serrer
Palî
Sepeserrer \se.ʁe\ palî tî mbenze
- pete
- Serrer la main à quelqu’un.
- Je l’ai serré dans mes bras, contre mon cœur.
- Ces souliers sont trop étroits : ils me serrent. Cette robe serre un peu au niveau du ventre.
- Vous serrez trop fort.
- Ne serrez pas.
- Les sables sont les matières que l’on mélange le plus habituellement à la chaux pour former les mortiers ; ils doivent être rudes au toucher et crier quand on les serre dans la main.— (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 21)
- C’est un vieil homme debout à l’arrière d'un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise.{{lïndïpa|auteur=Philippe Claudel|[[w:fr:La Petite Fille de Monsieur Linh}}
- gbû
- serrer un boulon
- doroko
- Mais les minutes, les quarts d’heure, s’écoulèrent, les heures mêmes, sans qu’il la vît. Alors l’inquiétude commença à le serrer au cœur.— (Hector Malot, La Belle Madame Donis , 1873)
- hânda
- Cyril s’était battu, le cousin était resté pour serrer une meuf et Lyas était rentré.— (Golda John, C’est l’histoire de nos vies , Éditions Le Manuscrit, 2004, lêmbëtï 167)
- […] un conseil ouvre les rideaux, éteins ta ps3 et sors dehors te serrer des meufs […]— (psm3blog.fr , 2007)
- sâra könömï, bata nginza
- « L'hôtel me reviendrait trop cher : je ne suis pas riche, je dois serrer. » — (Hervé Bazin, Cri de la chouette , Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 33)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine