Val-Maravel
Val-Maravel est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Val-Maravel | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Charles Meyssonnier 2020-2026 |
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Code postal | 26310 | ||||
Code commune | 26136 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maravelois | ||||
Population municipale |
50 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 35′ 33″ nord, 5° 34′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 776 m Max. 1 690 m |
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Superficie | 21,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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modifier |
Val-Maravel est une commune récente. Elle est composée des anciennes communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Val-Maravel est située à l'est de Luc-en-Diois.
Boulc | Boulc | Boulc | ||
Lesches-en-Diois | N | Montbrand (Hautes-Alpes) La Haute-Beaume (Hautes-Alpes) | ||
O Val-Maravel E | ||||
S | ||||
Beaurières | Beaurières | La Beaume (Hautes-Alpes) |
Relief et géologie
modifierSituée aux confins du Haut-Diois, limitrophe des Hautes-Alpes, Val-Maravel est une commune de moyenne montagne.
Elle est séparée des communes de Boulc (au nord), Lesches-en-Diois (à l'ouest), Beaurières (au sud) et La Haute-Beaume (à l'est) par des montagnes dépassant 1 300 m.
Sites particuliers :
- La commune culmine au mont Luzet (1 692 m) d'où l'on a une vue panoramique sur le Dévoluy, le massif de Glandasse, le mont Aiguille et la vallée du Buëch.
- La montagne Chauvet (1 617 m)[1].
- Le Serre de Rigaud (1 574 m)[1].
- La montagne du Puy (1 550 m)[1].
- La montagne Pierre Blanche (1 430 m)[1].
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par :
- le ravin Aiguebelle est attesté en 1891 sur la commune du Pilhon. C'est un affluent de la rivière Maravel[2].
- le Ravin de Combe Noire, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
- le Ravin de Labéouroux, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
- le Ravin de la Condamine, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
- le Ruisseau de Poutillière et le Ruisseau des Ayes dont les sources sont sur la commune. Ils se réunissent pour former le ruisseau le Maravel[3].
- le ruisseau du Pra-Soubeyran, à la Bâtie-Crémezin, affluent de l'Aiguebelle
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 984 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Valdrôme à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 065,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
modifierLe seul accès routier asphalté est celui percé par l'écoulement du Maravel, au sud-ouest : une gorge de quinze mètres entre deux rochers verticaux. La pierre en rive droite a été percée pour permettre le passage d'une route départementale. Historiquement, cette route a été créée pendant les travaux du chemin de fer à la toute fin du XIXe siècle[réf. nécessaire].
Il existe également comme accès:
- un accès depuis Beaurières passant par la hameau de La Vière qui est l'ancienne route d'accès à Fourcinet. Cette route est le prolongement de la rue qui passe devant l'église de Beaurières. Carrossable en tout-terrain jusqu'à il y a quelques années, ce passage a été interrompu par des travaux privés.
- un accès chemin de terre depuis Lesches-en-Diois qui arrive aux Marins, vers le haut de Fourcinet. Cet accès est accessible en véhicule tout terrain.
- un accès chemin de terre entre Le Pilhon et Bonneval (vallée de Boulc), également accessible en véhicule tout-terrain.
Enfin, il faut signaler qu'il existait autrefois une liaison pédestre entre La Bâtie-Crémezin et Montbrand dans les Hautes-Alpes, aujourd'hui disparue : les pèlerins allant de Turin à Saint-Jacques de Compostelle y passaient au Moyen Âge (par le Col Domenge) et il est probable qu'Hannibal utilisa ce passage[Note 1] avec ses éléphants vers 217 av.JC
La variante officielle du GR.91 passe au Pilhon et conduit au Col de Cabre. Il existe un gîte d'étape au Pilhon et un gîte à la Bâtie-Crémezin
La gare SNCF la plus proche est celle de Luc-en-Diois (halte des trains sur la ligne de Valence à ) mais il faut aller à Die, ou à Aspres-sur-Buëch (36 km dans les Hautes-Alpes), pour trouver une desserte régulière.
Il existe une borne de recharge pour véhicule électrique privée (domestique UE et type 1), accessible à La Bâtie-Crémezin[10]
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Val-Maravel est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,7 %), prairies (12,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierLa commune compte trois villages principaux (Fourcinet, environ 840 m d'altitude), la Bâtie Crémezin (860 m) et le Pilhon (1 050 m).
Quartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN).
- Fourcinet
- la Bâtie Crémezin
- la Grange
- la Vière
- la Viste
- le Fournat
- le Pilhon
- les Forestiers
- les Marins
- les Sartrous
- le Villard
- Pierre Brune
- Viel
- Vière
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- Allemagne est un quartier attesté en 1891 (commune de Fourcinet). Il était dénommé la Basse et Haute-Allemagne au XVIIIe siècle (Carte de Cassini)[16].
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierFourcinet
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :
- 1378 : Forcinetum (cartulaire de Montélimar, 72).
- 1509 : mention de l'église Notre-Dame : ecclesia Beate Marie de Forcineto (visites épiscopales).
- 1891 : Fourcinet, commune du canton de Luc-en-Diois.
La Bâtie Crémezin
modifier- 1540 : La Bastie Cremase (inventaire de la chambre des comptes)[18].
- 1706 : La Bâtie Cremesin (dénombrement du royaume)[18].
- XVIIIe siècle : La Bâtie Cramois (Carte de Cassini)[18].
- 1891 : La Bâtie-Cramezin, commune du canton de Luc-en-Diois[18].
- 1992 : La Bâtie-Crémezin[1].
- Avant 2020 : La Bâtie Crémezin[3].
Le Pilhon
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :
- 1140 : Alpillo (cartulaire de Durbon).
- 1166 : mention du mandement : mandamentum de Alpilione (cartulaire de Durbon).
- 1246 : Al Pillon (cartulaire de Léoncel, 146).
- 1247 : Al Pillo (cartulaire de Léoncel, 152).
- 1293 : de Alpillone (cartulaire de Die, 129).
- 1299 : de Alpilione (de Coston, Étym. de la Drôme, 213).
- 1330 : Arpillio (inventaire de la chambre des comptes).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Alpilhone (pouillé de Die).
- 1429 : castrum de Upilhono (archives de la Drôme, E 4100).
- 1450 : mention de la paroisse : cura de Alpilhone (Rev. de l'évêché de Die).
- 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Claude : ecclesia parrochialis Sancti Claudii de Opillone (visites épiscopales).
- 1517 : mention de la paroisse : ecclesia de Alpilhonne (rôle de décimes).
- XVIIe siècle : Arpillon (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Le Pilhon, commune du canton de Luc-en-Diois.
- Avant 2020 : Le Pilhon[3].
Val-Maravel
modifier- 1973[réf. nécessaire] : Val-Maravel.
Étymologie
modifier- Fourcinet
- La Bâtie-Crémezin
La Bâtie-Crémezin vient du vieux français : une Bâtie (en occitan, on dirait une bastide) est une ferme fortifiée établie sur des essarts et Crémezin vient de Cramoisin qui veut dire brulée.
La Bâtie-Crémezin était à l'origine une des trois fermes-chapelles qui alimentaient le Prieuré de Beaurières (les deux autres étant La Bâtie-des-Fonds (aux sources de la Drôme) et Saint-Pierre (à Beaumont-en-Diois). Ces établissements bénédictins figurent à l'inventaire d'Aurillac de 955.
- Le Pilhon
- Val-Maravel
La nouvelle commune a pris le nom de la vallée de son principal ruisseau.
Histoire
modifierDu Moyen Âge à la Révolution
modifierFourcinet
modifierLa seigneurie[17] :
- Au point de vue féodal, Fourcinet était un fief de la baronnie de la Val-de-Thorane (voir Les Tours, commune de Beaurières).
- 1464 : la terre est confisquée à Guillaume, bâtard de Poitiers, par le roi Louis XI et donnée à François d'Eurre
- Elle passe aux Agoult.
- 1603 : vendue aux Armand.
- 1676 : vendue aux Ponnat, derniers seigneurs.
1786 (démographie) : 22 habitants[17].
Avant 1790, Fourcinet était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, qui fut presque toujours unie à celle de Beaurières, et dont l'église était sous le vocable de Notre-Dame[17].
La Bâtie Crémezin
modifierLa seigneurie : au point de vue féodal, cette communauté faisait partie de la terre de Beaurières[18].
Avant 1790, la Bâtie-Cramezin était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle était unie à celle du Pilhon pour le service paroissial[18].
Le Pilhon
modifierLa seigneurie[19] :
- Au point de vue féodal, le Pilhon était un fief de la baronnie de la Val de Toranne (voir Les Tours, commune de Beaurières).
- Elle est premièrement possédée par une famille de son nom.
- Milieu XVIe siècle : elle est en partie possédée par les Chabestan.
- 1578 : la terre passe aux Roux.
- En 1789, monsieur de Ponnat est le dernier seigneur.
Avant 1790, le Pilhon était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, premièrement dédiée à saint Claude, était sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste. La cure était de la collation de l'évêque diocésain et les dîmes appartenaient, partie à l'évêque et partie au curé.
Le mandement du Pilhon avait la même étendue que la commune de ce nom[19] :
De la Révolution à 1973
modifierEn 1790, les communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon sont comprises dans le canton de Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) les place dans le canton de Luc-en-Diois[17],[18],[19].
Depuis 1973 : Val-Maravel
modifierLa commune est créée en 1973 par réunion des communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon[réf. nécessaire].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 50 habitants[Note 2], en évolution de −10,71 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierLa commune relève de l'académie de Grenoble. Les enfants vont à l'école de Beaurières, puis au collège et au lycée de Die (arrêt de bus à Beaurières, desservi vers Die à 6 h 50 et depuis Die à 18 h 20)[réf. nécessaire].
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Fête communale : le dernier dimanche d'août[1].
Loisirs
modifier- Randonnées[1].
Sports
modifierMédias
modifierCultes
modifierÉconomie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : pâturages (ovins, caprins)[1].
L'essentiel de l'activité concerne l'élevage ovin et bovin ; l'ONF y gère également une large surface de pins noirs[réf. nécessaire].
Commerce
modifierLes commerces ont disparu
La plus proche épicerie est à Beaurières (à 4 km) de Fourcinet ; le tabac-presse est à Luc-en-Diois (18 km) ; le supermarché est à Die (38 km).
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Grandes fermes[1].
- Fourcinet : temple protestant[réf. nécessaire].
- Église Saint-Jean-Baptiste du Pilhon : petite église catholique : abside gothique[1].
- Le Pilhon : ancien temple protestant[1].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierDe nombreuses espèces animales sont présentes sur la commune : cerf, chevreuil, sanglier, blaireau, renard, buse, milan, chardonneret, mésange, tarin, rouge-gorge, etc.[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique, logotype et devise
modifierVal-Maravel possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La route du Col de Cabre n'existait pas, elle a été créée à la Révolution et le Col s'appelait Col des Communes)
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Val-Maravel.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebelle).
- geoportail.gouv.fr.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Val-Maravel et Valdrôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Chargemap - Carte des bornes de recharge pour voitures électriques », sur fr.chargemap.com (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Allemagne).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 150 (Fourcinet).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 23 (La Bâtie-Cramezin).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 272 (Le Pilhon).
- Associations des maires et présidents de communautés de la Drôme.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.