
(banlieue)
Aire d'attraction Charleville-Mézières
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nouvion-sur-Meuse
Législatives 1re circonscription des Ardennes
Localisation
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Les Ayvelles
Liens
Site web https://lesayvelles.fr/

Géographie

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Localisation

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Les Ayvelles est une commune périurbaine de la périphérie de Charleville-Mézières, située à 6 km à vol d'oiseau au sud-est de cette ville. 10 km au sud-ouest de la frontière franco-belge et 82 km de Namur, 13 km à l'ouest de Sedan, 37 km au nord-est de Rethel et 52 km au sud-est de Hirson.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dans l'unité urbaine de Charleville-Mézières ainsi que dans la zone d'emploi et dans le bassin de vie de cette ville[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Chalandry-Elaire, La Francheville, Lumes, Saint-Marceau et Villers-Semeuse.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 5,45 km2 ; son altitude varie de 143 à 210 mètres[1].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique des Ayvelles.

La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meuse et le ruisseau du Pierge[2],[Carte 1].

La Meuse, d'une longueur de 486 km, est un fleuve européen qui prend sa source en France, dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, à 409 mètres d'altitude, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas[3]. Elle longe la commune sur son flanc est, sur une longueur d'environ 1,1 km, constituant une limite séparative avec la commune de Lumes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Les Ayvelles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].

Elle appartient à l'unité urbaine de Charleville-Mézières, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[12],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,5 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,5 %), eaux continentales[Note 3] (14,3 %), forêts (10,7 %), terres arables (9,1 %), zones urbanisées (9 %), mines, décharges et chantiers (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 398, alors qu'il était de 396 en 2016 et de 369 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 89,7 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements aux Les Ayvelles en 2021 en comparaison avec celle des Ardennes et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) par rapport au département (3,7 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement aux Les Ayvelles en 2021.
Typologie Les Ayvelles[I 3] Ardennes[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,7 84,7 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 3,7 9,7
Logements vacants (en %) 8,7 11,6 8,1

Toponymie

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Attestée sous la forme Avia au XIIe siècle[16].

De l'oïl aive « eau » ; le suffixe diminutif -elle et le pluriel sont tardifs[16].

Histoire

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Diane d'Ayvelles, fille de Nicolas, gouverneur de Sedan, épouse en 1576 Philippe d'Ambly, qui devint baron d'Ayvelles. Leur petit-fils Robert d'Ambly, maréchal des camps et armées du Roi, fut le premier titré marquis d'Ayvelles (ca 1645). Sa descendance donna les marquis de Chaumont, les barons de Chauvirey, et par alliance avec l'héritière de la branche aînée (1773), les marquis d'Ambly[17].

En 1828, la commune d'Ayvelle-la-Grande, instituée par la Révolution française, absorbe celle d'Ayvelle-la-Petite — qui comptait en 1821 148 habitants recensés — et prend sa dénomination actuelle de Les Ayvelles[1].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Charleville-Mézières du département des Ardennes[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Flize[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nouvion-sur-Meuse[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription des Ardennes.

Intercommunalité

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Les Ayvelles était membre de la communauté de communes du Pays des Sources au Val de Bar, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Ardenne Métropole, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1978[18]   Guy Capitaine    
         
1995 mars 2008 Robert Binet[19]   Architecte retraité[20]
mars 2008 mars 2014 Jacques Bragantini[21]    
mars 2014[22] décembre 2022[23] Philippe Lebreton   Fonctionnaire
Démissionnaire
janvier 2023[24] En cours
(au 29 mai 2024)
Sylvia Tucci   Employée retraité

Équipements et services publics

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Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Chalandry-Elaire dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[25].

Un pôle de santé est implanté dans la commune en 2023[26].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2022, la commune comptait 859 habitants[Note 4], en évolution de −4,77 % par rapport à 2016 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
120112141190315335335357349
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
334342334370376449451447463
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
542308349351340343393410418
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 2022
511603816769826951902870859
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

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L'Union sportive Les Ayvelles dispose d'une école de foot pour les enfants[30].

Un complexe sportif en plein air est inauguré par la commune en 2023, à côté de son stade[31].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le Fort des Ayvelles.
  • Le fort et la batterie des Ayvelles, situé sur une crête surplombant la ville de Mézières, à la limite entre les Ayvelles et Villers-Semeuse :
    Le fort est bâti entre 1877 et 1879 dans le cadre du Système Séré de Rivières et déclassé en 1899 à la suite de l'invention de nouveaux explosifs qui le rendaient obsolètes.
    Le domaine fortifié des Ayvelles, propriété du Département, est géré par l'Association du Fort et de la Batterie des Ayvelles (AFBA), et peut être visité sur rendez-vous[32].
  • Église Saint-Remi des Ayvelles.
  • Les balastières, cédées par le Département à la Fédération de chasse des Ardennes en 2023[33] et situées au bout de la rue de Warenne, sont constituées de six étangs[34].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'argent au sautoir de gueules cantonné au 1er et 4e d'un lion de sable, armé et lampassé de gueules, au 2e et 3e d'une molette à cinq rais de sable.
Détails
Composition : le sautoir et 2 molettes (sur 4 à l'origine - Woelmont dit merlettes, ce qui serait allusif au nom "avis", oiseau en latin) sont de la famille des Ayvelles, premiers seigneurs du lieu ; les 2 lions viennent de la famille d'Ambly, marquis des Ayvelles vers 1645, qui portait 3 lions de sable (selon Woelmont, ou 4 selon Jougla).
Création MM. Baron, Demoncheaux et Jolly. Adopté le 27 mars 1998, modifié le 11 novembre 2002.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique des Ayvelles » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale des Ayvelles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. Sandre, « la Meuse »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Les Ayvelles et Charleville-Mézières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Librairie Droz, , 671 p., p. 1061.
  17. Jougla, Grand Armorial, to 1 (1934), p 168 ; Woelmont, Notices généalogiques, to 6 (1930), p 7 ss.
  18. « Hommage à Mme Claudette Picot », Le trait d'union Ayvellois, no 60,‎ , p. 8 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  19. « « Le Carnet » », L'Ardennais, no 25453,‎ , p. 23.
  20. Gilbert Laval, « Pour qui t'as signé ? », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Jacques Bragantinidevient maire honoraire des Ayvelles », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Bragantini a exercé des fonctions municipales de 1989 à 2014 : deux mandats de conseiller municipal, un comme adjoint et enfin, de 2008 à 2014, comme maire ».
  22. « Philippe Lebreton a été élu maire », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le maire des Ayvelles a démissionné, la municipalité se réorganise », L'Ardennais,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Le conseil municipal traverse une période pour le moins instable. Le maire, Philippe Lebreton, a rendu son écharpe tricolore début décembre. Les élus font face et préparent une nouvelle élection ».
  24. « Les Ayvelles: après son élection, Sylvia Tucci fait le point sur l’avenir », L'Ardennais,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  25. « Un label pour l’école des Ayvelles », L'Union,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  26. « Quatre professionnels installés au nouveau pôle de santé des Ayvelles », L'Union,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Le nouveau pôle de santé des Ayvelles est ouvert depuis plusieurs semaines, à l’initiative de Jennifer et Romain Broyer, des investisseurs qui ont transformé ce bâtiment ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  30. « 70 enfants de l’école de foot des Ayvelles ont participé à un stage de foot sportif et éducatif », L'Union,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  31. « Le nouveau complexe sportif en plein air des Ayvelles a été inauguré », L'Union,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  32. « Le fort des Ayvelles », Le CD08 en action > Culture & Patrimoine, sur https://www.cd08.fr (consulté le ).
  33. « Ballastières des Ayvelles: le Parti communiste veut un éclairage sur le projet des chasseurs », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Mon p’tit coin de paradis dans les Ardennes : le site naturel des ballastières aux Ayvelles », L'Ardennais,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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