Saint-Girons-en-Béarn

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Saint-Girons-en-Béarn (en béarnais Sent-Guironç ou Sén-Guiroûs) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Son ancienne dénomination est Saint-Girons. Elle prend son nom actuel en juillet 2006 (décret 2006-808 du 7 juillet 2006).

Saint-Girons en Béarn
Saint-Girons-en-Béarn
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Pierre Lafargue
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64479
Démographie
Gentilé Saint-Gironnais
Population
municipale
173 hab. (2021 en évolution de +4,85 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 18″ nord, 0° 49′ 47″ ouest
Altitude Min. 76 m
Max. 156 m
Superficie 5,20 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Orthez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Girons en Béarn
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Liens
Site web https://www.saint-girons-en-bearn.com/

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Girons-en-Béarn se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 58 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 11 km d'Orthez[3], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Tilh (2,4 km), Saint-Boès (3,6 km), Arsague (4,0 km), Ossages (4,1 km), Baigts-de-Béarn (4,7 km), Mouscardès (5,1 km), Bonnut (5,2 km), Bérenx (6,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Girons-en-Béarn fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Ossages, Tilh, Baigts-de-Béarn, Bonnut et Saint-Boès.

Communes limitrophes de Saint-Girons-en-Béarn[6]
Tilh
(Landes)
Ossages
(Landes)
  Bonnut
Baigts-de-Béarn Saint-Boès

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Girons-en-Béarn.

La commune est drainée par le Lataillade, le Grand Arrigan, le ruisseau Peyre et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Lataillade, d'une longueur totale de 13,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Boès et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Puyoô, après avoir traversé 7 communes[8].

Le Grand Arrigan, d'une longueur totale de 23,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Boès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy à Mimbaste, après avoir traversé 10 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 229 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 9 km à vol d'oiseau[13], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[18], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19],[Carte 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Girons-en-Béarn est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,4 %), forêts (41,5 %), terres arables (9,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Girons-en-Béarn est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Girons-en-Béarn.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1983[24].

Toponymie

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Le toponyme Saint-Girons-en-Béarn apparaît[28] sous les formes Sanctus-Gerontius (1101, cartulaire de Lescar[29]),Sanctus Gerontius de Lefosse (vers 1170, cartulaire de Dax[30]), Sent-Girons (1322, cartulaire d'Orthez[31]), Sent-Gerontz (1404, titres de Herrère[32]), Sanctz-Guyrontz et Saint-Guirons (respectivement 1546 et 1675, réformation de Béarn[33]), Saint-Girons (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[28]).Saint Girons est un saint martyr à Hagetmau au IVe siècle[34] où l'on peut voir sa crypte.La localité porte le nom du saint évangélisateur de la Chalosse (Saint Géronce), transcrit en français standard sous la forme de Saint-Girons.Son nom béarnais est Sent-Guironç.

Son nom béarnais est Sent-Guirons[35] ou Sén-Guiroûs[36].

Histoire

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Le nom gascon est Guirons selon des textes du XVe siècle. Saint Girons est un saint martyr à Hagetmau au IVe siècle où l'on peut voir sa crypte. La localité porte le nom du saint évangélisateur de la Chalosse (Saint Géronce), transcrit en français standard sous la forme de Saint-Girons. L'église portait la dédicace de saint Girons jusqu'en 1830. Actuellement elle est dédiée à saint Matthieu, dont la fête se célèbre le 21 septembre. C’est pourquoi le deuxième week-end de septembre, les Saint-Gironais rassemblent autour d’eux les voisins de près et de loin pour ces festivités.

L'histoire de ce petit village est celui d'un village regardant à la fois le Béarn et la Chalosse. Il est déjà mentionné par Marca en 1101. Son intérêt était surtout d'être une étape des itinéraires de crête, dont la route de Dax par Tilh. Un lieu-dit Castérou, (casteron signifiant châtelet) près de ce chemin est le seul témoin d’une petite fortification aujourd'hui totalement disparue. La carte Cassini du XVIIIe siècle localise des moulins le long du ruisseau Lataillade. Une tuilerie y est mentionnée, liée très certainement à la présence d’un lit d’argile bien visible aujourd’hui, du bois comme énergie thermique et de l’eau comme force motrice.

Aucun fait dramatique n'a marqué l'histoire du village, sinon qu’il fut aux premières loges de la bataille d’Orthez, le 27 février 1814. Les troupes françaises du Maréchal Soult positionnées sur la ligne de crête d’Orthez à Saint-Boès ne peuvent stopper les armées anglo-espagnoles de Wellington malgré leur résistance héroïque autour de l’église de Saint-Boès. L’arrière garde anglaise traverse le gave à Peyrehorade, arrive à la fin de la bataille par Ossages, en traversant Saint-Girons d’où ils poursuivent les troupes napoléoniennes vers Bonnut et Sallespises.

En 1822, l’église alors accolée au cimetière en contrebas du coteau, est démontée et remontée au sommet du coteau où elle est érigée aujourd’hui. Le mur du cimetière a gardé la forme arrondie de l’ancien chœur. Au XIXe siècle, des sources sulfureuses ferrugineuses aux couleurs rouilles sont mises en exploitation. Elles ont la faveur des curistes jusque dans les années 1960. Leur spécialité est la guérison des ecchymoses, « las tumadas » en béarnais. Les téméraires écarteurs landais savaient y trouver soulagement. Ces bains, où l’on venait aussi boire un coup, jouer aux cartes et partager un moment, sont aujourd'hui une propriété privée.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1795 Jacques Lasserre    
1795 1797 Jean Tastet    
1797 1799 Jean Ducasse    
1799 1799 Philibert Miloua    
1800 1835 Philibert Puyoo    
1835 1846 Jean Hauret Seigne    
1847 1847 Joseph Bourretère    
1848 1851 Jean Hontarrède    
1852 1863 Joseph Bourretère Tastet    
1864 1870 Robert Testevin    
1870 1875 François Ducasse    
1875 1876 Victor Bourretère    
1876 1896 Pierre Pourtau    
1896 1902 Jean Guichemerre    
1902 1933 Jean Lafargue    
1933 1959 Jean Guichemerre    
1959 1983 Georges Pétriat   Instituteur
1983 1994 André Taillefer    
1994 1995 Albert Duvignau    
1995 En cours Pierre Lafargue   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune fait partie de trois structures intercommunales[37] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 173 habitants[Note 7], en évolution de +4,85 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
268282245277306304291304280
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
267242221223224230231236244
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
240223212534540544173189187
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
166153155164151132152155160
2017 2021 - - - - - - -
157173-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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St-Girons en Béarn, fenaison.
 
St-Girons en Béarn, culture du tournesol.

L'activité est tournée essentiellement vers l'agriculture (élevage, polyculture).

Culture locale et patrimoine

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Bourg de St-Girons en Béarn, place de la mairie.

Patrimoine linguistique et culturel : parler local (en voie de disparition) appartenant au groupe du gascon (langue d'oc), sous-groupe béarnais, en zone de transition des parlers landais ("lou nouste patuès").

Fête annuelle en l'honneur de saint Matthieu (le 21 septembre).

Patrimoine civil

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St-Girons en Béarn, architecture chalossaise.

Architecture traditionnelle : majorité de maisons fermières de style Basse-Chalosse (grand toit à double pente, grande porte cochère ouvrant sur le « sol » -espèce de grange-, porte façade avant et façade arrière, grenier). Peu de maisons de style béarnais (aspect massif, toit à forme trapézoïdale en tuile « picoune », sur rez-de-chaussée et étage ; espace habitation distinct de l'espace agricole).

Patrimoine religieux

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Plaque commémorative église de St-Girons en Béarn

Église paroissiale Saint-Marcel[42] : (clocher et quatre clochetons), située actuellement sur la place et qui se trouvait autrefois (XIXe siècle) dans l'enclos du cimetière, entourée des tombes des habitants. Le mur de clôture de ce cimetière (prendre le petit chemin à la hauteur du monument aux morts et qui mène à un bas-fond), présente un arrondi qui correspondait au chœur de l'ancienne église, reconstruite à l'identique sur son emplacement actuel. L'intérieur est spacieux et clair. On doit une des rénovations du bâtiment au dernier titulaire de la paroisse Saint-Boës et Saint-Girons, l'abbé Canton, qui collabora généreusement de ses deniers aux travaux de rénovation des églises de sa double paroisse. L'église actuelle Saint-Matthieu a été construite en 1822.

Équipements

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La salle polyvalente, inaugurée en 2006, a pris le nom d'un ancien maire, instituteur, Georges Pétriat. Elle a été construite avec une forte participation bénévole du conseil municipal.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Girons-en-Béarn ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Girons-en-Béarn et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Girons-en-Béarn et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Saint-Girons-en-Béarn », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Saint-Girons-en-Béarn », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Lataillade ».
  9. Sandre, « le Grand Arrigan ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Saint-Girons-en-Béarn et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Girons-en-Béarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orthez », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Girons-en-Béarn », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  28. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  29. Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  30. Cartulaire de la cathédrale de Dax, Liber rubeus (XIe – XIIe siècles); CEHAG ; 2004 ; Acte n° 174
  31. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
  32. Titre de la commune de Herrère - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  33. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  34. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 299..
  35. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Marcel

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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