السلام عليكم — Bienvenue sur le portail de l’arabe.
En chantier — toute aide est bienvenue.
Écriture koufique monumentale à la Médersa Attarine.

Pour compléter la rédaction d’une entrée ?

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Quel arabe ?

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Ce qui est présenté comme « arabe » ({{ar}}) est l’Arabe standard moderne, en principe compréhensible par tout arabophone. S’y ajoutent les éléments de l’arabe classique, le cas échéant en signalant les éléments (Vieilli) ou (Désuet). L’ensemble constitue l’arabe littéraire.

C’est une langue apprise (elle ne se confond pas avec la pratique de telle ou telle région, et des dialectes peuvent s’en éloigner au point de devenir non-intercompréhensibles). C’est une langue à vocation universelle (tous les arabophones éduqués l’ont en principe apprise). C’est une langue qui s’appuie sur la référence des textes historiquement classique (dont les variantes arabes sont issues), mais tient compte également des introductions et adaptations modernes généralisables à l’ensemble du monde arabe.

Si une entrée n’appartient pas à ce domaine, elle relève de l’un ou l’autre des « dialectes » de la nébuleuse arabe, et doit être saisi sous la section correspondante : arabe algérien (arq), arabe andalou (xaa), arabe baharna (abv), arabe bedawi (avl), Modèle:acw (acw), Modèle:acy (acy), arabe égyptien (arz), arabe du Golfe (afb), arabe levantin (apc), arabe libyen (ayl), arabe marocain (ary), arabe saïdi (aec), arabe shihhi (ssh), arabe sicilien (sqr), arabe soudanais (apd), arabe tchadien (shu), arabe tunisien (aeb), judéo-arabe (jrb).

Utiliser les modèles de translittération

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L’arabe utilise un système d’écriture spécifique, qui s’écrit de droite à gauche.

Rédiger les entrées en caractères latins

En règle générale, s’il faut renvoyer à un terme en arabe, il est recommandé d’utiliser l’une ou l’autre des méthodes de type {{ar-mot|texte transcrit}}, qui prennent en paramètre une translittération en caractères latin et en donne une transcription en arabe dans un format adéquat.

Les principaux modèles sont :

  • {{ar-ab}}, pour les textes sans liens ni translittération : transcription en arabe et mise en forme avec un texte grossi et une fonte adaptée :
    {{ar-ab|Cariba}} donne : شَرِبَ
  • {{ar-mot}}, recommandé pour les liens inter-articles, qui donne un lien sur le mot et donne la transcription entre parenthèses :
    {{ar-mot|Cariba}} donne : شَرِبَ (Cariba)
  • {{ar-ex}}, pour mettre en forme les exemples, à trois paramètres, met en forme et donne la transcription entre parenthèses en mettant en relief le terme médian :
    {{ar-ex|aturîdu an|taCraba|Cay'ã?}} donne : أَتُرِيدُ أَنْ تَشْرَبَ شَيْئًا؟   (aturîdu an taCraba Cay'ã?)
  • {{ar-terme}}, pour les lignes de définition, qui traite comme {{ar-mot}} et donne en plus la prononciation :
    {{ar-terme|Cariba}} donne :

شَرِبَ (Cariba) /ʃa.ri.ba/

Éviter la saisie de caractères arabes

La saisie directe en caractères arabes au fil du texte doit être évitée, compte tenu des difficultés qu’elle entraîne sur le code wiki pour la relecture et la correction. Au minimum, si un texte est néanmoins collé en caractères arabes, il doit être mis en forme correctement en l’encapsulant par la mise en forme {{Lang|ar|...}} qui mettra le passage dans une fonte décente (la fonte par défaut est très souvent illisible).

Comparer : أَتُرِيدُ أَنْ تَشْرَبَ شَيْئًا؟ et {{Lang|ar|أَتُرِيدُ أَنْ تَشْرَبَ شَيْئًا؟}} qui donne : أَتُرِيدُ أَنْ تَشْرَبَ شَيْئًا؟

Pour saisir un nouveau mot ?

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Forme normale de l’entrée principale

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Pour un mot donné, les entrées du Wiktionnaire sont généralement de deux types :

  1. Les formes de référence (ou lemme), qui donnent toute l’information sémantique nécessaire. Ce sont celles qu’il faut renseigner en priorité :
    • Forme de référence d’un verbe : la forme de référence (l’équivalent pour l'arabe de l’infinitif dans un dictionnaire français) est la troisième personne masculin singulier de l’accompli, « il a… fait ou été telle ou telle chose ».
      Exemple : كَتَبَ (kataba), littéralement « il a écrit », est la forme de référence du verbe « écrire ».
    • Forme de référence d’un « nom » (adjectif, nom, mot déclinable ou non) : la forme de référence est au nominatif singulier.
      Exemple : كِتَابٌ (kitâbũ) est la forme de référence du mot « livre ».
    • Forme de référence des autres mots : elles sont normalement invariables, et la forme est celle sous laquelle le mot se présente. En particulier, l’arabe emploie le génitif comme forme adverbiale, dans ce cas la forme de référence de l’adverbe prend la forme du génitif, indépendamment de ce que la forme de référence de l’adjectif correspondant doit être au nominatif.
  2. Les formes déclinées ou conjuguées : Elles sont de préférence générées automatiquement. La « définition » se limite à une information grammaticale sur la nature de la conjugaison ou déclinaison, et renvoie pour la sémantique à la forme de référence. Notez qu’une même forme peut correspondre à plusieurs déclinaisons ou conjugaisons, parfois même de mots différents.
    • La forme en ـَةٌ (-@ũ) n’est en principe pas considérée comme un mot séparé lorsqu’il s’agit d’une déclinaison au féminin. En revanche, elle relève d’une entrée séparée lorsqu’un sens spécifique y est attaché.

Dans le cas de locutions ou de mots composés, la forme de référence n’a généralement pas besoin d’être conjuguée et déclinée.

  1. Dans le cas général, les formes avec préfixes ou suffixes sont considérées comme des locutions en ce qui concerne l’admissibilité et le traitement lexicographique. Ces formes avec préfixes ou suffixes (بِـ (bi-), ـكَ (-ka),…) ne font en général pas l’objet d’une entrée séparée.
  2. La forme définie d’un mot, préfixée par أَلـ (al-), est considérée comme une forme déclinée. Lorsqu’un sens spécifique lui est attaché, (1) ce sens doit être mentionné sur la forme de référence, et (2) la forme déclinée peut faire l’objet d'une entrée séparée. Exemple : الكِتَابُ (elkitâbu).
  3. Les suffixes en ـِيٌّ (-iy²ũ) ou ـِيَّةٌ (-iy²@ũ) sont considérés comme des mots séparés.

Avec ou sans diacritiques ?

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En fait, les deux ; dans l’idéal un lexème doit pouvoir se retrouver sous ces deux formes, et la création d’une nouvelle entrée modifie normalement ces deux pages. L’écriture d’un mot est le plus souvent abrégée, ne notant que les consonnes par omission des signes diacritiques ; l’écriture peut être encore plus squelettique dans les écritures coufiques dont les consonnes sont tracées sans points.

  1. Pour le Wiktionnaire, les formes de référence en arabe littéraire seront avec diacritique, c’est-à-dire sous forme d’une écriture complète avec voyelles. Exemple : كَتَبَ (kataba).
    • De plus, ces formes de référence comprendront les terminaisons casuelles. Les terminaisons casuelles permettent de préciser quels sont les mots qui ont une déclinaison diptote (sans nunnation) ou triptote, ou encore les différents autres cas particuliers.
    • C’est la forme avec diacritiques qui sert de référence lexicographique, et sur laquelle est reportée toute l’information sémantique. C’est également elle qui reçoit les liens vers les fichiers de prononciation audio.
    • En parallèle de chaque forme de référence, le lien est fait vers une entrée sans diacritiques aucuns, désignée par « écriture abrégée ». Sur la page de référence avec diacritiques, ce lien peut être généré automatiquement par le modèle {{ar-squelette}}, qui traduit le nom de la page (par défaut) en supprimant tous les diacritiques. Voir Portail:Arabe/Exemples pour le wikicode permettant de gérer facilement ces différentes rédactions.
  2. Une page sans diacritiques, désignée par « écriture abrégée », ne comprend que le « squelette » du lexème, qui - du coup - peut souvent avoir plusieurs lectures. Exemple : كتب (ktb).
    • La page du « squelette » se limite pour l’arabe littéraire à répertorier les différentes lectures qui peuvent en être faites, pour en donner une courte définition et renvoyer vers la page correspondante avec diacritiques. Elle fonctionne comme une page de désambiguïsation. C’est notamment l’approche retenue par le Wiktionnaire écrit en arabe. Cette limitation n’empêche pas que le « squelette » puisse par ailleurs être une entrée normale dans une autre langue (persan, ourdou,…), voire dans un des dialectes arabes.
    • Les lectures possibles peuvent être nombreuses. Voir par exemple la page ربع, avec une dizaine de sens possibles (sans compter les déclinaisons et conjugaisons éventuelles).
    • NB : cas particulier de la hamza : entre supprimer tous les diacritiques et maintenir néanmoins les hamza, le traitement est très variable d’une édition du Wiktionnaire à l’autre, et parfois au sein d’un même wiktionnaire (de plus, la suppression n’est parfois pas totale, et laisse subsister quelques diacritiques de voyelles). De ce fait, dans le cas d’un « squelette » comportant une hamza, il est recommandé de renvoyer par une section {{S|variantes orthographiques}} vers une page orthographiée avec hamza, afin de faciliter la circulation par les liens interwikis. Voir par exemple ادخل, ou le traitement de إستئصال.
  3. Dans la plupart des cas la page « squelette » ne relève que d’une seule racine, mais on en trouve parfois de plusieurs racines, comme par exemple سنة, ou تبيع, ou encore اب, où les différents squelettes sont triés suivant la racine à laquelle ils se rapportent. Inversement, les mots d’origine étrangère ne se rattachent pas à une racine, voir par exemple مَاتْشَا (mâtCâ) ou أَسْطْرُلَابٌ (asTrulâbũ).

Pour plus d’information : Convention:arabe/Diacritiques

Astuce de saisie

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Pour les utilisateurs enregistrés, un « gadget » facilite la recherche et la saisie des termes en arabe avec un clavier latin :

  • Menu « préférences », onglet « gadget », sélectionner « Translittérateur » en fin de liste.
  • Le gadget permet d’afficher un petit outil de translittération, actuellement disponible en haut de Portail:Arabe et de Portail:Arabe/Exemples.
  • L’outil affiche la translittération du texte saisi, et un lien sur la page correspondante.
  • Même si la page n’existe pas (lien rouge) il reste possible de cliquer dessus pour la créer, ou pour chercher le terme sur les projets frères.

Familles de mots

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Schèmes et racines

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Dans le cas de mots d’origine étrangère, le traitement se limite au mot lui-même, et au renvoi éventuel sur une page de « squelette ». Voir par exemple le traitement de قِيثَارَةٌ (qîFâr@ũ) ou أَسْطْرُلَابٌ (asTrulâbũ), ou encore يَاسَمِينٌ (yâsamînũ).

Pour le vocabulaire proprement arabe, un mot (lexème) n’est généralement pas porteur de sens par lui-même, mais s’insère dans un réseau sémantique fortement structuré, formé par les différents mots générés par la même racine sémantique, et par les dérivations du même schème appliqué à d’autres racines.

L’articulation avec la racine et le schème est une information sémantique importante (pour la sémantique, la lexicologie,…), et des outils spécifiques ont été mis en place pour traiter ces relations en arabe. Ils sont décrits dans la section suivante.

(Pour la personne qui débuterait dans l’étude de l’arabe, la recherche d’un terme dans le dictionnaire est de plus compliquée par le fait que les entrées sont rassemblées par racine. Cette difficulté disparaît dans le cas d’un dictionnaire électronique.)

  • Dans le cas d’un mot correspondant à l’application d’un schème à une racine, l’information du lecteur fait intervenir une page supplémentaire dans l’espace principal, celle de la racine. Cette page récapitule tous les termes issus de la racine correspondante, et donne l’information connue sur l’étymologie commune de la famille. Voir par exemple la page descriptive de la racine ك ت ب (k t b), racine relative à l’action d’écrire, mais également de relier.
  • Pour faciliter la saisie et permettre la mise à jour automatique des liens et descriptions, la description de la racine s’appuie sur un modèle de racine, ici {{ar-ktb}}. Ce modèle permet principalement de faire l’inventaire des schèmes appliqués à la racine, associés à une courte définition du mot correspondant. C'est l’information présente dans le modèle racine qui est reproduite sur la page descriptive de la racine, ainsi que sur les différentes pages concernant les mots correspondants : entrée de référence avec diacritiques, et squelette sans diacritiques.
  • En complément de cette information liée à la racine, l’information commune liée au schème utilisé est portée par un modèle de schème.

Un mot d’origine étrangère peut éventuellement se rattacher formellement à une racine, par exemple زَبِيلٌ (zabîlũ) (« fumier, panier »). ou شَارُوقٌ (Cârûqũ) (« plâtre »). ; ou se situer hors de toute notion de racine, comme مَاغِنْتِيتٌ (mâRintîtũ) (« magnétite ») :

  • L’information étymologique est donnée à propos du mot importé.
  • Sur la page décrivant la racine, le cas échéant, mention peut être faite de ce que le mot est d’origine étrangère.

Ajouter un dérivé à une racine

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Par exemple, supposons que l’on ait à ajouter le terme كَتَّبَ (kat²aba), qui est au croisement de la racine {{ar-ktb}} et du schème {{ar-*a*²a*a}} (où les astérisques marquent l’emplacement des consonnes radicales).

A/ Pour signaler à la racine que ce schème y est productif, il faut éditer la racine {{ar-ktb}} et y insérer la correspondance entre le schème et une courte définition, ici :

| ar-*a*²a*a = enseigner l’écriture ; enrôler

Attention à ce que le texte sera inséré dans une phrase, il doit être mis sans majuscule initiale, et sans point final.

B/ Ce croisement permet d’indiquer directement son étymologie par rapport à la racine, suivant le modèle que donne Portail:Arabe/Exemples :

*{{ar-étymologie|ar-*a*²a*a|ar-ktb}}

produit directement sur la page principale la ligne :

  • Application du schème زَرَّزَ (« (II) sens causatif, intensif, dénominatif ») à la racine ك ت ب (« relatif à l'action d'écrire, relier »).

C/ Le même code étymologique peut ensuite être recopié et à peine retouché sur la page du « squelette » pour créer la ligne qui

*{{ar-étymologie2|ar-*a*²a*a|ar-ktb}}

produit directement sur la page principale la ligne pointant sur la page principale et rappelant sa définition courte :

Modèles en [schème x racine]

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A/ Le croisement schème x racine permet d’alimenter un certain nombre de modèles de la même famille, le plus simple étant celui du renvoi direct {{ar-cf|schème|racine}}.

Par exemple, pour indiquer que كُتْبٌ (kutbũ) est le pluriel de كِتَابٌ (kitâbũ), il suffit d’insérer sur sa ligne de définition :

# Pluriel de {{ar-cf|ar-*i*â*ũ|ar-ktb}}

pour obtenir :

  1. Pluriel de كِتَابٌ (kitâbũ) (« livre, écriture ; pièce écrite »).

Une version encore plus compacte avec le modèle dérivé {{ar-cf-p}} serait {{ar-cf-p|ar-*i*â*ũ|ar-ktb}} qui donne Pluriel de كِتَابٌ (kitâbũ) (« livre, écriture ; pièce écrite »)..

B/ Voir les sous-modèles de {{ar-cf}}. Le Wiktionnaire dispose d’un certain nombre de modèles de ce type, qui prennent leurs paramètres sous la même forme. Ces modèles permettent de générer automatiquement des fragments de texte sur un schéma donné, comportant (en partie variable) des informations sur la sémantique de la racine, du schème, du schème appliqué à la racine, voire sur les méthodes de dérivation (avec des paramètres supplémentaires). Par exemple, un participe passif comme مَكْتُوبٌ (maktûbũ) correspond à l’application du schème {{ar-ma**û*ũ}} à la racine {{ar-ktb}}. La même séquence de paramètres {{modl|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}} permet de générer :

  • {{ar-cf|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}}, utilisé pour des références générales d’une page sur l’autre (en particulier les liens de la section étymologie), qui donne مَكْتُوبٌ (maktûbũ) (« chose écrite, destinée »).
  • {{ar-étymologie|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}}, utilisé dans la section étymologie du terme, qui donne Application du schème مَزْرُوزٌ (« participe passif de forme (i) ») à la racine ك ت ب (« relatif à l'action d'écrire, relier »).
  • {{ar-étymologie2|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}}, utilisé pour les renvois vers la page de référence depuis la page « squelette », qui donne مَكْتُوبٌ (maktûbũ) (participe passif de forme (i)), « chose écrite, destinée ».
  • Les définitions de type {{ar-cf-na|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}} (description d’un nom d’action), {{ar-cf-pa|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}} (description d’un agent ou participe actif) ou {{ar-cf-pp|ar-ma**û*ũ|ar-ktb}} (description d’un participe passif).

C/ D’une manière générale, il est possible de copier-coller un appel de modèle en changeant simplement le nom du modèle pour obtenir un certain nombre de rédactions automatiques dans les cas les plus simples. Voir ces modèles pour leurs différents paramètres. En particulier, noter que le modèle {{ar-étymologie}} dispose de plusieurs méthodes pour indiquer qu’un terme est dérivé d’un autre.

D/ Pour les formes dérivées, déclinées, conjuguées : elles sont généralement décrites à partir d’un opérateur portant sur la forme principale. Voir كَانَ (kâna) pour des exemples de formes conjuguées.

Pour plus d'information, voir :

Pour enregistrer tout une famille

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A/ Pour enregistrer tout une famille de mots associés à une racine, il faudra créer le modèle associé à cette racine, et la page correspondante dans l’espace principal. Mais la première étape est de « préparer le chantier » :

  • Voir tout d’abord Convention:arabe/racines.
  • Modifier la page Portail:Arabe/Exemples pour remplacer la racine donnée en exemple (celle qui apparaît dans la première section, « Formes de XYZ ») par celle qu’on se propose d’initialiser (par exemple, ktb). Dans un éditeur de texte, remplacer simplement toutes les occurrences de XYZ par ktb, et sauver la page.

La page Portail:Arabe/Exemples (à conserver dans un onglet) sera la source des exemples pour l’édition de la famille de mots : verbes, noms/adjectifs, et racine elle-même.

B/ Commencer par créer le modèle associé à la racine, de type {{ar-ktb}} :

  • Après la mise à jour de la page d’exemples, le lien est un lien rouge dans la première section.
  • Copier l’exemple de modèle donné en bas de page d’exemples.
  • Saisir le schème et une courte définition pour chaque mot qu’il faudra documenter, suivant le même mécanisme que ci-dessus #Ajouter un dérivé à une racine.
  • Dans le cas des racines faibles, une même forme peut correspondre à différents schèmes. La première section, « Formes de XYZ », donne un lien vers Modèle:ar-racine/tableau2, un tableau triable comportant toutes les formes envisageables compte tenu des schèmes déjà identifiés. Ce tableau a été mis à jour en même temps que la page d’exemples pour traiter la racine en cours. Les formes pouvant donner lieu à plusieurs interprétation peuvent être identifiées en triant suivant les formes en arabe, pour choisir en général la forme la plus fréquente ou celle correspondant le mieux à la nature du mot.

Le modèle associé à la racine sera la « tour de contrôle » (à conserver dans un deuxième onglet) pour créer les différentes pages relevant de la racine. Ces pages à créer apparaissent à présent sous forme de « liens rouge », et peuvent pointer vers des entrées avec diacritiques ou vers des « squelettes » sans diacritiques.

C/ Si des pages apparaissent dans la colonne des « squelettes », c’est qu’elles ont déjà été créées, mais ne sont probablement pas correctement orthographiées : la référence lexicographique doit être avec diacritiques, et le nom de la page doit refléter cette référence.

  • Commencer par remettre en forme et compléter ces pages en tant que de besoin.
  • Renommer la page, afin de préserver l’historique.
  • Transformer la page de redirection ainsi créée en page de type « squelette ».

D/ Compléter ensuite les « liens rouges » du modèle associé à la racine, en recopiant et éditant les exemples donnés par la page Portail:Arabe/Exemples (qui, donc, ont été pré-édités dans l’étape A pour traiter de la bonne racine).

Quand ça ne marche pas ?

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Le vocabulaire arabe a des irrégularités par rapport au système général [racine x schème]. Pour les mots présentant de telles irrégularités (hors cas de mots d’importation, traités comme ci-dessus), penser à les marquer dans la catégorie Catégorie:Dérivation irrégulière en arabe, pour en faciliter la recherche à l’occasion d’études lexicales.

Conventions d’écriture

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Enseigne Starbucks à l’aéroport de Dubaï.

Voir aussi les conventions générales : Convention:Sommaire

 
L'arabe ne se limite pas au Coran.

Morphologie

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Ressources

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Vocabulaire

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Voir aussi

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Racines

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À faire

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Le vocabulaire arabe sur le Wiktionnaire est aujourd’hui (2018) embryonnaire ; et les outils lexicaux permettant de traiter l’arabe sont pratiquement inexistants. Pour faciliter la construction collaborative d’un dictionnaire arabe-français pertinent, les étapes proposées sont :

  1. Développer les modèles et modules nécessaires au traitement de l’arabe.
  2. Créer les squelettes des entrées principales dès qu’un traitement automatique permet d’afficher des informations décentes (par exemple en important depuis wikt:ar:تصنيف:عربية?).
  3. Enrichir les pages par des exemples, des compléments…

Références des discussions communautaires

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  NODES
Note 2