dreist-holl
Étymologie
modifierAdverbe
modifierdreist-holl \drɛjsˈtɔlː\
- Principalement, surtout.
Meur a gantved e padas al labour-se, en abeg dreist-holl d’ar bern bras a levriou a oa da drei, ha da ziaesderiou an droidigez end-eeun, an tibeteg o veva eur yez disheñvel a-grenn diouz ar sanskriteg ha diouz ar yezou ariek-all eus an Indez kar d’ar sanskriteg.
— (Meven Mordiern, Prederiadennou diwar-benn ar Yezou hag ar Brezoneg, in Gwalarn, no 84, novembre 1935, page 60)- Ce travail dura plusieurs siècles, en raison principalement de la grande quantité de livres qu’il y avait à traduire, et des difficultés même de la traduction, le tibétain étant une langue radicalement différente du sanskrit et des autres langues aryennes de l’Inde apparentées au sanskrit.
« Komzit, ha bezit berr, dreist-holl ».
— (Jakez Riou, Troiou-kamm Alanig al Louarn 2, Gwalarn, 1936, page 38)- « Parlez, et soyez bref, surtout ».
Références
modifier- Roparz Hemon, Nouveau dictionnaire breton français, Al Liamm, 6e édition revue et augmentée, 1978, page 229b
- Martial Ménard, Dictionnaire français-breton, Éditions Palantines, 2012, ISBN 978-2-35678069-0, page 1289b