Tarakan
Cet article est une ébauche concernant une localité indonésienne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Tarakan est une ville d'Indonésie dans la province de Kalimantan du Nord, située sur l'île de Tarakan, près de la côte orientale de Bornéo.
| Tarakan (id) Kota Tarakan | |||
 |
|||
| Noms | |||
|---|---|---|---|
| Nom Indonésien | Kota Tarakan | ||
| Administration | |||
| Pays |  Indonésie
|
||
| Province d'Indonésie | Kalimantan du Nord | ||
| Maire | Ir. Sofyan Raga, M.Si | ||
| Démographie | |||
| Population | 193 069 hab. (2010) | ||
| Densité | 769 hab./km2 | ||
| Groupe ethnique | Malais | ||
| Langue | malais | ||
| Géographie | |||
| Coordonnées | 3° 18′ nord, 117° 38′ est | ||
| Superficie | 25 100 ha = 251 km2 | ||
| Île | Bornéo | ||
| Date de création | 15 décembre 1997 | ||
| Localisation | |||
_location.svg&lang=fr)
| |||
| Géolocalisation sur la carte : Indonésie
Géolocalisation sur la carte : Kalimantan
| |||
| Liens | |||
| Site web | www.tarakankota.go.id | ||
modifier  |
|||
Tarakan est la plus grande ville de la province et a le statut de kota.
La ville possède un aéroport.
Histoire
modifierDurant la Seconde Guerre mondiale, Tarakan, qui possédait un aéroport et 700 puits de pétrole, fut prise par les Japonais au tout début de la guerre du Pacifique, le . Le lieutenant-colonel S. de Waal, commandant de la garnison hollandaise, décida de mettre le feu aux installations pétrolières ; les troupes japonaises exécutèrent tous les prisonniers hollandais en représailles[1].
À la fin de la guerre, la campagne de Bornéo, planifiée par les Alliés sous le nom de code « Hautbois », a débuté le premier par un débarquement de troupes australiennes à Tarakan.
Notes et références
modifier- (en) C. Peter Chen[le lien externe a été retiré], « Invasion of Borneo » (consulté le )
