Traité d'Athènes (1979)

Le traité d'Athènes ou traité d'adhésion de 1979 (nom officiel ci-dessous), signé le et entré en vigueur le , concernant l'adhésion de la Grèce lors du deuxième élargissement de la Communauté économique européenne.

« Traité d'Athènes »
Description de cette image, également commentée ci-après
Pays prenant part au traité
  • Nouveau membre de la Communauté (Grèce)
  • Les 9 anciens membres de la Communauté européenne
Nom officiel : voir la section dédiée
Type de traité Traité d'adhésion aux Communautés européennes
Signature
Lieu de signature Drapeau de la Grèce Athènes (Grèce)
Entrée en vigueur
Condition Ratification par dix États
Dépositaire Gouvernement italien
Langues Grec et les langues officielles de la Communauté économique européenne à cette date

Nom officiel

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Le nom officiel du traité d'adhésion est (en français) :

« Traité entre le Royaume de Belgique, le Royaume de Danemark, la République fédérale d'Allemagne, la République française, l'Irlande, la République italienne, le Grand-Duché de Luxembourg, le Royaume des Pays-Bas, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, (États membres des Communautés européennes), la République hellénique, relatif à l'adhésion de la République hellénique à la Communauté économique européenne et à la Communauté européenne de l'énergie atomique. »

Histoire

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Le à Athènes, la Grèce signe un accord d'association avec la CEE, entré en vigueur en , celui-ci prévoit une union douanière, une harmonisation politique (finance, agriculture, fiscalité, etc.), la libre circulation ainsi que la possibilité d'adhérer, à terme, à la Communauté européenne[1]. Cet accord est remis en cause lors de la période de la dictature des colonels mais la candidature d'adhésion est finalement déposée le .

Les négociations d'adhésion commencent officiellement le , s'achèvent le et aboutissent à la signature du traité d'adhésion le . La Grèce rentre dans la CEE le , elle bénéficie d'une période transitoire de cinq ans pour adapter son économie aux règles communautaires. À peine acquise, l'adhésion de la Grèce est remise en question par le nouveau gouvernement d'Andréas Papandréou qui n'obtient pas la modification des règles fondamentales des traités mais un accroissement des aides communautaires[1].

Références

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Compléments

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Articles connexes

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Liens externes

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